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Héritage et avenir

des francophones de V Ouest les actes du cinquième colloque du

Centre d'études franco-canadiennes

de l'Ouest tenu au Collège St-Thomas More

Université de la Saskatchewan

les 18 et 19 octobre 1986

Table des matières

Héritage et avenir des francophones de l'Ouest

Les actes du cinquième colloque du Centre d'études franco-canadiennes de l'Ouest tenu au Collège St-Thomas More Université de la Saskatchewan les 18 et 19 octobre 1985 (Saskatoon, 1986)

SOMMAIRE PAGES

Présentation

par Jean-Guy QUENNEVILLE...................................................................... s.p.

Table ronde "héritage et avenir"

avec Hubert BALCAEN, Hubert G. MAYES et Annette SAINT-PIERRE .... 1-9

Une Fransaskoise se raconte

par Lucille TESSIER....................................................................................... 11-17

Raymond Denis: l'homme et ses mémoires

par André N. LALONDE............................................................................... 19-27

Joseph Harvey: Poète-Laboureur 1898-1973

par Abbé Jean PAPEN................................................................................... 29-36

La métaphore théâtrale dans Sauvage, sauvageon de Marguerite Primeau

par Paul DUBÉ............................................................................................... 37-51

Le Vocabulaire de l'embarras d'argent dans La Détresse et l'enchantement de Gabrielle Roy

par Thérèse LAFONTAINE ........................................................................... 53-63

La Route d'Altamont et Who Has Seen The Wind: deux enfants des prairies face au mystère de la vie et de la mort

par Paulette COLLET..................................................................................... 65-75

L'Itinéraire spirituel de Jules Lamy

par Paul GENUIST......................................................................................... 77-88

Les Carmélites à Saint-Boniface (1912-1929)

par Edmond CORMIER................................................................................. 89-100

L'Émergence du diocèse de Prince-Albert

par Soeur Joséphine OUELLET...................................................................... 101-110

La question de l'origine des Indiens d'Amérique et la pensée de certains Pères oblats

par Gilles CADRIN........................................................................................ 111-124

D'hier à demain: rites de passage

par Réal GIRARD........................................................................................... 125-143

Les fonds français aux Archives de la Saskatchewan

par Ruth DYCK WILSON.............................................................................. 145-151

Origines et développement de la collection d'histoire de l'église catholique canadienne

par Brian HOGAN......................................................................................... 153-156

Le régime de réglementation à l'ouest du Manitoba après 1870: "La Petite République de St-Laurent."

par J.G. QUENNEVILLE................................................................................ 157-166

Louis Riel et l'opinion française spectrographie d'un phénomène de communication

par Raphaël PIERSON................................................................................... 167-174

Profil démographique des Canadiens français de la Saskatchewan:

1885-1985

par A.B. ANDERSON.................................................................................... 175-195

Le statut et l'avenir de L'education française en Saskatchewan

par Louis Y. JULÉ.......................................................................................... 197-212

Gestion scolaire pour les Fransaskois

par Gustave DUBOIS..................................................................................... 213-227

Projet d'évaluation des maternelles franco-manitobaines 1985

par Hermann DUCHESNE............................................................................ 229-236

L'Apprenant adulte du français langue seconde en Saskatchewan: à la recherche de son héritage ou en route vers l'avenir?

par Joan BOYER............................................................................................. 237-243

Support pédagogique pour le francophone isolé: l'enseignement à distance

par William Walter BOSTOCK...................................................................... 245-257

Présentation

Le thème, Héritage et Avenir des francophones de l'Ouest, délibérément choisi pour le cinquième colloque du Centre d'études franco-canadiennes de l'Ouest répondait à ce que déjà nous percevons être une renaissance de nos communautés culturelles françaises. Ce colloque, le deuxième de la série en Saskatchewan, vient confirmer notre volonté de passer de la survivance à un épanouissement. Cet automne, les 10 et 11 octobre, un sixième colloque nous amènera à la côte du Pacifique ou le "fait français" à l'université aura alors atteint sa dimension pan-canadienne. La tenue du cinquième colloque au Collège St-Thomas More de l'Université de la Saskatchewan, et la publication de ces Actes n'auraient très probablement pas eu lieu sans l'encouragement d'An nette Saint-Pierre et du CEFCO. Le dévouement de l'équipe de l'Unité de Recherches pour les études canadiennes-françaises, sur tout des Professeurs Monique Genuist, Paul Genuist, et Alan Ander son, en a assurer le bon déroulement. Remerciments sincères à l'équipe du Centre d'enseignements de langues secondes de l'Université de la Saskatchewan, y compris France Biackburn-Simard, le Dr. Joan Boyer, Antonella Bove- Graziani, et Myrna Holm. Merci particulièrement à la Directrice Frann Harris, qui nous a assuré un support constant et sans défaillance. Nous tenons aussi à remercier les autorités qui ont subventionné la tenue du colloque et la publication de ce volume: - Le Ministère fédéral du Secrétariat d'état, - Le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada, - Le Bureau de la minorité de langue officielle, Ministère de l'éducation de la Saskatchewan, - L'Université de la Saskatchewan.

Jean-Guy Quenneville

Table ronde

" héritage et avenir" avec

Hubert Balcaen, Hubert G.

May es, et Annette Saint-Pierre

Annette Saint-Pierre

Interpellée, moi aussi, par les mots " Héritage et Avenir," j'ai pensé partager avec vous une certaine inquiétude en me posant la question suivante: y a-t-il un avenir pour l'écriture dans l'Ouest? Je vous ferai grâce de l'introduction de mon sujet et mettrai en pratique le conseil par excellence pour un bon discours: placer la conclusion aussi près que possible de l'introduction. L'écriture! Pour la plupart d'entre nous, c'est la rédaction d'ar ticles plus ou moins longs et plus ou moins savants, de livres plus ou moins volumineux et plus ou moins érudits. Cependant, devant l'intérêt grandissant pour l'héritage de la francophonie dans l'Ouest, il faut se demander si nous investissons assez de temps, d'argent et de talent pour conserver, faire connaître et enrichir le capital social légué par nos devanciers. Sommes-nous satisfaits de notre apport? Savons-nous contenter la curiosité de ceux qui se tournent vers nous? Ou donnons-nous l'impression que nous n'avons rien à dire? Le problème de l'édition se pose immédiatement. Ici, en Sas katchewan, la naissance d'une nouvelle maison - Les Editions Louis Riel - est un témoignage qui nous apporte une bouffée d'air frais. On respire et on vit encore. Avec les autres pièces à conviction des deux maisons manitobaines, l'Ouest produira environ une vingtaine de titres par année. Du côté des hebdomadaires, la santé est assez bonne. Par con tre, au chapitre des périodiques, nous ne sommes même pas dans la course. Nous continuons à enrichir les revues Canadian Studies Quarterly, Voix et Images, Revue de l'Université d 'Ottawa, Histoire du Théâtre au Canada, etc., tout comme un bon locataire qui ne songe même pas à posséder sa maison...un jour.... Depuis que le diocèse de Saint-Boniface a cessé de publier sa revue, Les Cloches de Saint-Boniface, il reste que le bulletin du CEF- CO est le seul périodique francophone, je crois, à élever la voix au- delà des fontières. Le temps ne serait-il pas maintenant venu pour les centres d'études ou de recherches de "bâtir leur maison"? Si une revue plus prestigieuse nous attire davantage - et je ne blâme aucunement les signataires d'articles de la préférer au bulletin du CEFCO - pourquoi ne pas essayer de la créer, cette revue, que plusieurs d'entre nous souhaitent peut-être depuis longtemps? Je me souviens des commentaires de Gratien Allaire et de Paul Dubé lors du colloque d'Edmonton en 1982. Ma réaction, alors, avait été prudente pour ne pas dire négative. Cependant, depuis les réalisations d'Edmonton, de Régina, et de Saint-Boniface - Saskatoon fera ses preuves cette année - mes collègues au bureau de direction du CEFCO sont d'avis que la col laboration de ces mêmes centres pourrait être le levier nécessaire pour faire démarrer une revue de l'Ouest. L'heure étant venue de créer un comité de l'Ouest pour la tenue du colloque annuel, ne faudrait- il pas, en même temps, songer à un comité de rédaction pour une revue? Ce serait faire un pas dans un nouveau champ d'action. Si non, il y a danger de faire marche arrière parce que la direction du bulletin du CEFCO va s'essouffler à son tour. En effet, le bulletin en est à sa dernière année, dans la formule présente. Il a rempli son rôle en ouvrant des avenues et en créant des liens entre l'Est et l'Ouest. Un projet nouveau ne serait pas un feu de paille si tous nous acceptions d'investir du temps, de l'argent, et du talent pour la publication d'une revue qui serait "notre" revue. Il faut avancer avec prudence, j'en conviens, parce que les épitaphes que l'on pourrait ériger à la mémoire de revues canadiennes avortées ou mortes en bas

âge seraient assez nombreuses.

Par ailleurs, le besoin est là et il est urgent. Il s'agirait de jeter des fondations solides après avoir mis toutes les chances de notre2 côté. Ne pourrait-on pas profiter du colloque de Saskatoon pour soupeser les arguments positifs et négatifs concernant la création d'un périodique de l'Ouest francophone? Si le bilan de nos délibérations est plutôt négatif, rappelons-nous que la vie des gens de l'Ouest est encore tissée de ténacité, de persévérance, et d'entêtement. Ajoutons à ces qualités celle de l'en traide, de la prudence, et du respect de l'héritage reçu; et nous voici prêts à sceller nos promesses du premier colloque du CEFCO à

Saint-Boniface.

La tenue de colloques est une plume à notre chapeau. Il paraît que l'on ne devrait pas louer le mariage la troisième journée mais attendre à la troisième année pour en vanter les bienfaits. Pour ce qui est du regroupement des centres, nous pouvons nous féliciter du cinquième anniversaire de notre "mariage" puisque nous avons toutes les raisons de conserver des liens de plus en plus sincères et de plus en plus solides. Si nous sommes des gens de parole - et nous le sommes - ne pourrions-nous pas aussi être des gens de parole "écrite"? Cha que centre pourrait-il produire un numéro par année? La réponse est en nous. Et que diriez-vous de ce titre pour la revue: Héritage et A venir? Y a-t-il de l'avenir pour l'écriture dans l'Ouest? La réponse est en nous.

Hubert G. Mayes

Mes collègues au bureau de direction étaient d'avis qu'un anglophone pourrait apporter une contribution utile à cette table ronde. Au premier abord, l'idée a du mérite. Etant donné que c'est sur un continent à vaste majorité anglophone que l'héritage fran çais a été conservé, et que c'est au sein de cette majorité anglophone que l'avenir du français va se dérouler, une perspective anglophone pourrait s'avérer à propos. Mais un problème se pose: peut-on parler de "l'optique anglophone," comme s'il existait une seule optique qu'une seule personne serait capable d'exposer sans trop déformer la réalité? Vous savez la réponse aussi bien que moi. Trop de facteurs entrent en jeu pour que l'on puisse parler de la perspective anglophone: par exemple, l'âge du porte-parole, son origine ethni que, le lieu où il habite, son niveau d'instruction, sa religion, et j'en passe. Je vais donc m'en tenir à une optique individuelle - la mienne - et je vais vous avertir d'emblée que je me considère comme un3 anglophone tout à fait typique. Puisque je suis depuis mon adolescence un francophile impénitent, mon point de vue ne pour rait être, en aucune façon, impartial. Néanmoins, au cours des quel ques minutes dont je dispose je vais vous offrir plusieurs observa tions qui, j'espère, fourniront matière à réflexion et peut-être à discussion. Je vais commencer par affirmer sans ambages qu'il y a eu, malgré certains événements qui feraient penser le contraire, une évolution chez les anglophones de l'Ouest vers une plus grande com préhension du fait français. Lorsque je pense à mon enfance, passée dans des villages anglosaxons du Manitoba pendant les années trente et quarante, je me rends compte que nous vivions en vase clos en ce qui concerne la réalité française dans notre pays. C'était un milieu qui entretenait, de façon voilée, l'animosité qui avait opposé les Anglais aux Français depuis le temps de Jeanne d'Arc. Tout ce qui était français, et même tout ce qui était catholique, nous était présenté d'habitude comme étant étranger à notre monde et, par conséquent, suspect. On faisait peu de cas de la présence du Québec dans la Con fédération, et c'est à peine si on reconnaissait l'existence des plusieurs millions de Canadiens français qui constituaient à ce moment-là pres que le tiers de la population du pays. Wolfe était le seul héros de la bataille des Plaines d'Abraham, et Louis Riel, le traître et l'assassin qui méritait bien le sort qui lui était advenu. Nous chantions à pleins poumons The Maple Leaf Forever, où l'on affirme que "the thistle, Shamrock, rose entwine the maple leaf" et où il n'y a pas la moindre allusion à la fleur-de- lys. Pour nous, Saint-Boniface et la culture française de notre pro pre province étaient presque complètement inconnus, et même le village de Saint-Lazare, qui se trouvait à treize milles de notre village, était une terra incognito que nous n'avons jamais songé à visiter. Et aujourd'hui? Bien sûr, cette ignorance et cette bigoterie ex istent encore dans bien des localités, parfois sous une forme virulente,quotesdbs_dbs26.pdfusesText_32
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