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Différents types de raisonnement en mathématiques

3) Implication. Le principe même du raisonnement mathématique est l'implication (propriété directe) : un fait implique un autre une hypothèse implique une 



Démontrer une implication ou une équivalence - %©NPOUSFS VOF

Conclusion : on a bien montré l'implication P =? Q. Pour montrer l'équivalence P ?? Q on peut : ou bien raisonner par double implication



Chapitre 4 Quelques types de raisonnement

Aide `a la rédaction d'un raisonnement Montrer une implication ... Le raisonnement par contraposition s'utilise lorsque l'assertion (non Q) est plus ...



Le raisonnement mathématique Limplication une notion polysémique

Le raisonnement mathématique. L'implication une notion polysémique. Nous présentons des résultats à deux items d'un questionnaire que nous avons proposé à 



Raisonnement par implication

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Éléments de logique et Raisonnement par récurrence

On crée également de nouvelles propositions à l'aide du connecteur =? . Définition 3. (Implication). A =? B (se lit "A implique B") signifie : Si A est vraie 



Logique et raisonnements

Manipuler les quantificateurs. > Raisonner par implication ou par équivalence. > Utiliser un raisonnement par l'a‹surde ou par contraposition.



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plus important de l'année car il est à la base de tous les raisonnements usuels (ou de la 3.5.3 Négation contraposée et réciproque d'une implication .



Démontrer une implication ou une équivalence

Pour montrer l?implication P =? Q on effectue un raisonnement direct qu?on rédige ou bien raisonner par double implication



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La contraposée d'une implication est équivalente à celle-ci Ceci fournira plus loin un type de raisonnement usuel : le raisonnement par contraposition



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Le raisonnement est le moyen de valider — ou d'infirmer — une Par définition l'implication « P =? Q » est l'assertion « (non P) ou Q »



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Raisonner par implication ou par équivalence > Utiliser un raisonnement par l'absurde ou par contraposition > Effectuer un raisonnement par récurrence simple 



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Conclusion : on a bien montré l'implication P =? Q Pour montrer l'équivalence P ?? Q on peut : ou bien raisonner par double implication c'est-à-dire 



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[PDF] Chapitre 4 Quelques types de raisonnement

Aide `a la rédaction d'un raisonnement Montrer une implication Le raisonnement par contraposition s'utilise lorsque l'assertion (non Q) est plus 

  • Quand utiliser l'implication ?

    En logique mathématique, l'implication est l'un des connecteurs binaires du langage du calcul des propositions, généralement représenté par le symbole « ? » et se lisant « … implique … », « … seulement si … » ou, de façon équivalente, « si …, alors … » comme dans la phrase « s'il pleut, alors mon gazon est arrosé ».
  • Comment démontrer l'implication ?

    Démonstration d'une implication
    Pour montrer que P implique Q , on suppose que P est vrai, et on démontre Q sous cette hypothèse. Cela suffit puisque si P est faux alors l'implication P?Q P ? Q est toujours vraie, quelle que soit la véracité de Q . La rédaction pourra ainsi débuter par : « Montrons que P implique Q .
  • Pourquoi P implique Q est Non-p ou Q ?

    En effet, Q est vraie, donc nonP OU Q est vraie, ce qui veut bien dire que P implique Q. On a même que P est équivalente à Q, puisque P et Q sont toutes les deux vraies, et que deux propositions sont équivalentes si et seulement si elles sont toutes les deux vraies ou toutes les deux fausses.
  • La négation d'une implication n'est pas une implication
    Les quantificateurs : Soit P(x) une propriété dépendant de x. « Il existe x P(x) » (« ? x P(x) ») est vraie dans une structure donnée si et seulement « Pour tout x, non P(x) ?st fausse dans la structure.

Chapitre 3

Éléments de logique et Raisonnement par récurrence

Table des matières

1 Éléments de logique3

1.1 Proposition, connecteurs logiques

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3

1.1.1 Proposition

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3

1.1.2 Connecteurs logiques

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4

1.1.2.1 "et" et "ou" logiques

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4

1.1.2.2 implication

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5

1.1.2.3 Equivalence

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6

1.2 Négation d"une proposition

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6

1.2.1 Définition

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6

1.2.2 Contraposée d"une implication

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7

1.2.3 Négation d"une implication

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7

1.3 Quantificateurs

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8

1.3.1 Définition

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8

1.3.2 Démontrer une proposition avec quantificateur

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9

1.3.3 Négation des propositions avec quantificateurs

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9

2 Récurrence d"ordre 1 et 2

10

2 Éléments de logique et Raisonnement par récurrence

ECS1 - Mathématiques

Éléments de logique et Raisonnement par récurrence 3

1 Éléments de logique

1.1 Proposition, connecteurs logiques

1.1.1 PropositionDéfinition 1. (Proposition logique)

On appelle proposition toute phrase mathématique qui a un sens et qui peut être vraie ou fausse..Exemple 1.

x= 3est une proposition dont la vérité dépend dex.

2 + 3 = 5est une proposition vraie.

2 + 3 = 6est une proposition fausse.

2 + 3est un énoncé mathématique qui a un sens mais ça n"est pas une proposition.

2lim3est un énoncé qui n"a aucun sens. Ce n"est donc pas une proposition.

x?Eest une proposition dont la vérité dépend dexet deE.

3?Zes une proposition vraie.

π?Qest une proposition fausse.En fait, presque tous les énoncés mathématiques, dès qu"ils ont un sens, sont des propositions :

Exemple 2.

"limx→0xlnx= 0»est une proposition vraie. "x?→x2est croissante surR» est une proposition fausse. "x2est croissante surR+» N"est pas une proposition cette phrase n"a aucun sens. "limx→+∞un=1x » n"est pas une proposition! Car cette phrase n"a aucun sens. "⎷-1 =i» n"est pas une proposition car⎷-1n"a aucun sens. Le théorème de Pythagore est une proposition vraie.

"Tout nombre entier pair supérieur à3est la somme de deux nombres premiers» est une proposition

dont on ne sait pas si elle est vraie ou fausse : c"est la conjecture de Goldbach (1742), on la notera

Gold.

"Tout nombre impair supérieur ou égal à 9 est somme de trois nombres premiers impairs. » est aussi

une proposition dont on ne sait pas si elle est vraie ou fausse (c"est la conjecture de Goldbach faible)

on la noteraGoldF.ECS1 - Mathématiques

4 Éléments de logique et Raisonnement par récurrence

Une proposition est souvent formée de propositions plus petites :

Exemple 3.

" Sia=bAlorsa2=b2» est une proposition formée des propositions"a=b» et "a2=b2».1.1.2 Connecteurs logiques

1.1.2.1

"et" et " ou"logiques

On construit de nouvelles propositions à l"aide des deux connecteurs logiques que sont leet logiqueet leou

logique.Définition 2. ("et" et "ou" logiques)

SoientAetBdeux propositions.

La proposition "AetB» est la proposition qui est vraie siAetBsont toutes les deux vraies. La proposition "AouB» est la proposition qui est vraie si l"une au moins des propositionsAetBest vraie.Exemple 4. 1. " 2 + 3 = 5et3×2 = 6» est une proposition vraie. 2. " 2 + 3 = 5et3×2 = 7» est une proposition fausse. 3. " 2 + 3 = 4et3×2 = 7» est une proposition fausse. 4. " 2 + 3 = 5ou3×2 = 6» est une proposition vraie. 5. " 2 + 3 = 5ou3×2 = 7» est une proposition vraie. 6.

" 2 + 3 = 4ou3×2 = 7» est une proposition fausse.On a donc la "table de vérité" suivante :

PQPetQPouQVVVV

FVFV VFFV FFFF

ECS1 - Mathématiques

Éléments de logique et Raisonnement par récurrence 5

1.1.2.2

implication

On crée également de nouvelles propositions à l"aide du connecteur=?.Définition 3. (Implication)

A=?B(se lit "AimpliqueB") signifie :SiAest vraie, alorsBest vraie.

Cette proposition est uneimplicationExemple 5.

Si on sort du champ des mathématiques et que l"on notePle fait qu"il pleuve etAle fait que mon jardin

soit arrosé. "P=?A» est vraie. "A=?P» est fausse car j"ai peut-être arrosé mon jardin moi-même.

Mais hors du champ mathématique, beaucoup de propositions peuvent être longuement discutées quant

à leur vérité.Définition 4. (Réciproque d"une implication)

La réciproque de "A=?B» est l"implication "B=?A" ».Attention !Comme le montre l"exemple ci-dessus, une implication peut être vraie et sa réciproque fausse! C"est

même assez souvent le cas.Méthode à retenir n o1

Comment prouver qu"une implication est vraie?

Pour montrer queA=?Best vraie, on suppose queAest vraie et on montre que sous cette hypothèse,

Best vraie.

La démonstration deA=?Bdoit donc commencer par "supposons queAest vraie".Remarque.Nous verrons plus loin une autre méthode pour prouver une implication : la méthode par contraposée.Exemple 6.

Soitx?Retn?N?. Montrer que si1< x <2alors(x-1)n+1-xnx

2<0.Exemple 7.

Montrer que :Gold=?GoldF(voir l"exemple2 p ourla définition de GoldetGoldF)ECS1 - Mathématiques

6 Éléments de logique et Raisonnement par récurrence

On voit ci-dessus qu"on peut prouver que "A=?B» est vraie sans savoir siAetBsont vraies.Méthode à retenir n

o2

Comment prouver qu"une implication est fausse?

Pour montrer queA=?Best fausse, on exhibe uncontre-exemplepour lequelAest vraie et pourtant

Best fausse.Exemple 8.

Soita,b?RMontrer que "ab >0 =?a >0etb >0» est fausse. Que dire de sa réciproque? Le prouver.1.1.2.3Equivalence

Définition 5. (Equivalence)

"A??B» signifie : "A=?Bet "B=?Afg "A??B» se lit, selon le contexte : "Aest équivalent(e) àB» ou "Aéquivaut àB»

ou "Asi et seulement siB».Remarque.On peut, si on veut écrire vite, utiliser l"abréviation "ssi»pour "si et seulement si»Exemple 9.Soienta,b?R?.

1.a=b??a-b= 0.

2.ab >0si et seulement siaetbsont de même signe.

3.ab <0si et seulement siaetbsont de signe contraire.1.2 Négation d"une proposition

1.2.1 DéfinitionDéfinition 6. (Négation)

SoitPune proposition, on note " nonP» la proposition contraire dePappelée négation dePqui est vraie

lorsquePest fausse, et fausse lorsquePest vraieExemple 10.Soientx,y?RetEun ensemble de réels.

La négation de "x=y» estx?=y.

La négation de "x?E» estx /?E.ECS1 - Mathématiques Éléments de logique et Raisonnement par récurrence 7 Proposition 1. (Négation d"un " et » et d"un " ou » )(admis)

La négation de "AetB» est(nonA)ou(nonB).

La négation de "AouB» est(nonA)et(nonB).Exemple 11.Soientx,y?RetEun ensemble de réels. La négation de "x= 1oux= 2» estx?= 1etx?= 2. La négation de "x?Eoux≥0» estx /?Eetx <0.1.2.2 Contraposée d"une implication

Reprenons l"exemple de la pluie et du jardin vu plus haut. On comprends aisément que si le jardin n"est pas arrosé,

on peut en conclure qu"il ne pleut pas. Ainsi, on voit que l"implication " nonA=?nonP» est vraie. Cette

implication est la contraposée de l"implication "P=?A».Définition 7. (Contraposée d"une implication)

On appelle contraposée de l"implication "A=?B» L"implication " nonB=?nonA»

L"exemple ci-dessus nous montre que siP=?Aest vraie alors sa contraposée ausssi. Et réciproquement.

Autrement dit :Proposition 2. (Equivalence de la contraposée)(admis)

Une implication est équivalente à sa contraposée.Remarque.Pour prouver une proposition, on peut donc toujours prouver sa contraposée. C"est parfois plus

facile. On dit alors que l"on fait unedémonstration par contraposée.Exemple 12.Soitn?N. Montrer que sin2est impair alorsnest impair.Attention !On prendra garde à ne pas confondre contraposée et réciproque! Une implication n"est pas équivalente

à sa réciproque!

1.2.3 Négation d"une implication

Pour les expert.e.s...Proposition 3. (Négation d"une implication)(admis) La négation de "A=?B» estAet(nonB).ECS1 - Mathématiques

8 Éléments de logique et Raisonnement par récurrence

1.3 Quantificateurs

1.3.1 Définition

Il est très souvent utile de pouvoir signifier qu"une proposition est vraie pour toute valeur d"une variablexou

pour au moins une valeur. On utilise pour cela lesquantificateurs: "?a?A,» se lit "pour toutaappartenant àA» ou " quelque soitaappartenant àA» "?a?A,» se lit "il existeaappartenant àAtel que»Exemple 13. 1. " ?x?R,x2+ 1>0» est une proposition vraie. 2. " ?x?[0,+∞[tel quex2+x≥12» est une proposition vraie. 3. " ?x?[0,+∞[tel quex2+x= 12» est une proposition vraie. 4. " ?x?R,?n?N, n≥x» set lit : " Pour toutxappartenant àRil existenappartenant àNtel quen≥x» et est une proposition vraie. 5. " ?n?N,?x?R, n≥x» set lit : " Il existenappartenant àNtel que Pour toutxappartenant àRil existenappartenant àNtel quen≥x»

et est une proposition fausse.Les exemples 3 et 4 ci-dessus montre que l"ordre des quantificateurs est important! On ne peut pas intervertir

un?et un?. On peut aussi utiliser le quantificateur suivant : "?!a?A,se lit "il existe un uniqueaappartenant àAtel que»

Mais l"utilisation de la notation ci-dessus estréservée aux expert.e.squi sont certain.e.s de bien l"utiliser et de

ne pas la confondre avec la factorielle.ECS1 - Mathématiques Éléments de logique et Raisonnement par récurrence 9

1.3.2 Démontrer une proposition avec quantificateur

Méthode à retenir n

o3 Démontrer une proposition commençant par un?

On considère ici une proposition notéeP(x)dont la vérité dépend dex(par exemplex2+ 3x= 12).

Pour démontrer une proposition de la forme "?x?E,P(x)», on peut prendre un élément génériquex

deEet on démontre queP(x)est vraie pour cex. La démonstration doit donc commencer par : " Soit x?E»Exemple 14.

Démontrer que pour tout entiern?N?,n-1n

1.3.3 Négation des propositions avec quantificateursProposition 4. (Négation des propositions avec quantificateurs)(admis) 1. La négation de " ?x?E,P(x)» est "?x?E,nonP(x)» 2. La négation de " ?x?E,P(x)» est "?x?E,nonP(x)»Remarque.

La première assertion signifie que pour montrer le contraire d"une d"une proposition de la forme "?x,P(x)», on

exhibe un contre-exemple.Exemple 16. non[?n?N,un+1≥un]? ?n?N,un+1< un non[?n?N,X=n]? ?n?N,X?==n non[?x?R,f(x) = 0]? ?x?R,f(x)?= 0 non[?M?R+,?N?N,?n≥N,un≥M]? ?M?R+,?N?N,?n≥N,un< MECS1 - Mathématiques

10 Éléments de logique et Raisonnement par récurrence

2 Récurrence d"ordre 1 et 2

Proposition 5. ((Rappel) : Principe de récurrence d"ordre 1)(admis) SoitP(n)une proposition dépendant d"un entier naturelnet soitn0?N. Si ?P(n0)est vraie et ?n≥n0,P(n) =? P(n+ 1)Alors?n≥n0,P(n)est vraie.Exercice de cours 1.

On considère la suite(un)définie par :

?n?N,un+1= 3un-2etu0= 2.

Démontrer par récurrence que :

?n?N,un= 1 + 3n.Exercice de cours 2.

On considère la suite(un)définie par :

?n?N,un+1=15 un+ 3×0,5netu0= 2.

Démontrer par récurrence que :

?n?N?,un≥154 ×0,5n.Proposition 6. (Principe de récurrence d"ordre 2)(admis) SoitP(n)une proposition dépendant d"un entier naturelnet soitn0?N. Si ????P(n0)etP(n0+ 1)sont vraies et ?n≥n0,?

P(n)etP(n+ 1)?

=? P(n+ 2)Alors?n≥n0,P(n)est vraie.Exercice de cours 3.Soit(un)n?Nune suite définie paru0= 2,u1= 5et?n?N,un+2= 5un+1-6un.

Montrer que?n?N,un= 2n+ 3n.ECS1 - Mathématiquesquotesdbs_dbs35.pdfusesText_40
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