[PDF] 12 Revenu disponible brut et pouvoir d’achat des mé nages



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12 Revenu disponible brut et pouvoir d’achat des mé nages

1 2 Revenu disponible brut et pouvoir d’achat des mé nages • L’Économie française, coll « Insee Références », édition 2017 † « Les comptes de la Nation en 2016 - Le PIB croît de 1,2 , le pouvoir d’achat des ménages accélère », Insee Première n° 1650, mai 2017 Pour en savoir plus E n2016, le pouvoird



LE POUVOIR METHANOGENE DES INTRANTS DE METHANISATION

des champs et/ou des industries Le tonnage en matière sèche est plus faible, ce qui donne un pouvoir méthanogène apparemment plus fort Ce dernier ne reflète pas la qualité du substrat réel à incorporer et donc à transporter CONCLUSIONS • Le pouvoir méthanogène varie donc dans un intervalle très grand de 4-5 m3/t MB à



LE POUVOIR METHANOGENE DES INTRANTS DE METHANISATION

des champs et/ou des industries Le tonnage en matière sèche est plus faible, ce qui donne un pouvoir méthanogène apparemment plus fort Ce dernier ne reflète pas la qualité du substrat réel à incorporer et donc à transporter CONCLUSIONS • Le pouvoir méthanogène varie donc dans un intervalle très grand de 4-5 m3/t MB à



Au plus grand pouvoir que vous possédiez,

12 Le pouvoir de la précision 13 La magie de la sympathie 14 Établir des distinctions : les méta-programmes 15 Comment venir à bout des résistances et résoudre les problèmes 16 Restructuration des schémas : le pouvoir de la perspective 17 Les points d’ancrage de la réussite TROISIÈME PARTIE 18



Le pouvoir des fleurs (C) - musicalameorg

Je t'envoie des fleurs 3 Tu verras qu'on aura des foulards des chemises et que voici les couleurs vives Et que même si l'amour est parti ce n'est que partie remise Par les couleurs, les accords, les parfums Changer le vieux monde pour faire un jardin Tu verras, tu verras Le pouvoir des fleurs (Il) 'y a une idée pop dans mon air



le pouvoir des fleurs - Académie de Lyon

Le parfum, imagine le parfum L’Eden le jardin c’était pour demain Mais demain c’est pareil le même désir veille Là tout au fond des cœurs, tout changer en douceur REFRAIN 2 Changer les âmes, changer les cœurs Avec des bouquets de fleurs La guerre au vent, l’amour devant Grâce à des fleurs des champs COUPLET 3



Cathie St-Germain, personnellement et en sa qualité de

pèce, car elle a retenu le témoignage de l’expert des mé-decins, plutôt que ceux des experts de la demanderesse Elle n’était pas tenue en droit d’appliquer une présomp-tion de fait défavorable aux médecins simplement parce que (i) leur faute empêchait de prouver le lien de causalité



Enquête de suivi de la sécurité alimentaire des ménages

nement, hausse des prix ) qui se conjuguent pour affaiblir le pouvoir d’achat et l’accès des mé-nages à une alimentation fréquente et diversifiée; F La situation nutritionnelle des enfants de moins de 5 ans évaluée grâce aux taux de malnutrition

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148France, portrait social, édition 2017 - Insee Références

Revenu disponible brut et pouvoir d'achat des ménages1.2 •L'Économie française, coll. " Insee Références », édition 2017.

Premièren° 1650, mai 2017.

Pour en savoir plus

E n 2016, lepouvoir d'achat du revenu dispo- nible brut des ménages (RDB) connaît sa plus forte hausse depuis 2007 (+ 1,8 %). Si le revenu disponible en euros courants a progres sé plus fortement que l'an passé (+ 1,7 % contre + 1,1 % en 2015), le pouvoir d'achat a également bénéficié de la baisse des prix (- 0,1 % après + 0,3 % en 2015).La rémunération totale des salariés (y compris cotisations sociales employeurs) progresse plus vite en 2016 qu'en 2015 (+ 1,8 % en euros courants après + 1,3 %). Les salaires nets accélèrent (+ 1,9 % après + 1,4 % en 2015) en raison de la meilleure tenue de l'emploi salarié (+ 0,7 % après + 0,3 % en 2015), alors que la croissance du salaire moyen par tête (+ 1,2 %) est proche de celle de 2015 (+ 1,1 %). Les cotisations socia les progressent globalement en lien avec l'évolution de la masse salariale, celles à la charge des salariés augmentant plus vite (+ 3,0 %) que celles à la charge des employeurs (+ 1,2 %). Les revenus des entre- preneurs individuels augmentent de 1,7 % après + 1,4 % en 2015, alors qu'ils avaient baissé de 10 % entre 2008 et 2014.

Les revenus du patrimoine (constitués des

loyers réels et desloyers imputés, ainsi que des revenus financiers) sont quasi stables en 2016 (+ 0,1 % après + 0,4 % en 2015). Les loyers reçus par les ménages progressent au même rythme qu'en 2015 (+ 2,1 % après + 2,2 %), alors que les revenus nets financiers chutent de

3,2 %(après- 2,5 %en2015). Cettebaissetient

essentiellement à la forte diminution (pour la troisième année d'affilée) des revenus des place- ments en assurance-vie (- 6,5 %) alors que les dividendes perçus par les ménages ne baissent que légèrement (- 0,3 %).

Après avoir fortement augmenté en 2012

(+ 9,0 %), les impôts courantssur le revenu et le patrimoine poursuivent leur ralentissementen 2016 (+ 1,1 % après + 1,7 % en 2015 et

2014,+ 4,9 %en2013)enraisonnotamment

du renforcement de la décote d'impôt sur le revenu. Les prestations sociales reçues par les ména ges accélèrent légèrement (+ 1,8 %) après quatre années de ralentissement. Les dépenses d'indemnisation du chômage continuent de croître sous l'effet notamment d'une hausse du taux de couverture par l'assurance chômage.

En revanche, les prestations familiales se

replient, du fait d'une baisse de la natalité et de l'application en année pleine de la modulation des allocations familiales en fonction des reve nus. Le gel des pensions de retraite contient la progression des prestations vieillesse. Lesdépenses " pré-engagées »sont celles réalisées dans le cadre d'un contrat difficile ment renégociable à court terme (dépenses de logement ou de téléphonie par exemple).

Depuis 50 ans, leur part dans les dépenses de

consommation des ménages a doublé : ces dépenses représentent aujourd'hui près de

30 % du RDB des ménages. Le pouvoir

d'achat durevenu " arbitrable » des ménages augmente (+ 2,0 %) plus vite que le pouvoir d'achat du RDB pour la troisième année consécutive. En effet, les dépenses de consommation " pré-engagées » sont moins dynamiques que le RDB des ménages (+ 1,4 % contre + 1,7 %), notamment du fait de la baisse des prix des dépenses énergéti- ques dans les logements et du repli de la consommation en services financiers.

Le pouvoir d'achat est une grandeur macro-

économique. Pour approcher une mesure plus

individuelle, il faut tenir compte du nombre et de la composition des ménages en rapportant l'évolution du pouvoir d'achat à celle des unités de consommation(UC). Le pouvoir d'achat du RDB par UC progresse de 1,4 % et revient à son niveau de 2009.?

Lerevenu disponible brut des ménages(RDB) comprend les revenus d'activité (rémunérations des salariés et

revenu mixte) et les revenus du patrimoine, augmentés des prestations sociales hors transferts en nature et

diminués des impôts et cotisations sociales versés. L'évolution dupouvoir d'achat du RDBmesure l'évolution du

RDB, corrigée de l'évolution du prix des dépenses de consommation des ménages.

Revenu" arbitrable »desménages:différence entreleurrevenudisponible brutetlesdépensesdeconsommation

" pré-engagées »

Loyersimputés,unitésdeconsommation, dépensesdeconsommation " pré-engagées »:voirannexeGlossaire.

Définitions

Revenu disponible brut et pouvoir d'achat des ménages Insee Références, édition 2017 - Fiches - Cadrage économique149 1.2 Pouvoir d'achat du revenu disponible brut des ménages -3-113

2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015en points

Revenus nets d'activité

Revenus du patrimoineImpôts sur le revenu et le patrimoine Prestations sociales (en espèces)Autres transferts courantsPrix 2016

3. Contributions à l'évolution du pouvoir d'achat des ménages

Champ : France.

brut des ménages, les prix ayant une contribution de + 0,1 point.

Source : Insee, comptes nationaux, base 2010.

2012 2013 2014 2015 2016

Revenu disponible brut (en milliards d'euros) a 1 318,3 1 321,9 1 338,5 1 353,3 1 377,0 Dépenses de consommation " pré-engagées » b 379,1 386,9 387,1 393,9 399,5 Revenu " arbitrable » a - b 939,2 935,1 951,4 959,4 977,5

Évolutions (en %)

Du revenu disponible brut 0,5 0,3 1,3 1,1 1,7

Du revenu " arbitrable » - 0,3 - 0,4 1,7 0,8 1,9 De l'indice du prix de la dépense de consommation finale des ménages 1,4 0,6 0,1 0,3 - 0,1 De l'indice du prix de la dépense de consommation finale des ménages autre que " pré-engagée » 2,0 0,9 - 0,2 0,0 - 0,2 Du pouvoir d'achat du revenu disponible brut des ménages 1 - 0,9 - 0,4 1,1 0,8 1,8 Du pouvoir d'achat " arbitrable » des ménages 2 - 2,2 - 1,3 1,9 0,9 2,0 Du nombre d'unités de consommation 0,6 0,7 0,6 0,5 0,4 Du pouvoir d'achat du revenu disponible brut par unité de consommation 1 - 1,5 - 1,0 0,5 0,4 1,4 Du pouvoir d'achat " arbitrable » par unité de consommation 2 - 2,8 - 2,0 1,3 0,4 1,7 unité de consommation

1. L'évolution calculée au sens de la comptabilité nationale est déflatée à l'aide de l'indice du prix des dépenses de consommation finale des ménages.

2. L'évolution calculée est déflatée à l'aide de l'indice du prix des dépenses de consommation non " pré-engagées » des ménages.

Champ : France.

Source : Insee, comptes nationaux, base 2010.

En 2016Évolution en valeur

Montant

(en Md?)Part dans le revenu disponible brut (en %)(en %)

2015 2016

Rémunération des salariés 1 1 179,0 85,6 1,3 1,8 dont salaires et traitements bruts 862,1 62,6 1,5 2,0

Revenu mixte 2 121,9 8,9 1,4 1,8

dont entrepreneurs individuels 116,2 8,4 1,4 1,7

Revenu du patrimoine 3 283,8 20,6 0,4 0,1

Revenu primaire 4=1+2+3 1 584,8 115,1 1,1 1,5

Impôts sur le revenu et le patrimoine 5 - 218,7 - 15,9 1,7 1,1 Cotisations sociales salariés et non-salariés versées 6 - 154,4 - 11,2 1,6 2,2 dont cotisations sociales à la charge des salariés - 124,0 - 9,0 2,5 3,0 Cotisations sociales employeurs versées 7 - 316,9 - 23,0 0,7 1,2 Prestations sociales reçues en espèces 8 484,6 35,2 1,5 1,8 Solde des autres transferts courants (reçus moins versés) 9 - 2,5 - 0,2 n.s. n.s. Revenu disponible brut (RDB) (4+5+6+7+8+9) 1 377,0 100,0 1,1 1,7

2. Du revenu primaire au revenu disponible des ménages

Champ : France.

Note : la rémunération des salariés recouvre les salaires et traitements bruts et les cotisations sociales à la charge des employeurs.

Source : Insee, comptes nationaux, base 2010.

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