[PDF] Interprète du rôle-titre Molière crée George Dandin ou le Mari





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Liste des pièces et date de leur création La Jalousie du Barbouillé

MOLIÈRE / ŒUVRE. Liste des pièces et date de leur création. La Jalousie du Barbouillé. (lieu et date de la première représentation inconnus).



LAvare est créé sur la scène du théâtre du Palais-Royal le 9

MOLIÈRE / ŒUVRE / L'AVARE À LA COMÉDIE-FRANÇAISE du théâtre du Palais-Royal le 9 septembre 1668 par la troupe de. Molière. La recette tombe rapidement.



Résumé : LAvare de Molière (1668) Harpagon lavare

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Interprète du rôle-titre Molière crée George Dandin ou le Mari

Interprète du rôle-titre Molière crée George Dandin ou le Mari confondu le 18 juillet 1668 au théâtre de verdure du Petit parc à Versailles.



Pièces de Molière 1655 1656 1657 1658 1659 1660 1661 1662

Pièces de Molière. 1655. 1656. 1657. 1658. 1659. 1660. 1661. 1662. 1663. 1664. 1665. 1666. 1667. 1668. 1669. 1670. 1671. 1672. 1673. L'Avare. 9 sept. 68.





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MOLIÈRE. 1668. Publié par Gwénola Ernest et Paul Fièvre



Comédie-ballet dramatique en 3 actes de Molière George Dandin

George Dandin ou le Mari confondu a été créé le 18 juillet 1668



MOLIERE GEORGE DANDIN

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Harpagon l'avare n'aime que son argent ; il ne voit que des voleurs autour de lui il soupçonne tout le monde de vouloir lui voler son argent



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et centré sur le personnage d'Harpagon interprété par Molière L'Avare a été joué au théâtre du Palais-Royal le 9 septembre 1668 Molière est un comédien



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L'Avare est une comédie de Molière qui a été écrite en 1668 Elle raconte l'histoire de Harpagon un vieil homme avare et mesquin qui a accumulé une 

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MOLIÈRE / OEUVRE / INTERPRÉTATIONS DU RÔLE DE GEORGE DANDIN À LA COMÉDIE-FRANÇAISE : DE LA FARCE AU TRAGIQUE

Interprète du rôle-titre, Molière crée George Dandin ou le Mari confondu le 18 juillet 1668 au

théâtre de verdure du Petit parc à Versailles. Enchâssée dans une pastorale dont Lully a composé la

musique, la pièce a su séduire la Cour lors de sa création, puis les spectateurs parisiens lors de la

reprise sans le divertissement sur la scène du Théâtre du Palais-Royal, le 9 novembre 1668.

Jusqu'à la fin du XIXe siècle, la carrière de la pièce porte la marque de ses grands interprètes, avant

que le regard d'un metteur en scène n'arrache le rôle à sa tradition de jeu et ne donne toute sa force

à la pièce, souvent jugée comme atypique voire mineure dans le corpus moliéresque.

La pièce, jouée trente-neuf fois jusqu'à la mort de Molière, entre au répertoire de la Comédie-

Française le 17 février 1681, soit huit ans jour pour jour après la mort du dramaturge. La pièce y est

ensuite jouée très régulièrement jusqu'en 1793, puis reprise à un rythme beaucoup plus variable

jusqu'en 1896, connaissant même quelques éclipses.

Le rôle-titre est tenu par des comédiens aussi différents que Bonneval, Des Essarts, Grandville,

Provost - se distinguant principalement dans les rôles à manteaux ou de jeunes paysans - dont les

interprétations témoignent d'une tradition de jeu tirant le personnage de Dandin vers la farce.

Edmond Got, qui reprend le rôle le 10 février 1874, est le premier comédien à souligner l'aspect

tragique du mari bafoué. Francisque Sarcey se souvenant de l'interprétation de Got, regrette que le

comédien, en dépit de ses grandes qualités d'interprétation, ait fait de la pièce " un chef d'oeuvre de

désenchantement morne [...] Jamais homme ne fut plus navré et plus lugubre. On sortait de la

représentation avec un poids de cent livres sur la poitrine(1) ». En dépit de critiques plus

enthousiastes, le succès peine à venir et la pièce est rapidement retirée de l'affiche. Avec Pierre

Laugier distribué dans le rôle titre en 1890, Francisque Sarcey salue le retour au comique, le

comédien y faisant figure de " Boubouroche du répertoire classique, un grotesque qui fait rire bien

plutôt qu'il n'apitoie [...] on s'amuse de la déconvenue de Laugier et de son air piteux(2) ». En 1893,

le critique loue l'interprétation d'un Léon Bernard extrêmement comique, drôle, ridicule, " et

douloureux » - reprenant ainsi la formule de Jules Michelet(3).

C'est pourtant l'interprétation plus sombre donnée par Got, pour qui " l'écrasement de ce George

Dandin n'est pas plaisant le moins du monde », que retiendront les metteurs en scène du

XXe siècle.

En 1937, Charles Dullin, invité à mettre en scène la pièce au Français, déclare considérer cette

oeuvre comme l'une des plus inquiétantes de Molière. En abordant George Dandin, la grande

difficulté est selon lui de laisser " l'amertume prendre le pas et la comédie s'obscurcir jusqu'au

drame ». Charles Dullin propose un rajeunissement du personnage de Dandin et confie le rôle titre

à Fernand Ledoux. Ce dernier, face à " l'ironique Madeleine Renaud », reçoit des critiques en

général très favorables, tandis que la comédienne incarne une Angélique tout en finesse et en grâce.

En 1954, Michel Galabru fait ses débuts officiels à la Comédie-Française dans le George Dandin

mis en scène par George Chamarat. Mony Dalmès interprète le rôle d'Angélique, Jean-Paul

Roussillon propose un Lubin fantaisiste, tandis que Berthe Bovy et Maurice Chambreuil jouent les

époux Sotenville. Si le metteur en scène propose à nouveau un Dandin jeune, il lui semble que la

nature comique de Michel Galabru " lui éviterait sans doute le travers que l'on adressa parfois aux

comédiens chargés de ce rôle et qui l'assombrissaient jusqu'à en faire une composition par trop

dramatique(4) ». Sans aller jusqu'à la farce, que George Dandin côtoie constamment, il souhaite que

1

l'humanité du personnage " se dégage dans le comique ». Dans un décor au style naïf de Suzanne

Reymond, Georges Chamarat souhaite montrer l'" incommunicabilité des classes sociales et la

sottise de vouloir sortir de la sienne ». Michel Galabru déclenche une forte hilarité dans la salle et

la presse salue unanimement le talent du comédien, capable de montrer tous les aspects de Dandin. Le rôle est repris en 1960 par René Camoin, toujours avec succès.

En 1970, la Comédie-Française propose un spectacle composé de Il ne faut jurer de rien d'Alfred de

Musset, mis en scène par Michel Duchaussoy, suivi de George Dandin mis en scène par Jean-Paul

Roussillon, le Lubin de 1937. Ce dernier délaisse le sous-titre de la pièce, le Mari confondu et livre

une mise en scène beaucoup plus proche de la " lecture marxiste » de Roger Planchon, assimilant

le réalisme brechtien, que de la traditionde la Comédie-Française. " George Dandin n'est pas une

tragédie mais c'est peut-être la plus grande et la plus forte comédie sociale française », affirmait le

metteur en scène en 1958, lors de sa mise en scène au Théâtre de la Cité de Villeurbanne.

Roussillon aborde ainsi la pièce avec une vision beaucoup plus sombre que ses prédécesseurs, en la

poussant vers un réalisme noir. Dans un décor en noir et blanc de Jacques Le Marquet, décrit comme austère et froid, Dandin

apparaît comme un homme ligoté, poussé au suicide par ceux qui l'oppriment. Robert Hirsch refuse

de s'attendrir sur Dandin et rend pathétique le ridicule du personnage : " Je ne le plains pas et je ne

cherche pas à le faire plaindre car, enfin, tout ce qui lui arrive est de sa faute, et si à la fin le spectateur

se dit : " Ah ! vraiment, ce type est trop bête », franchement je serais heureux(5) ». Il souhaite faire de

Dandin un homme lucide qui fait le constat de son erreur : une mésalliance, mais ne parvient pas à

en effacer les conséquences. Les Sotenville sont libérés de leurs costumes surchargés et Angélique

n'est plus la charmante coquette traditionnelle ni la perversité incarnée, mais une jeune femme

révoltée contre son sort. Catherine Hiegel joue ainsi une " Angélique de pierre », bien loin du

personnage dont Voltaire, puis Rousseau, fustigeaient la conduite et l'immoralité. Si la plupart des journalistes relatent dans leurs colonnes une mise en scène qui fait figure

d'événement, quelques critiques comme Jean-Jacques Gautier, dans le Figaro, n'hésitent pas à

parler de sinistre contresens.

En 1992, Jacques Lassalle s'empare de la pièce et l'enchâsse dans la Comtesse d'Escarbagnas dans

un décor bucolique de Patrice Cauchetier, prenant ainsi le contrepied du réalisme d'un Roger

Planchon. Alain Pralon joue un George Dandin " bouleversant », entouré dans les rôles principaux

de Muriel Mayette-Holtz (Angélique), Bérangère Dautun et François Beaulieu (les époux

Sotenville). En dépit de l'interprétation très fine des comédiens, la mise en scène peine à

convaincre les critiques.

Catherine Hiegel propose à son tour sa vision de la pièce en 1999, au Théâtre du Vieux Colombier.

Elle s'attache avant tout à montrer un couple " possible », qui pourrait vivre ensemble et confie à

Bruno Putzulu et Anne Kessler les rôles d'époux malheureux, à la fois victimes et bourreaux, qui

s'affrontent dans un décor de Goury : une cour de ferme sombre et boueuse. Jérôme Pouly, qui

incarnait Lubin dans la mise en scène de Catherine Hiegel, reprend aujourd'hui le rôle du mari confondu dans une mise en scène d'Hervé Pierre qui souhaite inscrire son personnage dans un XIXe siècle marqué par le naturalisme pictural d'un Gustave Courbet.

Claire Lempereur,

documentaliste à la Comédie-Française 2014
_________________________________ (1) Feuilleton du journal le Temps, 30 octobre 1893 (2) ibid. (3) " George Dandin est douloureux », écrit l'historien dans son Histoire de France (4) Le Monde, 17 janvier 1954 (5) Nouvelles littéraires, 19 janvier 1970 2quotesdbs_dbs35.pdfusesText_40
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