Cancer
01-Feb-2016 du cancer du sein en 2014 par département en Poitou-Charentes et en ... concernant le cancer bronchopulmonaire et les Deux-Sèvres pour le ...
Suivi du Plan Cancer 2009-2013 en Poitou-Charentes
Tél. : 05 49 38 33 12 Courriel : ors@ors-poitou-charentes.org Site an) devant le cancer colorectal (658) et le cancer broncho-pulmonaire (280).
Le cancer du col de lutérus
Cancer broncho-pulmonaire. Béatrice BOUFFARD (ORS) Exploitations : Registre des cancers Poitou-Charentes ORS Poitou-Charentes. (3) Note de lecture ...
SANTÉ ENVIRONNEMENT
Cancer de la trachée des bronches et du poumon (Aquitaine
Exploration et test dune méthode de priorisation des risques en
ORS Poitou-Charentes – Exploration et test des AVAI en Poitou-Charentes - 2013 moins marquées (ex : cancer de la trachée des bronches et du poumon).
Les lymphomes malins non hodgkiniens
Exploitations : Registre des cancers Poitou-Charentes ORS Poitou-Charentes. (3) Note de lecture : chez les hommes pour 100 cas de lymphome malin non
Myélome multiple et maladies immunoprolifératives
Exploitations : Registre des cancers Poitou-Charentes ORS Poitou-Charentes. (3) Note de lecture : chez les hommes pour 100 cas de myélome multiple
Nouvelle-Aquitaine 2018
des ex-ORS Aquitaine Limousin et Poitou-Charentes. La mortalité par cancers de la trachée
État des lieux santé-social
ORS NOUVELLE-AQUITAINE CONTRAT LOCAL DE SANTÉ > CLS du Civraisien en Poitou ... bronchite chronique cancer broncho-pulmonaire
diag_regional_V_consult PRS
Limousin Poitou-Charentes en collaboration avec des référents métier de l'ARS
Incidence et mortalité
des cancers en Poitou-Charentes L a surveillance épidémiologique des cancers entre dans le cadre plus général d'ob- servation de l'état sanitaire de la population régionale. Cette observation constitue une aide au pilotage et à l'évaluation des mesures de prévention et de prise en charge des cancers, telles qu'elles sont mentionnées dans le schéma régional de prévention (fiche n° 3) [1]. De même, le renforcement de la surveillance épidémiologique des can- cers est inscrit dans le plan cancer 2009-2013 (mesure 7) [2]. L'ancienneté du disposi- tif d'enregistrement des causes de décès permet une analyse de la situation épidémio- logique des cancers sur de longues périodes te mporelles et des échelles infrarégiona- les. Utiles pour la formulation d'hypothèses sur les variations du risque cancer, les indi- cateurs de mortalité ne suffisent cependant pas pour mesurer ce risque [3]. Ainsi, l'analyse de la situation épidémiologique des cancers doit reposer sur la confron- tation des données de mortalité et d'incidence. Pour la première fois en Poitou- Charentes, cette confrontation est rendue possible par la production, par le Registredes cancers de la région, des taux d'incidence par localisation. 62 décès annuels dus au myélome multiple ou aux maladies immunoprolifératives pour
100 nouveaux cas dans la région
Le myélome multiple et les maladies immunoprolifératives regr oupent plusieurs entités cliniques pouvant prendre le nom de gammapathiesmonoclonales malignes selon les classifications. Les principales gammapathies monoclonales malignes rencontrées sont le myélome multiple
clonale sérique mais appartiennent à la catégorie des lymphomes malins non hodgkiniens et ne seront pas présentées ici.
(1) TsM : Taux standardisé sur la population mondiale (pour 100 000 habitants) Sources : Registre des cancers Poitou-Charentes, Inserm CépiDc, Insee Rp 2008-2009
(2) TsE : Taux standardisé sur la population européenne (pour 100 000 habitants) Exploitations : Registre des cancers Poitou-Charentes, ORS Poitou-Charentes
(3) Note de lecture : chez les hommes pour 100 cas de myélome multiple, 57 décès sont comptabilisés.
Chaque année, la région Poitou-Charentes enregistre 62 décès dus aux myélomes multiples et aux maladies immunopro-
lifératives pour 100 nouveaux cas. Parmi ceux-là, les myélomes multiples représentent les trois quarts des cas incidents et
80 % des décès de l'ensemble de ces pathologies. 68 décès par myélomes multiples pour 100 nouveaux cas sont enregistrés
annuellement. Lespour 100 nouveaux cas, suivis des plasmocytomes (4 % des cas et 1 % des décès) et des leucémies à plasmocytes (1 %
des cas et des décès).Une augmentation du nombre de décès et de cas incidents du myélome multiple et des maladies immunoprolifèratives est
observée depuis plus de 20 ans. Les hommes sont plus concernés (55 % de décès et 59 % de nouveaux cas). L'incidence du
myélome multiple augmente avec l'âge et l'âge moyen au diagnostic est de 72 ans.Les taux départementaux et régionaux n'indiquent aucune spécificité significative en terme de mortalité et d'incidence par rap-
port à la France, même si ces taux sont légèrement plus élevés dans la région. Hommes
Effectif TsM (1) TsE (2) Effectif TsM (1) TsE (2)
Incidence en Poitou-Charentes (2008-2009)
102 5,0 7,6 70 3,0 4,4
Mortalité en Poitou-Charentes (2007-2009)
58 2,4 3,9 48 1,4 2,3
Ratio Mortalité/Incidence (3)
57 % 69 % Femmes
Liste des localisations étudiées
1Le financement de l'Agence régionale de santé Poitou-Charentes permet la publication, via un partenariat entre l'Observatoire
régional de la santé et le Registre, de 8 fiches sur l'épidémiologie des cancers définis comme prioritaires dans la région (cf.
localisations ci-contre), traduisant les analyses conjointes des indicateurs de mortalité et d'incidence. Août 2013
SYNTHESE
Contexte
Généralités
La plupart des myélomes multiples et maladies immunoprolifératives sont constituées par la prolifération anormale d'un clone plasmocy-
taire ou lymphoplasmocytaire, unique producteur d'une immunoglobuline monoclonale. Cette clonalité n'est pas synonyme de malignité et
les gammapathies monoclonales bénignes ou d'apparence bénigne (d ites de signification indéterminée) sont les plus fréquentes. Dans lagrande majorité des cas, ce pic monoclonal modéré, sans aucun autre signe sur le plan clinique, radiologique et biologique, restera stable
et ne présentera jamais aucune évolution. Cependant, il peut évoluer vers un myélome multiple ou une autre maladie hématologique,
même si le risque est faible (environ 1 % des cas par an). Les radiations ionisantes liées à des expositions accidentelles, l'exposition aux
pesticides et l'âge sont reconnus comme facteurs de risque avérés [4]. Les signes de la maladie, le diagnostic et la prise en chargeDans 20 % des cas, le myélome multiple et les maladies immunoprolifératives sont asymptomatiques et découverts lors d'un examen
sanguin (électrophorèse des protéines sériques) ou des radiographies du squelette (atteintes osseuses) et sont affirmés de façon certaine
à partir d'une ponction de moelle osseuse (myélogramme). Les symptômes les plus fréquents sont des douleurs osseuses, en particulier
au niveau des vertèbres (myélome multiple) ou des signes cliniques liés à la présence de l'immunoglobuline monoclonale en excès dans
me. Le traitement dépend de l'âge du patient, de ses antéc édents et des caractéristiques de la maladie. Légère augmentation du nombre de décès depuis 20 ansLe nombre de décès moyen par myélome multiple et maladies immunoprolifératives augmente depuis 20 ans, passant de 1 827 pour la
période 1985-1989 à 2 716 pour la période 2005-2009. Le taux national de mortalité standardisé monde était de 1,7 pour 100 000 person-
nes-années en 2005-2009 (2,2 pour les hommes et 1,4 pour les femmes). Pour la même période, la région Poitou-Charentes présente un
taux de mortalité standardisé monde supérieur à celui de la France (1,9 pour 100 000 personnes-années). Les hommes picto-charentais
ont un taux de décès supérieur à celui des femmes (2,4 vs 1,5), et supérieur au taux national. Les tranches d'âge les plus concernées
sont les plus de 65 ans, passant de 9,9 % à 65 ans à 42,8 % pour les 85 ans et plus [5]. Augmentation de l'incidence de 2 % par an depuis 1980Chaque année, environ 5 000 nouveaux cas de myélome multiple et maladies immunoprolifératives sont diagnostiqués en France, dont
54 % survenant chez l'homme. Chez l'homme comme chez la femme, l'incidence du myélome multiple et des maladies immunoproliférati-
ves est en augmentation. Le taux d'incidence (standardisé monde) augmente de 2,2 % par an chez l'homme et de 1,8 % chez la femme
entre 1980 et 2005 [6].Caractéristiques des patients atteints de
myélome multiple et maladies immuno- prolifératives en Poitou-Charentes Le registre a recensé sur les années 2008 et 2009 en Poitou-Charentes,344 myélomes multiples et maladies immunoprolifératives réparties pour :
252 (74 %) en myélomes multiples
16 (4 %) en plasmocytomes
4 (1 %) en leucémies à plasmocytes.
Soixante pour cent de ces tumeurs ont été recensées chez l'homme et la moyenne d'âge au diagnostic tous sexes confondus était de 72 ans. Parmi les 252 myélomes multiples identifiés, 80 % des cas ont été confir- més sur une preuve cytologique (myélogramme), 17 % sur une preuve histologique et 3 % sur une immunoglobuline monoclonale isolée. Plus de la moitié des myélomes étaient des myélomes à IgG (immunoglobuline G),26 % des myélomes à IgA, 16 % des myélomes à chaînes légères et 4 %
autres. Soixante quatre pour cent des patients avaient un myélome symp- tomatique selon la classification CRAB (Calcémia Renal Anemia Bones). Août 2013 Epidémiologie du myélome en Poitou-Charentes 2 Caractéristiques des patients (2008-2009) N=344 SexeHommes
Femmes
139 (60 %)
205 (40 %)
Moyenne d'âge au diagnostic
Répartition par classes d'âge
15-49 ans
50-74 ans
75 ans et +
72,1 [70,9;73,3]
14 (4 %)
174 (51 %)
156 (45 %)
Département de résidence
Charente
Charente-Maritime
Deux-Sèvres
Vienne
60 (17 %)
142 (41 %)
64 (19 %)
78 (23 %)
Tableau 1 : Caractéristiques des patients atteints de myélome multiple et maladies immunoprolifératives en Poitou-CharentesPrécisions. Le myélome multiple et les maladies immunoprolifératives regroupent plusieurs entités cliniques pouvant prendre le nom de gammapathies monoclonales malignes
formes de leucémie lymphoïde chronique sont associées à une immunoglobuline monoclonale sérique mais appartiennent à la catégorie des lymphomes malins non hodgki-
niens et ne seront pas présentées ici. Le myélome multiple, appelée également maladie de Kahler, est une maladie de la moelle osseuse caractérisée par la multiplication
dans la moelle osseuse d'un plasmocyte anormal, dont le rôle initial est de produire les anticorps (protéines appelées aussi immunoglobulines) dont l'organisme a besoin pour
se défendre contre les infections. Cette maladie peut être localisée au niveau osseux (plasmocytome osseux) ou dans un autre organe (plasmocytome extra-osseux), ou bien
la prolifération de cellules lymphoïdes (lymphocytes B) au niveau de la moelle osseuse, et plus rarement au niveau des ganglions et de la rate. Source et exploitation : Registre des cancers Poitou-CharentesIncidence (2008-2009)
Hommes Femmes Ensemble Hommes Femmes Ensemble
Taux bruts
12,0 7,6 9,7 6,8 5,3 6,0
Taux standardisés (Réf. Europe)
France (incidence 2005 [6] - mortalité 2007-09)Poitou-Charentes
Charente
Charente-Maritime
Deux-Sèvres
Vienne 6,9
7,6 5,7 8,9 7,37,9 4,4
4,4 4,2 4,5 4,34,4 5,7
5,8 4,8 6,4 5,65,9 3,4
3,9 3,6 4,1 4,13,9 2,2
2,3 2,7 2,5 1,82,0 2,7
2,9 3,1 3,1 2,7 2,8Taux standardisés (Réf. Monde)
France (incidence 2005 [6] - mortalité 2007-09)Poitou-Charentes
Charente
Charente-Maritime
Deux-Sèvres
Vienne
4,6 5,0 3,7
5,8 4,75,1 2,9 3,0 2,9
3,1 3,13,1 3,8 3,9 3,2
4,3 3,84,0 2,1 2,4 2,2
2,5 2,42,4 1,3 1,4 1,7
1,6 1,11,1 1,7 1,8 1,9
1,9 1,6 1,7Mortalité (2007-2009)
Sources : Registre des cancers Poitou-Charentes, Francim 2005 [6], Inserm CépiDc, Insee RP 2008 et 2009
Exploitations : ORS Poitou-Charentes, Registre des cancers Poitou-Charentes 3 Sources : Registre des cancers Poitou-Charentes, Inserm CépiDc Exploitations : Registre des cancers Poitou-Charentes, ORS Poitou-CharentesIncidence (2008-2009)
Hommes Femmes Ensemble Hommes Femmes Ensemble
Effectif 102 70 172 58 48 106
Age au diagnostic ou au décès (ans)
Moyenne [Intervalle de confiance à 95%]
Médiane (min-max)
71,7 [69,7;73,8]
73 (43-90)
72,3 [70,8;73,8]
73 (36-92)
72,1 [70,9;73,3]
73 (36-92)
75,1 [73,6;76,6]
76,6 [74,9;78,3
75,8 [74,6;76,9]
De 15 à 49 ans
De 50 à 74 ans
De 75 ans et plus 2 (2 %)
51 (50 %)
49 (48 %) 5 (6 %)
36 (52 %)
29 (42 %) 7 (4 %)
87 (51 %)
78 (45 %) 1 (1 %)
19 (33 %)
38 (66 %) 1 (1 %)
14 (30 %)
33 (69 %) 2 (1 %)
33 (31 %)
71 (68 %)
Département de domicile
Charente
Charente-Maritime
Deux-Sèvres
Vienne
16 (15 %)
43 (43 %)
20 (19 %)
23 (23 %)
14 (18 %)
27 (37 %)
13 (21 %)
16 (24 %)
30 (17 %)
70 (41 %)
33 (19 %)
39 (23 %)
11 (18 %)
22 (37 %)
13 (22 %)
13 (22 %)
10 (22 %)
20 (41 %)
8 (16 %)
10 (22 %)
21 (20 %)
41 (39 %)
21 (19 %)
23 (22 %)
Mortalité (2007-2009)
Octobre 2012
Epidémiologie du myélome en Poitou-Charentes Août 2013172 nouveaux cas et 106 décès annuels en région
Tableau 2 : Nombre de nouveaux cas et de décès par myélome multiple et maladies immunoprolifératives en Poitou-Charentes
Chaque année, 172 nouveaux cas et 106 décès dus à un myélome multiple ou une maladie immunoproliférative sont enregistrés en Poi-
tou-Charentes. Parmi eux, 55 % des décès et 59 % des nouveaux cas concernent des homme s. La moyenne d'âge au diagnostic est de72 ans et la moitié des cas surviennent avant l'âge de 73 ans. Avec une moyenne d'âge de 76 ans au moment du décès, le myélome
multiple et les maladies immunoprolifératives sont des cancers dont l'âge au décès est le plus élevé, après le cancer de la prostate.
des plasmocytomes et 1 % à des leucémies à plasmocytes. Aucune spécificité régionale et départementale par rapport à la FranceTableau 3 : Taux bruts et taux standardisés d'incidence et de mortalité du myélome multiple et des maladies immunoprolifératives selon le sexe
(pour 100 000 personnes-années)Les taux d'incidence standardisés sur la population mondiale observés en région Poitou-Charentes sont supérieurs à ceux estimés au
niveau national, mais sans différence significative. Les taux les plus élevés sont observés en Charente-Maritime et dans la Vienne.
Les taux départementaux et régionaux n'indiquent également aucune spécificité en terme de mortalité par rapport à la France. Cepen-
dant, sur la période 2007-2009, les taux de mortalité standardisés sur la population européenne sont légèrement plus élevés (limite de
significativité) en Poitou-Charentes qu'au niveau national.LES SOURCES
Données d'incidence
Les données d'incidence sont fournies par le recensement actif des nouveaux cas de cancer par le registre au sein de la population de Poitou-
Charentes, quel que soit le lieu de prise en charge. Les sources de notification des cas incidents de cancer sont multiples en région, sur les départe-
ments limitrophes et plusieurs structures d'attraction spécifiques en région parisienne (110 structures partenaires) : laboratoires d'anatomie et de
cytologie pathologiques et CRISAP Poitou-Charentes, départements d'information médicale des établissements de santé et CORIM Poitou-
Charentes, déclarations d'Affections de longue durée (ALD) du régime général de l'Assurance maladie, du régime social des indépendants (RSI) et
du régime agricole (MSA), fiches de réunion de concertation pluridisciplinaire en oncologie, et données de l'Enquête permanente cancer des CRLCC
limitrophes (Institut Bergonié et Institut de Cancérologie de l'Ouest). Avant leur exploitation statistique, les données médicales sont croisées, vérifiées
manuellement puis codées selon les standards nationaux et internationaux d'enregistrement (IACR, IARC, Francim). Les données sont disponibles
pour les années 2008 et 2009.Données de mortalité
Etablie à partir du certificat et du bulletin de décès, la statistique nationale des causes médicales de décès est élaborée annuellement depuis 1968
par le CépiDc de l'Inserm, en collaboration avec l'Insee. Les décès des personnes domiciliées au niveau régional et national sont enregistrés de ma-
nière quasi-exclusive. La période étudiée est 2007-2009.Données de population
Les données de population ont été fournies par le recensement de population de l'Institut de statistique et des études économiques (INSEE). La po-
pulation prise en compte dans cette fiche est la population moyenne sur la période 2008-2009.LES INDICATEURS
- le nombre de décès annuels moyens pour la période 2007-2009 et le nombre de nouveaux cas annuels moyens pour la période 2008-2009 pour la
région Poitou-Charentes, - le taux brut de mortalité (ou d'incidence) correspondant au nombre de décès (ou de nouveaux cas) pour 100 000 individus, - le taux de mortalité (ou d'incidence) standardisé TsM (standardisation sur la population mondiale de 1976 [7]) ou TsE (standardisation sur la popula-tion européenne) correspondant au nombre de décès (ou de nouveaux cas) sur 100 000 individus si la population étudiée (régionale ou départemen-
tale) avait la même structure d'âge et de sexe que la population de référence (mondiale ou européenne). Cette méthode de standardisation permet
de comparer les taux à des échelles géographiques et des périodes différentes. - le ratio mortalité sur incidenceest le rapport entre le nombre de décès observés sur 100 nouveaux cas observés sur la même période.
LES CODES ET LES NOMENCLATURES
Les causes de décès sont codées selon la 10ème
version de la Classification internationale des maladies (CIM-10). La topographie et la morphologie des tumeurs sont codées selon la Classification internationale des maladies en oncologie - 3ème
révision. Seuls les comportements invasifs sontconsidérés pour le calcul des taux d'incidence. Le tableau suivant précise les codes utilisés pour le myélome multiple et les maladies immunoprolifé-
ratives :METHODOLOGIE
17, rue Salvador Allende 86000 Poitiers
Tél. : 05 49 38 33 12
ors@ors-poitou-charentes.org www.ors-poitou-charentes.org6, rue de la Milétrie 86005 Poitiers
Tél. : 05 49 45 44 76
gautier.defossez@univ-poitiers.fr Ce travail a été financé par l'Agence régionale de la santé Poitou-Charentes dans le cadre de la convention d'objec- tifs et de moyens ORS/ARS (COM 2012-2013). Localisation cancéreuse Cim03 topo Cim03 morpho Cim-10Myélome multiple et maladies immunoprolifératives Toutes 97313 à 97343 ou 97603 à 97643 C88; C90
Références bibliographiques
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Août 2013 Epidémiologie du myélome en Poitou-Charentesquotesdbs_dbs23.pdfusesText_29[PDF] TUMEURS DU POUMON, PRIMITIVES ET SECONDAIRES
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