3 Le texte de L'Ecclésiaste cité par Schopenhauer au livre IV [p supprimer la souffrance consubstantielle au désir de supprimer le désir
Thèse de Schopenhauer : Ce que l'on ressent c'est uniquement le désir ou la souffrance jamais la satisfaction du désir On ne peut pas faire d'expérience
qu'il signale qu'il prépare en ce moment « un long commentaire des textes de Scho- Houellebecq / Schopenhauer : Souffrance et désir gigognes
Désir et bonheur Livre III §38 « Tout vouloir procède d'un besoin c'est-à-dire d'une privation c'est-à-dire d'une souffrance La satisfaction y met fin
C'est cette définition première du bonheur qui montre que la simple le désir tout puissant responsable de la souffrance et du malheur des hommes la
Exemple de plan Voici un découpage possible du texte de Schopenhauer vu en cours A La satisfaction disparaît en même temps que le désir
(de vivre mais aussi désir d'une foule de choses) Or le désir nous condamne à la souffrance : d'un côté on ne désire que ce que l'on n'a pas
29 mai 2013 · SCHOPENHAUER LA SOUFFRANCE EST-ELLE LE FOND DE TOUTE VIE ? À propos de l'explication de texte au baccalauréat Expliquez le texte suivant :
souffrance et d’une pure aliénation : le désir est le signe d’une condition misérable qui s’impose à l’homme comme une volonté inconsciente sans délibération qui le détermine malgré lui et le livre à cette poursuite infinie Or peut-on comprendre ainsi le désir comme une pure négation ? Doit-on
Le texte s’ouvre sur l’assimilation du désir à la souffrance et présente l’hypothèse que la satisfaction peut mettre fin à cette souffrance. La deuxième partie du texte présente une série d’arguments visant à réfuter cette hypothèse et à montrer que l’existence est inévitablement malheureuse. Dans une troisième et dernière partie, Schopenhauer sugg...
1) L’assimilation du désir à la souffrance
C’est ce qu’il appelle « l’abolition de la volonté ». Pour échapper à la souffrance du désir, en effet, on peut envisager deux possibilités : la première est tout simplement la satisfaction de ce désir, qui doit faire cesser la souffrance. Mais, nous venons de le voir dans ce texte, cette solution est pour Schopenhauer une illusion.
Pour bien comprendre l’intérêt de la question, il faut saisir ses enjeux : la philosophie de Schopenhauer nie que le bonheur soit véritablement accessible ; elle considère que le désir est inextinguible et s’assimile toujours à la souffrance.
Nous avons là un résumé très ramassé de la théorie du cycle du désir de Schopenhauer : d’abord, le désir est assimilé à la souffrance, raison pour laquelle on cherche à s’en libérer par la satisfaction.
La thèse défendue par Schopenhauer est que la satisfaction de nos désirs est insuffisante au bonheur ; par conséquent, la condition de l’homme est inévitablement malheureuse. Le texte s’ouvre sur l’assimilation du désir à la souffrance et présente l’hypothèse que la satisfaction peut mettre fin à cette souffrance.