CHAPITRE 11 LES POLITIQUES CONJONCTURELLES
2 Les années 80 : de nouveaux principes pour les politiques conjoncturelles 2 1 Les politiques monétaristes 2 2 L’affirmation de politiques de règles 3 La crise des subprime : nouveautés ou réactualisation des débats en matière de politique conjoncturelle ? 3 1 Le retour des problématiques keynésiennes
Découverte 1 : les objectifs de la politique conjoncturelle
PARTIE 2 - LA MISE EN ŒUVRE DES POLITIQUES ECONOMIQUES Chapitre 2 – La politique conjoncturelle ø Découverte 3 : la rigueur budgétaire La France fait partie des pays d’Europe où les prélèvements obligatoires sont les plus élevés Mais contrairement à une idée reçue, ils ne servent pas à financer un Etat obèse
Les politiques macroéconomi ques : Leçons corrigées
conjoncturelles et les politiques structurelles Les politiques conjoncturelles visent à contrôler la demande globale en agissant à court terme sur une ou plusieurs de ses composantes (on en distingue quatre : la consommation, l’investissement, les dépenses publiques et une composante externe) Les politiques structurelles se préoccupent
La crise des subprime : nouveautés ou réactualisation des
3 2 La question des politiques monétaires 3 2 1 Les limites des politiques monétaires conventionnelles 3 2 2 La mise en œuvre de politiques non conventionnelles 3 2 3 L’interrogation sur les objectifs des banques centrales 3 3 Au delà de la crise , la question de la stagnation séculaire 14 Ch 11 - Les politiques conjoncturelles - diapo 4
INTRODUCTION AUX POLITIQUES éCONOMIQUES
Les politiques économiques conjoncturelles 5 Chapitre 1 Les objectifs de court terme 7 1 Les objectifs finaux 7 1 1 Réduire l’output gap : soutenir la croissance à court terme 7 1 2 Quasi plein-emploi et chômage naturel 9 2 Les objectifs intermédiaires 11 2 1 La stabilité des prix 11 2 2 L’équilibre externe 14 2 3 Les interdépendances
1 PARTIE IDENTIFIER LES PRINCIPALES POLITIQUES ÉCONOMIQUES ET
3ÈME PARTIE - IDENTIFIER LES PRINCIPALES POLITIQUES ÉCONOMIQUES ET LEURS OUTILS: POLITIQUES CONJONCTURELLES ET POLITIQUES STRUCTURELLES Lycée Jean Moulin d’Albertville Mission 1 –Expliquez en quoi consiste la politique budgétaire, et comment elle peut agir sur le niveau de l’activitééconomique par le biais de la
Les politiques économiques au Maroc de 1956 à 1983
1-Les politiques conjoncturelles au Maroc (1956-1983) • La politique économique est l’ensemble des objectifs fixés et des moyens prévus par l’Etat pour orienter la situation économique et réguler les déséquilibres économiques Conjoncturelle Structurelle Budgétaire Monétaire Et fiscale
Pistes de correction Khôlle: La stagnation séculaire
2A –Les politiques conjoncturelles •Situation de trappe à liquidité qui met en échec la politique monétaire (PM) conventionnelle (régulation du ti directeur
L2 Introduction à la politique macroéconomique Travaux
2 2 Les récessions : définition, causes et conséquences 5 3 Les politiques économiques conjoncturelles et structurelles 6 3 1 La politique budgétaire 6 3 2 La politique monétaire 6 3 3 Les politiques structurelles 7 4 Annexes 8 Annexe 1 : Fiche du cours 8 Annexe 2 : Organisation et évaluation de l’examen 9
Politiques économique : La régulation de l’activité économique
Chacune de ces politiques suppose la mise en œuv e de moyens d’action spécifiques répertoriés dans le tableau ci-dessous : Politiques économiques conjoncturelles Politiques économiques structurelles Les deux politiques conjoncturelles sont la politique budgétaire et la politique monétaire
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Les politiques
macroéconomi ques : Leçons corrigées Bertrand BLANCHETON Professeur de sciences économiques (Université Montesquieu Bordeaux IV) Référence : e-theque : 2003A0047T ISBN : 27496- 00715 © e-theque 2003 e-theque - 167 rue Jean Jaurès - 59264 Onnaing 1INTRODUCTION
La fin des oppositions de systèmes (avec l'effondrement des économies de type soviétique), l'intensification de la mondialisation de l'économie, le démantèlement d'une partie desprérogatives des Etats-Nations (via un double mouvement de décentralisation et d'intégration
régionale) semblent diminuer l'intérêt pour la macroéconomie et ses implications normatives.
L'internationalisation croissante des économies réduit en effet les marges de manoeuvre despolitiques conjoncturelles et contraint de plus en plus les politiques structurelles. L'intensification
de l'ouverture commerciale des économies rend théoriquement plus incertaine l'efficacité dusoutien budgétaire. L'amélioration de la qualité des anticipations et la suppression de certaines
rigidités atténuent la puissance de la politique monétaire alors la quête de la crédibilité passe pour
les Banques centrales par le maintien sans faille de la stabilité des prix, au détriment de l'activité
au moins sur la courte période. La très forte mobilité des capitaux rend plus vulnérables les
régimes de changes fixes et participe d'une forte volatilité des cours en régime de flottement. De
son côté, le " désengagement » de l'Etat rend presque caduque la politique salariale et des
revenus. Sur un plan structurel un raisonnement en termes d'attractivité de site et la recherche de
la compétitivité dans un environnement mondial plus concurrentiel va de paire avec un moins- disant fiscal et le renforcement des mécanismes d'incitations. L'individualisme progresse avec ledéveloppement de la flexibilité en particulier sur le marché du travail. Par ricochés, certaines
institutions emblématiques de l'Etat providence sont remises en cause (voir en France les débats
sur les retraites, la protection sociale...). Bref la mondialisation de l'économie neutraliserait les politiques macroéconomiques et lamacroéconomie serait appelée à retrouver la place étique qui était sienne lors de la première
mondialisation d'avant 1913. Pourtant dans les faits, la mobilisation des politiques budgétaire et
monétaire reste très forte partout dans le monde. Le Japon cherche depuis dix ans à sortir de la
déflation en maintenant des taux d'intérêt bas et surtout des déficits budgétaires massifs pour
tenter de générer des anticipations inflationnistes (ou atténuer les anticipations déflationnistes).
Les Etats-Unis ont répondu au retournement des années 2000/ 2001 par un 'policy mix' convergeant que l'on croyait 'd'un autre âge' : souplesse monétaire de la Fed et déficitsbudgétaires de l'équipe Bush. Au sein de l'Union Européenne des pressions sont exercées dans le
sens d'un plus grand activisme monétaire et d'un relâchement du Pacte de Stabilité et de Croissance afin de stabiliser le rythme de l'activité économique.Ces actions sont la manifestation d'une efficacité certaine des politiques conjoncturelles fondées
notamment sur la persistance d'un certain degré d'illusion monétaire et de certaines rigidités
nominales et réelles sur les marchés des biens et du travail.Sur le plan structurel le coût du travail est loin d'être le seul facteur de l'attractivité d'un site ; la
qualité des infrastructures, le niveau relatif de la recherche et de la formation jouent aussi un rôle
décisif. Les externalités autorisent voire commandent aux responsables politiques de ne passeulement naviguer les yeux rivés sur le " phare » du modèle de concurrence pure et parfaite.
A plus long terme la régionalisation des économies apparaît sur le plan théorique comme un
moyen de retrouver une plus grande efficacité des politiques macroéconomiques. Pour l'UnionEuropéenne par exemple le taux d'ouverture de l'entité est devenu assez faible, ce qui ouvre la
2voie à des actions de relance budgétaire potentiellement efficaces, l'absence d'objectif de change
restitue une certaine autonomie à la politique monétaire. La zone a les moyens de définir son
propre modèle de capitalisme (avec un arbitrage solidarité / mécanismes d'incitations différent de
celui du modèle anglo-saxon). Reste au préalable à boucler l'immense chantier des réformes
institutionnelles, ce qui à l'évidence éloigne l'horizon d'une véritable macroéconomie
européenne. C'est l'ensemble de ces enjeux que ce e-book se propose de restituer sous la formede leçons, de petites dissertations très structurées, sur des sujets de macroéconomie et de
politiques économiques. Sur chaque question, notre souci a été de proposer une synthèse de
références académiques, sans prétention à l'exhaustivité et sans chercher à éviter des répétitions
qui nous ont semblé, en définitive, pédagogiquement fondées. Chaque leçon peut ainsi être
étudiée indépendamment des autres, même si - bien entendu - elles se complètent les unes les
autres. L'ouvrage est plus particulièrement destiné aux étudiants de classes préparatoires
(Khagne, prépa capes et agrégation) soumis à l'exercice de la leçon d'économie, mais il a aussi
vocation à constituer une voie d'entrée pour l'apprentissage de la macroéconomie et des politiques macro-économiques pour les étudiants de sciences-po, les étudiants du " cycle de Licence » en Economie et Gestion ainsi qu'en AES.La démarche se déroule en quatre temps. La partie liminaire est consacrée à des rappels de
définitions et à une analyse des objectifs des politiques économiques. La deuxième partie plus
théorique est centrée sur les mécanismes et fait ressortir les termes de l'opposition analytique
entre néoclassiques et keynésiens ainsi que ses prolongements en matière de politiqueéconomique. La troisième partie aborde les instruments de politiques conjoncturelles et certaines
questions connexes comme la pertinence des normes d'équilibre budgétaire, l'autonomie de laBanque centrale ou la nature de la déflation. La quatrième partie évoque certaines contraintes qui
enserrent l'action des autorités car sur le champ étudié il convient de garder en mémoire le fait
qu'une même politique appliquée à des économies dont les structures sont différentes n'aura pas
les mêmes effets. 3SOMMAIRE
I. Définitions et objectifs.
1.1 Les politiques économiques, un essai de vue d'ensemble.
1.2 Les objectifs des politiques économiques.
1.3 Dans quelle mesure l'inflation est-elle un mal ?
Une analyse coûts avantages.
II. Fondements et mécanismes des politiques macro- économiques.2.1 Les fondements de l'analyse néoclassique.2 .2 La loi de Say.
2.3 Les hypothèses de la neutralité de la monnaie.
2.4 Les fondements de l'analyse keynésienne.
2.5 Le multiplicateur keynésien.
2.6 Quel(s) financement(s) pour les dépenses publiques ?
2.7 L'Etat peut-il toujours recourir à l'endettement pour se financer ?
III. Les instruments de politiques économiques
conjoncturelles3.1 La politique budgétaire.
3.2 Quels effets attendre de la réduction du déficit budgétaire ?
3.3 La pertinence des normes d'équilibre budgétaire.
3.4 Politique monétaire et croissance économique.
3.5 Comment affronter la déflation ?
3.6 L'autonomie de la Banque centrale se justifie-t-elle?
3.7 Le 'policy mix'.
IV. Les contraintes structurelles.4.1 La contrainte externe.4 .2 Les rigidités.
4.3. Enjeux du choix d'un régime de change.
4I. Définitions et objectifs
1.1. Les politiques économiques, un essai de vue d'ensemble
Les politiques économiques désignent l'ensemble des interventions des pouvoirs publics en vuede corriger des déséquilibres économiques jugés dommageables par une majorité de personnes au
sein de la société. La dimension politique concerne l'arbitrage à opérer le cas échéant entre les
grands objectifs de la politique économique (voir tableau ci dessous), le respect des préférences
de politiques économiques exprimées par l'opinion publique. On distingue traditionnellement deux types de politiques économiques : les politiquesconjoncturelles et les politiques structurelles. Les politiques conjoncturelles visent à contrôler la
demande globale en agissant à court terme sur une ou plusieurs de ses composantes (on en distingue quatre : la consommation, l'investissement, les dépenses publiques et une composante externe). Les politiques structurelles se préoccupent à plus long terme des conditions de fonctionnement des marchés (évolution de la structure de marché et modification du comportement des agents notamment). La leçon pourrait s'articuler autour de cette opposition conjoncturel/ structurel, mais nouspréférons revenir dans une première partie sur la description des objectifs, des instruments et plus
largement des grands principes de la politique économique avant d'introduire dans une secondepartie la problématique de la réduction des marges de manoeuvre de la politique économique du
fait de la montée de la contrainte externe et de l'avancée des idées libérales : cette perte de
contrôle se traduit par un certain recul des politiques conjoncturelles et par le caractère de plus en
plus contraint et orienté des politiques structurelles.1.) Caractérisation des politiques économiquesNous allons d'abord proposer une vue d'ensemble des politiques économiques avant de revenir
sur les principes de Tinbergen et Mundell. A)Le triptyque : objectifs, instruments, contraintes La politique macro-économique peut se définir en référence aux concepts d'objectifs, d'instruments et de structures. 5Objectifs Instruments StructuresCroissance Politique budgétaire Progrès technique
Dynamique intersectorielle...
Emploi Politique salariale Population
Stabilité des prix Politique monétaire Degré de flexibilité des prix
Et d'illusion monétaire
Equilibre externe Politique de change Contrainte externe
Les objectifs doivent être bien spécifiés. Les autorités recherchent une croissance effective égale
à la croissance potentielle (qui correspond à une pleine utilisation des facteurs). Le plein emploi
n'existe pas, les monétaristes vont viser le NAIRU (taux de chômage dont l'effet est neutre sur
l'inflation) qui correspond, selon eux, à un taux de chômage naturel d'équilibre (en équilibre
général), les néo-keynésiens peuvent être plus ambitieux. Il n'y a pas de consensus - non plus -
sur le concept de stabilité des prix : Friedman, Feldstein sachant que l'inflation est un mal et que
la courbe de Phillips est verticale à long terme recommandent une inflation nulle, Akerlof,Krugman, Blanchard situent le taux optimal plutôt entre 3 et 4% (en raison - pour caricaturer - de
la rigidité à la baisse des salaires nominaux). L'équilibre externe peut renvoyer à l'équilibre sur le
moyen terme du solde courant et plus sûrement à la soutenabilité des déficits courants.Les quatre objectifs ne peuvent pas être placés rigoureusement sur le même plan. La croissance et
l'emploi (objectifs d'activité) doivent être recherchés en priorité. Les deux autres objectifs
(objectifs de stabilité) ont une signification plus relative, ils sont censés créer le meilleur
environnement pour le développement de l'activité sur le long terme.B)les grands principes
Le principe de cohérence de Tinbergen : pour qu'un ensemble d'objectifs fixes puisse êtreréalisés il convient que le nombre d'instruments indépendants soit égal au nombre d'objectifs
fixes indépendants. Les fortes exigences de ce principe en font un simple point de repère pour les
autorités. Le principe d'efficience de Mundell : chaque instrument doit être affecté à l'objectif
pour lequel il a la plus grande efficacité relative. Dans le tableau ci-dessus la situation théorique fait apparaître autant d'instruments que d'objectifs et chaque instrument est rapproché (sur la même ligne) de l'objectif qu'il serthabituellement. La désuétude des politiques salariale et de change conduit à une situation où les
autorités ne disposent plus que des armes budgétaire et monétaire qu'elles affectent respectivement à l'activité et à la stabilité. 62.) Réduction des marges de manoeuvre de la politique économique
Tant au niveau conjoncturel que structurel, les marges de manoeuvre des états paraissent de plus en plus ténues. A)les politiques économiques conjoncturelles sur " pilote automatique » La politique budgétaire recouvre l'utilisation des recettes et des dépenses de l'Etat ou desadministrations publiques afin de réguler l'activité économique, c'est-à-dire d'opérer une
stabilisation conjoncturelle, de lisser les cycles. L'ouverture commerciale et financière deséconomies contraint l'utilisation de cette arme, les relances isolées profitent aux importations (cas
de la France en 19811982), des normes d'équilibre doivent être respectées par les Etats (le3% du Pacte de Stabilité et de Croissance d'Amsterdam 1997).
La politique monétaire consiste à contrôler la quantité du bien économique monnaie à la
disposition du public. Depuis le début des années 1980, la recherche de la stabilité des prix s'est
imposée comme un élément à part entière de la contrainte externe. La BCE a pour unique objectif
un taux d'inflation voisin de 2% sur le moyen terme, si d'aventure elle ne respectait pas cettenorme arbitraire, sa crédibilité serait entamée et les capitaux fuiraient la zone. Des règles de
politiques monétaires existent (citons la règle de Taylor : la variation du taux directeur de la
Banque centrale serait " commandée » par le différentiel entre croissance effective et croissance
potentielle et par l'écart entre l'inflation constatée et l'objectif d'inflation).La politique salariale concerne la capacité d'action des pouvoirs publics sur les rémunérations
réelles des travailleurs essentiellement à travers des stratégies d'indexation plus ou moins forte
des salaires nominaux sur la progression du niveau général des prix. En France aujourd'hui les autorités n'agissent vraiment que par le canal du SMIC (salaire minimum interprofessionnel de croissance), le désengagement de l'Etat va de pair avec un relatif abandon de cet instrument. La politique de change vise notamment à influencer la valeur externe de la monnaie afin enprincipe d'équilibrer la balance courante. Il faut opérer une distinction entre la dépréciation
(baisse du cours de change en régime de flottement) et la dévaluation (définition d'une nouvelle
parité en change fixe). Les conséquences potentiellement inflationnistes des dévaluations expliquent largement le recul de ces pratiques. B)les politiques économiques structurelles : plus de concurrence et de flexibilité La priorité accordée à la lutte contre l'inflation et l'intensification de la concurrence internationale ont d'importantes conséquences en matière de politique structurelle. Comme lastructure de marché assurant le prix le plus bas (et aussi en théorie une allocation optimale des
ressources) est la concurrence pure et parfaite, depuis deux décennies les réformes structurelles
visent à introduire concurrence et flexibilité sur les marchés. Dans le cas de la France, la tendance
est assez nette sur les marchés monétaires et financiers (loi bancaire de 1984, décloisonnement et
déréglementation du système financier) et sur le marché du travail (suppression de l'autorisation
7 administrative de licenciement par la gouvernement Chirac, développement de l'intérim, dutemps partiel, des CDD, annualisation du temps de travail....). Le désengagement de l'Etat (déclin
du dirigisme industriel, privatisations, recul de l'Etat providence) constitue une illustration supplémentaire de cette contrainte structurelle forte. Conclusion : pour retrouver des marges de manoeuvre de politique économique, il convient derepenser l'échelle de la régulation (sans doute dans le cadre des nouveaux espaces régionaux).
1.2. Les objectifs des politiques économiques
Les objectifs des politiques économiques sont bien connus grâce en particulier à la métaphore du
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