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Cahiers de la Méditerranée 84

15 juin 2012 Les chantiers navals en Ligurie du Moyen Âge à l'époque moderne (XIIe ... mais réelle – notamment sur les marchés levantins et antillais ...



CHAPITRE 3 L’ouverture atlantique : les conséquences de la

les Amérindiens dans les mines Le mythe de l’Eldorado attise l’avidité des colons ainsi que la découverte des mines d’argent du Potosí vers 1545 En effet ce métal est le plus exploité au XVIe siècle 3 La politique des encomiendas Les conquistadors regroupent des centaines d’Amérindiens dans un territoire





Lycée de Fonsorbes Y Bouvier - 2ndes

- l’eslavage avant et apès la onuête des Améiues ; - les progrès de la connaissance du monde ; - le devenir des populations des Amériques (conquête et affrontements évolution du peuplement amérindien peuplement européen métissage choc microbien) POINTS DE PASSAGE: - L’o et l’agent des Améiues à l’Euope - Bartolomé de



La littérature antillaise : une littérature de l’Amérique

La prise de conscience par les écrivains antillais de leur identité grâce à des mouvements comme Tindigénisme la négritude Tantillanité et la créolité a permis l'avènement d'une littérature qui affirme avec plus de force à chaque étape son ancrage américain

Pourquoi les Antilles ont-elles une histoire difficile ?

    Les Antilles ont une histoire difficile. Avant l’arrivée des colons en 1492, les îles étaient peuplés de pécheurs, chasseurs. Des ethnies qui avaient conquis les iles en prenant le bateau depuis les côtes ouest de la mer des caraïbes.

Qui a créé les Antilles ?

    Les premiers historiens des Antilles furent des Bretons, le jésuite Jacques Bouton, de Nantes (1640), et le dominicain André Chevillart de Rennes (1658) ; quelques « engagés » furent recrutés à Saint-Malo à partir de 1643 environ, mais les conquérants et les premiers colonisateurs des îles furent des Normands.

Quelle est l’histoire du mouvement ouvrier des Antilles francophones ?

    Mais il y eut des dizaines de tueries dans l’histoire du mouvement ouvrier des Antilles francophones. Commémorer les 22 et 27 mai 1848, et les grandes dates du mouvement ouvrier, ce n’est pas pleurer sur l’oppression. C’est se nourrir de l’exemple de grandes luttes pour renforcer nos luttes actuelles et à venir.

Quel est le coût de la vie aux Antilles ?

    Alors que les habitants sont nettement plus pauvres qu’en métropole, le coût de la vie est beaucoup plus élevé aux Antilles : les prix sont 12 % plus élevés aux Antilles qu’en métropole. L’alimentaire y coûte 42 % plus cher, la téléphonie 60 %. Un gel douche vendu 1,77 euros en métropole reviendra à 3,35 euros sur place.
Cahiers de la Méditerranée 84

Cahiers de la Méditerranée

84 | 2012

Travailler chez l'Autre en Méditerranée / Les constructions navales en Méditerranée

Édition

électronique

URL : http://journals.openedition.org/cdlm/6340

DOI : 10.4000/cdlm.6340

ISSN : 1773-0201

Éditeur

Centre de la Méditerranée moderne et contemporaine

Édition

imprimée

Date de publication : 15 juin 2012

ISBN : 978-2-914-561-58-7

ISSN : 0395-9317

Référence

électronique

Cahiers de la Méditerranée

, 84

2012, "

Travailler chez l'Autre en Méditerranée / Les constructions navales en Méditerranée » [En ligne], mis en ligne le 15 décembre 2012, consulté le 23 septembre

2020. URL

: http://journals.openedition.org/cdlm/6340 ; DOI : https://doi.org/10.4000/cdlm.6340 Ce document a été généré automatiquement le 23 septembre 2020.

© Tous droits réservés

SOMMAIRETravailler chez l'autre, travailler avec l'autre en Méditerranée (XIVe - XIXesiècle)IntroductionGilbert Buti et Olivier RaveuxTravailler dans une autre communauté de la diaspora au XIVe siècle

Corailleurs et médecins juifs entre Provence, Catalogne et Sardaigne

Juliette Sibon

Des échanges contraints aux échanges assumés. Malte et la Régence de Tunis dans la première modernité

Anne Brogini

Les hommes de la Compagnie royale d'Afrique au XVIIIe siècle. Une intégration illusoire

Olivier Lopez

Négociants d'expression allemande à Marseille (1750-1793)

Gilbert Buti

Mobilité et cosmopolitisme marchands. Les enseignements de la colonie française de Cadix (XVIIIe-XIXe siècles)

Arnaud Bartolomei

Être étranger dans un port franc. Droits, privilèges et accès au travail à Livourne (1590-1715)

Guillaume Calafat

Vivre chez l'autre, travailler sans lui? Les capotteri grecs de Venise, 1764-1804

Mathieu Grenet

L'espace européen du travail des verriers italiens, xvie-xixe siècle. Dynamiques et structures de migrations spécialisées

Corine Maitte

Maîtres de l'onde, maîtres des marchés et des techniques: les migrants catalans à Marseille

au XVIIIe siècle (1720-1793)

Daniel FAGET

Étrangers et transferts techniques au Maroc à l'époque moderne

Leila Maziane

Les techniciens européens dans l'Égypte de Muhammad 'Alî (1805-1848)

Ghislaine Alleaume

Les Espagnols au Maroc (1767-1860): le défi de travailler avec l'autre

Eloy Martín Corrales

Le rôle des étrangers dans la dynamique sociopolitique de la Tunisie (XVIIe-XVIIIe siècle). Un

problème d'historiographie

Abdelhamid Henia

Usages et résistances des ouvriers immigrés dans l'industrie marseillaise (1880-1914)

Xavier Daumalin

Cahiers de la Méditerranée, 84 | 20121

Les constructions navales en Méditerranée du Moyen Age au XIXe siècleIntroductionSilvia MarzagalliLes chantiers navals en Ligurie du Moyen Âge à l'époque moderne (XIIe-XVIe siècles)

Furio Ciciliot

Entre galères et vaisseaux. Armement et constructions navales en Ligurie au XVIIe siècle

Luca LO BASSO

Une tradition différente: La construction des navires de guerre à voile à Venise du milieu du

XVII e siècle au début du XVIIIe siècle

Guido Candiani

Recherches sur l'histoire de la pêche en Méditerranée: Tartanes de Provence, tartanes de

Vénétie, trabacs, modèles adriatiques pour la pêche à la traîne et le petit cabotage (XVIIe-

XVIII e siècles)

Maria Lucia De Nicolò

Types d'embarcations entre Gênes et Marseille à la fin de l'Ancien Régime. Quelques aperçus

à partir de la base de données Navigocorpus

Silvia Marzagalli

La construction navale traditionnelle provençale au XIXe siècle. Sources et méthodes

Laurent Pavlidis

Mediterranean Wooden Shipbuilding in the nineteenth century: Production, Productivity and Ship Types in Comparative Perspective

Apostolos Delis

Flottes et arsenaux dans l'affrontement turco-égyptien (1830-1840)

Daniel Panzac

Notes et travaux de recherches

La balance de commerce de la République de Venise : sources et méthodes

Alessandra Sambo

Cahiers de la Méditerranée, 84 | 20122

Comptes-rendusDavid Rousseau - Véronique Meyer, Marie-Luce Pujalte-Fraysse (dir.), Voyage d'artistes enItalie du Nord, xvie-xixe siècleThierry Couzin - Frédéric Barbier, Le rêve grec de Monsieur de Choiseul. Les voyages d'unEuropéen des LumièresMathieu Grenet - Maurits H. van den Boogert, The Capitulations and the Ottoman LegalSystem: Qadis, Consuls, and Beratl in the Eighteenth Century

Christian Windler - M'hamed Oualdi, Esclaves et maîtres. Les mamelouks des beys de Tunis du XVIIe siècle aux années 1880 Mathilde Cocoual- Frederick Cooper, Le Colonialisme en question: théorie, connaissance, histoire Florence Moatti - Marie-Claude Smouts (dir.), La situation postcoloniale: les postcolonial studies dans le débat français Joseph Martinetti - Géraldine Djament-Tran, Rome éternelle, les métamorphoses de la capitale

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Travailler chez l'autre, travailler avecl'autre en Méditerranée (XIVe - XIXesiècle)

Cahiers de la Méditerranée, 84 | 20124

IntroductionGilbert Buti et Olivier Raveux Origine du projet éditorial

1 Les textes rassemblés dans ce numéro des Cahiers de la Méditerranée ont été

pour la plupart présentés les 8 et 9 octobre 2010 à la Maison Méditerranéenne des Sciences de l'Homme à Aix-en-Provence, à l'occasion d'un colloque international intitulé "Travailler chez l'autre, travailler avec l'autre en Méditerranée, XIVe-XIXe

siècle». Cette rencontre scientifique était le fruit d'une collaboration entre

deuxlaboratoires de recherche, à savoir l'unité mixte de recherche TELEMME (Aix- Marseille université, CNRS) et le Centre de la Méditerranée Moderne et Contemporaine (université de Nice Sophia Antipolis). Depuis plusieurs années, ces deux laboratoires ont uni en effet leurs forces pour labourer en commun divers champs de la recherche historique, dont celui de l'histoire économique et sociale du monde méditerranéen aux époques moderne et contemporaine, en accueillant néanmoins, comme ce fut le cas pour ce colloque, des chercheurs venus d'autres horizons chronologiques et géographiques 1.

2 Ce colloque a pu se dérouler dans les meilleures conditions, grâce aux soutiens de ces

deux unités de recherche dirigées par Jean-Marie Guillon (UMR TELEMME) et Pierre- Yves Beaurepaire puis Silvia Marzagalli (CMMC). Il a bénéficié d'une subvention accordée par l'INSHS (Institut National des Sciences Humaines et Sociales) par le biais de la section 33 du CNRS (section "Formation du monde moderne»), d'aides

financières de l'université d'Aix-Marseille et du Conseil général des Bouches-du-Rhône,

ainsi que de la participation à la logistique de l'université de Nice Sophia Antipolis, avec notamment la prise en charge de cette publication.

Contours scientifiques

3 C'est une évidence, sinon une banalité de constater que la Méditerranée est un espace

d'échanges et un monde en mouvement. De nombreux travaux et plusieurs rencontres

Cahiers de la Méditerranée, 84 | 20125

scientifiques ont déjà abordé cette thématique selon diverses approches et différentsobjectifs faisant progresser sensiblement nos connaissances sur les mobilités des

hommes et nous permettant de définir au mieux les différents modèles de

déplacements: migrations individuelles ou collectives, mobilités circulaires, en chaîne ou fortuites, circulations forcées, suscitées ou volontaires. La gamme est large, les approches sont complexes, les connaissances renouvelées 2.

4 Cette circulation aux multiples visages, qui conduit à mettre en relation des hommes et

des femmes de multiples univers politiques, économiques et culturels, obéit à diverses motivations. Parmi celles-ci, dans les nombreuses haltes effectuées sur les rivages de la

Méditerranée, le travail, dans la diversité de ses formes et espaces, constitue

assurément un facteur déterminant de déplacements individuels ou collectifs, de

mouvements ponctuels ou cycliques, éphémères ou durables, voire définitifs,

d'individus ou de groupes, d'hommes seuls - pionniers ou défricheurs -, de familles ou de "nations». La Méditerranée constitue un espace-laboratoire de premier ordre pour étudier ces liens entre travail et déplacements humains et appréhender leurs conséquences économiques, techniques et socioculturelles. À l'intérieur de ce vaste champ d'études, qui ne saurait occulter la diversité profonde de l'espace considéré -

politique, religieuse, culturelle, économique... - ce dossier se veut porteur de

renouvellement des apports, des questionnements et s'attache, à partir d'études de cas, à explorer des éléments encore mal connus ou insuffisamment analysés. En effet, l'objet de cette publication n'est pas de présenter une étude supplémentaire des mouvements migratoires, comme il ne s'agit pas davantage de dresser un inventaire raisonné des routes, groupes de migrants, territoires de départ et sociétés d'accueil et moins encore de revenir sur le cosmopolitisme rêvé ou fantasmé des cités méditerranéennes en

général et portuaires en particulier. Cette mobilité humaine peut être analysée dans ses

diverses composantes à travers d'autres prismes, notamment à travers la question du travail effectué chez l'autre, avec lui, contre lui ou sans lui, dans une approche comparative et sur le temps long, du XIVe siècle au XIXe siècle. Le terme "travail» s'entend ici de manière très ouverte, comme toute forme d'activité qui mobilise l'énergie des individus pour gagner leur vie, sans privilégier un secteur particulier, que ces activités soient manuelles ou intellectuelles.

5 Les logiques de la prise de décision du départ et les caractéristiques de l'installation,

avec ses objectifs, ses moyens et ses résultats sont naturellement premières dans cette perspective. Le déplacement participe-t-il à une stratégie économique, à une façon d'utiliser l'espace comme une ressource? Dans le cadre des migrations liées au travail, comment expliquer les choix individuels ou les décisions retenues par un groupe? Comment lire la part prise par la situation de l'espace originel et celle des occasions offertes par la place d'accueil? Du besoin en main-d'oeuvre à l'activation d'un transfert de technologies porté par des hommes, la palette est large. L'impulsion et le signe du départ viennent souvent d'une rencontre entre une offre et une demande, une opportunité et un besoin, qui permettent de satisfaire les objectifs d'hommes issus des sociétés de départ et de répondre aux attentes de ceux des sociétés d'accueil. Si pertinent et opératoire soit-il, ce schéma n'est pas unique et la décision peut être

unilatérale. Ainsi en est-il de la traite et de l'esclavage, opérations avant tout décidées

et planifiées par les sociétés dites d'accueil. De même, l'introduction de savoir-faire et

la migration de marchands chargés de diffuser des produits peuvent être le fait de la

seule volonté des sociétés de départ quand elles ont pour but de créer un débouché et

Cahiers de la Méditerranée, 84 | 20126

de monopoliser une production, de dominer un métier, de fabriquer une niche ou un marché réservé que l'on ne trouve plus chez soi.

6 L'information, et sa diffusion, qui sont au coeur de ces questionnements, méritent

d'être examinées dans toute leur diversité, depuis la correspondance, qui sous-tend l'efficacité des réseaux marchands, jusqu'aux discours des "rémigrés» quand la documentation disponible en autorise la lecture. L'information détermine, par sa

qualité, le passage à l'acte - à savoir le départ - et conditionne bien souvent la réussite

des installations si les caractéristiques de la société d'accueil ont été appréhendées avec

justesse.

7 Dans une certaine mesure, les productions et les échanges marchands conduisent à

saisir la volonté de s'adapter, de s'intégrer ou de favoriser les interconnexions avec les populations locales. Toutefois, sur ce registre des contacts avec l'autre, où l'on pointe le désir de construire ou d'animer des réseaux et chaînes de solidarité, se perçoivent également des volontés de se différencier, de se maintenir en marge voire de refuser le

contact. Dès lors, il convient de voir si ces déplacements liés au travail sont connectés à

d'autres types de mobilités ou s'ils appartiennent à un ensemble articulé qui s'inscrit dans le cadre d'une multipolarité. Ce dernier point conduit à reprendre à nouveau frais les notions de colonies, de réseaux marchands, de maillons circulatoires, de nations, de groupes ethniques ou confessionnels...

8 Les questions du développement, de l'efficacité et de la pérennité des échanges noués

avec les individus et les groupes des sociétés d'accueil constituent un autre volet de

cette réflexion générale. Dans leurs nouveaux territoires, les migrants doivent gérer les

tensions quine manquent pas de surgir entre les nécessités de chercher un certain

niveau d'intégration et l'appartenance affirmée à la communauté d'origine qui

préserve l'identité, offre une protection, légitime un traitement spécifique et laisse la

porte ouverte à un paisible retour. La connivence avec les populations locales est-elle envisagée comme un moyen de compenser l'instabilité liée à tout déracinement? La confiance est-elle la seule manière de stabiliser les relations sociales? Ces questionnements incitent à être attentifs aux ressorts du travail en commun, aux modalités d'insertion dans les groupes, les lieux et les milieux professionnels. Le processus d'intégration connaît néanmoins des seuils, parfois infranchissables par les " locaux» comme par les venus d'ailleurs, que ces limites soient linguistiques, mentales, techniques ou juridiques. Toutes déterminent le cadre précis des échanges et les manières du "vivre ensemble et travailler ensemble», en somme du "vivre et travailler au pays... de l'Autre»!

9 La question de l'intégration, selon divers degrés et formes sans atteindre l'assimilation,

conduit inévitablement à poser celle des conflits. Il ne s'agit pas simplement de saisir les différents types d'oppositions, de frictions et d'incidents mais aussi, et peut-être surtout, de mieux comprendre les modes de gestion des conflits inhérents au "travail avec l'autre» et le rôle joué par les médiateurs et les institutions, sans pour autant remettre sur le métier les formes du vivre-ensemble connues par de nombreux travaux

de qualité. Il faut ici être à l'écoute des politiques - municipales ou étatiques - de

gestion des étrangers et attentifs aux intermédiaires et médiateurs chargés de gérer les

rapports avec les locaux dans le cadre de statuts professionnels et économiques différents, avec la présence de représentants officiels ou informels, qu'il s'agisse d'individus ou d'institutions. Cette perspective exige une attention de tous les instants portée au contrôle de la main-d'oeuvre, aux pouvoirs qui pouvaient lier entre eux desquotesdbs_dbs31.pdfusesText_37
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