Les Animaux malades de la peste. Un mal qui répand la terreur. Mal que le Ciel en sa fureur. Inventa pour punir les crimes de la terre
Lecture analytique de la fable de La Fontaine « Les animaux malades de la peste ». Introduction. Jean de la fontaine célèbre pour ses fables
Séance 3 : étude de texte (La Fontaine Les animaux malades de la peste). 1. Question de lecture : comment le récit (1-62) illustre-t-il la morale (63-64) ?
Fables choisies / La Fontaine. SOMMAIRE. Séance 1 › « Les Animaux malades de la Peste » p. 2. Lecture analytique (2de). Séance 2 › « Le Rat et l'Huître ».
Symbolisme animal : le lion évoque le roi. - Métonymie : le « Ciel » représente Dieu. Conception chrétienne de la justice. (les maladies viennent des péchés
Ce « tableau » vise non à fixer un cadre rigide ou établir une « grille »
est l'observateur critique de la cour avec ses Fables . Présentation du passage étudié : La fable « les animaux malades de la peste » appartient au ...
Les animaux malades de la peste. Travail. « Travaillez prenez de la peine : C'est le fonds qui manque le moins. » […] « Mais le père fut sage.
Lecture analytique des « Animaux malades de la Peste » de Jean de La Fontaine. Fables
Amsterdam
Les Animaux malades de la peste Un mal qui répand la terreur Mal que le Ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre La Peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom) Capable d'enrichir en un jour l'Achéron Faisait aux animaux la guerre Ils ne mouraient pas tous mais tous étaient frappés : On n'en voyait point d'occupés
LES ANIMAUX MALADES DE LA PESTE Un mal qui répand la terreur Mal que le Ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom) Capable d'enrichir en un jour l'Achéron Faisait aux animaux la guerre Ils ne mouraient pas tous mais tous étaient frappés ; On n'en voyait point d'occupés
A – La dramatisation du mal
« Les animaux malades de la peste » est une fable de Jean de La Fontaine. Elle est extraite du livre VII et paraît pour la première fois en 1678. Le moraliste classique y met en évidence les injustices sociales qui règnent à l’époque de Louis XIV. Faisait aux animaux la guerre. Plus d’amour, partant plus de joie.
Un mal qui répand la terreur, Mal que le Ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La Peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom) Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre.
En fin connaisseur de la Cour, La Fontaine met en scène dans « Les animaux malades de la peste » l’hypocrisie du roi et des courtisans. La fable se déroule comme une parodie de procès puisque c’est l’âne, le moins coupable et le plus faible, qui est livré à la vindicte populaire. [Synthèse de l’analyse]
La peste présentée comme une punition divine est alors combattue par des prescriptions religieuses. Le sacrifice d’un bouc-émissaire est recherché au nom encore de la religion, qui logiquement le réprouve. Et le funeste jugement tombe sur l’âne, le plus faible, afin de toujours protéger les puissants, la cour, les aristocrates.