[PDF] La mort tragique de la princesse de Galles

View - Download La mort tragique de la princesse de Galles

Previous PDF

Next PDF

LeMondeJob: WMQ0209--0001-0 WAS LMQ0209-1 Op.: XX Rev.: 01-09-97 T.: 11:29 S.: 111,06-Cmp.:01,11, Base : LMQPAG 46Fap:99 N

o :0307 Lcp: 196 CMYK

CINQUANTE-TROISIÈME ANNÉE ± N

o

16359 ± 7,50 FFONDATEUR : HUBERT BEUVE-MÉRY ± DIRECTEUR : JEAN-MARIE COLOMBANIMARDI 2 SEPTEMBRE 1997

Allemagne, 3 DM ; Antilles-Guyane, 9 F ; Autriche,25 ATS ; Belgique, 45 FB ; Canada, 2,25 $ CAN ;Côte-d'Ivoire, 850 F CFA ; Danemark, 14 KRD ;Espagne, 220 PTA ; Grande-Bretagne, 1£ ; Grèce,400 DR ; Irlande, 1,40 £ ; Italie, 2900 L ; Luxembourg,46 FL ; Maroc, 10 DH ; Norvège, 14 KRN ; Pays-Bas,3 FL ; Portugal CON., 250 PTE ; Réunion, 9 F ;Sénégal, 850 F CFA ; Suède, 15 KRS ; Suisse, 2,10 FS ;Tunisie, 1,2 Din ; USA (NY), 2 $ ; USA (others), 2,50 $.

En millions

Trois millions d'emplois perdus

ALLEMAGNE

ALLEMAGNE OCC

ALLEMAGNE ORIE

N 37,0
36,0
35,0
34,0
8,0 30,0
29,0
28,0
7,0 6,0

9594939291

INTERNATIONAL UNIVERSITY OF AMERICA

Membre et/ou accréditée deACBSP ± ECBE ± WAUC aProgramme intensif de 12 mois. aPour diplômés de l'enseignement supérieur, avec expérience professionnelle ou stages validés.

Master of Business Administration

in International Management

IUA, School of Management

148, rue de Grenelle 75007 ParisTél. : 01-45-51-09-09 ± Fax : 01-45-51-09-08

International School of Management USA

E-Mail : IUA@IUA.EDU

FLORIDE - MASSACHUSETTS - NEW YORK

ieMBA

International Executive

Master of Business Administration

aCompatible avec vos activités professionnelles a520 heures de formation intensive : b10 séminaires mensuels à PARIS bJuillet et août aux USA MBA

LE MONDE ðCONOMIE

aLa croissance est de retour a10 pages d'annonces class•es

International......... 2

France............ 8

Annonces class•es....10

Soci•t•...........11

R•gions............13

Horizons..........14

Editorial..........16

Entreprises.........17

Aujourd'hui......... 20

Jeux.................. 21

M•t•orologie...... 22

Culture.............. 24

Communication.... 26

Abonnements...... 27

Radio-T•l•vision.... 27

Kiosque.............. 28

Des v•g•taux sentinelles pour traquer la pollution urbaine NANCY de notre correspondante " Il y a toujours une plante quelque part qui garde la trace d'une pollution. Les végétaux sont des sentinelles. »Jean-Pierre Le Garrec, directeur du laboratoire pollution atmosphé- rique à l'INRA (Institut national de la re- cherche agronomique) de Nancy, travaille avec son équipe au développement de tech- niques d'utilisation des végétaux pour tra- quer les polluants. L'an dernier, il a déposé dans l'agglomération de Nancy quelques di- zaines de plants de tabac de Virginie pour établir une cartographie de l'ozone. L'opéra- tion, d'un coût de 220 000 francs, était co®- nancée par la communauté urbaine du

Grand Nancy et l'Association pour la préven-

tion de la pollution atmosphérique. Cette an- née, elle s'est étendue à Strasbourg, Mul- house, Luxembourg, Sarrebourg, Rouen, Le

Havre et Caen.

" La feuille de tabac, souligne-t-il, est un bio-indicateur très sensible à l'ozone. Lorsque le taux monte, les feuilles se névrosent rapide-

ment, c'est très spectaculaire. Les villes aimentbien cette méthode écologique, peu coûteuse

de surcroît, qui permet de sensibiliser les popu- lations. C'est plus parlant de voir une plante en train de crever qu'un chiffre s'af®chant sur un écran. On fait tout de suite le rapport avec ses poumons. »

Mais il n'y a pas que les plants de tabac qui

peuvent servir d'alerte à la pollution. Preuve en est cette autre étude que le laboratoire développe à partir des feuilles des érables et des tilleuls plantés à Nancy. Le laboratoire est chargé de traquer les poussières prove- nant de la pollution. " Toutes les sources de pollution gazeuses émettent des poussières », note Jean-Pierre Le Garrec. L'intérêt de ce travail est d'obtenir une image globale de la pollution en ville et de détecter les endroits où de gros dépôts de poussières, donc de métaux lourds, sont accumulés.

A plus long terme, le Centre international

de l'eau de Nancy étudie la possibilité de la- ver préventivement les rues les plus fréquen- tées. " Ces dépôts de métaux lourds, en cas de gros orage survenant après une longue période de sécheresse, sont en effet envoyés directe-ment et massivement dans les stations d'épu- ration,ajoute Jean-Pierre Le Garrec, ce qui n'est pas vraiment bon pour les bactéries et perturbe le processus. »

Le scienti®que est convaincu que le pro-

chain gros problème de pollution sera lié à l'agriculture et à l'emploi des pesticides.

C'est pourquoi son laboratoire travaille en ce

moment, à titre expérimental, sur les choux, en Bretagne.

Certains végétaux en effet, comme le chou,

ont une surface cirée qui retient particulière- ment bien les micropollutions. " Lorsqu'on procède à des épandages de pesticides dans un champ, 30 % se volatilisent dans l'air sous l'ef- fet du soleil, à cause du vent ou de la pluie.

Qu'en advient-il ? Les choux sont d'excellents

bio-indicateurs, notamment pour le ben- zène », précise Jean-Pierre Le Garrec, qui songe déjà à d'autres utilisations des végé- taux sentinelles, mais cette fois dans l'eau, en transposant en milieu aquatique les tech- niques aériennes.

Monique Raux

La Lyonnaise

de l'US Open

EN QUART de ®nale des Inter-

nationaux de tennis des Etats-

Unis, Sandrine Testud rencontrera

la jeune Américaine Venus Wil- liams. Au terme d'une saison où elle a remporté le premier tournoi de sa carrière, la Lyonnaise montre un jeu fougueux.

Lire page 20

SANDRINE TESTUD

La dif®cile rentr•e

de Jacques Chirac

A L'ðLYSðE, les conseillers du

président de la République sont, certes, rentrés de vacances, mais leur programme de travail n'est pas en- core établi. Trois mois après la dé- faite de la droite aux élections légis- latives provoquées par Jacques

Chirac, l'heure est encore à la ré-

¯exion, voire à l'introspection. Com-

ment en est-on arrivé là ? Que peut- on, que doit-on faire pendant une cohabitation qui ne pourra être que différente des deux précédentes ?

Les longues vacances, que chacun a

été incité à prendre, ont permis à

tous de se reposer et de faire le point. Elles ont aussi facilité rumeurs et règlements de comptes. Ici ou là,

Dominique de Villepin, le tout-puis-

sant secrétaire général de la prési- dence, a été donné comme partant, pas seulement par ceux qui lui vouent une hostilité féroce.

Aujourd'hui, M. de Villepin assure

qu'il a gardé la con®ance du chef de l'Etat et qu'il restera son principal collaborateur. Certains de ceux dont le nom était avancé pour lui succé- der répondent qu'il n'en est pas question. Ainsi Jacques Toubon, qui a rejoint l'équipe élyséenne après son échec aux législatives, explique qu'il est là pour renforcer l'entou-rage politique du président de la Ré- publique et pour assurer la liaison avec les partis de l'opposition, mais qu'il n'a aucunement l'intention d'occuper des fonctions techniques ou exécutives, car il n'entend pas re- noncer à sa propre carrière électo- rale.

Toutefois, chacun en convient à

l'Elysée, le rôle de la présidence de la

République a changé du tout au tout

avec la défaite de la droite. Doréna- vant, M. Chirac n'est plus associé à l'action de l'exécutif, comme du temps où Alain Juppé semblait n'être que son chef d'état-major. La manière dont le chef de l'Etat et le chef du gouvernement ont occupé leurs vacances en a donné une image presque caricaturale : pendant que le premier passait trois semaines dans l'océan Indien ± huit jours à la Réunion, puis quinze à l'île

Maurice ±, le second ne mettait que

quelques centaines de kilomètres entre Paris et lui, quittant même trois jours l'île de Ré pour rendre ses arbitrages sur les dépenses budgétaires.

Thierry Br•hier

Lire la suite page 16

Alger s'oppose

“ toute ing•rence

a

AU NOM du principe de la

" non-ingérence dans [les] af- faires intérieures », le gouvernement algérien a sévèrement condamné l'intervention du secrétaire général des Nations unies, Ko® Annan, qui avait lancé un " appel au dialogue » samedi 30 août, après le massacre perpétré dans le village de Raïs, au sud d'Alger. Le dirigeant historique de l'ex-Front islamique du salut (FIS), Abassi Madani, libéré le 15 juil- let, a indiqué dans une lettre trans- mise à Ko® Annan être prêt à " lan- cer un appel pour arrêter l'effusion de sang immédiatement et préparer l'ou- verture d'un dialogue sérieux ».

José-Alain Fralon a recueilli les

réactions des Algériens de Paris, entre révolte et consternation.

Lire page 6

aLe " r•alisme » de Lionel Jospin

Dans son discours de cl˛ture de l'uni-

versitï d'ïtï du PS, le premier ministre a justiAEï le ´ rïalisme ª mis en ˙uvre par son gouvernement et souhaitï, particuliòrement, un ´ consensus rïpu- blicain ª sur l'immigration.p. 8 aEmbargo contre la Sierra LeoneLes seize dirigeants de la Communautï

ïconomique des Etats d'Afrique de

l'Ouest, hostiles ì toute intervention militaire contre les putschistes de Sierra

Leone, ont demandï un renforcement

de l'embargo. p. 6 aPromod˜s lance une OPA sur Casino

En lanÿant une OPA sur Casino, Pro-

modòs espòre devenir le premier groupe de distribution en France.p. 29 a

Lyon, le p•riph'

de la r•volteLe prix et la gestion du pïriphïrique ì pïage situï au nord de l'agglomïra- tion lyonnaise suscitent un tròs large mïcontentement. p.13 aFestival de Salzbourg

Apròs le succòs remportï par les neuf

productions lyriques de l'ïdition 97, emmenïe par de jeunes talents, La Clï- mence de Titusentre en lice.p. 24 bL'enquête de la police judiciaire parisienne p. 2 bLady Diana, du conte de fées à la tragédie p. 3 bA Londres, reportage, analyse et réactions p. 4 bEnquête sur la presse à scandales et les paparazzi p. 5 bLa dernière interview d'une âme rebelle p.14 et15 bNotre éditorial et nos chroniques p.16, 27 et 29

Les deux

fédérations enseignantes votent

Claude Allègre

DANS un entretien au Monde,

Michel Deschamps, secrétaire gé-

néral de la FSU, et Jean-Paul Roux, dirigeant de la FEN, analysent les premiers pas de Claude Allègre et de Ségolène Royal au ministère de l'éducation nationale. Les respon- sables des deux grandes fédéra- tions enseignantes notent favora- blement les priorités af®chées par le gouvernement. " Les décisions prises vont permettre une bien meil- leure rentrée », selon M. Des- champs. " Un certain nombre des déclarations ministérielles vont dans le bon sens », ajoute M. Roux.

Estimant que la désormais célèbre

formule de M. Allègre, " dégraisser le mammouth », est " une ânerie », les deux dirigeants syndicaux se disent prêts à discuter de la ges- tion des personnels et du mode de fonctionnement du système édu- catif. Favorables aux emplois- jeunes, ils posent des conditions sur leur statut et leur travail.

Lire page 11

quotesdbs_dbs46.pdfusesText_46

[PDF] lady diana vivante

[PDF] lady layton

[PDF] laïcité ? l'école définition

[PDF] laïcité, république et citoyen

[PDF] laisse moi ou laisse-moi

[PDF] laisse pas si do

[PDF] lait corps pur ou mélange

[PDF] lait pour des jeunes enfants

[PDF] lala fatma nsoumer 3am

[PDF] lalampanorenana repoblika faha efatra

[PDF] lalla attend quelque chose

[PDF] lamartine

[PDF] lamartine citation

[PDF] lamartine citations

[PDF] lamartine le lac