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  • C'est quoi un spectre d'une lumière ?

    Un spectre lumineux est l'ensemble des rayons lumineux de différentes longueurs d'ondes formant une palette allant de l'ultraviolet à l'infrarouge. Ce spectre peut être analysé en décomposant la lumière à travers un prisme.
  • Comment savoir quel spectre est le plus chaud ?

    Les radiations rouges sont les premières à être émises. Le spectre se complète vers le bleu-violet au fur et à mesure que la température augmente comme le montre l'illustration ci-contre. Plus la température de la source est élevée, plus le spectre est étendu du rouge vers le bleu-violet.
  • Quel type de spectre émet un corps chaud ?

    Les spectres continus d'origine thermique
    Un corps chaud (solide, liquide ou gaz sous haute pression) émet une lumière dont le spectre est continu.
  • Spectre continu émis par un corps chauffé
    Lorsqu'on analyse les radiations émises par un corps chaud, on constate que le spectre est continu et que ses propriétés dépendent de la température : plus elle augmente, plus le spectre s'enrichit, c'est-à-dire émet une lumière blanche.
1 http://plateforme.sillages.info

Interférences lumineuses

PC* 2 http://plateforme.sillages.info

I) Notions de vibration lumineuse :

1) Théorie scalaire de la lumière :

Dans un grand nombre de situations, l'intensité lumineuse, due à la superposition de plusieurs ondes EM, peut être déterminée au moyen d'un modèle simplifié, où le champ électrique est associé à une grandeur scalaire.

Cette approximation est justifiée :

• Dans le cas très fréquent d'ondes non polarisées dont les directions de propagation sont voisines. • Pour des ondes polarisées dont on sait que les directions de polarisation sont voisines. Les détecteurs usuels sont dits " quadratiques » : ils sont sensibles à la valeur moyenne temporelle (sur des temps très supérieurs à la période des ondes lumineuses qui est de l'ordre de quelques 10 - 15 s) du carré du module des champs électriques. 3 http://plateforme.sillages.info On définit alors la grandeur " Eclairement » ou " Intensité lumineuse » par : 2 *2

1 1( , ) Re( . )2 2

t

I k s M t k s s k s= = =

où k est une constante multiplicative.

L'éclairement s'exprime en W.m

- 2 et est en fait relié au module du vecteur de

Poynting.

On a vu en effet que, pour une OPPH :

zuEc? 2 0 4 http://plateforme.sillages.info

2) Composition de deux vibrations lumineuses, formule de Fresnel :

On peut écrire :

1 21 2( , ) ; ( , )

i t i t M s M t Ae s M t A e

1 2 1 2

2 cos ( )

I I I I I M

(Formule de Fresnel) avec : 2 1 1 12 I kA= et 2 2 2 12 I kA les éclairements des ondes (1) et (2) lorsqu'elles sont seules. 5 http://plateforme.sillages.info Souvent, les deux ondes ont la même amplitude ; l'éclairement total sera alors :

02 (1 cos ( ))

I I M Le déphasage entre les deux ondes est relié à la différence de chemin optique : 02 ( ) ( )M M 2 1 géo

M SM SM

est la différence de marche géométrique au point

M entre les deux voies 1 et 2.

- sup géo M M , qui tient éventuellement compte des déphasages supplémentaires, est la différence de marche optique. 6 http://plateforme.sillages.info A la séparation entre deux milieux transparents, les rayons lumineux sont réfractés et réfléchis. Si les limites transversales du faisceau sont très grandes devant la longueur d'onde, les rayons sont déviés selon les lois de Snell-Descartes. Dans le cas, contraire, on observe le phénomène de diffraction.

On note n

1 l'indice du milieu (1) et n

2 l'indice du milieu (2). Alors, en tout

point du dioptre (surface de séparation entre ces deux milieux) : • La phase de l'onde réfractée est égale à celle de l'onde incidente. • Si

1 2n n>

, alors la phase de l'onde réfléchie est égale à celle de l'onde incidente. • Si

1 2n n<

, alors la phase de l'onde réfléchie est égale à celle de l'onde incidente augmentée de 7 http://plateforme.sillages.info

On rappelle également que :

• Une réflexion sur un métal s'accompagne d'une discontinuité de phase de • Lorsqu'une onde passe par un point de convergence (voir figure), on admettra qu'il faut ajouter π à la différence de phase calculée à partir de la distance. A B A->B = nAB + 8 http://plateforme.sillages.info

3) Cohérence temporelle :

On se limite à une source ponctuelle (S) qui émet des trains d'ondes de durée moyenne τ c qui occupent dans l'espace une longueur : c cL c (Longueur de cohérence) Chaque train d'ondes issu de (S) se divise en deux trains d'ondes et présente au point M un retard temporel : 2 1 ( ) ( )SM SMt c c c 9 http://plateforme.sillages.info 10 http://plateforme.sillages.info • Si ,c géo c t soit L : les deux trains d'ondes qui interfèrent en M sont issus du même train d'ondes émis par (S). Le déphasage entre les deux ondes est constant, les deux ondes sont cohérentes et on observe des interférences. ,c géo c t soit L , les deux trains d'ondes qui se superposent en M sont issus de deux trains d'ondes différents émis par (S), avec des phases à l'origine différentes et aléatoires. Les deux ondes sont incohérentes et il est impossible d'observer des interférences. • Dans le cas intermédiaire, les deux trains d'ondes issus d'un même train d'ondes primaires ne se superposent que partiellement en M. Les deux ondes sont partiellement cohérentes. Les interférences existent mais avec un contraste plus faible. 11 http://plateforme.sillages.info Conclusion : Pour avoir interférences, les ondes issues de S

1 et de S

2 doivent provenir de la

désexcitation du même atome. Alors les variations aléatoires de phase au cours du temps affectent S

1 et S

2 de la même manière et la différence de phase ? est alors constante dans le temps. S

1 et S

2 doivent être les images d'une source unique S (souvent au moyen d'un

dispositif d'optique géométrique), les ondes parcourent simplement des chemins optiques différents mais sont émises par le même point S.

On dit ainsi que les sources secondaires S

1 et S

2 sont cohérentes entre elles.

12 http://plateforme.sillages.info

4) Cohérence spatiale :

On considère une source " large », constituée d'un ensemble de sources ponctuelles incohérentes entre elles, réparties sur une surface ou dans un volume. Les sources étant incohérentes entre elles, les intensités vont devoir s'ajouter : si la source est large, on n'observera plus d'interférences, par contre si la source est " peu étendue », on pourra observer des interférences mais avec un contraste affaibli.

La longueur de cohérence spatiale

sL est la largeur maximale de la source donnant une figure d'interférences peu brouillée. 13 http://plateforme.sillages.info II) Interférences par division du front d'onde :

1) Fonctionnement de principe en lumière monochromatique :

* (S

1) et (S

2) constituent alors deux sources secondaires cohérentes.

* On parle pour ce type de dispositif de " division du front d'onde ». * Lorsque la source placée en S est ponctuelle, la figure d'interférences est observable dans tout le volume où les faisceaux issus de (S

1) et (S

2) se

superposent. On dit que les interférences sont non localisées. 14 http://plateforme.sillages.info * Forme des franges : 15 http://plateforme.sillages.info

2) Exemple du dispositif des trous d'Young :

Comme les interférences sont visibles sur l'écran indépendamment de sa position, on parle d'interférences non localisées dans tout l'espace. En pratique, on aura D >> a et on observera les franges en des points M(x,y) proches de O, pour lesquels x et y << D. 16 http://plateforme.sillages.info La différence de chemin optique entre les rayons (2) et (1) vaut : 2/1 axD 17 http://plateforme.sillages.info

L'éclairement au point M :

0 0

2( ) 2 1 cos

ax

I M ID

Les franges d'interférences lumineuses sont obtenues pour x = cste et sont donc des droites parallèles à l'axe (Oy). 18 http://plateforme.sillages.info Les franges de même nature seront séparées d'une distance appelée interfrange et notée i : 0 0 0

2( ) 2 1 cos 2 1 cos 2

ax x

I M I I

D i

Ainsi :

0D i aλ=

L'interfrange est de l'ordre du mm.

19 http://plateforme.sillages.info

Remarque :

Les trous S, S

1 et S

2 peuvent être remplacés par des fentes (de très faible

largeur selon Ox) parallèles à Oy : le phénomène sera plus lumineux. 20 http://plateforme.sillages.info

3) Montages des trous d'Young avec lentilles :

S F' 1

S1 S2 H

L1 L2 Ecran F'

2 M(x)

x f' 1 f' 2 21
http://plateforme.sillages.info Finalement, l'éclairement dans le plan focal de la 2

ème

lentille :

200'2cos12)(faxIxI

Le résultat est similaire à celui obtenu sans lentille. La distance trous - écran est remplacée par la distance focale de la 2 nde lentille. Les franges sont évidemment rectilignes et l'interfrange vaut : afi 20' 22
http://plateforme.sillages.info Exercices d'application : interférences à trois fentes d'Young On réalise l'expérience des trous d'Young, utilisant deux lentilles convergentes, mais avec trois trous équidistants de a. Les deux lentilles sont identiques, de focale f'. La source S (monochromatique de longueur d'onde λ

0 et ponctuelle) et l'écran sont respectivement placés aux

foyers objet et image des deux lentilles.

1) Faire un schéma du dispositif expérimental. Quel est le rôle de chaque

lentille ?

2) Evaluer la différence de marche δ entre les différents rayons interférant en

un point M de l'écran.

3) Quelle est l'intensité lumineuse observée sur l'écran en fonction de cos?, où

02π

? On notera I

0 l'intensité en un point de l'écran quand un seul des

trous d'Young laisse passer la lumière.

4) Représenter graphiquement l'allure de l'intensité sur l'écran.

23
http://plateforme.sillages.info 24
http://plateforme.sillages.info 2 0 0

21 2cos

'ax I I f 25
http://plateforme.sillages.info

File Diffint : "

3fentes

26
http://plateforme.sillages.info

4) Autre dispositif diviseur du front d'onde ; les miroirs de Fresnel :

Il s'agit de deux miroirs plans formant un dièdre d'angle ε très petit. La source (S) éclaire les miroirs sous une incidence rasante. Les miroirs ont des dimensions de 5 cm x 5 cm et ε = 15'. La source 546
nm ) est placée à une distance d = 25 cm de l'arête dans une position repérée par l'angle α très petit. On observe le phénomène d'interférences sur un écran placé à une distance

D = 1,75 m de l'arête.

27
http://plateforme.sillages.info z x M 2 M 1 S O d 28
http://plateforme.sillages.info z x M 2 M 1 S O d d S2 S1 a d 2ε Champ d"interférences

Frange centrale

29
http://plateforme.sillages.info * La distance entre les deux sources fictives vaut : 2 a d * La frange centrale est sur la médiatrice de S

1S2 repérée par l'angle

* La droite S

1S2 est pratiquement parallèle à l'écran, à une distance D + d.

* La différence de marche en un point de l'écran est : 2 d xD dε et l'interfrange : ( )0,52D d i mm d * Le contraste est égal à 1 dans tout le champ d'interférences et les interférences ne sont pas localisées. * L'abscisse de la frange centrale est : 0 x D * La largeur du champ d'interférences est : 2 15

D mmε

: on peut visualiser une trentaine de franges. 30
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5) Interférences avec des ondes planes :

Exemples : les bi-lentilles tronquées (et source dans le plan focal) ou le dispositif schématisé ci-dessous : 31
http://plateforme.sillages.info 32
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6) Problème de la cohérence spatiale :

a) Cas de deux sources ponctuelles décalées (de même longueur d'onde) : On considère une source constituée de deux points P

1 et P

2, séparés d'une

distance h.

Cette source éclaire deux trous d'Young.

Ce cas peut représenter par exemple les deux composantes d'une étoile double vue de la Terre. Les deux points sources sont incohérents : l'intensité totale sur l'écran sera donc la somme des intensités créées par chacune des sources séparément. 33
http://plateforme.sillages.info P1 P2 M(x) x S2 S1 a h D D' +=Dax

DahIMI

0002cos'22cos14)(λπ

34
http://plateforme.sillages.info On reconnaît dans le second cosinus le terme d'interférences des trous d'Young pour une seule source ponctuelle. Les franges sont donc rectilignes et l'interfrange vaut : aDi0λ= Le 1 er cosinus est indépendant du point d'observation. Il est appelé visibilité et noté V : ='22cos0 DahVquotesdbs_dbs35.pdfusesText_40
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