[PDF] Lecture du Comte de Monte-Cristo comme oeuvre





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Le Comte de Monte-Cristo 2

Alexandre Dumas. Le Comte de Monte-Cristo. II. La Bibliothèque électronique du Québec. Collection À tous les vents. Volume 214 : version 1.01. 2 



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Alexandre Dumas. Le Comte de Monte-Cristo. V. La Bibliothèque électronique du Québec. Collection À tous les vents. Volume 498 : version 1.01. 2 



Le Comte de Monte-Cristo 4

Alexandre Dumas. Le Comte de Monte-Cristo. IV. La Bibliothèque électronique du Québec. Collection À tous les vents. Volume 216 : version 1.01. 2 



Le Comte de Monte-Cristo 6

Alexandre Dumas. Le Comte de Monte-Cristo. VI. La Bibliothèque électronique du Québec. Collection À tous les vents. Volume 499 : version 1.01. 2 



GT 2 : Les visages de la vengeance. - ffl Texte 1 : Le Comte de

ffl Texte 1 : Le Comte de Monte-Cristo Alexandre Dumas



Alexandre Dumas – Le Comte de Monte-Cristo

Collection À tous les vents. Volume 113 : version 1.04. 2. Page 3. Le Comte de Monte-Cristo est présenté ici en six volumes. Édition de référence : Le Comte de.



Le Comte de Monte-Cristo 3

Alexandre Dumas. Le Comte de Monte-Cristo. III. La Bibliothèque électronique du Québec. Collection À tous les vents. Volume 215 : version 1.01. 2 



Le comte de Monte-Cristo III

ALEXANDRE DUMAS. LE COMTE DE. MONTE-CRISTO. Tome III. 1845. Un texte du domaine public. Une édition libre. ISBN—978-2-8247-0044-1.





Lecture du Comte de Monte-Cristo comme oeuvre

9 janv. 2017 comment Le Comte de Monte-Cristo mis en relation avec le lecteur dans l'acte ... Tome II.Page 467. ... Lacan-dutraumatisme-a-l-ethique.pdf.

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Blanche MARTIN. Master 2 de philosophie contemporaine. UFR 10. Année universitaire 2015-2016 1/118

Remerciements

Je tiens avant tout à remercier mon directeur de recherche, Monsieur Duportail, pour son soutien et ses conseils, aussi bien au niveau de la recherche et la rédaction de mon mémoire, que pour mon séjour de six mois en Argentine qui n'aurait pas été possible sans son aide et son investissement. Je souhaite ensuite remercier tout particulièrement mon ami Monsieur Gautier Veret. Merci d'avoir partagé avec moi ton amour pour Le Comte de Monte-Cristo, de m'avoir initié à cette lecture et cette rencontre, sans qui rien de tout cela n'aurait été possible. Un grand merci à mes parents, pour leurs soutien sans faille et leur aide dans la relecture. Ainsi qu'à Chloé Cavillier, qui n'a jamais cessé de croire en moi et m'a bien aidé lors du premier semestre à Paris durant toutes ces sessions travail à la cinémathèque Française. Merci à Delfia Ramanoarison pour son soutien, sa présence et son aide, aussi bien pour mon mémoire, que pendant mon échange en Argentine. Merci à Serge-Aurélien Canto, pour le design et la création de la page de garde de ce mémoire. Muchas gracias a Nere Lopez Uribari, para su ayuda, su soportes y el tiempo pasado trabajando juntas en Buenos Aires. Muchas gracias tambien al cafe de la esquina Lavalle y Jeronimo Salguero, por todo el tiempo pasado escribiendo y tomando un cafe en la buena onda Argentina. Ce mémoire a vu le jour par la méthode qu'il tend à démontrer : c'est à la rencontre hasardeuse avec certains textes, certaines paroles, que l'inspiration et les idées se sont rencontrées et ont mené à cette étude. Si tout a commencé avec Monte-Cristo, c'est ensuite par le processus de l'intertextualité et de la rencontre avec les textes qu'a pu naître cette pensée. Ce qui explique sa diversité de sources, provenant d'émissions de radios écoutées au hasard et se révélant fortes utiles, de lectures hasardeuses en bibliothèque ou de discussions autour d'un café avec des amis.

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Introduction

"Certes [...] je suis de ceux qui croient que tout est dans le peu. L'enfant est petit, et il

renferme l'homme ; le cerveau est étroit, et il abrite la pensée ; l'oeil n'est qu'un point, et

il embrasse des lieues"1 Que renferme alors le livre ? On rencontre d'entrée de jeu la question traditionnelle en philosophie du réalisme en art et, plus spécifiquement, dans le langage littéraire. La séparation classique entre pensée vraie, politique et pensée séductrice, illusoire est établie par Platon au livre III de la République. Cette séparation met en lumière l'opposition entre pensée philosophique/pensée littéraire, raison/émotion, réflexion/fiction. Dès lors on peut se demander quelle légitimité trouve-t-on à l'étude d'une oeuvre littéraire dans un mémoire de philosophie, ainsi que la qualification du livre comme phénomène. En effet philosophie et littérature semblent aborder la réalité de deux point de vue très différents : la philosophie réfléchit aux concepts, la littérature imite ou s'inspire du réel pour raconter des histoires. Ainsi on attribut bien souvent à la littérature un rôle d'imitation négative car restant à la surface des choses et des apparences, nous éloignant donc de la vérité. Tandis que la philosophie et les sciences, en allant toujours au-delà du perçu et du généralement dit, permettraient de rencontrer la vérité. Pourtant Joubert nous dit bien que "les poètes doivent être la grande étude du philosophe qui veut connaître l'homme"2. L'oeuvre littéraire devient alors un moyen de connaissance de l'homme et du monde ? Apparaît dès lors la question du monde créé dans le livre et par le livre. Nous nous proposons ici de montrer, d'une part, comment "Il n'y a pas de frontières entre les disciplines que l'homme se propose pour comprendre et pour aimer. Elles s'interpénètrent"3, donc comment le mélange littérature/philosophie dépasse les limites qu'on leur impose généralement en étudiant Le Comte de Monte-Cristo. Mais il s'agira également de voir, d'autre part, comment l'acte de lecture de ce livre nous permet de faire une expérience phénoménologique herméneutique créatrice d'une pensée transversale, entre fiction et réflexion. Cependant, avant toute chose, qui est Monte-Cristo ? Comme les personnages, nous nous demandons : "D'où vient-il donc ? du bout du monde ? - De plus loin peut-être"4". L'oeuvre de Dumas publiée en 1844, qualifiée de roman feuilleton, est source de nombreuses controverses. On a

1Alexandre, Dumas, Fils. La dame aux camélias. Edition Kindle gratuite en libre accès.

Emplacement 244/2663.

2Joubert, Pensées. Edition de l''imprimerie le Normant de 1838 numérisée sur Gallica. Site de

la BNF. Page 302.

3Albert, Camus. Le mythe de Sisyphe. Edition mise en ligne par Charles Bolduc sur

classiques.uqac.ca. Page 90.

4Alexandre, Dumas. Le Comte de Monte-Cristo. Tome I. Pocket Classique, Paris,1995. P. 601.

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reproché à Dumas d'être davantage un commerçant qu'un écrivain, et sa collaboration avec Maquet est souvent perçue comme une escroquerie : Dumas se contenterait de signer de sa plume une oeuvre entièrement rédigée par Maquet. D'autre part les critiques littéraires ont bien longtemps décrié l'oeuvre, ils lui adressent de nombreux reproches (notamment du fait de sa nature de roman feuilleton), mais ils s'attaquent également à son style : on le dit mal écrit, redondant et utilitaire (payé à la phrase, Dumas ferait une utilisation quantitative du dialogue, y plaçant de nombreuses répétitions et inutilités). Livre décrié, il n'en demeure pas moins adoré : "Les spectateurs de la première partie conservent leur enthousiasme malgré la longueur du spectacle - 6h"5. L'imaginaire autour du Comte est collective et intemporelle, les adaptations, interprétations et suites sont plus que nombreuses et passent du livre de Umberto Eco6 à l'épisode de la série télévisée Américaine les Simpson7. L'histoire quant à elle est tirée à la fois d'un fait divers (fait policier relatant l'histoire du cordonnier Pierre Picaud) et des impressions de voyage de Dumas. Tout, dans ce roman, appel au double, double écriture, double inspiration, double effet (engouement / haine), nous verrons que, dans l'histoire même, la question de la paire est centrale et constitutive. Cela nous permet d'aborder la principale question de notre étude : quelle relation s'établit entre Le Comte de Monte-Cristo et son lecteur lors de l'acte de lecture ? Et, plus largement, comment Le Comte de Monte-Cristo, mis en relation avec le lecteur dans l'acte de lecture, devient un phénomène apparaissant - intersubjectif et créateur ? Il nous faut alors étudier de quelle manière le livre peut-être considéré comme un phénomène. La phénoménologie est un mouvement de la pensée qui se donne la tâche, toujours renouvelée, de décrire ce qui apparaît en tant

qu'il apparaît grâce à une méthode spécifique (la réduction phénoménologique)

qui permet un retour aux choses mêmes. On la dit science de ce qui apparaît à la conscience, elle s'intéresse au comment : quelles sont les conditions de possibilité de telle ou telle expérience ? Elle est dans le monde car elle se fonde sur la perception et la sensibilité qui donnent forme aux choses. Elle est intermédiaire entre la recherche scientifique - analyse déterministe du monde, et idéalisme - étude auto-centrée de la conscience. La phénoménologie, elle, place la conscience dans le monde et étudie les rapports qui se créent entre

5 Acte du colloque organisé par Fernande, Bassan & Claude, Schopp. Cent cinquante ans aprés

: Les trois mousquetaires, Le Comte de Monte-Cristo. 11. F. BASSAN "Les adaptations théâtrales du Comte de Monte-Cristo". Page 98. Champflour, Marly-le-roi, 1995.

6 Umberto, Eco. De superman au surhomme. Grasset 1993 (format Kindle Amazon).

7 Saison 18, épisode 11 des Simpson : Le Comte de Monte Costo : La vengeance est un plat qui

se mange trois fois. 2007.

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eux. Elle vit le monde, en le décrivant, en le pensant, et en faisant de l'homme un médiateur, et non plus une conscience toute puissante. Or le livre, par définition, déplace le monde, le transfigure. De plus on reproche bien souvent à la lecture d'être solipsisme, or la phénoménologie se veut jetée dans le monde. Cependant un phénomène se définit, premièrement, comme un fait naturel pouvant faire l'objet d'une étude scientifique, mais également comme une personne/chose qui sort de l'ordinaire et se fait remarquer par son caractère extraordinaire ou singulier (par exemple le phénomène Bach en musique). Le phénomène peut alors devenir un individu anormal, un monstre (un phénomène que l'on exhibe dans les foires). Enfin, en philosophie, on le définit comme ce qui apparaît à la conscience, ce qui est perçu par les sens. On remarque dans cette définition une double ambiguïté : tout d'abord le phénomène semble appartenir à la fois au quotidien (ce qui est perçu), et à l'incroyable (le spécial/l'anormal). Or on peut dire que le livre revêt également ce double aspect : en tant qu'objet, il nous entoure quotidiennement, pourtant il contient bel et bien un ensemble complexe, qui n'apparaît que lorsqu'il est mis en relation avec un lecteur - et l'on parle bien de ''phénomène littéraire''. D'autre part, le phénomène semble appartenir au monde réel et aux apparences, mais il renferme en lui même un paradoxe : il peut-être illusion et peut donc être analysé subjectivement. Il est donc une partie du réel qui révèle une déviance du réel ou, du moins, une capacité à s'en échapper. De nouveau, nous voyons ici que la définition du livre et du phénomène s'entremêlent. De plus, nous verrons au cours de l'étude que le personnage même du Comte revêt ce double aspect d'ir(réalité), être apparaissant mais surnaturel. Nous allons nous efforcer, tout du long, de traiter à la fois les thèmes et les effets de ce livre, car ce sont l'un et l'autre qui permettent au Comte d'accéder au statut de phénomène. Pour la phénoménologie ce sont les choses mêmes qui se révèlent dans le phénomène8, il faut faire un effort de retrait pour laisser se dévoiler " le monde situé en deçà de la science »9. L'Epochè consiste en cet effort de suspension du jugement pour percevoir les choses en tant que telles. Non pas doute, mais retrait, afin de découvrir ce qui se montre, ce qui apparaît. L'acte de lecture, de part la posture de retrait qu'il implique, semble répondre à ce critère. Le lecteur, en commençant à lire, suspend sa relation au monde, pour en laisser apparaître une autre. La phénoménologie a pour but de décrire ce qui apparaît, en tant qu'il apparaît, il s'agit donc " de faire apparaître ce qui

8Collectif sous la direction de Laurence Hansen-Love. La philosophie de A à Z.

Phénomène/Phénoménologie. Hatier. 2000. Page 341.342.

9Ibid.

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n'apparaît jamais dans les phénomènes »10. De nouveau, un parallèle peut-être établit avec la lecture dans la recherche de la révélation en littérature (écrire pour mieux montrer). Cependant penser Monte-Cristo comme un phénomène pose plusieurs problèmes. Tout d'abord, au niveau de la suspension du monde : comment un monde littéraire pourraît devenir un phénomène puisqu'il est, dans sa définition même, fictif ? Puis du point de vu de l'intersubjectivité et, donc, de la communication qui est manifestation de l'autre à moi et de moi à l'autre. Dans mon rapport à Monte Cristo la manifestation semble être unilatérale (il se manifeste à moi en tant qu'un il, ou un tu, mais moi comment puis-je me manifester à lui ?). Ainsi une communication est-elle possible au sens intersubjectif où l'entendait Husserl ? De plus la communication est comme et liée au contexte : pour me faire comprendre j'ajoute un ton, un geste, une manière de dire. Or le langage littéraire est figé, fixe, il demeurera inchangé et ne pourra exprimer ni ton, ni geste. Peut-on alors vraiment parler d'échange si seulement un des deux pôles est actif en tant qu'être ? Pour comprendre cela il nous faut revenir à la signification première de ''communication'' qui vient du latin communicare (mettre en commun, être en relation) ; communiquer signifiait donc " participer à » ; acte de mettre en commun et partager11. De ce point de vu une communication littéraire semble possible, mais laquelle ? Il faudra nous interroger sur la mise en relation que présuppose la lecture du livre : quel nous procède de ma relation au phénomène Monte-Cristo ? Il nous permet, via ses thèmes et ses effets, de comprendre comment, par des mondes et des personnages fictifs, l'homme établit une relation réelle et créatrice avec son monde environnant, avec l'autre, mais également avec lui-même. Ces trois prismes, monde ; autrui ; soi-même, seront nos trois grands axes d'étude de la relation entre Monte-Cristo et le lecteur. Cela nous permet de lier phénoménologie et herméneutique dans la relation d'échange qui s'instaure entre l'oeuvre et l'homme. La phénoménologie est un certain regard porté sur les choses qui cherche a faire parler/voir les phénomènes, et ce serait grâce à cette qualité de vision, qui est description, mais aussi lecture du réel, qu'elle pourrait être liée à l'herméneutique. Si, de prime abord, lier les deux semble paradoxal (car, par définition, l'herméneutique porte sur ce qui n'est pas donné - le sens des signes- tandis que la phénoménologie porte sur ce qui apparaît), nous verrons que l'utilisation binaire de ces deux pôles nous permet d'illustrer la grandeur de Monte-Cristo, et de comprendre comment fonctionne cette nouvelle relation oeuvre/lecteur que nous nous proposons d'étudier ici.

10Ibid.

11Guy-Félix, Duportail. Phénoménologie de la communication. Ellipses, Paris, 1999. Page 7.

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Lier les contraires sera donc un des objectifs de cette étude. Littérature et philosophie, fiction et réel, langage et écriture, oeuvre - être... Le Comte de Monte-Cristo, aussi bien en tant que personnage, qu'en tant qu'oeuvre, apparaît comme le prisme de rencontre des opposés. L'homme est un être du dépassement, de la disproportion, de ce fait Ricoeur nous dit, à propos du mal dont il est capable notamment, qu'il faut quitter le terrain de l'anthropologie pour s'ouvrir à d'autres attestations et formes de son être, et cela passe notammentquotesdbs_dbs46.pdfusesText_46
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