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Formulaire ACT modèle PM Forpro-tableau ARIAL

DOSSIER DE DEMANDE D'ATTRIBUTION. D'UN PASSEPORT MOBILITE FORMATION PROFESSIONNELLLE 2011/2012. ? Projet d'insertion professionnelle. ? Concours.



(LSE spéciale jeunes 2)

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24 nov. 2009 de la Formation et de l'Orientation d'Ile-de-France » du 25 février 2014 sur les enjeux de la réforme professionnelle complètent ce dossier ...

(LSE spéciale jeunes 2)

La lettre des services de l'Etat, spéciale jeunes - Décembre 2012 - n°1 Page 1 sur 14

L"État en Martinique

La lettre des

services de l"État

Spéciale Jeunes

Propos introductifs

Situation des jeunes Martiniquais,

septembre 2012

Les résultats aux examens, juin 2012

Les accompagner vers

l'emploi

Le nouveau contrat d'avenir

Le contrat d'apprentissage

Le contrat de professionnalisation

Les accompagner vers la

formation

Les aides à la mobilité de LADOM

Les filières du RSMA - rentrée 2ème

semestre 2012 ZOOM

Les plates-formes de décrochage

scolaire

S'engager avec le service

civique

Le dispositif du Service civique :

missions, bilan, où se renseigner ZOOM

Les lauréats de l'Institut du Service

civique

Expérimenter des actions

innovantes pour s'insérer

Les actions soutenues par le FEJ

Sommaire

Novembre 2012

Édito

Parce qu'il nous faut faire face aux difficultés sans cesse croissantes de la jeunesse

martiniquaise, dans un contexte économique difficile, l'État a placé les jeunes au coeur de ses préoccupations et de ses interventions. Les jeunes Martiniquais sont particulièrement touchés par la dégradation du marché du travail. Dans notre région, plus de 6488 jeunes étaient en recherche d'emploi fin septembre 2012. En un an, leur effectif a augmenté de 5,6%. Pour faire face à cette situation, plusieurs mesures et dispositifs sont mis en oeuvre par les pouvoirs publics. J'ai souhaité, à travers ce numéro Spécial Jeunes de la Lettre des

Services de l'État, illustrer par quelques exemples concrets, la diversité des actions

menées par l'État, en collaboration avec les collectivités et les acteurs locaux, et vous en

montrer quelques résultats. Il m'a semblé important de vous rappeler certaines mesures et dispositifs mobilisables, aux côtés de l'État, pour accompagner les jeunes dans leurs parcours, de la formation initiale, déterminante pour les choix que feront nos jeunes pour construire leur avenir, aux dispositifs d'accompagnement et de formation tout au long de la vie, offrant à chacun la possibilité d'avoir une " seconde chance », afin de favoriser leur mobilité sociale. Pour renforcer l'action de l'État et de ses partenaires face au chômage des jeunes, le gouvernement a pris des mesures nouvelles, au premier rang desquelles le dispositif des emplois d'avenir, institué en octobre 2012. En Martinique, les premiers emplois d'avenir ont été signés le 27 novembre 2012, avec 4 maires, une association et une entreprise. Ces contrats visent à faciliter l'insertion professionnelle et la qualification des jeunes qui connaissent des difficultés particulières

d'accès à l'emploi. L'objectif est de favoriser leur recrutement dans des activités à

caractère d'utilité sociale ou environnementale ou avec un réel potentiel de création d'emploi et répondant à une forte demande peinant jusqu'alors à être satisfaite. Dans le même temps, la mobilisation se poursuit, autour des formations en alternance, pour permettre aux jeunes d'entrer dans cette voie qui a fait ses preuves en termes d'insertion. Ce numéro est également l'occasion de mettre en valeur les réussites de notre jeunesse,

qu'il s'agisse des bons résultats au baccalauréat pour l'année 2012 ou de l'intégration de 2

lauréats martiniquais à l'Institut National du Service civique. Dans ce contexte difficile et pour répondre aux enjeux soulevé s par l'avenir de la jeunesse, notre responsabilité est forte et nous ne pourrons y répondre sans la

mobilisation de tous : État, entreprises, société civile, collectivités, organisations

socioprofessionnelles... et bien sûr celle des jeunes eux-mêmes. Laurent PREVOST, préfet de la région Martinique

La lettre des services de l'Etat, spéciale jeunes - Décembre 2012 - n°1 Page 2 sur 14

L"État en Martinique

> La situation de l'emploi des jeunes en Martinique - (source : Pôle Emploi)

6 488 jeunes demandeurs d'emploi inscrits au

Pole Emploi fin septembre 2012.

Ils représentent 13% du total des demandeurs d'emploi (catégories A, B, C). Sur un an, leur effectif a augmenté de 5,6 %. La durée moyenne d'ancienneté au chômage des jeunes est de 267 jours. Si la part des jeunes femmes au chômage reste la plus importante, elle a cependant moins progressé que celle des jeunes hommes. > Les résultats aux examens 2012 de l'académie de Martinique - (source rectorat) Des résultats en hausse mais encore inférieurs à la moyenne nationale Dans l'ensemble, l'Académie obtient des résultats en hausse par rapport à la session 2011; exceptés pour le bac professionnel (-2,7 points) et le BEP (-0,5 point). Concernant les taux de réussite à la hausse du DNB (brevet), du Bac général et du Bac technologique, leur évolution est plus marquée dans l'académie qu'au niveau national (hors Mayotte) ; par exemple +3,6 points en bac général et technologique en Martinique contre 1,3 points au niveau national. Pour le bac professionnel : le taux de réussite en baisse (-2,7 points) "suit" la tendance nationale (-6 points);

mais est moins importante dans l'académie. Tous bacs confondus, le taux de réussite de l'académie

augmente légèrement de 1 point (+1,2) alors qu'au niveau national, il recule de 1 point (-1,1). Les résultats demeurent inférieurs à la moyenne nationale, mais l'écart tend à diminuer ; en effet pour le bac professionnel, en 2011 l'écart par rapport au national (hors Mayotte) est de -5,2 points contre -1,9 points en juin 2012, et pour le bac technologique, l'écart passe de -11 points à -7,2 points.

Propos - introductifs

Sept 2011 Sept 2012 Variation sur

un an

Hommes 2862 3083 7,70%

Femmes 3288 3405 3,80%

Le chômage des jeunes par sexe

La lettre des services de l'Etat, spéciale jeunes - Décembre 2012 - n°1 Page 3 sur 14

L"État en Martinique

> En mobilisant dès 2012, les emplois d'avenir

1500 emplois d'avenir en Martinique en 2012- 2013,

pour proposer des solutions d'emploi et d'accès à une qualification aux jeunes peu ou pas qualifiés

qui ne parviennent pas à s'insérer.

La mise en oeuvre des emplois

d'avenir constitue une des concrétisations, en région, de l'action gouvernementale en faveur de la jeunesse. Ces emplois s'inscrivent dans le cadre du contrat unique d'insertion (CUI), contrat d'accompagnement dans l'emploi (CAE) pour le secteur non marchand et contrat initiative emploi pour le secteur marchand (CIE).

Ces nouveaux emplois seront

créés dans des activités présentant un caractère d'utilité sociale ou environnementale ou susceptibles d'offrir des perspectives de croissance et de recrutement dans les années à venir. Les emplois se concentreront notamment sur les filières " vertes », les secteurs social et médico-social, les métiers d'aide aux personnes, le numérique, l'animation culturelle, sportive et de loisirs, le tourisme... Ces emplois appartiennent pour l'essentiel

au secteur non marchand (secteur associatif, secteur sanitaire, collectivités territoriales, secteur hospitalier, secteur éducatif, éducation populaire...). Ces nouveaux emplois pourront également être crées par certaines entreprises du secteur marchand en encourageant les

expérimentations innovantes, dans le cadre des dispositions législatives et réglementaires afférentes

Public visé par ces emplois :

Les jeunes de Martinique, âgés de

16 à 25 ans, sans qualification ou

peu qualifiés mais rencontrant des difficultés particulières d'accès à l'emploi, et en priorité ceux qui résident soit dans les zones

urbaines sensibles, soit dans les territoires dans lesquels les jeunes connaissent des difficultés particulières d'accès à l'emploi. A titre exceptionnel, pour les

départements d'Outre-mer, sont éligibles au dispositif les jeunes diplômés du supérieur.

Les personnes bénéficiant de la

reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé et remplissant ces conditions peuvent accéder à ce programme lorsqu'elles sont âgées de moins de trente ans.

L'État, la Région et le

Département ont souhaité

conjuguer leurs interventions pour faciliter l'insertion professionnelle des jeunes de

Martinique en s'appuyant sur ces

nouveaux emplois. Une convention cadre a été signée le

27 novembre dernier, officialisant

le début de ces nouveaux emplois en Martinique

Prise en charge par l'État : Simulation p

emploi temps plein secteur non marchand

Rémunération brute mensuelle

(niveau SMIC) 1425 €

Montant de l'aide 1070 €

Reste à payer pour l'employeur

sur la rémunération brute 356 €

Accompagner nos jeunes vers l'emploi

décret n° 2012-1210 du 31octobre 2012 travail-emploi.gouv.fr/emplois-d- avenir,2189/

DIECCTE : 05 96 71 15 00

Signature le 27 novembre 2012 d'une convention pour le financement des 1500 emplois d'avenir de la Martinique, entre l'Etat, la Région et le Département, en présence des 33 premiers jeunes bénéficiant de ce contrat et des 6 employeurs

Secteur

marchand

GEIQ Secteur

non

Marchand

CDD CDI GEIQ

CDD GEIQ CDI

État 75 % 35 % 35 % 47 % 47 %

Aides CG

+ CR 15 % 15 % 20 % 15 % 20 % Total

Aides 90 % 50 % 55 % 62 % 67 %

La lettre des services de l'Etat, spéciale jeunes - Décembre 2012 - n°1 Page 4 sur 14

L"État en Martinique

> En mobilisant le contrat d'apprentissage Début septembre 2012, 2000 apprentis sont accueillis par les 4 CFA de Martinique.

Pour la rentrée 2012/2013 de

nouvelles formations ont été ouvertes par les CFA sur des filières porteuses d'emploi : 5 BTS

(électrotechnique, technico-commercial, étude et économie de la construction, etc.), 1 BAC Pro et 1CAP, et pour les CFA

Métiers : Bac Pro réparation

carrosserie, BP Boulanger. Quelques repères pour bien comprendre le contrat d'apprentissage

Les avantages de ce contrat

Pour les apprentis

Obtenir un diplôme dans une situation de travail et en étant rémunéré.

Avoir la possibilité d'enchaîner plusieurs contrats afin de préparer plusieurs diplômes successifs ou complémentaires.

Être accompagné par un maître d'apprentissage qui facilite l'insertion dans l'entreprise.

Pour les entreprises

Recruter un salarié motivé en bénéficiant de conditions avantageuses, en effet, le salaire de l'apprenti n'est pas soumis à cotisations salariales (salaire net égal au salaire brut) et le salaire de l'apprenti n'est pas imposable, dans la limite du SMIC.

Assurer une transmission des savoir-faire et un accompagnement grâce aux maîtres d'apprentissage.

Objectif

Permettre à un jeune de suivre

une formation générale, théorique et pratique, en vue d'acquérir une qualification professionnelle sanctionnée par un diplôme ou un titre professionnel.

Public

Les jeunes de 16 à 25 ans.

Les entreprises relevant du

secteur artisanal, commercial, industriel, agricole ainsi que les entreprises du secteur du travail temporaire et le secteur du travail saisonnier.

Les employeurs du secteur public,

du milieu associatif et des professions libérales.

Type de contrat

Contrat de travail de type particulier,

sa durée est comprise entre 1 et 3 ans, et peut éventuellement être adaptée en fonction du niveau initial du salarié et dépend du titre ou diplôme préparé.

La durée maximale peut être portée

à 4 ans pour les travailleurs

handicapés.

Durée du travail

Le temps de travail de l'apprenti

est identique à celui des autres salariés de l'entreprise incluant le temps de présence en centre de formation d'apprentis.

La rémunération

Le salaire minimum perçu par

l'apprenti correspond à un pourcentage du SMIC ou du salaire minimum conventionnel correspondant à l'emploi occupé s'il est plus favorable. Elle varie en fonction de l'âge et progresse chaque année d'exécution du contrat.

Le rôle du maître

d'apprentissage

L'apprenti est obligatoirement

guidé par un maître d'apprentissage, justifiant d'une expérience professionnelle et d'une qualification suffisantes.

Sa mission : contribuer à

l'acquisition par l'apprenti des compétences nécessaires à l'obtention du titre ou du diplôme préparé, en liaison avec le CFA. Visite du LEGTA Croix Rivail, formation agricole 2012 Quelques indicateurs sur les apprentis en Martinique

Âge de l'apprenti Année d'exécution

du contrat - de 18 ans De 18 à - de 21 ans 21 ans et plus

1re année 25 % 41 % 53 %

2e année 37 % 49 % 61 %

3e année 53 % 65 % 78 %

4e année* 68 % 80 % 93 %

La 4e année est uniquement prévue pour les personnes handicapées

DIECCTE : 05 96 71 15 00

La lettre des services de l'Etat, spéciale jeunes - Décembre 2012 - n°1 Page 5 sur 14

L"État en Martinique

> En mobilisant le contrat de professionnalisation

164 contrats signés au 31 août 2012 (85 % ont été signés avec des jeunes de moins de 26 ans)

Mise en place par la loi n° 2004-

391 du 4 mai 2004 relative à la

formation professionnelle et au dialogue social, le contrat de professionnalisation est entré en vigueur le 1 er octobre 2004.

Le contrat de professionnalisation

unifie le dispositif des contrats d'insertion en alternance. Il remplace les contrats de qualification, d'adaptation et d'orientation.

Objectifs

Favoriser l'insertion et la réinsertion professionnelle du public concerné

Permettre l'acquisition d'une qualification professionnelle reconnue par l'Etat au par les branches professionnelle.

La durée du contrat est

comprise entre 6 et 12 mois et peut aller jusqu'à 24 mois dans certains cas et peut être

également en CDI.

Les bénéficiaires

Le contrat de professionnalisation

s'adresse aux : Jeunes âgés de 16 à 25 ans Demandeurs d'emploi âgés de plus de 26 ans.

Bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA) de l'allocation de solidarité spécifique (ASS) ou de l'allocation aux adultes handicapés (AAH).

La rémunération est

fonction de l'âge et du niveau de formation initial (au moins 55 % du SMIC).

Les employeurs

Les entreprises du secteur

artisanal, commercial, industriel, libéral et associatif ainsi que les

établissements publics industriel et

commerciaux peuvent conclure un contrat de professionnalisation.

Les employeurs bénéficient d'une

exonération des charges patronales de sécurité sociale d'une part, et d'une prise en charge des formations du salarié d'autre part.

Les contrats de

professionnalisation en

Martinique.

Depuis la mise en place du

dispositif plus de 2600 contrats ont été signés en

Martinique.

En 2010, 472 personnes ont

bénéficié d'un contrat de

professionnalisation. 53 % des bénéficiaires sont des femmes et 76 % sont des jeunes de -26 ans.

Le commerce, les services, l'industrie et l'hôtellerie sont les principaux secteurs d'activités qui ont embauchés en 2010. Ces 4 secteurs totalisent plus de la moitié des contrats signés. Le commerce et la vente sont les principaux domaines de formation, viennent ensuite la comptabilité, la gestion et le secrétariat bureautique.

Pour le 1

er trimestre 2012 une centaine de contrat de professionnalisation ont été signés, ce qui nous amène en terme de prévision pour la fin de l'année à un chiffre équivalent à celui de 2010.

DIECCTE : 05 96 71 15 00

La lettre des services de l'Etat, spéciale jeunes - Décembre 2012 - n°1 Page 6 sur 14

L"État en Martinique

> Les aides à la mobilité de LADOM

La loi du 27 mai 2009 pour le développement économique des Outre-mer (LODEOM) a créé un fonds

de continuité territoriale pour le financement de l'aide à la mobilité des personnes ayant leur

résidence habituelle en Martinique Depuis 2009, la gestion du fonds de continuité territoriale est confiée par l'État à L'Agence De l'Outre-mer pour la Mobilité. LADOM (ex : ANT) est un opérateur de l'État intervenant dans le domaine de la mobilité et de la continuité territoriale placé sous la double tutelle du Ministère de l'Outre-mer et du Ministère du Budget. L'agence accompagne les chefs d'entreprise dans leur politique de recrutement.

Le fonds de continuité territoriale finance :

le passeport mobilité formation professionnelle pour les personnes ayant un projet d'insertion professionnelle ; le passeport mobilité études pour les étudiants ; l'aide à la continuité territoriale pour tout public. Le bénéfice de ces aides est soumis à des conditions de résidence, de ressources et de non cumul entre elles sur une année. Le passeport mobilité formation professionnelle Cette aide est attribuée d'une part, aux personnes de plus de 18 ans poursuivant une formation professionnelle, en dehors de leur collectivité de résidence, faute de disposer dans celle-ci de la filière dequotesdbs_dbs32.pdfusesText_38
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