-L'état de liberté serait tributaire d'une opération de la conscience par laquelle Le libre arbitre
La conscience d'être libre peut-elle être illusoire ? – La conscience de soi rend-elle libre ? – La conscience est-elle ce qui me rend libre ?
On ne peut identifier la conscience de soi (self-awareness) avec la En effet l'homme dispose d'une « aptitude aux fins » qui rend possible la culture.
La liberté de l'artiste rend-elle impossible toute définition de l'art ? ? L'art et la nature La conscience de soi rend-elle libre ?
loppait à partir de l'acte originaire de la conscience de soi une seco qu'elle s'identifie à ce qu'il y a de plus libre
Oct 21 2009 La question éthique relève-t-elle d'un parangon de la conscience morale ... soi et les autres rend impossible la domination machiste ou ...
de la libre subjectivité comme liberté du mal; elle exhibe la convergence entre l'autobiographie et l'aveu des fautes entre la conscience de soi et la.
Prendre conscience du caractère néfaste d'un acte commis librement et accepter la punition qui en découle rationnellement seraient donc une forme de liberté
«universelle» et «concrète») rend compte de l'identité des hommes et elle la subjectivité prend conscience de soi comme valeur suprême et.
conscience de soi car la compétence philosophique consiste dans la capacité dont elle agit dans la sphère du libre arbitre
s’agisse ici de dire que le fait d’avoir conscience ou de prendre conscience de quelque chose rend (ou non) libre -Le sujet ne dit pas si « conscience » s’oppose à « inconscient » ou à « non-conscience » En définitive si l’on prend la peine de dire de quoi on parle il semble possible d’accepter de
semble t-il une conscience minimum : conscience de soi conscience du monde qui nous entoure et en particulier de l’autre et des autres conscience des conséquences et de la nécessité de l’action humaine que ce soit dans le choix – le libre arbitre – ou dans l’action engagée sous toutes ses formes – politique révolutionnaire
Prendre conscience, c’est prendre conscience de son désir de liberté. Ainsi, la conscience humaine, pouvoir réfléchissant, pouvoir de décision, et puissance de détermination est de soi, contraignante. Mais cette contrainte est paradoxalement garantie de l’exercice de notre liberté. Liberté d’agir, de faire ou de penser.
« Conscience, conscience… Instinct divin ! », ainsi commence l’une des pages les plus exaltées et sans doute les plus exaltantes de la littérature philosophique. Rousseau s’embrasant littéralement à l’évocation de la conscience en perçoit l’importance dans la vie de l’homme.
De même « prise de conscience » et « réflexivité » ne sont pas synonymes : la prise de conscience implique un faisceau de lumière sur une zone d’ombre de l’action ; la réflexivité implique un traitement de cette prise de conscience en vue d’une action à venir. une opération : « rendre » (au sens de « faire devenir »)
Idée directrice : la prise de conscience individuelle peut conduire à construire une autonomie, mais elle ne garantit pas contre le sentiment illusoire d’absence de contrainte ; elle ne peut donc être séparée de conditions individuelles et collectives d’exercice de la conscience.