STRATEGIE DE COMMUNICATION
Relations publiques (DCRP) de l'Assemblée nationale du Burkina est aujourd'hui logée au sein des services de la présidence de l'institution.
seminaire comm Strategie
REGLEMENT INTERIEUR
Les organes de l'Assemblée nationale sont : 1. l'Assemblée plénière ;. 2. le Bureau ;. 3. les Commissions ;. 4. les Groupes parlementaires
Congo, Dem.Rep. Standing Order of Parliament fr
Discours devant l'Assemblée Nationale du Niger
25 abr 2017 Monsieur le Président de l'Assemblée Nationale ... par cette invitation
OTP Speech Fra
N° 5143 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE RÉSOLUTION
2 mar 2022 horreurs vécues par la population civile au Zaïre aujourd'hui devenu. République démocratique du Congo (RDC) où presque chaque individu a.
l b proposition resolution
« Le maintien de l'ordre au regard des règles de déontologie » —
1 dic 2017 qui est celui dans lequel s'exerce aujourd'hui l'ordre public. ... représentants de la police et de la gendarmerie nationales ...
Rapport MO
Discours du Président de l'Assemblée Nationale de RDCOlivier
Aujourd'hui encore la RD Congo affiche le triste privilège de plus de 3 millions de déplacés internes
?sequence=
N° 5027 ASSEMBLÉE NATIONALE
9 feb 2022 La Chine apparaît aujourd'hui comme le principal adversaire des ... nettement plus importante : 57 % pour Djibouti 45 % pour la RDC et pour.
l b rapport information
RDC : 50 femmes (103%) siègent à l'Assemblée nationale
103% dans la nouvelle Assemblée nationale. Avec ce ré- jeune députée de la RDC ... elles se réjouissent aujourd'hui de voir leur effectif revu.
jdc elections serie ii ndeg
N° 4038 ASSEMBLÉE NATIONALE
20 sept 2016 distance de plus en plus grande et aujourd'hui excessive
r ti
Le droit de pétition aujourd'hui Tout citoyen ou collectif de citoyens
Tout citoyen ou collectif de citoyens peut adresser une pétition à l'Assemblée nationale au Sénat
Petition et referendum
______
ASSEMBLÉE NATIONALE
CONSTITUTION
DU 4OCTOBRE
1958QUATORZIÈME
LÉGISLATURE
Enregistré
laPrésidence
de l'Assemblée nationale le 20 septembre 2016RAPPORT
FAITAU NOM DE LA COMMISSION D'ENQUÊTE sur les
conditions d'abattage des animaux de boucherie dans les abattoirs françaisPrésident
M. Olivier FALORNI
Rapporteur
M. Jean-Yves CAULLET
Députés
TOME I
La commission d'enquête sur les conditions d'abattage des animaux de boucherie dans les abattoirs français est composée de : M. Olivier Falorni, président ; M. Jean-Yves Caullet, rapporteur ; Mmes Françoise Dubois, MM. François Rochebloine, Fabrice Verdier et Philippe Vitel, vice-présidents ; Mme Laurence Abeille, MM. André Chassaigne, Guillaume Chevrollier et Mme Annick Le Loch, secrétaires ; M. Élie Aboud, Mme Sylviane Alaux, MM. Jean-Luc Bleunven, Christophe Bouillon, Mmes Valérie Boyer, Isabelle Bruneau, MM. Yves Censi, Yves Daniel, Nicolas Dhuicq, William Dumas, Mme Geneviève Gaillard, MM. Jacques Lamblin, Thierry Lazaro, Philippe Le Ray, Pierre Morel-À-L'Huissier, Hervé Pellois, François Pupponi, Alain Rodet, Arnaud Viala etMme Paola Zanetti.
- 3 -SOMMAIRE
___ PagesAVANT-PROPOS DU PRÉSIDENT ....................................................................... 13
INTRODUCTION ........................................................................................................... 17
PREMIÈRE PARTIE : LA " MORT CACHÉE » DANS LESABATTOIRS SE HEURTE À LA PRÉOCCUPATION DES
FRANÇAIS POUR LE BIEN-ÊTRE ANIMAL
..................................................... 19 I. UNE " MORT CACHÉE » : ÉCARTER DE LA CITÉ LA MORT DESANIMAUX ....................................................................................................................... 19
A. L'HISTOIRE DES ABATTOIRS ............................................................................. 20
1. La création des abattoirs au début du XIX
e siècle .................................................. 202. La généralisation et l'occultation des abattoirs ....................................................... 21
B. DES " BOÎTES NOIRES » QUI BRISENT LE LIEN ENTRE L'ANIMAL ETLA VIANDE ............................................................................................................... 22
1. L'extrême opacité des abattoirs .............................................................................. 23
2. Le lien animal-viande ............................................................................................. 24
II. ÉTAT DES LIEUX DES ABATTOIRS FRANÇAIS : DIVERSITÉ DES OUTILS, RÉALITÉ DES DYSFONCTIONNEMENTS ............................................ 27 A. DES ABATTOIRS LOCAUX MULTI-ESPÈCES AUX GÉANTSINDUSTRIELS SPÉCIALISÉS .............................................................................. 27
1. Le poids des abattoirs français ................................................................................ 27
a. Une baisse des tonnages abattus ........................................................................... 27
b. Une activité difficilement rentable ....................................................................... 29
2. Un maillage territorial en déclin, une concentration industrielle en progression ... 31
a. Le déclin des abattoirs publics locaux : un réseau à préserver ............................... 32
b. Le dynamisme des abattoirs commerciaux et coopératifs ..................................... 34
- 4 -B. LE MANQUE D'INVESTISSEMENTS, COROLLAIRE DES
DYSFONCTIONNEMENTS ................................................................................... 35
1. Des dysfonctionnements notables ........................................................................... 35
a. La procédure d'agrément ..................................................................................... 36
b. Une classification avant tout sanitaire .................................................................. 37
c. Les récents contrôles ministériels ont révélé d'indiscutables dysfonctionnements ............................................................................................ 392. Des sous-investissements inquiétants ..................................................................... 41
III. UNE SENSIBILITÉ GRANDISSANTE DES FRANÇAIS AU BIEN-ÊTREANIMAL .......................................................................................................................... 45
A. UNE DOUBLE PRISE DE CONSCIENCE DES CITOYENS ET DESCONSOMMATEURS .............................................................................................. 45
1. La mobilisation des citoyens français et européens ................................................ 45
a. L'intérêt grandissant des citoyens français pour le bien-être des animaux d'élevage............................................................................................................ 45
b. L'implication croissante des citoyens en matière de bien-être des animaux .......... 47c. Une prise de conscience européenne .................................................................... 48
2. L'information, vecteur de la consommation ........................................................... 49
a. L'attachement des consommateurs français à l'étiquetage .................................... 49
b. Un attachement partagé par une majorité des consommateurs européens .............. 50 B. LA MOBILISATION DES ÉLEVEURS ET DES POUVOIRS PUBLICS .......... 511. Les revendications des éleveurs .............................................................................. 51
2. Les actions des pouvoirs publics............................................................................. 53
a. La reconnaissance dans le code civil de la sensibilité des animaux ....................... 53
b. Une volonté gouvernementale d'actions en faveur du bien-être animal ................. 54 DEUXIÈME PARTIE : UNE RÉGLEMENTATION QUI DOIT ÊTREAMÉLIORÉE
................................................................................................................... 57
I. RELATIVEMENT RÉCENTE, LA RÉGLEMENTATION EN MATIÈRE DE PROTECTION ANIMALE EN ABATTOIRS DOIT ÊTRE AMÉLIORÉE ............. 57 A. AVANT L'ABATTOIR : L'IMPORTANCE DU TRANSPORT DESANIMAUX ................................................................................................................. 59
1. De l'élevage à l'abattoir : l'étape du transport ........................................................ 59
a. Le souci de l'élevage ........................................................................................... 59
b. L'importance du transport .................................................................................... 60
2. Des conditions de transport encadrées .................................................................... 61
a. Les modalités de transport .................................................................................... 61
b. La durée du transport ........................................................................................... 61
- 5 -3. Un taux de mortalité durant le transport non négligeable ....................................... 62
a. L'attention portée aux taux de mortalité ............................................................... 62
b. Les conséquences économiques de la mortalité .................................................... 63
B. LA CONFIGURATION ET LES ÉQUIPEMENTS DES ABATTOIRS : DES OUTILS EN MANQUE D'INVESTISSEMENTS ................................................. 641. La configuration des abattoirs ................................................................................. 64
a. Les recommandations s'appuient sur les sens des animaux ................................... 64b. Des travaux nécessaires ....................................................................................... 66
2. Les équipements en matériels ................................................................................. 67
a. L'adaptation du matériel ...................................................................................... 67
b. Le mode d'emploi du matériel ............................................................................. 68
3. Le besoin d'investissements ................................................................................... 69
a. Un besoin généralisé d'investissements ................................................................ 69
b. Le programme d'investissements d'avenir ........................................................... 70
C. L'ARRIVÉE ET LA MANIPULATION DES ANIMAUX : LIMITER LECONTACT AVEC L'HOMME ................................................................................. 72
1. L'arrivée à l'abattoir, le déchargement et l'hébergement des animaux : adoucir
l'attente ................................................................................................................... 72
a. L'arrivée .............................................................................................................. 72
b. Le déchargement ................................................................................................. 72
c. L'attente ou l'hébergement .................................................................................. 73
2. Le déplacement des animaux vivants au sein de l'abattoir ..................................... 74
a. Respecter le rythme et l'instinct des animaux ....................................................... 75
b. Veiller à l'attitude des opérateurs ......................................................................... 75
c. Limiter l'usage d'instruments ............................................................................... 76
3. L'amenée et l'immobilisation ................................................................................. 76
a. L'amenée ............................................................................................................. 76
b. L'immobilisation ................................................................................................. 77
D. L'ÉTAPE FONDAMENTALE DE L'ÉTOURDISSEMENT .................................. 781. Les méthodes mécaniques ...................................................................................... 78
a. Fonctionnement ................................................................................................... 78
b. Des tirs parfois répétés ou utilisés en cas d'urgence ............................................. 79
2. L'étourdissement électrique ou électronarcose ....................................................... 79
a. L'étourdissement électrique ................................................................................. 79
b. Le bain d'eau ....................................................................................................... 81
- 6 -3. L'étourdissement sous atmosphère contrôlée ......................................................... 83
a. Principe de fonctionnement .................................................................................. 83
b. Le cas des volailles .............................................................................................. 84
c. Le cas des porcs ................................................................................................... 85
E. LE CONTRÔLE DE L'EFFICACITÉ DE L'ÉTOURDISSEMENT ET LAMISE À MORT ......................................................................................................... 88
1. Le contrôle de l'efficacité de l'étourdissement ....................................................... 88
a. Les méthodes de contrôle ..................................................................................... 88
b. Les limites des indicateurs ................................................................................... 89
c. La fréquence des contrôles ................................................................................... 90
2. La mise à mort ........................................................................................................ 91
F. S'ASSURER DE LA MAÎTRISE DE LA RÉGLEMENTATION : LA RESPONSABILITÉ DES PROFESSIONNELS .................................................. 931. L'établissement de guides des bonnes pratiques sectoriels .................................... 93
2. La rédaction et la maîtrise de modes opératoires normalisés au sein de chaque
établissement : le principe de l'auto-évaluation ..................................................... 94
II. L'ABATTAGE RITUEL ................................................................................................ 97
A. LES FONDEMENTS DE LA DÉROGATION ....................................................... 98 N 4038______
ASSEMBLÉE NATIONALE
CONSTITUTION
DU 4OCTOBRE
1958QUATORZIÈME
LÉGISLATURE
Enregistré
laPrésidence
de l'Assemblée nationale le 20 septembre 2016RAPPORT
FAITAU NOM DE LA COMMISSION D'ENQUÊTE sur les
conditions d'abattage des animaux de boucherie dans les abattoirs françaisPrésident
M. Olivier FALORNI
Rapporteur
M. Jean-Yves CAULLET
Députés
TOME I
La commission d'enquête sur les conditions d'abattage des animaux de boucherie dans les abattoirs français est composée de : M. Olivier Falorni, président ; M. Jean-Yves Caullet, rapporteur ; Mmes Françoise Dubois, MM. François Rochebloine, Fabrice Verdier et Philippe Vitel, vice-présidents ; Mme Laurence Abeille, MM. André Chassaigne, Guillaume Chevrollier et Mme Annick Le Loch, secrétaires ; M. Élie Aboud, Mme Sylviane Alaux, MM. Jean-Luc Bleunven, Christophe Bouillon, Mmes Valérie Boyer, Isabelle Bruneau, MM. Yves Censi, Yves Daniel, Nicolas Dhuicq, William Dumas, Mme Geneviève Gaillard, MM. Jacques Lamblin, Thierry Lazaro, Philippe Le Ray, Pierre Morel-À-L'Huissier, Hervé Pellois, François Pupponi, Alain Rodet, Arnaud Viala etMme Paola Zanetti.
- 3 -SOMMAIRE
___ PagesAVANT-PROPOS DU PRÉSIDENT ....................................................................... 13
INTRODUCTION ........................................................................................................... 17
PREMIÈRE PARTIE : LA " MORT CACHÉE » DANS LESABATTOIRS SE HEURTE À LA PRÉOCCUPATION DES
FRANÇAIS POUR LE BIEN-ÊTRE ANIMAL
..................................................... 19 I. UNE " MORT CACHÉE » : ÉCARTER DE LA CITÉ LA MORT DESANIMAUX ....................................................................................................................... 19
A. L'HISTOIRE DES ABATTOIRS ............................................................................. 20
1. La création des abattoirs au début du XIX
e siècle .................................................. 202. La généralisation et l'occultation des abattoirs ....................................................... 21
B. DES " BOÎTES NOIRES » QUI BRISENT LE LIEN ENTRE L'ANIMAL ETLA VIANDE ............................................................................................................... 22
1. L'extrême opacité des abattoirs .............................................................................. 23
2. Le lien animal-viande ............................................................................................. 24
II. ÉTAT DES LIEUX DES ABATTOIRS FRANÇAIS : DIVERSITÉ DES OUTILS, RÉALITÉ DES DYSFONCTIONNEMENTS ............................................ 27 A. DES ABATTOIRS LOCAUX MULTI-ESPÈCES AUX GÉANTSINDUSTRIELS SPÉCIALISÉS .............................................................................. 27
1. Le poids des abattoirs français ................................................................................ 27
a. Une baisse des tonnages abattus ........................................................................... 27
b. Une activité difficilement rentable ....................................................................... 29
2. Un maillage territorial en déclin, une concentration industrielle en progression ... 31
a. Le déclin des abattoirs publics locaux : un réseau à préserver ............................... 32
b. Le dynamisme des abattoirs commerciaux et coopératifs ..................................... 34
- 4 -B. LE MANQUE D'INVESTISSEMENTS, COROLLAIRE DES
DYSFONCTIONNEMENTS ................................................................................... 35
1. Des dysfonctionnements notables ........................................................................... 35
a. La procédure d'agrément ..................................................................................... 36
b. Une classification avant tout sanitaire .................................................................. 37
c. Les récents contrôles ministériels ont révélé d'indiscutables dysfonctionnements ............................................................................................ 392. Des sous-investissements inquiétants ..................................................................... 41
III. UNE SENSIBILITÉ GRANDISSANTE DES FRANÇAIS AU BIEN-ÊTREANIMAL .......................................................................................................................... 45
A. UNE DOUBLE PRISE DE CONSCIENCE DES CITOYENS ET DESCONSOMMATEURS .............................................................................................. 45
1. La mobilisation des citoyens français et européens ................................................ 45
a. L'intérêt grandissant des citoyens français pour le bien-être des animaux d'élevage............................................................................................................ 45
b. L'implication croissante des citoyens en matière de bien-être des animaux .......... 47c. Une prise de conscience européenne .................................................................... 48
2. L'information, vecteur de la consommation ........................................................... 49
a. L'attachement des consommateurs français à l'étiquetage .................................... 49
b. Un attachement partagé par une majorité des consommateurs européens .............. 50 B. LA MOBILISATION DES ÉLEVEURS ET DES POUVOIRS PUBLICS .......... 511. Les revendications des éleveurs .............................................................................. 51
2. Les actions des pouvoirs publics............................................................................. 53
a. La reconnaissance dans le code civil de la sensibilité des animaux ....................... 53
b. Une volonté gouvernementale d'actions en faveur du bien-être animal ................. 54 DEUXIÈME PARTIE : UNE RÉGLEMENTATION QUI DOIT ÊTREAMÉLIORÉE
................................................................................................................... 57
I. RELATIVEMENT RÉCENTE, LA RÉGLEMENTATION EN MATIÈRE DE PROTECTION ANIMALE EN ABATTOIRS DOIT ÊTRE AMÉLIORÉE ............. 57 A. AVANT L'ABATTOIR : L'IMPORTANCE DU TRANSPORT DESANIMAUX ................................................................................................................. 59
1. De l'élevage à l'abattoir : l'étape du transport ........................................................ 59
a. Le souci de l'élevage ........................................................................................... 59
b. L'importance du transport .................................................................................... 60
2. Des conditions de transport encadrées .................................................................... 61
a. Les modalités de transport .................................................................................... 61
b. La durée du transport ........................................................................................... 61
- 5 -3. Un taux de mortalité durant le transport non négligeable ....................................... 62
a. L'attention portée aux taux de mortalité ............................................................... 62
b. Les conséquences économiques de la mortalité .................................................... 63
B. LA CONFIGURATION ET LES ÉQUIPEMENTS DES ABATTOIRS : DES OUTILS EN MANQUE D'INVESTISSEMENTS ................................................. 641. La configuration des abattoirs ................................................................................. 64
a. Les recommandations s'appuient sur les sens des animaux ................................... 64b. Des travaux nécessaires ....................................................................................... 66
2. Les équipements en matériels ................................................................................. 67
a. L'adaptation du matériel ...................................................................................... 67
b. Le mode d'emploi du matériel ............................................................................. 68
3. Le besoin d'investissements ................................................................................... 69
a. Un besoin généralisé d'investissements ................................................................ 69
b. Le programme d'investissements d'avenir ........................................................... 70
C. L'ARRIVÉE ET LA MANIPULATION DES ANIMAUX : LIMITER LECONTACT AVEC L'HOMME ................................................................................. 72
1. L'arrivée à l'abattoir, le déchargement et l'hébergement des animaux : adoucir
l'attente ................................................................................................................... 72
a. L'arrivée .............................................................................................................. 72
b. Le déchargement ................................................................................................. 72
c. L'attente ou l'hébergement .................................................................................. 73
2. Le déplacement des animaux vivants au sein de l'abattoir ..................................... 74
a. Respecter le rythme et l'instinct des animaux ....................................................... 75
b. Veiller à l'attitude des opérateurs ......................................................................... 75
c. Limiter l'usage d'instruments ............................................................................... 76
3. L'amenée et l'immobilisation ................................................................................. 76
a. L'amenée ............................................................................................................. 76
b. L'immobilisation ................................................................................................. 77
D. L'ÉTAPE FONDAMENTALE DE L'ÉTOURDISSEMENT .................................. 781. Les méthodes mécaniques ...................................................................................... 78
a. Fonctionnement ................................................................................................... 78
b. Des tirs parfois répétés ou utilisés en cas d'urgence ............................................. 79
2. L'étourdissement électrique ou électronarcose ....................................................... 79
a. L'étourdissement électrique ................................................................................. 79
b. Le bain d'eau ....................................................................................................... 81
- 6 -3. L'étourdissement sous atmosphère contrôlée ......................................................... 83
a. Principe de fonctionnement .................................................................................. 83
b. Le cas des volailles .............................................................................................. 84
c. Le cas des porcs ................................................................................................... 85
E. LE CONTRÔLE DE L'EFFICACITÉ DE L'ÉTOURDISSEMENT ET LAMISE À MORT ......................................................................................................... 88
1. Le contrôle de l'efficacité de l'étourdissement ....................................................... 88
a. Les méthodes de contrôle ..................................................................................... 88
b. Les limites des indicateurs ................................................................................... 89
c. La fréquence des contrôles ................................................................................... 90
2. La mise à mort ........................................................................................................ 91
F. S'ASSURER DE LA MAÎTRISE DE LA RÉGLEMENTATION : LA RESPONSABILITÉ DES PROFESSIONNELS .................................................. 931. L'établissement de guides des bonnes pratiques sectoriels .................................... 93
2. La rédaction et la maîtrise de modes opératoires normalisés au sein de chaque
établissement : le principe de l'auto-évaluation ..................................................... 94
II. L'ABATTAGE RITUEL ................................................................................................ 97
A. LES FONDEMENTS DE LA DÉROGATION ....................................................... 98- assemblée nationale rdc aujourd'hui