Agrandissement – Réduction Exercices
largeur 5 cm et de hauteur 3 cm. 1) Déterminer le volume V? du pavé P? La tour Eiffel a une masse d'environ 7200 tonnes pour une hauteur de 320 m.
Catalogue Produits Métallurgiques & Fournitures associées
KDI présente une offre constamment adaptée aux besoins d'une clientèle diversifiée PME et grands groupes
Du sémaphore au satellite
Il y a cent cinquante ans environ lorsque les bras du télégraphe optique s'agitaient de relais pour la transmission de nos messages; voilà comment se ...
Cahier dexercices en 6
Dans ce recueil on trouvera 1 042 exercices pour la classe de 6e. Quelle est la masse de raisin reçu? ... La Tour Eiffel mesure 317
Analyse du comportement et modélisation de structures souples de
Apr 23 2012 La mise en place d'écrans de filets pare-pierres est une des solutions possibles pour la protection contre les éboulements rocheux. Cette thèse ...
Rapport technique
t.km : unité utilisée dans les transports pour comparer les modes de A4 (500 feuilles) soit 2650 m de hauteur (8 fois la hauteur de la Tour. Eiffel…).
BIBLE MATERIEL
8 -? 10 rue Gustave Eiffel -? ZI des Noues de Seine -? 91350 Grigny -? Foreuses ? 5 tonnes : ... Automate programmable pour l'injection – JEAN LUTZ ...
Untitled
1 BANC DE PRÉ-ÉTIRAGE capacité 250 T pour longueurs supérieures à 100 m ... SAS G.Fargamel - 44 avenue Gustave Eiffel - CS 30066 - 33615 PESSAC Cedex.
GUIDE PÉDAGOGIQUE
– un ou deux exercices d'évaluation (ou une fiche d'évaluation à photocopier pour faciliter le travail de l'enseignant). Au début de ce guide nous proposons
RAPPORT DACTIVITÉ BUSINESS REVIEW
Jan 1 2013 de cessions à hauteur de 120
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Du sémaphore
au satellite sémaphore au satelliteDu sémaphore au satellite
Ce volume est publié
à l'occasion du centenaire de l'Union
internationale des télécommunications Publié par l'Union internationale des télécommunicationsGenève 1965
Du sémaphore au satellite
Introduction
Préfacelre Partie - Le télégraphe
et le téléphone (de 1793 à 1932)Les précurseurs 11
Les pionniers du télégraphe 25
Débuts de la coopération
internationaleParis - 1865 51
L'oeuvre novatrice de
l'Union télégraphique 63Taxes télégraphiques,
priorités et codes 77Le téléphone 91
Le Règlement téléphonique 103IIe Partie - La radio (de 1888 à 1947)Les inventeurs de la
télégraphie sans fil 117La radio fait ses premiers
pas sur la mer 129Les conférences radiotélé-
graphiques internationales 143Madrid - 1932 159
Les guerres: périodes
de crise pour les télécommunications171 183Atlantic City - 1947
Les fréquences radioélec-
triques et le Règlement des radiocommunications 193IIIe Partie - L'Union après un siècle d'existence (de 1947 à 1965)L'Union et son secrétariat 205
Le Comité consultatif inter
national télégraphique et téléphonique (C.C.I.T.T.) 215Le Comité consultatif inter
national des radiocommuni cations (C.C.I.R.) 229La Liste internationale des
fréquences et le Comité international d'enregistre ment des fréquences (I.F.R.B.) 247L'assistance aux pays
nouveaux et en voie de développement 261Les télécommunications dans
les activités gouvernemen tales, l'industrie et la vie privée 275Les télécommunications
spatiales 283ConclusionsLe fruit d'un siècle
d'existence 305Incidences sociales des
télécommunications 315L'avenir 327
Liste des membres et
membres associés de l'U.I.T. 337Provenance des
illustrations 339Bibliographie 3435
Philofophical
EXPERIMENTS
A U DOBSERVATIONS
Of the late Eminent
Dr. ROBERT HOOKE,
S. R. S.
And Geom. Prof. Grejb.
ANDOthcr Eminent V i r i u o s o 's in his Time.
IV itb C O P P E K PLATES.
Publifh'd by W . De r h a m, F .R .S .
L O N T> O N .
Printed by W. and J. I N N y s, Printers to theRoyal Society, at theWeft EndtiESt.PanPs.
MDCCXXVI.1-3 Projet de télégraphe optique deRobert Hooke (1726). Chaque lettre et
symbole de code étaient suspendus à un cadre de bois. Pour autant que l'on sache, ce projet n'a jamais été mis en pratique.6Introduction
Compter à son actif cent années de succès dans le domaine de la coopération internationale, voilà de quoi
l'Union internationale des télécommunications fait aujourd'hui mémoire non sans une légitime fierté. L'U.I.T. est
en effet la plus ancienne des organisations intergouvemementales qui forment actuellement la famille des institutions
spécialisées des Nations Unies.Un siècle ne représente, il est vrai, qu'une période fugitive dans l'histoire de l'humanité et une fraction infinité
simale des millénaires d'existence de la Terre. Pourtant, tout au long des cent années qui viennent de s'écouler,
il s'est produit des changements tels que toutes les découvertes et tous les progrès antérieurs nous semblent presque
insignifiants.Le bouleversement le plus marquant du siècle est probablement l'augmentation soudaine et phénoménale de
la vitesse et de la variété de nos moyens de communication. Tout d'abord, on a vu apparaître le télégraphe, ensuite
ce fut le téléphone, puis les radiocommunications au nombre desquelles la radiodiffusion et la télévision auxquelles
succèdent maintenant les radiocommunications spatiales. Tous ces moyens doivent leur essor extraordinaire à la
révolution de l'électronique; ces merveilleuses réalisations du génie humain font partie intégrante du développement
fulgurant de la science qui ne manquera pas d'étonner nos arrière-petits-enfants eux-mêmes.
Le rythme toujours plus rapide des inventions scientifiques a entraîné un autre développement étonnant et
bienvenu, celui d'une collaboration humaine toujours plus étroite à travers les frontières naturelles et artificielles.
A eux seuls, les progrès scientifiques n'auraient jamais modifié si profondément et de façon si définitive notre mode
de vie, sans cette coopération universelle qui se fortifie de jour en jour et qui constitue précisément le sujet du présent
ouvrage.La coopération dans le domaine des télécommunications a connu des débuts modestes, au moment où fut
fondée, à Paris, le 17 mai 1865, l'Union télégraphique internationale. C'est pour marquer le 100e anniversaire de
cet événement historique que l'Union internationale des télécommunications publie ce Livre du Centenaire.
La publication de ce livre a été décidée par le Conseil d'administration de l'U.I.T. au cours de sa session de
1963. Le texte a été rédigé par le Dr Anthony R. Michaelis de Londres. La plupart des illustrations ont été fournies
par les Gouvernements des pays Membres de l'U.I.T., tandis qu'une autre partie de la documentation illustrée
a été rassemblée par le Dr Michaelis. La présentation de l'ouvrage a été confiée aux soins de Claude Humbert. Le
livre a été imprimé sur les presses de l'Imprimerie Henri Studer S.A., à Genève.
Les opinions exprimées dans le Livre du Centenaire de l'U.I.T. sont celles de l'auteur et n'engagent en aucune
manière l'Union internationale des télécommunications.Genève, janvier 1965. Gerald C. G r o s s
Secrétaire général de
F Union internationale des télécommunications7 XL _ j n " ii l KkbobebJ Sam3
8Préface
Tenez-vous dans une campagne tranquille, loin des cités populeuses, des champs labourés et de tout autre signe
d'activité humaine; vous aurez alors devant les yeux un tableau semblable à celui qui se présentait à vos aïeux,
il y a quelques siècles ou peut-être même quelques millénaires. Et pourtant, au cours de ces dernières décennies,
il s'est produit un changement subtil qu'aucun de nos sens n'est capable de déceler. Des ondes radioélectriques
transportant des messages en une multitude de langues nous environnent et nous traversent sans cesse. Nous ne
pouvons les entendre et les voir qu'après les avoir transformées en ondes perceptibles à nos oreilles et à nos yeux.
N'est-ce pas la raison principale pour laquelle la radio est entrée dans nos moeurs? Lorsque ce sont des fils qui
servent à transmettre des messages, nous sommes conscients de l'existence du support mais nous ignorons à quelles
fins il est utilisé. Il y a cent cinquante ans environ, lorsque les bras du télégraphe optique s'agitaient dans les airs,
quiconque connaissait le code utilisé pouvait déchiffrer les signaux, simplement en les regardant. Après les modestes
débuts du sémaphore, nous avons assisté au lancement de satellites qui gravitent autour de notre planète et servent
de relais pour la transmission de nos messages; voilà comment se manifeste actuellement le développement prodigieux
de ce que nous appelons les télécommunications, à savoir, par définition : toute transmission, émission ou réception
de signes, signaux, écrits, images, sons ou information de toute nature, par fil, ondes radioélectriques ou lumineuses,
ou par n'importe quel autre moyen électromagnétique.L'objet de notre livre n'est pas de retracer l'histoire scientifique de ces moyens de télécommunication, mais
plutôt de mettre en évidence les efforts déployés pendant plus d'un siècle dans le domaine de la coopération inter
nationale. Dès que l'on put disposer de moyens techniques suffisamment perfectionnés pour envoyer des messages
à grande distance, il devint indispensable de franchir les frontières artificielles et les obstacles naturels. De petits
groupes de pays se sont tout d'abord constitués en vue de jeter les bases d'arrangements acceptables à cet effet puis,
le 17 mai 1865, vingt délégations de différents pays d'Europe signèrent à Paris la première Convention de l'Union
télégraphique internationale. Aujourd'hui, l'Union internationale des télécommunications compte plus de
120 membres répartis dans le monde entier. Nous nous proposons de résumer ici les progrès et les succès obtenus
au cours de ces cent années de coopération internationale.Néanmoins, il serait impossible de relater une histoire si captivante sans faire état des progrès scientifiques
et techniques qui ont été réalisés de manière constante dans le domaine des télécommunications. En effet, ni les
moyens mis en oeuvre, ni la coopération internationale, pris isolément, ne sauraient par eux-mêmes expliquer l'am
pleur des réalisations. Seule l'interaction des deux facteurs peut faire comprendre comment se sont développés
le télégraphe, le téléphone et les radiocommunications aussi bien que le radar, la radiodiffusion et la télévision et
comment chacune de ces inventions a exigé de nouveaux efforts sur le plan de la coopération internationale. C'est9
seulement en tenant compte de tous les éléments que l'on pourra brosser une fresque sur laquelle se distingueront les
silhouettes de milliers de savants, de techniciens et d'administrateurs dont les noms ne furent jamais prononcés mais
qui tous étaient animés du désir d'étendre la coopération internationale à toutes les branches des télécommunications,
bien qu'il eût fallu souvent des dizaines d'années pour réaliser un tout petit progrès dans ce sens. Un siècle s'est écoulé,
leur victoire est assurée. On le verra, en lisant ce livre qui contient nombre de leçons édifiantes pour ceux qui tra
vaillent dans d'autres domaines.Nous espérons beaucoup que le lecteur trouvera mieux dans ce livre qu'un aride historique des faits. Cette
collaboration fructueuse qui s'étend sur un siècle constitue jusqu'ici un cas unique. Il convient de noter que l'Union
postale universelle avait tenu une réunion préliminaire à Paris en 1863, mais sa première conférence ne s'est tenue
à Berne qu'en 1874. Qu'un si grand nombre de pays différents aient réussi à travailler ensemble pendant cent ans
dans le domaine des communications prouve éloquemment que la coopération internationale est réalisable et pro
fitable et qu'elle est absolument indispensable au développement des inventions scientifiques. Au stade de l'ère
spatiale, l'humanité a grand besoin de pouvoir s'appuyer sur une telle preuve et si cette idée se dégage des pages
qui vont suivre, nous aurons atteint le but que nous nous étions fixé en écrivant cette histoire.
Pour mettre en évidence cet esprit de coopération, à partir des progrès scientifiques et de l'évolution de la poli
tique internationale, il a fallu laisser de côté quantité de faits intéressants. Heureusement, une abondante documen
tation et nombre de publications utiles sont aujourd'hui à la disposition de ceux qui souhaiteraient approfondir
ces sujets, davantage qu'il n'a été possible de le faire dans ce livre.Il n'est pas un ouvrage qui soit l'oeuvre d'un seul auteur car les pensées de ce dernier sont toujours influencées
par les écrits de ceux qui l'ont précédé et lui ont fait part de leur expérience personnelle, notamment en lui signalant
leurs sources, qu'il s'agisse de textes ou d'images. Qu'ils fassent partie de l'Union internationale des télécommuni
cations ou qu'ils appartiennent à des administrations nationales, qu'ils soient des amis personnels ou des collègues,
l'auteur tient à leur exprimer ici ses sincères remerciements.Reportons-nous maintenant à ce qui a été réalisé et qui ne constitue pourtant qu'un premier pas, bien qu'il
couvre une période apparemment longue puisqu'elle s'étend sur un siècle. Le témoignage de ce qui a été possible
est un encouragement à faire en toute confiance le pas suivant, un pas infiniment plus grand et, si l'on peut dire, un
pas dans l'Espace. Si ce modeste ouvrage peut inciter le lecteur à déployer de nouveaux efforts en vue de renforcer
la coopération internationale, que ce soit dans le domaine des télécommunications, dans d'autres domaines scienti
fiques, ou encore sur le plan d'activités humaines plus larges encore, dans ce cas nous aurons atteint notre but.10
I e Partie - Le télégraphe et le téléphone (de 1793 à 1932)Les précurseurs
Nous serions peut-être encore à l'état de troglodytes, si les hommes... et les femmes n'avaient appris à se servir
de la parole et du geste pour communiquer leurs pensées à leur prochain. Ce serait d'autant plus le cas s'ils n'avaient
pas pu utiliser ces moyens pour transmettre à leurs enfants les connaissances acquises au cours de leur existence
courte et périlleuse. Lorsque l'écriture fut inventée, il devint possible de communiquer à distance, dans l'espace et
le temps. Que saurions-nous aujourd'hui de nos premiers ancêtres s'ils n'avaient laissé des inscriptions sur la pierre,
dans l'argile et le métal, sur le bois, le papier et la soie?Mais ces moyens de communication qui seuls rendent possible une vie sociale authentique restèrent pendant des
millénaires le privilège de l'érudit et du législateur. Communication signifie aussi organisation ; en effet, pour l'érudit
c'est le moyen d'ordonner et d'accroître les connaissances et pour le législateur c'est le moyen d'appliquer la loi et de
maintenir l'ordre. Pendant des millénaires, la vitesse des communications est restée celle du coureur ou du coursier
le plus rapide, elle ne dépassait guère 15 km à l'heure. Il y eut évidemment des moyens de communication plus rapides:
les Grecs et les Romains eurent recours aux feux pour transmettre des signaux; il convient également de mentionner
le tam-tam africain et l'utilisation de pigeons voyageurs mais ce n'est qu'au moment où les lois de l'optique furent
comprises et après l'invention du télescope que l'on eut quelque espoir de communiquer rapidement sur de grandes
distances.Il semble que ce soit le grand physicien et astronome anglais Robert Hooke (1635-1703) qui fut le premier à
faire un exposé clair et cohérent de la télégraphie visuelle dans un discours prononcé en 1684 à la Royal Society.
Il donna à cette occasion de nombreux détails pratiques à ce sujet mais son système ne fut jamais mis en application.
Un siècle plus tard, un brillant ingénieur français, Claude Chappe (1763-1805) reprit le flambeau. Il parvint à mettre
au point un système pratique capable de transmettre des messages dans toute la France. Lorsqu'en 1852 le système
Chappe fut finalement remplacé par le télégraphe électrique, la France disposait d'un réseau de 556 stations de
sémaphores couvrant une distance totale de 4 800 km.Entre 1790 et 1795, la France avait un besoin impérieux de communications rapides et sûres. On était en pleine
Révolution et le pays était encerclé par les forces alliées de l'Angleterre, des Pays-Bas, de la Prusse, de l'Autriche et
de l'Espagne. Marseille et Lyon étaient en sédition et la flotte anglaise tenait Toulon. Dans cette situation désespérée,
l'un des facteurs les plus favorables aux armées françaises fut l'absence de coordination entre les forces de la coalition,
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