Adaptation d'un texte électronique provenant de la Bibliothèque Nationale de France : http://www.bnf.fr/. Contes cruels ; Nouveaux contes cruels.
écrit des textes qui ne correspondent à rien de génériquement répertorié recueil : « Villiers de 1' Isle- Adam publie des Contes cruels qui ressem-.
L'Isle-Adam dans ses Contes cruels présentent une grande diversité de thèmes. en outre la possibilité d'un groupement de textes autour.
sorte que quand il la reprit en 1883 dans les Contes cruels
https://www.jstor.org/stable/40521641
1 Villiers de l'Isle-Adam "L'Inconnue" dans les Contes cruels (Paris: Librairie Jose Corti
contes de Villiers relatifs à la guillotine diffère notablement du texte original. les Contes Cruels Le Convive des dernières fêtes
TEXTE. J'allais m'endormir. Trois petits coups secs impératifs
Car Villiers de l'Isle-Adam est le seul écrivain français du nXème Cruels" puis IILes NouV'eaux Contes· Cruels". ont connu un succ~s mé:bité.
23.11.2009 44 Bertrand Vibert « Villiers de l'Isle-Adam et la poétique de la nouvelle ou comment lire les Contes cruels ? »
l'éprouver qu'Eve à manger le fruit divin de l'Arbre de la Vie De ce jour tous ses devoirs furent oubliés Tout alla sans ordre et à la débandade Lorsqu'une fillette a l'amour en tête va te faire lanlaire ! Contes cruels ; Nouveaux contes cruels Les demoiselles de Bienfilâtre 7
Ses Contes cruels (1883) sont le chef-d'œuvre de Villiers de l'Isle-Adam (1838-1889), dramaturge et nouvelliste pratiquant avec un égal bonheur chronique réaliste et surnaturel, angoisse et humour noir, fantastique et finesse intellectuelle.
L’habitude prise par le jeune public de lire ou écouter des contes lui donne peu à peu le goût de la grande littérature. Les enseignants utilisent de plus en plus le conte comme outil didactique. Ils s’en servent pour créer un moment de détente dans la classe, pour illustrer ou éclaircir une leçon de façon métaphorique.
« Il ne faut pas considérer les contes comme de la littérature enfantine ou presque exclusivement destinée aux petits. S’ils véhiculent de l’enfance, c’est une enfance qui concerne tout le monde et à tous moments. Si les contes peuvent être dits enfantins c’est parce qu’ils relèvent en chacun de nous (…) cet espace de rêverie (…) 84».
Mais le merveilleux n’est pas l’unique objet d’attention, l’intérêt des contes réside aussi dans le fait que cette réalité merveilleuse côtoie un univers réaliste et vraisemblable qui permet à l’enfant de se situer dans l’espace et de donner de la crédibilité aux récits extraordinaires.