15. maj 2019 Une loi organique détermine le statut des anciens Présidents de la République notamment en ce qui concerne leur rémunération et leur sécurité.
https://www.ilo.org/dyn/natlex/docs/ELECTRONIC/87885/100324/F1780692018/Madagascar
Une loi organique détermine le statut des anciens présidents de l'Assemblée nationale et du Sénat notamment
Congrès sous la IVe République). Les parlemen- taires élisent à la majorité absolue à la tribune et par appel nominal le Président.
Avant son entrée en fonction le Président de la République
4. feb. 2016 avec un Président de la République élu au suffrage universel direct masculin pour ... 67 ans pour les deux Présidents de la IVe République.
27. sep. 1992 TITRE IV - DU POUVOIR EXECUTIF. SOUS-TITRE I : DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE. Art. 58 : Le Président de la République est le Chef de l'Etat.
64 : Avant son entrée en fonction le Président de la République prête serment devant la Cour Constitutionnelle réunie en audience solennelle en ces termes : "
21. dec. 2017 Président de l'Assemblée nationale. Secrétaires de séance : ? Monsieur Ahmed Aziz DIALLO. Quatrième Secrétaire parlementaire.
Les archives des conseils et comités présidés par le président de la République sont également à des degrés divers
Selon la nouvelle Constitution, le président de la République est élu par l'ensemble des députés et conseillers de la République. En janvier 1947, c'est Vincent Auriol qui est porté au pouvoir par le vote commun des communistes et des socialistes.
Le traité de Rome instaure la Communauté économique européenne (CEE). La guerre d'Algérie provoque l'adoption de la constitution de la Ve République. La Quatrième République, ou IVe République, est le régime républicain en vigueur en France du 27 octobre 1946 au 4 octobre 1958.
Article 44. - Les membres des familles ayant régné sur la France sont inéligibles à la Présidence de la République. Article 45. - Au début de chaque législature, le président de la République, après les consultations d'usage, désigne le président du Conseil.
D'emblée, Vincent Auriol refuse d'être un "président-soliveau" dans la tradition de la IIIe République. Mais le premier président de la IVe République n'entend pas pour autant être un "président personnel" ; il conçoit son rôle comme celui d'une "magistrature morale", qui dispose d'un pouvoir de conseil, d'avertissement, de conciliation.