[PDF] Evaluation de lenthalpie libre de formation de montmorillonites





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La chimie

constante mais la limite théorique pour la conversion de cette chaleur en travail est seulement 474.2 kJ. Page 16. L'enthalpie libre. • Pourquoi ne peut-on pas 



Enthalpie libre Equilibres chimiques

III-1-variation de l'enthalpie libre molaire avec la pression. III-2- Equilibre chimique. III-3- Relation entre la constante d'équilibre et la variation.



Enthalpie libre évolution et équilibre

Rq : elle se calcule à l'aide des potentiels chimiques ? (sera vu en 3ème année). 2. Variation élémentaire d'enthalpie libre. dG = dH – TdS – SdT. dG = dU + PdV 



4. Thermochimie

A température et pression constantes la variation de l'enthalpie libre d'un système est proportionnelle à la variation globale d'entropie du système et de 



Enthalpie libre et potentiel chimique

Enthalpie libre et potentiel chimique d'un corps pur. I - Définition de la fonction enthalpie libre G : 1 – Exemple de l'entropie :.



Evaluation de lenthalpie libre de formation de montmorillonites

L'enthalpie libre de formation d'une nontronite est calculée à partir d'une réaction de silicatation de la gœthite dans les eaux d'une nappe de piedmont en 



Lenthalpie libre standard ?G°r 298 de la réaction : N2 (g) + O2 (g

Exercice 1. Calculer l'enthalpie libre standard à 25°C (?G°) de la réaction suivante : N2 (g) + O2 (g) ?2NO (g). Sachant que :.



Table des matières 1 ENTHALPIE LIBRE - POTENTIEL

MP1 Lycée Janson de Sailly. Le potentiel chimique. Chapitre 1. LE POTENTIEL CHIMIQUE. Table des matières. 1 ENTHALPIE LIBRE - POTENTIEL THERMODY-. NAMIQUE.



ENTHALPIE LIBRE ET CHANGEMENTS DETAT I. Système

ENTHALPIE LIBRE ET CHANGEMENTS D'ETAT. I. Système évoluant de manière monotherme et monobare. Soit T0 et P0 la température et la pression du milieu 



CHAPITRE VII : Energie et enthalpie libres – Critères dévolution d

2. Enthalpie libre standard de formation. L'enthalpie libre standard de formation d'un composé est définie comme étant la variation d 



Chapitre VI Energie libre – Enthalpie libre

Chapitre VI Energie libre – Enthalpie libre [Tapez le titre du document] Thermodynamique Page 69 VI 3 3 : Enthalpie libre lors d’une réaction chimique (loi de HESS) G° 298 = 298 f produits f réactifs G G (17) Etat simple G°f = 0 VI 3 4 : L’enthalpie lors d’une réaction à température T quelconque G° T = H°



Enthalpie libre ; évolution et équilibre - Le Mans University

Enthalpie libre ; évolution et équilibre I Enthalpie libre 1 Définition G = H – TS G fonction d’état extensive s’exprime en joule Rq : elle se calcule à l’aide des potentiels chimiques ? (sera vu en 3ème année) 2 Variation élémentaire d’enthalpie libre dG = dH – TdS – SdT dG = dU + PdV + VdP – TdS + SdT



La thermodynamique II - University of Ottawa

L'enthalpie libre • la valeur de DG correspond à l'énergie disponible (“libre”) pour faire un travail i e si une réaction a une valeur pour DG de -100 kJ on peut faire un maximum de 100 kJ de travail • considère la combustion de l'hydrogène à une pression de 1 atm et 298 K 2 H 2 (g) + O 2 (g) 2 H 2 O(l)



Comment calculer l’enthalpie libre de formation données dans les tables thermodynamiques ?

?G0enthalpie libre de formation données dans les tables thermodynamiques (remarque : même convention que pour ?fH° c’est-à-dire ?fG° = 0 pour les corps purs simples) • soit à partir de la relation : rr r ?G (298)00 0=??H (298) T.?S (298)

Comment calculer l’enthalpie d’une réaction d’éthanol?

5OH (l) ?H0r= – 555.38 kJ L’enthalpie standard de réaction par mole d’éthanol formée est ?H0f (C 2H 5OH, l) =– 555.38 kJ / 2 = – 277.69 kJ?mol–1. L’enthalpie standard de toute réaction peut être calculée à l’aide d’une combinaison linéaire des enthalpies standard de formation de ses réactifs et produits: où n

Quel est le signe de la variation d’enthalpie libre de la réaction ?

La comparaison de Q ret K° permet de trouver le signe de la variation d’enthalpie libre de la réaction et de connaître l’évolution. Exemple d’application: Soit un système à 298K contenant du diazote, du dihydrogène et de l’ammoniac avec les pressions partielles respectives : 2 bar, 1 bar et 3 bar.

Qu'est-ce que l'enthalpie de vaporisation?

Enthalpie de vaporisation, conditions standard La vaporisation est une transformation physique endothermique. La différence d’enthalpie par mole d’une substance entre l’état vapeur et l’état liquide est appelée enthalpie (molaire) de vaporisation?H vap.

C. R. Acad. Sc. Paris, t. 278 (25 mars 1974)

Série D - 1665

GÉOCHIMIE DE LA SURFACE. -Evaluation de l'enthalpie libre de fornzation de montmorillonites ferrgères. Note (*) de MM. Yves Tardy, Jean- Jacques Trescases et Bertrand Fritz, présentée par M. Marcel Roubault.

L'enthalpie libre de formation d'une nontronite est calculée à partir d'une réaction de silicatation de

la goethite, dans les eaux d'une nappe de piedmont en Nouvelle-Calédonie. La comparaison avec

de calculer le coût énergétique de l'introduction du Fe3+ dans les réseaux des phyllosilicates.

I

les enthalpies libres de formation des minéraux argileux magnésiens et alumineux déjà connues, permet

Les données récentes acquises en thermodynamique expérimentale ont permis, ces dernières années, de prédire et de mieux comprendre les réactions qui, dans la nature, régissent les équilibres entre minéraux et solutions ('). Ces données expéri- mentales ont souvent été acquises pour des silicates de composition simple, si bien que l'on dispose d'informations valables dans les systèmes purement alumineux, ferreux ou magnésiens. Les illites, chlorites et smectites qui se forment dans la nature ont, nous le savons, des compositions chimiques extrêmement variables et apparais- sent comme des solutions solides de plusieurs pôles : alumineux, ferrique, ferreux et magnésien. Dans les sols, sous climat tropical

à saisons contrastées, les montmorillo-

nites sont des beidellites dont les teneurs en aluminium, fer ferrique et magnésium dépendent essentiellement de, la composition chimique de la roche mère (">. Dans les sédiments, les minéraux argileux ont également des compositions diverses, si bien qu'il n'est pas possible de caractériser une espèce minéralogique par une composition chimique donnée [(3), (")I. A l'exception de quelques mesures faites sur des argiles de composition banale [(5) à (')I, les valeurs des enthalpies libres de formation utilisables sont celles qui ont été obtenues pour des phyllosilicates ou des silicates fibreux, comme le chrysotile ('), la sépiolite ('O), le talc i"), la kaolinite (") et la pyrophyllite

('". Pour estimer l'enthalpie libre de formation des argiles communes, on a besoin de données concernant des minéraux de la même famille, riches en fer

ferrique. i I. CALCUL DE L'ENTHALPIE LIBRE DE FORMATION D'UNE NONTRONITE. -Les péridotites de Nouvelle-Calédonie livrent à l'altération des produits de nature variée. A proximité du col de Plum, en position de piedmont, les profils d'altération compren- nent un horizon inférieur riche en nontronite et un: horizon supérieur remanié, où coexistent la nontronite et la goethite. En aval, la goethite transportée mécaniquement dans les bas fonds, se trouve resilicsée en profondeur. Ceci suggère que l'on se trouve chaque fois à proximité de l'équilibre nontronite-goethite ("). La nontronite est nickélifère et a pour formule structurale La goethite est alumineuse et nickélifère (13) et on peut supposer que les rapports Fe : Al : Ni sont identiques à ceux de la nontronite, avec laquelle elle se trouve en équilibre dans une nappe de composition connue (en mg/litre)

PH Sioz Mg Na K Ca HCOS SOz- C1- Ni++

737 21,5 13,9 5,l 0,25 0,36 66,3 65 11,l 0,006

1666 - Série D C. R. Acad. Sc. Paris, t. 278 (25 mars 1974)

Cette goethite alumineuse et nickélifère a été considérée comme un mélange de goethite FeO(OH), de diaspore AlO(0H) et d'un oxyde ou hydroxyde de nickel

équilibré par une concentration de Ni+

+ en solution égale à molesllitre ( N 6 ppb).

La réaction s'écrit

1,66 FeO(0H) + 0,34 AlO(0H) + 0,16 Ni' ' + 3,73 H4Si04 +

I + 0,385 Mg'' + nontronite + 1,09 H+ + 6,915 HzO log Kps nontronite = - 3,73 log [H4Si04] - 0,385 log [Mg"] - - 0,16 log [Ni2+] + 1,09 log H+ où les valeurs entre crochets désignent les activités des ions en solution assimilées ici aux concentrations.

Dans l'eau de la nappe

: log [H4Si04] = - 3,44 ; log [Mg'+] = - 3,2 ; log [Ni2+] = - 7,O ; log [H+] = - 7,7 ; d'où log Kps = 6,79, et AG; nontronite = + AG: - 6,915 AG; H20(1) + 1,66 AG; FeO(0H) + + 0,34 AG; AlO(0H) + 0,16 AG; Ni2+ + 3,73 AG; H4Si04 + 0,385 AG; Mg". Les valeurs utilisées sont les suivantes (en kcal/mole) : H,0(1) : - 56,69 (I4) ; FeO(0H) : - 117,O (I') ; AlO(0H) : - 219,9 (Iz) ; Si04H4 : - 312,56 (16) ;

Mg2+ : - 108,9 (I4) ; Ni'+ : - 11,l (I4).

AG: = - 1,364 log KPS = - 9,261

1 I I1 vient ainsi AG; nontronite = - 1 095,79 lcal/mole. II. ESTIMATION DU COÛT ÉNERGÉTIQUE DU Fe3 +. - Une méthode d'évaluation de l'enthalpie libre de formation des silicates fibreux et en feuillets a été proposée (I7). L'enthalpie libre de formation peut être estimée en faisant la somme des enthalpies libres des oxydes constituants, déterminés grâce aux valeurs déjà connues. C'est ainsi qu'en résolvant les systèmes chrysotile : - 965 kcal/mole, ('), talc : - 1 320 kcal/mole ('I), sépiolite : - 1 020,45 kcal/mole ('O), kaolinite : - 910 kcal/mole (I2) et pyrophyllite : - 1 260 kcal/mole (Iz), on obtient les valeurs des enthalpies libres de formation des oxydes silicatés (en kcal/mole) MgO échangeable = - 159,2 ; MgO structural = - 149,2 ; SiOz = - 204,6 ; Al,O, = - 382,4 ; HzO = - 59,2 dans le cad des édifices dioctaédriques et - 54,l dans le cas des édifices trioctaédriques. Par analogie avec Fe0 (I'), la valeur de l'enthalpie libre de formation de Ni0 Silicaté est évaluée

à - 54,5 kcal/mole. En

additionnant ces valeurs dans les proportions qui sont celles des formules structurales, on peut obtenir une estimation de l'enthalpie libre de formation des argiles alumino- magnésiennes. La connaissance de l'enthalpie libre de formation de la nontronite de Nouvelle-Calédonie permet, par différence, d'estimer la valeur du

AG; Fez03

Silicaté. La valeur trouvée est de

- 171 lkal/mole, ce qui n'est pas trop éloigné du chiffre - 177,7 kcal/mole estimé pour les phyllosilicates de très bonne cris- tallinité

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Série D - 1667

III. INFLUENCE DE LA TENEUR EN Fe3 .t SUR LE DOMAINE DE STABILITÉ DES MONT- MORILLONITES. - Si on admet que la valeur AG; Fe203 dans les silicates phylliteux 'est proche de - 176 kcal/mole avec une erreur, due aux différentes méthodes de calcul, de ?ordre de k 5 kcal/mole et en utilisant les résultats obtenus pour MgO, Alzo3, SiO, et H20 (17), on peut calculer l'enthalpie libre de formation de deux mont- morillonites fictives A et B et comparer leur domaine de stabilité à l'équilibre avec la kaolinite et la goethite, ce qui est un exemple fréquent dans les altérations.

L'octaèdre de la montmorillonite

B est plus riche en fer et moins alumineux que celui de la montmorillonite A. (A) (Si3,5A10,5) (A1:,:Fe~,~OMg~,:',,) 010(OH)2Mg0,25 + 1,10 H' + 326 HZ0 * e Si,Al,O,(OH), + 0,30 FeO(0H) + 0,55 Mg2+ + 1,5 Si04H4 pour un AG; montmorillonite = - 1 268,30 kcal/mole, AG, = - 1,451 kcal et log KR = 0,55 log [Mg2"]/[HC]2 + 1,5 log [Si04H4] = 1,064 (Si3,5A10,5) (M~,'3Fe:,:OMg~,~O) 010(OH)2Mg0,25 + 1~10 H+ f 5,40 H2O F", 0,4 Si2A1205(OH)4 + 1,50 FeO(0H) + 0,55 Mg2+ + 2,7 Si04H4 pour AG; montmorillonite = - 1 144,40 kcal/mole ; AG, = + 7,224 kcal et log KR = 0,55 log [Mg2+]/[H+]2 + 2,7 log [Si0,H4] = - 5,296. Pour une même concentration en magnésium et pour un même pH, la concen- tration en silice, qui permet la transformation de la montmorillonite en goethite et en kaolinite, sera d'autant plus grande que la montmorillonite contient moins de fer. Si l'on prend log [Mg2+]/[H']2 = 10 on obtient log [H4Si04] = - 2,96 (A) contre - 3,99 (B) ce qui correspond respectivement à 60 mg/litre et 6 mg/litre de Sioz. Cette constatation reste valab12 pour des valeurs différentes de Fe,O, silicate : pour

AG; Fe203

= - 173 kcal/mole, SiO, = 11 1 mg/litre (A) contre 24 mg/litre (B) ; pour

AG; Fe203

= - 178 kcal/mole, SiO, = 47,2 mg/litre (A) contre 2,3 mg/litre (B). En ~ d'autres termes, les argiles peuvent être en équilibre avec des solutions d'autant plus diluées qu'elles sont plus riches en fer ferrique. l

1 CONCLUSION. - L'estimation de l'enthalpie libre de formation des argiles à

composition chimique complexe est une entreprise délicate. En l'absence d'un nombre considérable de mesures calorimétriques ou de solubilité, une méthode empirique peut être appliq&e en additionnant les coûts énergétiques estimés de chacun des oxydes ou hydrox,ides dans les réseaux silicatés en fonction de leurs proportions respectives dans les minéraux considérés. - En l'absence également des mesures faites sur des pôles ferriques, une évalua- tion du coût énergétique du Fe3" dans les octaèdres des phyllosilicates est possible, grâce à la réaction d'équilibre goethite ~1. nontronite dans les eaux d'une nappe de composition connue. - I1 devient clair que tdeux minéraux de compositions chimiques différentes ont des enthalpies libres différentes et des domaines de stabilité différents, et que ce I I

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n'est pas obligatoirement celui qui a l'enthalpie libre la plus négative qui est le plus stable. - La valeur obtenue pour AG; Fe,O, Silicaté est de - 176 kcal/mole i- 5 kcal. Il devient donc possible, en utilisant les valeurs obtenues dans le système alumineux et magnésien, d'estimer le

AG; de n'importe quel minéral argileux.

- Dans les conditions naturelles de l'altération, les phyllosilicates devraient apparaître en équilibre avec des solutions d'autant plus diluées qu'ils sont plus riches en fer ferrique. (*) Séance du 28 janvier 1974. (1) R. M. GARRELS et C. L. CHRIST, Sohitiom, minerals and eqriilibria, Harper and Row, New York, (2) H. PAQUET, Thdse Sc. Strasborirg et Mem. Serv. carte Géol. Als. Lorr., 1970, 210 pages. (3) G. MILLOT, Géologie des Argiles, Masson, Paris, 1964, 499 pages. (4) N. TRAUTH, Thdse Sc. Strasbottrg, 1973 (à paraître). (5) R. M. WEAVER, M. L. JACKSON et J. IL SYERS, Soil Sc. Soc. Amer. Proc., 35,1971, p. 823-830. (6) J. A. KIITRICK, Soil SC. Soc. Amer. Proc., 35, 1971, p. 140-145. (7) J. A. KITTRICK, SoilSc. Soc. Amer. Proc., 35, 1971, p. 820-823. (8) R. C. ROUTSON et J. A. KITTRICK, Soil Sc. Soc. Amer. Proc., 35, 1971, p. 714-718. (9) P. B. HOSTETLER et C. L. CHRIST, Geochim. Cosinochim. Acta, 32, 1968, p. 482-497. (10) C. L. CHRIST, P. B. HOSTETLER et R. M. SIEBERT, Amer: Journ. Sc., 273, 1973, p. 65-83. (11) O. P. BRICKER, H. W. HESBITT et W. D. GUNTERI, Amer. Min., 58, 1973, p. 64-72. (12) E-an ZEN, Amer. &fin.2 57, 1972, p. 524-553. (13) J. J. TRESCASES, Thèse SC. Strasbonrg, 1973, 347 pages. (14) R. A. ROBIE et D. R. WALDBAUM, U. S. Geol. Srw. Prof. Paper, 1259, 1968, 256 pages. (15) Y. P. MELNIK, Inst. Geochiiii. Acad. Sc. Ukraine, URSS, Kiev, 1972, 193 pages. (16) H. C. HELGES~N, Amer. Journ. Sc., 267, 1969, p. 729-804. (17) Y. TARDY et R. M. GARRELS, Geochim. Cosmochim. Acta (à paraître). 1965, 450 pages. Centre de Sédimentologie et de Géochimie de Ia Surface,

1, rue Blessig, 67084 Strasbourg ;

Ofice de la Recherche Scientifique Outre-Mer,

,24, rue Bayard, 75008 Paris. !quotesdbs_dbs35.pdfusesText_40
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