[PDF] CORRIGE DS lecture sur PHEDRE : questions danalyse : Ai-je bien





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I – La mise en scène de Phèdre analyse de l'acte II



acte I scène 3 (laveu de Phèdre à Œnone : v.269-316) Introd

Fiche – lecture analytique : Phèdre (1677) J. Racine – acte I



1 Sénèque Phèdre laveu (vers 645 à 671) Hippolyte : Bien sûr

http://lewebpedagogique.com/asphodele/files/2016/04/LA_Ph%C3%A8dre_laveu_trad-et-comm.pdf



Lanalyse de « Phèdre »; Les trois aveux de Phèdre; Jean Racine

L'analyse de « Phèdre »; Les trois aveux de Phèdre; Jean. Racine. GRIN Verlag Œnone se suicide et Phèdre après avoir appris l'amour qu'Hippolyte.



COMMENTAIRE PHEDRE ACTE II SCENE 2 Au XVIIème siècle la

Dans cette scène Hippolyte annonce à Aricie la mort de Thésée et lui promet qu'il va lui restituer Athènes



Les aveux de Phèdre (vers 645 à 666)

11 mars 2016 Nous verrons qu'à travers Hippolyte Phèdre est amoureuse d'une jeunesse qui conjugue puissance et fragilité



Lecture analytique ( Acte 2 scène 2 )

L'acte I de cette pièce met en scène deux aveux symétriques à deux confidents : l'aveu d'Hippolyte à Théramène et l'aveu de Phèdre à Oenone. Cette.



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Elle est coupable de provoquer par son premier aveu à Hippolyte puis par son mensonge à Thésée



Laveu de Phèdre Phèdre est la seconde femme encore jeune

https://jean-rostand.anjou.e-lyco.fr/wp-content/uploads/sites/25/2018/08/un-extrait-c%C3%A9l%C3%A8bre-de-Ph%C3%A8dre-une-pi%C3%A8ce-de-Jean-Racine.pdf-6234.pdf



COMMENTAIRE DE TEXTE – PHEDRE JEAN RACINE (Acte II scène 5)

Hippolyte dans la conscience de Phèdre (Explication) Le lecteur comprend peu à peu le dilemme de Phèdre et observe impuissant l’arrivée de la confession qui semble involontaire Phèdre est alors comme portée par des forces invisibles c) Un aveu difficilement avouable

  • Phèdre, Acte II Scène 5 – Introduction

    Ecrite en 1677, Phèdre, pièce en cinq actes écrite par Jean Racine, traite des conséquences funestes de la passion amoureuse. Phèdre, femme de Thésée, est rongée par l’amour qu’elle porte à son beau-fils, Hippolyte. Dans la scène 5 de l’acte II, elle lui avoue sa flamme incestueuse, et son combat acharné et impuissant pour la combattre.

  • I – L’Aveu : Le Moment Où Tout Bascule

    A – Un aveu irrépressible

  • II – Une Héroïne Tragique

    A – La solitude de Phèdre

  • III – L’Influence Du Jansénisme et Du Classicisme

    A – La peinture d’une passion excessive…

Quelle est la relation entre Phèdre et Hippolyte ?

Dans la scène 5 de l’acte II, Phèdre et Hippolyte se rencontrent suite à l’annonce de la mort de Thésée. Phèdre qui se croit veuve avoue dans cette scène son amour pour Hippolyte. Problématique : Comment Racine nous expose la relation de Phèdre et d'Hippolyte dans cet aveu poignant ?

Pourquoi Phèdre a-t-elle demandé un entretien à Hippolyte ?

Phèdre a demandé un entretien à Hippolyte afin de plaider pour la protection de ses enfants, ce que son beau-fils lui accorde assez facilement, montrant ainsi sa grandeur d'âme. Mais suite à son accord, au lieu de se retirer, Phèdre est comme attirée par Hippolyte et saisit toutes les occasions pour continuer de parler avec lui.

Pourquoi Phèdre a-t-elle confessé son amour pour Hippolyte à Oenone ?

Au début de l'acte II, nous apprenons la mort de Thésée (fausse mort). Dans la scène 5 de l’acte II, Phèdre et Hippolyte se rencontrent suite à l’annonce de la mort de Thésée. Phèdre qui se croit veuve avoue dans cette scène son amour pour Hippolyte.

Qui a écrit la pièce Phèdre ?

Ecrite en 1677, Phèdre, pièce en cinq actes écrite par Jean Racine, traite des conséquences funestes de la passion amoureuse. Phèdre, femme de Thésée, est rongée par l’amour qu’elle porte à son beau-fils, Hippolyte. Dans la scène 5 de l’acte II, elle lui avoue sa flamme incestueuse, et son combat acharné et impuissant pour la combattre.

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Ai-je bien compris ? /8 pts

19) Qu'est-ce qui fait de Phèdre une héroïne tragique, victime et coupable à la fois ?

Développez en vous appuyant sur 4 scènes de la pièce. -Victime de sa passion, de la malédiction familiale, celle de Vénus, qui détruit Phèdre malgré elle et l'aveugle. " Fille de Minos et de Pasiphaé » = destin maudit ! Elle est plus humaine que monstrueuse aux yeux du spectateur : " Quand tu sauras mon crime et le sort qui m'accable, / Je n'en mourrai pas moins, j'en mourrai plus coupable. » - Phèdre (I,

3, v. 241-242) / est désignée I, 1 par Hippolyte comme " une femme mourante, et qui

cherche à mourir » : pas d'autre issue pour elle à sa passion coupable que la mort tragique.

Meurt empoisonnée à la fin, seule en scène. -La passion qui consume Phèdre est dépeinte comme une maladie de l'âme et du corps. Le

terme de fureur, c'est-à-dire de folie (c'est la signification du furor latin), est employé par la

reine elle-même, notamment lors de son aveu à Hippolyte. Phèdre compare d'ailleurs cet amour à un poison (vers 676). Le moyen qu'elle choisit pour mourir, "un poison que Médée apporta dans Athènes", revêt donc une grande importance symbolique : l'épée du héros, instrument de destruction des monstres, lui fut refusée, et c'est le venin, image de la passion, qui la tue.

-Phèdre est obsédée par sa faute et la conscience aiguë qu'elle en a : scènes avec Oenone

de l'aveu et de l'accusation mensongère. Phèdre se plie au stratagème d'Oenone, mentir devant Thésée, dénoncer Hippolyte comme coupable d'inceste, alors que c'est elle qui lui a fait ses aveux. Elle démissionne complètement, aveuglée par sa passion et rongée par la

jalousie, apprenant qu'Hippolyte en aime une autre. "Fais ce que tu voudras, je

m'abandonne à toi." (III, 3, vers 911). Son mensonge est à l'origine d'une succession de la colère de Thésée qui met à mort son fils, sans plus de preuve. Elle est coupable de provoquer par son premier aveu à Hippolyte, puis par son mensonge à Thésée, la mort du prince, et celle d'Oenone.

20) En quoi la passion de Phèdre est-elle une fatalité tragique dans cette pièce ?

-Dans cette pièce de Racine, la passion apparaît comme un sentiment supérieur à tout autre et contre lequel il est impossible de résister : l'amour soumet même le plus acharné des rebelles, la passion asservit Hippolyte et lui fait perdre son identité. On peut ainsi comparer le sentiment d'Hippolyte pour Aricie à celui de Phèdre pour Hippolyte : tous deux sont inexorables, mais l'amour d'Hippolyte est légitime et réciproque quand celui de Phèdre est criminel et incestueux.

-Phèdre subit une passion à la fois interdite et fatale. Malgré les efforts qu'elle a faits pour y

résister : voir aveu à Hippolyte, II, 5 : " C'est peu de t'avoir fui, cruel, je t'ai chassé. / J'ai

voulu te paraître odieuse, inhumaine./ Pour mieux te résister, j'ai recherché ta haine ». Le

désir semble la gouverner. Hors d'elle-même, elle ne peut résister à une force qui tend à lui

dicter ses gestes et ses paroles. L'amour semble aussi inexorable que la volonté des dieux, dont il incarne la malédiction

-la fatalité est l'enchaînement des événements qui échappent aux personnages, Phèdre,

Hippolyte, Oenone et Thésée : tous sont le jeu de la malédiction de Vénus. Du premier

aveu à Hippolyte, acte II, au retour de Thésée, acte III , et au mensonge d'Oenone, acte IV,

tout se précipite. Thésée, lui-même, un père peu présent, qui voit en Hippolyte un fils raté ,

peu digne d'être le héros qu'il a été, se laisse vite emporté par sa colère d'avoir été trahi

par ce fils indigne. Il n'enquête pas , mais réagi immédiatement aux paroles, équivoques de

Phèdre et au mensonge d'Oenone. La violence de la condamnation à mort auprès de Neptune, acte IV, surprend. Tous les personnages sont emportés par leur " fureur », et manquent de lucidité dans leur jugement. Enfin, Phèdre, acte IV, qui pouvait encore tout dénouer avec bonheur, en avouant son mensonge, se tait aveuglée par sa jalousie pour Aricie. Plus rien n'arrête la tragédie : Oenone se suicide de désespoir, Hippolyte se fait injustement massacrer, Thésée apprend trop tard de la bouche de Phèdre, déjà sous l'emprise du poison fatal, son erreur, père tourmenté à jamais. DONC un engrenage fatal d'événements qui dépassent l'héroïne : la mort supposée de

Thésée permet à la passion aveugle de Phèdre de céder à l'aveu de ses sentiments face

à Hippolyte et lui laisse l'espoir d'être aimée en retour. Mais Thésée revient, il faut alors

cacher ce terrible aveu qui la perdrait. Oenone ment pour protéger Phèdre, qui apprend qu'Hippolyte aime Aricie. Furieuse, elle confirme les dires d'Oenone qui font d'Hippolyte un être abject aux yeux de Thésée (a trahi la confiance de son père en convoitant sa propre femme). Enfin, Thésée aveuglé par la déception et la douleur d'avoir un fils indigne, le

condamne à mort par l'intermédiaire de Poséidon. La vérité arrive trop tard pour que la

mort du fils innocent soit évitée. Oenone se suicide, rejetée par sa maîtresse comme seule

fautive de la mort d'Hippolyte, et Phèdre s'empoisonne.

BONUS : + 2 pts

-Schéma actantiel : justifiez ! -Quels sont les opposants à Phèdre ?

Aricie = rivale/ Hippolyte = indifférent, rival du fils de Phèdre/ Passion aveugle de Phèdre

pour Hippolyte (malédiction de Vénus)/ aveuglement d'Oenone (la pousse à mentir à

Thésée)

-Quels sont ses adjuvants (aides) Oenone = la sert loyalement, cherche à la sauver

Thésée= la croit loyale et sincère

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