Sujet : Comment les sociétés où s'affirme le primat de l'individu parviennent-elles à créer du lien social ? Le programme officiel : Sociologie. 2. Intégration
30-Mar-2013 Comment les sociétés où s'affirme le primat de l'individu parviennent-?elles à créer du lien social ? (France métropolitaine 1/3 temps 2013).
30-Mar-2013 (Axe 1) Comment les sociétés où s'affirme le primat de l'individu parviennent-elles à créer du lien social ?
30-Mar-2013 (Axe 1) Comment les sociétés où s'affirme le primat de l'individu parviennent-elles à créer du lien social ?
SOCIETES OU S'AFFIRME LE PRIMAT DE. L'INDIVIDU ? Acquis de première : socialisation sociabilité
(Axe 1) Comment les sociétés où s'affirme le primat de l'individu parviennent-elles à créer du lien social ? - (Axe 1 & 2) Y a-t-il une remise en cause de
Comment les sociétés où s'affirme le primat de l'individu parviennent-elles à créer du lien social ? (France métropolitaine 2013).
1- Comment les sociétés où s'affirme le primat de l'individu parviennent-elles à créer du lien social ? ? EC3. ? Dissertation. I) Via la famille.
Comment les sociétés où s'affirme le primat de l'individu parviennent-elles à créer du lien social ? (France métropolitaine 2013).
liens logiques entre elles. 5) Comment les sociétés où s'affirme le primat de l'individu parviennent-elles à créer du lien social ?
II Dans les sociétés où le primat de l'individu domine des institutions qui évoluent constamment continuent de créer du lien et travail malgré leur évolution ontinuent à réer du lien soial B) et l'Etat Providen e permet une autre forme de solidarité associée à l'individualisme traditionnelles aux sociétés où domine le
reconnaissance de l’individu est un élément central du lien social II Dans les sociétés où le primat de l’individu domine les instances d’intégration évoluent mais restent source de lien social (solidarité) A Des individus plus autonomes et interdépendants - Division du travail : quand le lien
Le lien social désigne l'ensemble de relations entre les individus et les groupes au sein d'une collectivité qui assurent la cohésion de la collectivité et l'intégration des individus dans cette collectivité. L'intégration sociale est la situation d'un individu ou d'un groupe au sein d'une collectivité plus large. C'est la capacité d'un individu ou...
À la fin du XIXe siècle, la sociologie se constitue en tant que discipline scientifique avec pour objectif d'établir une connaissance scientifique du social. La discipline naît de l'étude, par plusieurs penseurs et chercheurs, des bouleversements liés à la modernité, notamment en ce qui concerne le lien social. La révolution industrielle a introdui...
Dans son ouvrage majeur De la division du travail social, Durkheim montre que les sociétés modernes se différencient des sociétés traditionnelles par l'existence d'une division technique du travail très forte entre les membres de la société. Il souligne que la division du travail a non seulement une fonction économique (c'est ce qu'a montré Adam Sm...
La division du travail produit une forme de lien social (Durkheim utilise le terme de "solidarité" pour le désigner) entre les agents, puisqu'ils dépendent plus les uns des autres que lorsque chacun peut produire tout ce dont il a besoin (comme dans les tribus de chasseurs-cueilleurs).
Durkheim s'oppose cependant aux thèses qui voient dans la modernité une montée de l'individualisme contre la collectivité et une disparition du lien social. Pour lui, celui-ci change de forme, mais n'est pas affaibli dans les sociétés modernes. Au contraire, la division du travail suscite une nouvelle forme de solidarité nécessaire pour assurer la ...
La solidarité organique est caractéristique des sociétés modernes, marquées et fondées sur la primauté de la division du travail. Les individus ne sont plus liés par leurs ressemblances, mais par leurs différences. L'ordre social ne repose plus sur une uniformité mécanique mais sur l'articulation organique des individus dont les rôles sont à la foi...
La solidarité organique repose donc sur la différenciation des tâches et des individus. Les individus sont différents et le poids de la conscience collective est faible : chacun a une plus grande marge de liberté pour penser et agir à sa guise. Les individus sont liés les uns aux autres parce qu'ils exercent des rôles et fonctions complémentaires a...
Dans les sociétés traditionnelles, la socialisation se déroule en grande partie au sein du groupe familial ou de groupes analogues, au sein desquels les individus passent la plus grande partie de leur vie et qui contribuent pour une large part à la définition de leur identité sociale.
Depuis les années 1970, la famille se transforme. Le nombre de mariages recule, alors que le taux de divorce augmente. De plus en plus de couples vivent sans être mariés et ont des enfants hors-mariage. Les normes familiales se diversifient : l'État et la société reconnaissent désormais les familles monoparentales, recomposées et homoparentales. Le...
Un second facteur des mutations familiales est la montée de l'individualisme, qui a transformé les règles sociales. L'épanouissement personnel a pris de plus en plus d'importance aux yeux des individus, ce qui peut par exemple expliquer que l'on divorce aujourd'hui plus facilement lorsque l'on juge un mariage insatisfaisant. Ce facteur peut être mi...
Par ailleurs, malgré l'affaiblissement relatif de ce rôle intégrateur, on constate une persistance de l'entraide, et notamment de l'entraide financière, au sein de la famille. Elle conserve ainsi sur certains points une importance déterminante, et cela peut s'observer dans la reproduction sociale qu'elle favorise et qui demeure bien présente.
L'école contribue à la cohésion sociale et est la seconde instance de socialisation primaire. L'école diffuse des savoirs et des qualifications qui permettent aux individus de trouver une place dans la division du travail (intégration professionnelle), mais elle est aussi une instance socialisatrice, car elle transmet des normes et des valeurs qui ...
Le lien social désigne les relations aux autres individus ainsi que la place qu’on occupe au sein de la société. L’interaction entre les différents individus d’une même société permet la cohésion sociale. La division sociale du travail entraîne une évolution importante de la société et des formes de solidarité.
Bilan : Dans la société moderne, l’individu appartient à divers « cercles sociaux » vers lesquels ses aspirations et ses intérêts le conduisent. 2. … et tend à rendre les liens sociaux plus personnels, plus électifs et plus contractuels. a. L’individualisme, moteur de l’intégration… b. … l’individu acteur de nouvelles formes d’intégration.
Cet accroissement de l'autonomie transforme le lien social plus qu'il ne le rompt. L'individualisme peut certes engendrer des retraits de la part des individus, voire de l'isolement vis-à-vis de la collectivité, mais il peut aussi être créateur de lien social, en reposant non plus sur la contrainte mais sur le libre choix.
De nouveaux rapports sociaux, économiques et politiques bouleversent progressivement l’ordre social traditionnel : - affaiblissement de l’emprise de la religion sur les représentations, - baisse de l’influence de la famille sur les destinées, - recul du pouvoir des autorités traditionnelles sur les individus.