En participant à notre bonheur, l'alimentation participe aussi à la stabilisation des patients, voire la régulation ou la diminution des symptômes de certains troubles psychopathologiques, et peut représenter un facteur de protection pour notre santé mentale.
Une nouvelle étude atteste cette fois d'un lien avec la récurrence de symptômes dépressifs.
Une consommation importante d'aliments ultra-transformés est associée à un surrisque d'obésité, de diabète, de dyslipidémie et de cancer.
Une nouvelle étude montre que la santé mentale ne serait pas épargnée.
Les liens entre nutrition et santé sont de mieux en mieux connus, et le risque de développer de nombreuses maladies – cancer, maladies cardiovasculaires, obésité ou encore de diabète de type 2 – peut être réduit en suivant les recommandations nutritionnelles nationales.