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3 avr. 2021 prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC). Comme évoqué plus haut la diffusion des pratiques de GPEC s'était en partie opérée.
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11 avr. 2011 Il est vrai que les pratiques de GRH (recrutement formation
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permettre ainsi à l'entreprise et à ses salariés de se préparer collectivement et pratiques de GRH plus ou moins associées formellement à la GPEC
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pratiques et permettre à l'OPIIEC de sélectionner les actions les plus pertinentes pour accompagner les entreprises dans le déploiement de la GPEC.
![Accords dentreprises sur la GPEC : réalités et stratégies de mises Accords dentreprises sur la GPEC : réalités et stratégies de mises](https://pdfprof.com/Listes/20/10120-20RapportGregor_GPEC_DARESvol2_Final_7octobre2012.pdf.pdf.jpg)
Accords d'entreprises sur la GPEC :
réalités et stratégies de mises enRapport pour
la Direction de l'Animation de la Recherche, des Etudes et des Statistiques Xavier BARON, Frédéric BRUGGEMAN, Carine CHEMIN-BOUZIR,Patrick GILBERT (coordinateur)
Volume 2
Monographies
GREGOR,
Octobre 2012
Sommaire
CAS BABYTEXTILE .............................................................................................................................................................. 5
CAS BIOPHARMA FRANCE ............................................................................................................................................. 17
CAS CIE DES AUTOROUTES ........................................................................................................................................... 39
CAS ÉLECTRODOM ........................................................................................................................................................... 53
CAS EQUIPAUTO ............................................................................................................................................................... 73
CAS MOTRICE ..................................................................................................................................................................... 85
CAS NAVALE ....................................................................................................................................................................... 97
CAS NUCLEOSAFE .......................................................................................................................................................... 115
CAS PETROCHIMIE ........................................................................................................................................................ 125
CAS PREVENTION SANTE ............................................................................................................................................ 135
CAS TITRES SERVICES .................................................................................................................................................. 147
CAS TURBOSERVICE ..................................................................................................................................................... 161
ANNEXE 1 : LE CONTEXTE DES CAS MOTRICE ET TURBOSERVICE : LES ACCORDS DE GPEA DUGROUPE HEAVY METAL .............................................................................................................................................. 173
ANNEXE - ǣ
D ǯB424N ............................................................................................................................ 179
4 5CAS BABYTEXTILE
Secteur : Textile
Filiale d'un groupe de cosmétique
3800 personnes dans le monde, dont 1800 personnes en France, parmi lesquelles 1100 sur les
sites de production. Trois populations (ouvriers et techniciens ; employés de magasin, employés et cadres administratifs et commerciaux du siège) Entreprise plus que centenaire, essentiellement centrée sur les vêtements pour enfants (80% de son chiffre d'affaires), Babytextile emploie environ 1800 personnes en France, dont 1100personnes en production (atelier, plates-formes de distribution, etc.). Elles sont présentes
principalement sur un site (usine A), situĠ dans une ǀieille ǀille de tradition tedžtile ă l'est de la
France et qui regroupe aussi les services administratifs. Une seconde usine (usine B) est du territoire national. Le bureau de style, le service commercial et la communication sont àParis.
L'entreprise se caractĠrise par une stratĠgie de diffĠrenciation et, ă la diffĠrence de la plupart
de ses concurrents, la décision de maintenir en France un ensemble de production complet,concentrĠ sur les productions ă forte ǀaleur ajoutĠe. Il s'agit ă la fois pour l'entreprise ͗
- de maintenir une expertise industrielle, - d'assurer la mise au point et la rĠalisation des Ġchantillons et des productions en série limitées, - de constituer un vivier de renouvellement de ses compétences techniques, Ce choidž s'accompagne d'une recherche accrue de polyǀalence et de montĠe en compĠtence des populations ouvrières. d'emplois. A la fin des annĠes 1980, l'entreprise encore dĠtenue par la famille des fondateursa vécu un moment difficile. N'ayant pas anticipĠ l'Ġǀolution des circuits de distribution, mal
gérée, elle a accusé des pertes financières importantes : " L'entreprise Ġtait dans le rouge et
tous les indicateurs étaient au vert ». Elle a finalement été absorbée par un conglomérat qui
n'est pas un groupe financier, mais une sociĠtĠ patrimoniale, privée, engagée dans un
développement à long terme. département. 6Depuis 1988, cette marque séculaire a étendu son offre ă de nouǀeaudž marchĠs et s'est
relatiǀe de la France s'est rĠduite de 85й en 1988, ă 50й en 2007.La moitiĠ de ses effectifs est
située dans le Maghreb (Maroc et Tunisie1), 200 magasins sont implantés hors de France et une part croissante de son chiffre d'affaires est réalisée à l'export.La direction de l'entreprise edžprime la ǀolontĠ de conduire les Ġǀolutions nĠcessaires aǀec
en France par la nécessité de préserver le savoir-faire indispensable pour assurer un hautniveau de qualité de ses produits, selon son directeur général : " Babytextile c'est à la fois une
marque internationale très forte et un savoir faire industriel reconnu. Les deux sontindissociables ». Même si les équipements sont davantage automatisés, leur réglage requiert
toujours un savoir faire et une expérience confirmés, notamment pour travailler les nouvelles matières.Cette conǀiction s'edžprime dans l'attention accordĠe audž systğmes d'organisation et de
gestion du travail. En France, les ouvrières de confection, désormais " multivalentes », sont
capables d'assembler entièrement un article. Cette organisation a sa traduction dans les
dispositifs de gestion des ressources humaines.Dans l'atelier, c'est désormais d'abord le savoir-faire et la qualité du travail qui comptent pour
le salaire et non plus le seul rendement. C'est particuliğrement vrai en confection où un
référentiel de multivalence a été mis sur pied. Ce référentiel comporte 128 opérations, mises
en relation avec les 15 produits fabriqués et, le cas échéant, les machines utilisées (piqueuse,
surjeteuse, ourleuse, etc.). La maîtrise de ces opĠrations ĠlĠmentaires permet l'obtention de
les coefficients de la convention collective.Par edžemple, la fabrication d'un tee shirt suppose la rĠalisation de 53 opérations élémentaires
(56 pour un pyjama, 35 pour un caleĕon), la maŠtrise de chacune d'entre elles donne lieu ăsurjeteuse donne lieu ă l'acquisition de 10 points. Elle correspond au coefficient 131 (le
coefficient le plus faible est 125, le plus élevé est 145).2. Un accord de GPEC ciblĠ, ǀisant l'accompagnement humain des
restructurationsSigné en décembre 2008 par les deux organisations syndicales prĠsentes dans l'entreprise, la
principalement, on le ǀerra, dans l'accompagnement social des restructurations.Les objectifs edžprimĠs dans le prĠambule de l'accord sont edžprimĠs en termes assez gĠnĠraudž ͗
- partager une ǀision de l'aǀenir et d'anticiper l'Ġǀolution des mĠtiers en termes de - permettre ainsi ă l'entreprise et ă ses salariĠs de se prĠparer collectiǀement et1 En confection, la France représente 7,8% des volumes pour 25,5% des couts. (Coût minute France = 4 fois coût
minute Maroc Tunisie). 7 individuellement à ces évolutions ;évoluer
Cependant l'accord est étroitement ciblé. Il est prioritairement consacré à définir les actions et
mesures d'accompagnement permettant ă l'entreprise Babytedžtile et ă ses salariĠs de se
Babytextile, il vise les salariĠs de l'usine B dont la fermeture a ĠtĠ annoncĠe, la direction de
l'entreprise ayant dĠcidĠ de ramener l'actiǀitĠ de son usine B (une soidžantaine de salariĠs)
Le diagnostic réalisé dont le tableau synoptique est reporté dans une annexe du rapport
précise en effet : " Pas de poste en tension ou de poste sensible ă l'horizon 3 ans sur le regroupement des activités de confection sur A ». Un accord prĠparĠ par un diagnostic partagĠ, conduit aǀec l'appui de cabinets spécialisésAu début de 2007, BPI, un cabinet de conseil spécialisé dans les ressources humaines,
notamment dans l'accompagnement indiǀiduel et collectif des restructurations, a ĠtĠ sollicitĠ
Un autre cabinet, la SODIE, une société de reclassement qui a débuté son existence par les
reconversions dans la sidérurgie, a été mobilisé. Préalablement au démarrage de la
nĠgociation de l'accord, la direction de l'entreprise, en accord aǀec le ComitĠ Central
activités de confection de Babytextile sur son site industriel principal (usine A). Cette enquête a eu lieu du 29 octobre au 29 novembre 2007. Sa restitution à la direction et aux organisations syndicales a ainsi permis aux parties signataires de prendre en compte les attentes spécifiques des salariés concernés dans la définition du présent accord.Le diagnostic réalisé intégrait :
- la prĠsentation d'une cartographie des mĠtiers et des emplois, - le partage d'ĠlĠments de stratĠgie, - l'anticipation ă horizon 3-5 ans des tendances d'Ġǀolution des emplois et des - l'identification (au regard de ces tendances d'Ġǀolution) de l'Ġcart entre les ressources qui seront disponibles et les ressources dont l'entreprise aura besoin ă horizon 3-5 ans permettant ainsi l'identification des emplois en tension et/ou sensiblesCe diagnostic a d'abord ĠtĠ partagĠ dans le cadre d'une commission rĠunissant des membres :
- des différentes organisations syndicales, 8 - du ComitĠ central d'entreprise, - des différents établissements, - des principaux métiers de la société. Cette commission ad hoc s'est notamment attachĠe ă enrichir le diagnostic et à le rendrecompréhensible par tous. Le diagnostic a ensuite été présenté en octobre 2007 au Comité
des salariés.Les parties signataires de l'accord ont dĠcidĠ de rĠunir annuellement cette commission,
instituée comme observatoire des métiers, afin que la direction présente une réactualisation
du diagnostic. Deux dates ont été arrêtées : octobre 2009 et octobre 2010.Des modalités de suivi précises
Une commission de suivi de l'accord composée de 6 membres titulaires (ayant chacun leursupplĠant en cas d'indisponibilitĠ) dĠsignĠs par les organisations syndicales signataires est
constituée afin de suivre, chaque semestre:- le nombre de salariés ayant demandé à bénéficier des mesures définies dans l'accord ;
- le nombre de salariés ayant effectivement bénéficié des mesures définies dans
l'accord ; - le bon déroulement des mobilités internes et la bonne réalisation des projets professionnels en dehors de l'entreprise.L'entreprise s'engage par ailleurs ă maintenir un ComitĠ d'Etablissement sur le site de o[quotesdbs_dbs32.pdfusesText_38
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