Expression et fonction du récepteur antigénique B membranaire sur
12 nov. 2015 Monsieur Pascal Blanc. EXPRESSION ET FONCTION. DU RECEPTEUR ANTIGENIQUE B MEMBRANAIRE. SUR LES PLASMOCYTES MEDULLAIRES PRODUCTEURS d'IgM.
Structures et mécanismes daction des récepteurs membranaires
Des mutations peuvent donc intervenir sur l'une ou l'autre copie de chacun des gènes sans que la fonction de régulation exercée par l'hormone soit suppri-. Page
Etapes membranaires de la transduction du signal par les
29 nov. 2007 fonction des conditions d'incubations des cellules avec les agonistes ... 72 - Schéma de l'organisation membranaire du récepteur µ* à l'état ...
Sans titre
Un récepteur membranaire peut également être un récepteur-enzyme Étant donné l'importance des récepteurs dans le fonctionnement cellulaire
Récepteurs membranaires et molécules de Signalisation
Récepteurs membranaires et molécules de Signalisation intracellulaire Un ligand qui peut se lier à un récepteur en modifier sa fonction et déclencher ...
Relation structure-fonction de protéines membranaires: de l
30 juin 2017 2003-2006 (Post-doctorat 1). Laboratoire “récepteurs et cognition” (Prof. Jean-Pierre Changeux). Institut Pasteur Paris. 2000-2003 (Thèse).
Les récepteurs des hormones thyroïdiennes : implications en
fiquement par un récepteur membranaire qui véhiculés par les récepteurs membranaires ... des étages régulant la fonction thyroïdienne.
Les mécanismes moléculaires de lactivation plaquettaire Molecular
l'intégrine ?IIb?3 la fonction coagulante des plaquettes et la formation d'un clou Il se lie avec des récepteurs membranaires spécifi-.
Les récepteurs membranaires de la progestérone ne sont pas actifs
Mais leur appar- tenance à la famille PAQR qui inclut aussi les récepteurs de l'adiponectine laisse à penser qu'ils ont néanmoins une fonction physiologique
[PDF] Les récepteurs cellulaires
•Les récepteurs membranaires sont des protéines ou glycoprotéines transmembranaires qui captent des signaux qui sont des molécules hydrosolubles
[PDF] Structures et mécanismes daction des récepteurs membranaires
Les protéine kinases ainsi stimulées ont des spécificités différentes sur des résidus soit à fonction alcool (Ser/Thr-kinases) soit à fonction phénolique (Tyr-
[PDF] Récepteurs membranaires et molécules de Signalisation
Un ligand qui peut se lier à un récepteur en modifier sa fonction et déclencher une réponse s'appelle un agoniste auprès de ce récepteur La liaison d'un
[PDF] Fiche 1 : La liaison aux récepteurs cellulaires
Fiche 2 : Les récepteurs membranaires 1 Structure Ces récepteurs sont situés dans la membrane cytoplasmique de la cellule Ils se divisent en 3 parties :
[PDF] Les communications intercellulaires par les voies de signalisation
Ils assurent un deuxième niveau de contrôle cellulaire en reconnaissent les PAMP qui ont traversé la membrane cellulaire sans se lier à un récepteur membranaire
[PDF] Chapitre III Récepteurs et effets biologiquespdf
2 juil 2020 · Les récepteurs membranaires sont subdivisés en trois grandes familles 1 Récepteurs couplés à la protéine G 2 Récepteurs à activité
[PDF] Les récepteurs à sept domaines transmembranaires - ipubliinsermfr
Les récepteurs membranaires peuvent être regroupés en un petit nombre de familles dont la plus nombreuse est cer tainement celle des récepteurs couplés aux
[PDF] Etapes membranaires de la transduction du signal par - HAL Thèses
29 nov 2007 · Etapes membranaires de la transduction du signal par les récepteurs couplés aux protéines G: organisation dynamique du récepteur mu aux
[PDF] Communication et signalisation cellulaire
?Signalisation par des récepteurs hormonaux intracellulaire ?Rôle de Ca++ dans la transduction des signaux ?Diffusion d'ion et potentiel de membrane
[PDF] Les recepteurs cellulaires L3 BPA S6pdf
Les récepteurs membranaires Ils peuvent produire trois types de réponse cellulaire : une réponse électrophysiologique elle correspond aux
Quels sont les récepteurs membranaires ?
Un récepteur membranaire est capable de reconnaître et de fixer une substance spécifique extérieure à la cellule et porteuse d'une information ou d'un signal : hormone, neurotransmetteur, facteur de croissance, etc.Quel est le rôle d'un récepteur ?
Le récepteur (ou destinataire, cible, lecteur, etc.) reçoit le message qu'il décode. En effet, tout message requiert un code qui, pour être décodé, doit être au moins partiellement commun à l'émetteur et au récepteur. Le récepteur concentre la fonction conative ou impressive du message.Quels sont les types de récepteurs ?
Les récepteurs couplés aux canaux ioniques. Les récepteurs couplés aux protéines G (GPCR) Les récepteurs couplés à une enzyme “intrinsèque” Les récepteurs couplés à l'enzyme “extrinsèque” récepteurs non classés.- Structure située à l'intérieur d'une cellule ou sur sa membrane, capable d'accueillir des molécules produites par l'organisme ou des médicaments.
UNIVERSITE TOULOUSE III - PAUL SABATIER
Ecole Doctorale Biologie-Santé-Biotechnologies
THESEPour obtenir le grade de
DOCTEUR DE L"UNIVERSITE TOULOUSE III
Discipline : Biophysique
présentée et soutenue le 20 Juillet 2007 parAude SAULIERE
Titre :
ETAPES MEMBRANAIRES DE LA TRANSDUCTION DU SIGNAL PAR LESRECEPTEURS COUPLES AUX PROTEINES G
ORGANISATION DYNAMIQUE DU RECEPTEUR μ AUX OPIOIDES HUMAINS ALA SURFACE DE NEUROBLASTOMES
Directeur de thèse :
Laurence SALOME
Dominique MASSOTTE (Rapporteur)
Didier MARGUET (Rapporteur)
Jean-Philippe PIN (Examinateur)
Laurent MAVEYRAUD (Examinateur)
UNIVERSITE TOULOUSE III - PAUL SABATIER
Ecole Doctorale Biologie-Santé-Biotechnologies
THESEPour obtenir le grade de
DOCTEUR DE L"UNIVERSITE TOULOUSE III
Discipline : Biophysique
présentée et soutenue le 20 Juillet 2007 parAude SAULIERE
Titre :
ETAPES MEMBRANAIRES DE LA TRANSDUCTION DU SIGNAL PAR LESRECEPTEURS COUPLES AUX PROTEINES G
ORGANISATION DYNAMIQUE DU RECEPTEUR µ AUX OPIOIDES HUMAINS ALA SURFACE DE NEUROBLASTOMES
Directeur de thèse :
Laurence SALOME
Dominique MASSOTTE (Rapporteur)
Didier MARGUET (Rapporteur)
Jean-Philippe PIN (Examinateur)
Laurent MAVEYRAUD (Examinateur)
à Lolo,
Trop tôt décédée pour voir cette thèse,à Ghislain,
Venu de si loin.
REMERCIEMENTS
Je souhaite tout d"abord remercier le jury qui a accepté de juger et de corriger mon travail, de plus avec une soutenance durant la période estivale ! Je remercie André Lopez de m"avoir accueillie dans son équipe, et particulièrement pour l"attention qu"il accorde aux questions qu"on lui pose. Je remercie également LaurenceSalomé pour la liberté qu"elle m"a laissée dans ce travail, pour l"écoute dont elle a fait preuve
dans les moments difficiles, et pour son soutien constant. Merci également d"avoir décalé autant que possible nos réunions l"après-midi .... Arrivée à ce stade je ne peux que citer Laurence Cézanne, plus connue sous le surnom de Lolo. Les remerciements ne sont malheureusement plus de mise mais je veux conserverson souvenir vivace et lui garder dans ce travail toute la place à laquelle elle a droit. S"il est
vrai que les morts ne meurent vraiment que lorsqu"on les oublie, alors tu es encore là.Les longues heures / journées / semaines passées aux A3 auraient été bien plus
difficiles sans Sergueï. Merci à lui sans qui le FRAP ne serait probablement pas en état de marche ! Je n"oublierai pas de sitôt les heures de tests de son programme ironiquement appelé" EasyFrap ». Merci pour les macros, l"initiation à la programmation ... et les pauses café !
Les p"tites bêtes sur lesquelles j"ai travaillé durant ces quatre années ont été mises en
place par Claire Millot et Gérald Gaibelet, merci à eux. Un merci supplémentaire à Claire
pour m"avoir enseigné tout l"art de la culture cellulaire et pour les manips complémentaires qu"elle a réalisé.Merci également aux " extérieurs » qui ont permis la réalisation de cette thèse :
Nicolas Destainville, pour les équations et les réflexions SPTesques ; Nacer Benmeradi pourla microscopie électronique et l"intérêt qu"il a porté à mes questions ; et Jean-Louis Druilhe,
qui a remis les Peltiers en état de marche. Il ne faudrait pas oublier les stagiaires qui sont passées entre mes mains lors de cesquatre années et qui ont permis l"avancée de ce travail : les deux Aurélie (Garcia et Sacareau)
ainsi que Stéphanie Favarel. Un merci tout particulier à Carolina Varela-Chavez qui a mis enplace le " décapage » des cellules, et, puisque je ne t"ai pas écuré de la recherche, bonne
chance et bon courage pour ta thèse. Il n"y a pas que le travail dans la vie... je souhaite donc remercier Chantal pour ses rires et son vin (qui n"ont aucun rapport entre eux ...), sans oublier les discussions (longues,longues, longues, ....) et café pris ensemble. Arrivent ensuite les collègues de thèse ... Noëlle
mon " mentor » alpha-Tien, Aurore, la réunionnaise de Poitiers (ou la poitevine de la
réunion ?), Aurélie, la plus Schtroumpfette et Laurent, le plus ... le plus quoi ?! Merci à lui
d"avoir accepter de partager son bureau avec moi, pour les coups de déprime et les crises derire. Une pensée particulière pour Aurélie, avec qui une amitié improbable, mais que j"espère
longue, s"est développée. Peut être un effet secondaire des journées passées dans le noir ?
Dans la famille thésard il reste la p"tite Chloé, les quelques mois qu"elle a passé ici m"ont déjà
permis d"apprécier son caractère ... et l"équation d"Einstein ! Un merci également aux autres membres de l"équipe, plus ou moins permanents :Patrice, Fabrice, Catherine, Michèle, Evert ... Merci encore à Malika, toujours prête à
arranger au mieux nos déplacements, et aux services communs de l"IPBS. Trop nombreux pour être tous cités je voudrais remercier de manière globale lesmembres actifs de l"association AlphaT. Une pensée particulière pour les trois vénérés
présidents sous lesquels j"ai exercé : Mag, Rami et Simon, ainsi qu"aux membres de la
com"colloque. Merci aux enseignants que j"ai pu côtoyer durant mes vacations et mes heuresd"ATER pour leur confiance et leur amitié, en particulier aux Auscitains Géraldine, Valérie,
Isabelle, Rémi, Robert (mon taxi préféré), Bruno, ... Je souhaite enfin remercier Geneviève Pratviel qui m"a fait découvrir et aimer la recherche. Est-il nécessaire de préciser que mes plus sincères remerciements et mes pensées les plus tendres vont à ma famille ? Pour faire court (et n"oublier personne) : merci à tous ceux qui ont supporté (dans tous les sens du terme) le Schtroumpf grognon que je suis pendant ces quatre années ! Whatever we learn from models should be tempered by the fact that the cells are always right." (Edidin, 2003)SOMMAIRE
Abréviations
Liste des figures
Avant propos
Chapitre I : Introduction :
Récepteurs couplés aux protéines G et membrane plasmique 11 - Les RCPG 3
1.1 - Structure
1.2 - Classification
51.3 - Le cycle de signalisation
61.3.1 - La fixation des ligands
1.3.2 - Les protéines G 8
® Le trimère
® Structure 9
® Cycle GDP / GTP 10
® Pré-couplage avec le récepteur 111.3.3 - Les effecteurs 12
1.3.4 - Internalisation consécutive à la fixation de l"agoniste
1.4 - Signalisation sans les protéines G 14
2 - Le récepteur µ dans la famille des récepteurs opioïdes
2.1 - Préambule
2.2 - Les différents membres de la famille
152.2.1 - Mu, delta et kappa (µ, d, k)
2.2.2 - Le cas particulier d"ORL1 16
2.3 - Les ligands opioïdes 17
2.4 - Les protéines G de liaison
182.5 - Effecteurs opioïdes et traitement chronique
192.6 - Système de signalisation sans les protéines G
202.7 - Dimérisation
2.7.1 - Au sein de la famille
2.7.2 - Avec d"autres récepteurs 21
3. La membrane plasmique 22
3.1 - Découverte de la membrane
3.1.1 - Ses constituants
3.1.2 - Ses rôles 25
3.1.3 - Les premiers modèles d"organisation membranaire
3.2 - Complexification des modèles : notions de domaines 26
3.2.1 - DRM ou raft
® Découverte
® Problèmes soulevés 27
® Rafts et dynamique 28
3.2.2 - De l"influence du cytosquelette cortical 29
3.2.3 - Interactions entre protéines 32
® Interactions directes
® Interactions à longue distance
3.3 - La mosaïque membranaire ... 34
4 - Organisation membranaire des RCPG 36
4 1 - Premiers modèles de rencontre des partenaires
4 2 - Analyse de la diffusion des RCPG
374.2.1 - A l"état basal
4.2.2 - Origine des diffusions observées 38
4.2.3 - Effets des ligands 40
5 - But de l"étude 41
Chapitre II : Techniques :
Principes et instrumentations des deux techniques utilisées pour l"étude de l"organisation membranaire du récepteur μ 431 - Le retour de fluorescence après photoblanchiment : FRAP 45
1.1 - Principe
1.2 - Le FRAP à rayon variable : FRAPrv
471.3 - Détermination des paramètres
1.3.1 - Analyse individuelle des retours de fluorescence
1.3.2 - Analyse par rayon 48
® La fraction mobile
® Le coefficient de diffusion 49
® Tailles relatives de la cellule, de la zone d"observation et des domaines 50 ® Erreur sur les paramètres 511.1.3 - Analyse à deux populations
1.4 - Montage et conditions d"expériences 52
1.4.1 - Montage
1.4.2 - Limites et contrôles afférents à la technique 54
1.4.3 - Extrapolation du point I
PB 55
1.4.4 - Analyse sur système modèle
2 - Le suivi de particule unique : SPT 56
2.1 - Principe
2.1.1 - Principe général
2.1.2 - Différents types de marquage des molécules d"intérêts
2.2 - Montage 57
2.2.1 - Le contraste de Nomarski
2.2.2 - Appareillage utilisé 58
2.2.3 - Détection des particules d"or 60
® En post-traitement 61
® En temps réel 62
2.3 - Les colloïdes d"or 63
2.3.1 - Concentration stabilisatrice
2.3.2 - Fonctionnalisation simple couche et problèmes rencontrés
2.3.3 - Problème relatif à la présence de vésicules 65
2.3.4 - fonctionnalisation double couche et résolution des problèmes 66
2.4 - Analyse des trajectoires
682.4.1 - Le déplacement quadratique moyen
® Calcul
® Le D
1-2 69
® Différents types de diffusion simples
2.4.2 -Détection des zones de confinements 71
® Algorithmes de Simson et Saxton
® Modification de l"algorithme 72
® Détection des sauts entre domaines 752.4.3 - Résolutions spatiale et temporelle 76
® Limites de résolution
® Critères de reconnaissances des colloïdes immobiles 77 Chapitre III : La lignée cellulaire SH-SY5Y surexprimant T7-EGFP-hMOR : pharmacologie du récepteur et caractéristiques des cellules 811 - La lignée cellulaire : les SH-SY5Y 83
1.1 - La lignée sauvage
1.2 - La lignée transfectée stable
842 - Tests de fonctionnalité 86
2.1 - Liaison des ligands
2.2 - Transmission du signal à l"adénylate cyclase
882.2.1 - Inhibition de l"adénylate cyclase
2.2.2 - Effet de la toxine pertussique
3 - Environnement lipidique
924 - Internalisation due aux ligands 95
4.1 - Littérature
4.2 - Résultats
965 - Le cytosquelette 97
6 - Fluorescence totale des cellules et survie cellulaire
997 - Le glycocalyx
1008 - Présence du récepteur dans les DRMs ?
102Chapitre IV :
Analyse par FRAPrv et SPT de la diffusion latérale de T7-EGFP-hMOR 1051 - Analyse à l"état basal 107
1.1 - Organisation à température ambiante
1.1.1 - Analyse par FRAP à rayon variable
® Résultats
® Modèles d"organisation latérale 1091.1.2 - Influence du glycocalyx 111
® Premiers résultats de SPT
® Effet du glycocalyx sur la diffusion de µ* observée par FRAPrv 1121.1.3 - Analyse en SPT, après dégradation du glycocalyx 113
® Les différents modes de diffusion observés ® Les trajectoires confinées 116 ® Variations du coefficient de diffusion avec la taille des domaines 117 ® Comparaison des résultats en présence et en absence du glycocalyx 1201.1.4 -Un modèle d"organisation pour le récepteur µ* à 22°C 121
1.2 - Effet de la modulation de la température 122
1.2.1 - Analyse par FRAPrv *
® Diminution de la température : analyse à 14°C ® Augmentation de la température : analyse à 37°C 1231.2.2 - Analyse par SPT à 37°C 124
1.2.3 - Diffusion de sondes lipidiques, analyse par FRAPrv 127
® Résultats 128
® Comparaison avec la littérature 1291.2.4 - Un modèle d"organisation pour le récepteur µ* à 37°C 130
1.3 - Influence du cytosquelette d"actine sur la diffusion de µ* 133
1.3.1 - Etude en fonction de la température par FRAPrv
1.3.2 - Etude à température ambiante par SPT 136
1.3.3 - Comparaison des résultats et modèle d"organisation 139
1.4 - Influence des protéines G sur la diffusion de µ* : étude en fonction
de la température par FRAPrv 1401.4.1 - Dynamique des récepteurs µ* à 22°C
1.4.2 - Dynamique des récepteurs µ* à 14°C 141
1.4.3 - Dynamique des récepteurs µ* à 37°C 142
1.4.4 - Origine des domaines et modèle d"organisation 143
2 - Analyse par FRAPrv de la dynamique de µ* en présence de ligands
1452.1 - Effet des antagonistes
2.2 - Effet des agonistes 146
2.2.1 - La morphine
® Effet de la morphine sur l"organisation de µ*® Origine de ces domaines 148
® Modèle d"organisation des récepteurs µ* activés par la morphine 1492.2.2 - Le DAMGO 150
® Effet du DAMGO sur l"organisation de µ*
® Analyse à deux populations et modèle d"organisation 152® Origine de ces domaines 154
2.2.3 - Comparaison de l"effet des deux agonistes sur l"organisation
membranaire de µ* 155Chapitre V : Conclusions et Perspectives
157Références bibliographiques
167Annexes
Matériel et méthodes 187
Articles 201
Diffusion of the mu opioid receptor at the surface of human neuroblastoma SH-SY5Y cells is restricted to permeable domains." Functional membrane diffusion of G-protein coupled receptors."ABREVIATIONS
AR acide rétinoïque
AC adenylyl cyclase
ADN acide desoxyribonucléique
AMPc adenosine monophosphate cyclique
B max nombre total de site de liaisonBSA albumine de sérum bovin
CD cytochalasine D
CHO cellules d"ovaires de hamster chinois
CMH complexe majeur d"histocompatibilité
CTAP peptide D-Phe-Cys-Tyr-D-Trp-Arg-Thr-Pen-Thr-NH 2D coefficient de diffusion
d, DOR récepteur delta opioïdeDAMGO peptide [D-Ala
2,N-Me-Phe4,Gly-ol5]-enkephaline
DIC contraste différentiel interférentiel DMEM dulbecco"s modified eagle medium (cf. materiels et méthodes)DO densité optique
DPN diprénorphine
DRM detergent resistant membrane
EGFP enhanced green fluorescent protein
FCS spectroscopie à corrélation de fluorescence GDP/GTP guanine diphosphate / guanine triphosphateGM1 ganglioside
GPI (ancre) ancre glycosylphosphatidylinositol
GUV giant unilamellar vesicle
K d constante de dissociation K i constante d"inhibition k / KOR récepteur kappa opioïdeµ / MOR récepteur mu opioïde
µ* récepteur transfecté T7-EGFP-hMOR HEK human embryonic kidney (cellules embryonnaires de rein humain) hMOR récepteur mu opioïde humainNBD N-(7-nitro-2-1,3-benzoxadiazol-4-yl)
NOP / ORL1 récepteur à la nociceptine / opioid like receptor NRK normal rat kidney : fibroblastes de rein de ratPBS tampon phosphate
PC phosphatidylcholine
PE ---------------ethanolamine
PI ---------------inositol
PIP2 ---------------inositol-diphosphate
PS ---------------serine
PTX toxine pertusssique
r rayon des domaines RCPG récepteur couplé aux protéines G ROI region of interest : zone de travail sur une imageSH-SY5Y lignée de neuroblastomes
SM sphingomyéline SMT single molecule tracking : suivi de molécule uniqueSVF sérum de veau ftal
T7 peptide signal (11 acides aminés)
TPA 12-O-tetradecanoyl-phorbol-13-acetate
TX100 détergent triton X-100
Abréviations FRAP
c rayon de la cellule D exp coefficient de diffusion expérimental D réel ---------------------------- réel, recalculé à partir de Dexp D libre ---------------------------- réel à longue distance D conf ---------------------------- réel dans les domaines FRAP retour de fluorescence après photoblanchiement FRAPrv ---------------------------------------------------------- à rayon variableF(t) -------------------------- normalisé
I (t) intensité de fluorescence en fonction du tempsM fraction mobile
MI fraction immobile
MP fraction mobile permanente
P proportion de chaque population
PM photomultiplicateur
quotesdbs_dbs35.pdfusesText_40[PDF] molecule arn
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