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Sorbonne Université
École doctorale 227 : Écologie et ÉvolutionObservatoire Océanologique de Banyuls-sur-Mer
Laboratoire de Biologie Intégrative des Organismes Marins (UMR7232) Équipe Génomique Évolutive et Environnementale du Phytoplancton Signatures métabolomiques et transcriptomiques deOstreococcus mediterraneus
Par Rémy Marcellin-Gros
Thèse de doctorat de Biologie
Présentée et soutenue publiquement le 11 Décembre 2020Devant un jury composé de :
Jouhet Juliette DR CNRS LPCV CEA Grenoble Examinatrice Li-Beisson Yonghua DR CNRS BIAM CEA Cadarache Rapportrice Michel Sylvie Pr. Université Paris Descartes COMETE Rapportrice Piganeau Gwenaël DR CNRS BIOM Directrice de thèseStien Didier DR CNRS LBBM Directeur de thèse
Suzuki Marcelino Pr. Sorbonne Université Examinateur Toulza Eve MCF Université de Perpignan IHPE Examinatrice Wolfender Jean-Luc Pr. Université de Genève PBNP ExaminateurA mes parents,
et AmandineREMERCIEMENTS
Les remerciements sont généralement les dernières lignes que . Ce sont aussi les plus dures car ce sont les plus personnelles et les plus attendues de toutes beaucoup de bonheur et de soulagement que je peux maintenant exprimer ma gratitude à toutes les personnes qui pour certaines depuis bien plus longtemps. Je tiens en premier lieu à remercier mes superviseurs Gwenaël Piganeau et Didier Stien ouvert les portes permis de me propulser dans recherche. Je leur en suis très reconnaissant. -Beisson, Sylvie Michel, EveToulza et Jean-Luc Wolfender.
, entouréplacé en soutien indéfectible. Merci Nigel et Hervé pour votre passion et votre bienveillance.
Je veux également remercier Gilles Mirambeau pour les discussions captivantes que nous avons fin de thèse. a été un véritable exemple et une humeur et ton goût pour la bonne musique. Vient maintenant le moment de remercier mes partenaires de bureau. Les personnes avec qui rtagé le plus de temps durant ces trois ans. Merci Mathilde pour ta gentillesse, ta bonne humeur et ta positivité à toute épreuve. Merciton âme de poète. Un grand merci à toi Laurie, ce fût une épopée exceptionnelle en ta présence !
beaucoup inspirés et encouragés de bons souvenirs. Merci Julie pour ta présenceavec une collègue aussi géniale ! Je te souhaite plein de courage et de réussite pour la suite !
Merci Marc, on se sera à chaque fois croisé, mais on aura humeur Je souhaite remercier Florence Piola, qui a eu un rôle déterminant enqui ont toutes contribué à faire de ces trois années une période exceptionnelle. Malgré les
meilleurs moments. Merci pour toutes les fêtes, les sorties, le sport, les randonnées, les parties
de volley sur la plage, de ping-pong, les pique-niques, les karaokés, les repas, tous les
anniversaires, les vacances à la montagne, au ski,9caves, à la vieille cave et dans toutes les caves de Banyuls. Je vais sans doute oublier du monde
mais merci Clément, Mattéa, Rafath (pour la danse du condor) un voisin formidablesuis là !), Evane, Fanny, Mathilde, Antoine, Julie, Grégoire, Paul, Valentin, Charlène, Pavla
(merci pour Dabbei), Leïla, Stéfan,Merci pour tout !
Je voudrais remercier mes amis de Lyon avec qui une partie de cette aventure àcommencé et qui sont toujours là ! Merci Nina, Thomas (pour les fous rires), Hélène, Bertrand
(pour les farfalles), Lucas et Nico. Vous êtes au top ! Merci Antoine être un ami proche et sincère, pour toutes nos sorties nocturnes festives, déguisées ou champêtres pour aller herboriser ou chercher des gammares. A très vite !Je voudrais te remercier vraiment très fort Pauline car tu as toujours été à mes côtés. Tu
as contribué à la réussite de ce projet par ton soutien permanent, ta perspicacité, ton
enthousiasme et ta douceur. Tu as su me faire Je garde en mémoire tous ces moments magnifiques, plein de surprises. Je te remercie pour tous ces souvenirs et ceux qui viendront. Merci enfin à mes parents, qui sont un modèle par leur persévérance et leur raffinement ennent.relever tous les défis. Merci Papa pour ta culture, ton éclectisme et ton enthousiasme. Je pense
que ce sont des qualités Merci attentionnée et génialeMerci pour votre soutien et votre amour.
a " Je cherche quelque gtemps oublié profond, les branches, avec ce geste hésitant des mains à hauteur du visage la sortie est un rond de lumière tout petit. »Alain Fournier. Le Grand Meaulnes, 1913
TABLE DES MATIERES
Résumé................................................................................................................... i
Liste des abréviations .......................................................................................... ii
Chapitre I Introduction ................................................................................... 1
1. Présentation du système biologique phytoplancton eucaryote-virus ........................................... 1
1.1. Le phytoplancton ................................................................................................................. 1
1.2. Le phytoplancton eucaryote ................................................................................................ 3
1.3. Archaeplastida : émergence de la lignée verte et des premières algues vertes .................... 6
1.4. Les Mamiellophyceae .......................................................................................................... 7
1.5. Phylogénie des virus des microalgues du phytoplancton eucaryote .................................... 9
2. Étude des interactions microalgues-virus .................................................................................. 14
2.1. Dynamique hôte-virus : la notion de phénotype immunitaire ........................................... 14
2.2. Les différentes étapes de ........................................................................ 17
2.3. Les caractéristiques génomiques de la résistance du système Ostreococcus-Prasinovirus 20
3. nteractions microalgues-virus ............................. 22
3.1. Méthodologie, définitions et concepts. .............................................................................. 22
3.2. ..................................... 24
3.3. Classification des lipides ................................................................................................... 27
3.4. Biosynthèse des sphingolipides ......................................................................................... 48
3.5. Biosynthèse des terpènes ................................................................................................... 53
3.6. Approche intégrative icroalgue-virus. ..... 58
4. Objectifs de la thèse .................................................................................................................. 63
Chapitre II Diversité métabolomique des Prasinophytes. Laphytoplancton eucaryote ?................................................................................ 67
1. Introduction ............................................................................................................................... 68
2. Results ....................................................................................................................................... 69
2.1. An Untargeted Holistic Analysis of Metabolomic Profiles ............................................... 69
2.2. Identification of the Major Metabolites and Detection of Chemotaxonomic Markers ...... 70
2.3. Phylogenetic Analysis and Metabolome-Based Taxonomy .............................................. 74
3. Materials and Methods .............................................................................................................. 76
4. References ................................................................................................................................. 78
Chapitre III Approche intégrative : du transcriptome au métabolome pour comprendre la régulation des gènes sur le métabolisme cellulaire dansle cadre de la résistance antivirale. .................................................................. 85
1. Introduction ............................................................................................................................... 85
2. Plan expérimental ...................................................................................................................... 87
3. Analyse transcriptomique des profils immunitaires résistants et sensibles au virus OmV2 ..... 89
3.1. Résultats ............................................................................................................................ 89
3.2. Conclusion ....................................................................................................................... 100
4. Analyse métabolomique de profils résistants et sensibles au virus OmV2 ............................. 100
4.1. Résultats .......................................................................................................................... 100
4.2. Discussion ....................................................................................................................... 110
5. : comprendre comment se traduit la
régulation des gènes sur le métabolisme cellulaire ......................................................................... 115
5.1. Lien gène-métabolite : preuve de concept ....................................................................... 117
5.2. : le cas des galactolipides ................................. 119
5.3. : le cas des phytostérols .................................... 131
5.4. : le cas des céramides .. 138
6. Conclusion ............................................................................................................................... 144
7. Matériels & Méthodes ............................................................................................................. 146
Chapitre IV Analyse métabolomique du virus OmV2 ............................. 1511. Introduction ............................................................................................................................. 151
2. Résultats & Discussion ............................................................................................................ 153
3. Conclusion & Perspectives ...................................................................................................... 158
4. Matériel & Méthodes ............................................................................................................... 159
Chapitre V Conclusions et perspectives de la thèse .................................. 163Références Bibliographiques .......................................................................... 175
Figures supplémentaires du Chapitre II ....................................................... 205
Figures supplémentaires du Chapitre III ..................................................... 219 Figures supplémentaires du Chapitre IV ...................................................... 237 iRESUME
Ostreococcus mediterraneus est un phytoplancton (microalgue) picoeucaryote à la basedes réseaux trophiques marins côtiers. Ce phytoplancton est soumis à des attaques virales de
grands virus nucléocytoplasmiques à ADN du genre Prasinovirus dont la souche Ostreococcus mediterraneus Virus 2 (OmV2) fait partie. Au sein de populations de microalgues es résistants.Les bases génétiques de cette résistance ont récemment été décrites chez Ostreococcus : elles
semblent véhiculées par un chromosome immunitaire atypique appelé SOC (Small Outlier Chromosome). Dans ce contexte nous avons cherché à caractériser les signatures visant à . Des métabolites lipidiques biomarqueurs(galactolipides, phytostérols, sphingolipides) de chaque profil immunitaire ainsi que les gènes
associés à leur métabolisme ont été identifiés. Ces données ont été mis en perspective des
sollicitées et détournées par le virus lors deABSTRACT
Ostreococcus mediterraneus is a picoeukaryotic phytoplankton (microalgae) at the base of coastal marine food webs. This phytoplankton is subject to viral attacks from large nucleocytoplasmic DNA viruses of the genus Prasinovirus, of which the Ostreococcus mediterraneus Virus 2 (OmV2) strain is a member. Within populations of microalgae sensitive to the virus, the spontaneous emergence of resistant immune phenotypes has been observed. The genetic basis of this resistance has recently been described in Ostreococcus: they seem to be carried by an atypical immune chromosome called SOC (Small Outlier Chromosome). In this context, we sought to characterize the metabolomic and transcriptomic signatures of this immunity through an approach that aims to correlate these two levels of expression. Biomarker metabolites and genes associated with the immune profiles have been identified. These data were put into perspective with the results of the metabolomic analysis of the virus in order to identify the metabolic pathways hijacked by the virus during infection. iiLISTE DES ABREVIATIONS
AAA : acide arachidonique
AAPT : aminoalcohol phosphotransférase
ACCase : acétyl-CoA carboxylase
ACD5 : accelerated cell death
ACP : protéine transporteur de chaines acyles
ACP : analyse en composante principale
AG : acide gras
Į-linolénique
AOC : allène oxyde cyclase
AOS : allène oxyde synthétas
APCI : ionisation chimique
ARA : acide arachidonique
AS : acide sialique
B ȕ-hydroxystéroïde-Į-carboxylate 3-déhydrogénaseBL : bétaïne lipide
BOC : big outlier chromosome
C CAR : récepteur à Coxsackievirus et AdenovirusCAS : cycloartenol synthase
CCT : cholinephosphate cytidylytransférase
CD4 : cluster de différenciation
CDI-PT : CDP-diacylglycérol-inositol 3-phosphatidyltransféraseCDP-DAG : cytidine diphosphate-diacylglycérol
CDP-ME : cytidyldiphosphate-méthylérythritol CD-PSS : CDP-diacylglycérol:sérine O-phosphatidyltransférase CDS : cytidine diphosphate-diacylglycérol synthaseCK : choline kinase
CMK : CDP-ME kinase
CMS : MEP cytidylyltransférase
CoA: coenzyme A
CPI : cycloeucalenol cycloisomérase
CS : ceramide synthase
CTP : cytidine triphosphate
CYP450 : cytochrome P450
CYP51 : stérol 14Į-déméthylase
CYP710A : stérol 22-désaturase
DDAF : decay-accelerating factor
DAG : Diacylglycérol
iiiDES : divinyl-éther synthétase
DGAT : Diacylglycérol transférase
DGCC : diacylglycéryl carboxyhydroxyméthylcholineDGDG : digalactosyl monoacylglycérol
DGDS : digalactosyl monoacylglycérol synthase
DGHS : diacylglycéryl homosérine
DGLA : dihomo-Ȗ-linolenic acid
DGTA : diacylglyceryl-hydroxymethyl-trimethyl-ȕ-alanine DGTS : diacylglycéryl-triméthylhomosérineDHA : acide docosahexaénoïque
DMAPP : diméthylallyl-pyrophosphate
dnOPDA : acide dinor-oxo-phytodiénoïqueDOPC : dioleoyl phosphatidylcholine
DOXP : désoxy-xylulose-5-phosphate
DPA : acide docosapentaénoïque
ǻ-sterol réductase
DWF5 : 7-déhydrocholestérol réductase
DXR : DXP réductoisomérase
DXS : DOXP synthase
EEAS : époxy alcool synthétase
ECT : éthanolaminephophate cytidylytransféraseEDA : acide éicosadiénoïque
EhV : Emiliania huxleyi Virus
EK : éthanolamine kinase
Elo : Élongase
ENR: énoyl-ACP réductase
EPA : acide éicosapentaénoïque
ESI : ionisation par électro-spray
ETA : acide éicosatétraénoïque
FFAT : acide gras-ACP thioestérase
FAX : acide-gras export
ǻ-stérol réductase
FPPS : farnésyl pyrophosphate synthase
GG1P : glucose-1-phosphate
G3P : glycérol-3-phosphate
GCS : glucosylcéramide synthase
GlcCER : glucosylcéramide
GLUT-1 : glucose transporteur 1
GIPC : glycosyl inositol-phosphorylcéramide
GIPC-PLD : GIPC-phospholipase D
iv HHD: 3-hydroxyacyl-ACP déshydratase
HDS : HMB-PP synthase
HDR : HMB-PP réductase
HPL : hydroperoxyde lyase
HR : réponse hypersensible
ȕ-hydroxystéroïde 3-déhydrogénase
HTLV-1 : human T-lymphotropic virus type I
hVLCFA : 2-hydroxylated very long chain fatty acidHYD : cholesténol ǻ-isomérase
IIg : immunoglobine
IPC : inositolphosphocéramide
IPP : isopentényl-pyrophosphate
IPCS : inositolphosphocéramide synthase
IPK : IP kinase
IPPI : IPP isomérase
IPUT : inositolphosphoryl-céramide glucuronosyl-transférase JJA : acide jasmonique
JAM KKAR: 3-kétoacyl-ACP réductase
KAS: 3-kétoacyl-ACP synthase
3-ȕ-hydroxystéroïde 3-déhydrogénase
KSR : cétosphinganine réductase
LLA : acide linoléique
LACS: longue chaine acyl-CoA synthétase
LC : longue chaîne
LCB : longue chaîne de base
LN : acide linolénique
LOH1-2-3 : gènes codant pour des céramide synthaseLOX : lipoxygénase
LPA : Acide Lyso-Phosphatidique
MMAG : Monoacylglycérol
MALDI : ionisation-désorption laser assisté par matriceMAP-kinase : mitogen activated protein kinase
MAT : malonyl-CoA:ACP transacylase
MECCP : méthylérythritol-2,4-cyclopyrophosphateMCS : MECCP synthase
MECR : mitochondrial énoyl-ACP réductase.
vMGAT : Monoacylglycérol transférase
MGDG : monogalactosyl monoacylglycérol
MGDS : monogalactosyl monoacylglycérol synthaseMOD : matière organique dissoute
MOP : matière organique particulaire
MpV1 : Micromonas pusilla Virus
PPA : acide phosphatidique
PAP : acide phosphatidique phosphatase
PC : phosphatidylcholine
PCD : programmed cell death, mort cellulaire programméePDAT : phospholipide:DAG acyltransférase
PDPT : phosphatidyl-S,S-dimethylpropanethiol
PE : phosphatidyléthanolamine
PEAMT : phosphoéthanolamine méthylatransférasesPG : phosphatidylglycerol
PGP : phosphatidyl-glycérophosphate
PGPP : phosphatidyl-glycérophosphate phosphatasePGS : CDP-DAG:G3P phosphatidyltransferase.
PL : phospholipide
PLMT : phosphatidyléthanolamine N-méthyltransférasesPME : phosphatidylmonométhyléthanolamine
PI : phosphatidylinositol
PS : phosphatidylserine
PSS I : Phosphatisylsérine Synthase I
PUFA : poly unsaturated fatty acid acide gras polyinsaturéPXG : peroxygénase
RRMN : résonnance magnétique nucléaire
SSDA : acide stéaridonique
SDC : sérine décarboxylase
SFV : Semliki Forest Virus
sGSL : sialic acid viral sphingolipid acide sialique estérifié sur un sphingolipide viralSIN : Sindbis Virus
SMO1-2 : 4,4-diméthylstérol C-Į-méthyl-monooxygénaseSMO2-Į-monométhylstérol monooxygénase
SMT1 : stérol 24-C-méthyltransférase
SMT2 : 24-méthylènestérol C-méthyltransféraseSOC : small outlier chromosome
SPT : sérine palmitoyl-CoA transférase
SQD1 : UDP-sulfoquinovose synthase
SQD2 : sulfoquinovose transférase
SQDG : sulfoquinovosyl diacylglycérol
SQM : squalène monooxygénase
SQS : squalène synthase
viǻ-stérol 5-désaturase
TTAG : triacylglycérol
TAM : Tyro3/Axl/Mer receptor
TIM : T-cell immunoglobulin-mucin
TIR-NB-LRR : toll interleukin 1 nucleotide-binding leucine-rich repeatTLC : Tram-Lag-CLN8
TOF : temps de vol
UUDP : uridine diphosphate
UGP3 : UDP-glucose pyrophosphorylase
UV : ultraviolet
VVFL : virus free lysat
VSV : Vesicular Stomatitis Virus
vii A viii A 1CHAPITRE I INTRODUCTION
1. PRESENTATION DU SYSTEME BIOLOGIQUE PHYTOPLANCTON EUCARYOTE-VIRUS
1.1.LE PHYTOPLANCTON
Le nom de phytoplancton provient des termes grecs phyton, plante et planktos, errante.Il désigne ainsi
(Reynolds, 2006). Ces organismes ont souvent une taille microscopique (0.4 à 200 µm) le plus souvent unicellulaire, parfois pluricellulaire. Les organismes du phytoplancton sont pour laplupart hétérotrophes vis-à-vis du carbone, certains étant aussi mixotrophes. Le phytoplancton
nutritifs : les eaux douces et marines, les sols, les surfaces enneigées et des environnements aquatiques aux paramètres physico-chimiques extrêmes (température, pH, salinité). un pourcentterrestre (Bidle and Falkowski, 2004), il constitue près de la moitié de la production primaire
nette annuelle de notre planète (Field, 1998). De fait, il capte 50% du dioxyde de carbone2014). Le phytoplancton marin joue ainsi un rôle fondamental dans la régulation des cycles
biogéochimiques et les transferts trophiques (Figure 1). La dynamique des populationsphytoplanctoniques est multifactorielle, elle repose sur un mécanisme de balancier entre
reproduction et pertes. Les pertes des individus au sein des populations sont dues en majorité à
la prédation mais aussi la mort naturelle des cellules, la disparition dans les étages inférieure
des océans, la compétition entre espèces et plus largement à Les virus (Brussaard, 2004). Ces fortes contraintes imposent un renouvellement régulier du phytoplancton pour balancer les pertes mais assurent un transfert trophique de matièreorganique vers les niveaux supérieurs absolument essentiel au fonctionnement des écosystèmes
marins (Worden et al., 2004, 2015). 2Figure 1. Schéma des relations trophiques entre les différents organismes planctoniques qui composent
la zone supérieure des océans. Les flèches indiquent les transferts trophiques et de matière. La fixation
du CO2 et sa transformation en matière organique est réalisée par différents eucaryotes
microorganismes duplancton (eucaryotes, bactéries, archaebactéries), y compris le phytoplancton. Les virus sont une force
majeure de renouvellement des populations planctoniques, induisant un relargage de matière organique
impliquant les bactériophages permet le maintien de la matière organique dans les niveaux trophiques
inférieurs. Les bactéries ainsi que le plancton hétérotrophe, le zooplancton et même le phytoplancton la
nuit participent à la respiration et au relargage de CO2 re (d'après Worden et al., 2015).Le premier organisme phytoplanctonique est
anoxygénique des cyanobactéries (procaryote) qui aurait acquis la fonction de photosynthèse (Buick, 2008). La photosynthèse oxygénique implique le captage du CO2 et . Le succès des une oxygénation progressive de permisélec
Phytoplancton
CO2 O2 CO2Plancton hétérotrophe
Zooplancton
Bactéries
MOD VirusBactériophages
MOD MOPBoucle
bactérienne 3 rendu possible lesuccès écologique des espèces aérobies et généré une explosion de la production primaire,
notamment dans les océans (Canfield et al., 2006; Holland, 2006).premiers organismes eucaryotes afin de protéger les cellules et son ADN de réactions
(Gross and Bhattacharya, 2010).1.2. LE PHYTOPLANCTON EUCARYOTE
est estimée à - endosymbiose primaire survenue il y a environ 1.6 : un eucaryotehétérotrophe aurait englobé une cyanobactérie photosynthétique (Yoon et al., 2004). La
cyanobactérie aurait été progressivement assimilée à la machinerie cellulaire de son hôte,
perdant et transférant une grande partie de son génome pour devenir un organitespécialisé dans la photosynthèse : le chloroplaste. De cette endosymbiose primaire émergea le
groupe des Archaeplastida regroupant les Glaucophyta, les Rhodophyta (algues rouges) et les Chlorophyta (Chloroplastida), dont sont issus les algues vertes et les plantes terrestres (Burki et al., 2020; Not et al., 2012) (Figures 2 et 3). Figure 2. Arbre phylogénomique des eucaryotes, adapté et al., 2020. Les zones colorées définissent les " supergroupes ».représentées en râteau (multifurcation). Les lignes en pointillés reflètent une incertitude quant à la
monophylie des groupes. Les étoiles indiquent la présence d phytoplanctoniques.Stramenopila
Alveolata
Rhizaria
Telonemia
SAR TSARHaptophyta
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