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La densité de construction

La densité de construction peut être mesu-

rée en mètres carrés construits : c'est la notion de coefficient d'occupation des sols.

On peut aussi la mesurer en nombre de

logements par unité de surface (souvent en hectare). Le choix de la surface à pren- dre en compte est délicat. La densité prend des valeurs très différentes selon qu'on la mesure à l'échelle de la parcelle, de l'îlot, du quartier... On peut néanmoins distin- guer deux densités résidentielles distinc- tes : - la densité nette se mesure à l'é- chelle de la parcelle ou de l'îlot. - la densité brute prend en compte la surface utilisée par les équipe- ments publics (écoles, mairies,...), la voirie et les espaces verts, aména- gés pour les besoins de la popula- tion habitant les logements cons- truits dans l'espace considéré. Cette définition est difficile à appliquer de fa-

çon rigoureuse et rend toute comparai-

son impossible.

La densité de logements

La densité de logements

est exprimée par le rapport entre le nombre de loge- ments et la surface d'assiette hors voi- rie publique ramenée à l'hectare.

Par exemple, dans un lotissement où cha-

que logement dispose d'une surface de

900 m², la densité de logement est de 11

logements/hectare. Si on intègre la voirie, la densité passe à moins de 9 logements par hectare.

Le schéma ci-dessus tente de représenter

la plupart des différents styles d'habitat de la région caennaise selon leur densité nette avec toutes les précautions d'usage vues précédemment.

Contrairement aux idées reçues les quar-

tiers de grands ensembles sont les moins denses des quartiers d'habitat collectif,

étant donné les vastes espaces publics

dont ils sont entourés. Certains quartiers de maisons de ville sont même parfois plus denses.

LA NOTION DE DENSITE

L a densité est au coeur des enjeux urbains contemporains. L'étalement urbain produit des effets néfastes en matière économique, sociale et environne- mentale. La ville dense permet d'économiser l'espace et de maximiser les ré- seaux d'infrastructures et les équipements.

La question de la densité est complexe. En

effet, il n'existe pas une seule densi-

té, mais des densités... la densité brute ou nette, la densité désirée ou acceptée,

la densité réelle et vécue... Ce document doit permettre d'appréhender les diffé- rentes facettes de ce sujet. QU'EN SAVONSQU'EN SAVONSQU'EN SAVONS---NOUS ? NOUS ? NOUS ? La densité de logements dans la région de Caen Maisons individuelles

Entre 5 et

20 lgts/ha

Maisons

de ville

Entre 25 et

40 lgts/ha

Grands ensembles

Entre 50 et 110 lgts/ha Immeubles en plots

Entre 110 et

150 lgts/ha

Immeubles

de la reconstruction

Entre 150 et 170 lgts/ha Immeubles

de centre-ville

Entre 160 et 200 lgts/ha

n°2n°2n°2 Jan.

Jan. Jan.

2008

20082008

2 Quelques repères de densité de logements de la région caennaise...

La Cité Gardin à Caen

111 logements/hectare

La rue du XXème siècle à Caen

32 logements/hectare

L'habitat collectif urbain Les grands ensembles

Les maisons de ville

Le quartier de la Guérinière à Caen

59 logements/hectare

Le quartier pavillonnaire urbain

Les densités urbaines

Le quartier Sainte-Thérèse à Caen

25 logements/hectare

Les grands ensembles

Densité vécue et réelle

" 65% des français pensent que la densi- té est quelque chose de négatif. »

Observatoire de la Ville - janvier 2007

La densité a mauvaise image et

se nourrit de représentations qui n'ont souvent pas grand chose à voir avec la réalité. Celles-ci ex- priment au contraire des frustra- tions et des attentes. En effet, les quartiers vécus comme den- ses le sont souvent bien moins que les quartiers centraux des grandes villes dont le cadre de vie est apprécié. Est-ce la densi- té en soi qui pose problème ?

L'Atelier Parisien d'Urbanisme a

essayé de répondre à cette question en réalisant une en- quête à Paris sur quatre quar- tiers de densités objectivement différentes. 227 personnes ont

été interrogées. Les résultats de

leur enquête démontrent que la hauteur objective des bâtiments constitue un critère déterminant de la perception de la densité.

Plus les habitants vivent dans

des immeubles hauts et plus ils ont tendance à considérer que la hauteur des bâtiments est op- pressante, mais aussi qu'il y a trop de construction dans leur quartier.

Par ailleurs, le tissu continu et

resserré des quartiers anciens, la hauteur quasi identique des constructions procurent des sen- timents d'intimité et de bien-être plus que d'oppression. Les petits immeubles, considérés comme

étant à échelle humaine, facilite-

raient les échanges entre habi- tants.

La convivialité et l'animation

d'un quartier contribuent donc à la perception positive de la den- sité. Les fortes densités sont bien vécues lorsqu'elles s'accom- pagnent d'une diversité des po- pulations et des activités suscep- tibles de créer de l'animation.

Le lotissement périurbain

Le Clos Besnard à Periers-sur-le-Dan

5 logements/hectare

Le lotissement périurbain

Les densités périurbaines

Le Clos de l'Avonde à Cambes-en-Plaine

12 logements/hectare

Densifier et préserver la qualité de

vie

Aujourd'hui devant l'attrait des français pour

la maison individuelle et le coût élevé du fon- cier, des opérations de logements individuels denses voient le jour, certaines comprenant plus de 55 logements par hectare. La forme choisie a alors un impact direct sur la distri- bution des pièces de la maison et son archi- tecture. La largeur de la parcelle conditionne l'organisation du bâti et des espaces libres.

Une implantation bien

réfléchie des maisons permet de construire sur des petits terrains (moins de 200 m² parfois) et de préserver un jardin et l'intimité des habitations.

Ci-dessous les deux schémas représentent

une maison individuelle de même surface,

110 m² plus le garage. A gauche, elle est im-

plantée sur un terrain de 360 m², à droite sur un terrain de 900 m². L'implantation de la maison 1 en bordure de parcelle et en retrait par rapport à la rue permet de dégager un vaste jardin à l'arrière. L'implantation en bor- dure de parcelle facilite également l'ajout d'une extension.

La densité dans les règlements et

procédures d'urbanisme

Depuis la loi SRU du 13 décembre 2000, la

densification du tissu urbain est privilégiée à l'étalement urbain dans les outils de planifica- tion (SCoT, PLU), même si ce parti pris n'est pas explicite. L'espace doit être utilisé de fa-

çon économe. La loi revient sur la logique

malthusienne des textes antérieurs : elle in- terdit de fixer une taille minimum pour les parcelles à bâtir et le COS n'est plus obliga- toire. Le Code de l'Urbanisme en s'assouplis- sant permet une diversité nouvelle de formes urbaines.

Sources :

" Quelle forme urbaine pour quelle densité vécue ? »,

Atelier Parisien d'Urbanisme, juin 2003.

" Habitat - formes urbaines. Densités comparées et ten- dances d'évolution en France », FNAU, octobre 2006.

Crédits photographiques :

Google Earth

©AUCAME

Schémas

©AUCAME

ISSN en cours

Terrain d'assiette : 360 m²

Surface habitable : 110 m²

22 lgts/ha

12 mètres

30 mètres

Maison 1

30 mètres

30 mètres

Terrain d'assiette : 900 m²

Surface habitable : 110 m²

9 lgts/ha

Maison 2

Pour une même surface habitable...

Optimisation de l'usage du terrain Consommation foncière excessive Agence d'études d'Urbanisme de Caen-Métropole

10 rue du Chanoine Xavier de Saint-Pol - 14000 CAEN

Tel : 02 31 86 94 00 - Fax : 02 31 39 88 83

contact@aucame.fr - www.aucame.fr

Directeur de la publication : Patrice DUNY

Réalisation et mise en page : © AUCAME 2008

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