Létalement urbain
Depuis le milieu des années 1950 la population des villes euro- péennes a augmenté de 33 % tandis que leur surface s'accroissait de 78 %. La surface urbaine de
Létalement urbain
Depuis le milieu des années 1950 la population des villes euro- péennes a augmenté de 33 % tandis que leur surface s'accroissait de 78 %. La surface urbaine de
Létalement urbain en France
Et de fait l'étalement urbain se traduit par l'avancée de l'urbain sur le territoire rural
Létalement urbain comme phénomène géographique : lexemple de
L'étalement dit « urbain » correspond à une croissance de la banlieue qui loin de repousser devant elle la discontinuité entre l'urbain et le rural
Dossier à destination des professeurs de lenseignement
I.Qu'est-ce que le processus de périurbanisation et comment l'évaluer ? processus d'étalement urbain dont les accrochages avec les principes du ...
Létalement urbain - Archive ouverte HAL
20 oct. 2014 Le processus d'étalement des villes est en effet identifié depuis plusieurs années comme un phénom`ene néfaste pour les agglomérations ...
Analyse de létalement urbain dans lYonne Caractérisation de l
Ces zones sont déclinées en 3 types d'occupation : le « Tissu urbain » les « Zones d'activités » et. « Autres » (regroupant voiries
Etalement urbain et évaluation de son impact sur la biodiversité de
7 janv. 2011 Il montre comment le processus d'urbanisation modifie le paysage dans sa ... Dans tous les cas le processus d'étalement urbain
Lest de lagglomération dijonnaise : mobilités et étalement urbain
Localiser et situer les dix premières aires urbaines sur une carte du territoire national. Décrire et expliquer : - le processus d'étalement urbain
Analyse de l'Ġtalement urbain dans l'Yonne
Tranche conditionnelle :
CaractĠrisation de l'Ġtalement urbain
Mai 2010
DI R E C T I O N DÉ P A R T E M E N T A L E D E S TE R R I T O I R E S D E L'YO N N ECe document récapitule les enseignements de
la tranche conditionnelle de l'Ġtude ͨ analyse Il complète les analyses réalisées en tranche ferme (analyse de l'Ġtalement urbain sous la cartographiques à partir des bases Corine LandCover et BD TOPO.
3 étapes, 3 outils :
- PARTIE 1 ͗ La consommation d'espaces par les edžtensions des grandes unitĠs- PARTIE 2 ͗ La dispersion du tissu bąti ă l'Ġchelle des bassins de ǀie de Sens et
Auxerre : BD TOPO
- PARTIE 3 ͗ Les formes urbaines ă l'Ġchelle d'une sĠlection de 10 communes ͗
Orthophotos et documents d'urbanisme
DI R E C T I O N DÉ P A R T E M E N T A L E D E S TE R R I T O I R E S D E L'YO N N E CaractĠrisation de l'Ġtalement urbain par CorineLand Cover
Caractéristiques de la base de données
Projet pilotĠ par l'Agence EuropĠenne de l'Enǀironnement (EEA), Corine Land Cover est un " inventaire biophysique de
l'occupation des terres ͩ basĠe sur l'analyse d'images satellitaires. Cette analyse est traduite en cartographie reprĠsentant 44
CLC 2006 représente la troisième campagne de cartographie. Pour matérialiser les changements survenus entre deux dates, il
existe également une cartographie des évolutions : CLC-Change.Principe Limite en lien avec le
sujet IllustrationToute surface homogène qui
dépasse 25 hectares a ses contours délimités précisément.On ne voit pas les
surfaces plus petites que 25ha. Les maisons isolées, les petits groupements de maisons ne sont pas pris en compte.Par rapport à la version
précédente de CLC, toutes lesévolutions sont étudiées.
Cependant, elles ne seront
prises en compte dans la matrice de changement que si le changement est supérieur à 5ha.La transformation de
petits espaces agricoles en surfaces artificialisĠes n'est pas représentée dans CLC-Change.
Exemple 1 ͗ L'apparition d'une surface х5ha est reprĠsentĠe dans CLCChange
Exemple 2 : Toutes les évolutions repérées et <5ha ne sont donc pas représentéesLes évolutions sont
représentées dans CLC si l'addition de la nouǀelle surface et d'une surface existante de même type forme un ensemble homogène répondant au premier principe (25 ha).Pour les extensions
urbaines, il faut nécessairement un noyau existant ou un changement suffisamment important pour observer uneévolution. Il y a donc
un effet de seuil situé à25ha pour la
représentation des différentes surfaces. Exemple 1 ͗ La transformation d'une surface <5ha est visible sur CLC2006 car un noyau est prĠedžistant mais n'est pas ǀisible pas sur CLC-
Change
Exemple 2 ͗ L'apparition d'une edžtension ф5ha rend ǀisible un polygone de 22ha non visible en 2000 DI R E C T I O N DÉ P A R T E M E N T A L E D E S TE R R I T O I R E S D E L'YO N N EDes surfaces de natures
proches (ex tissu urbain continu et tissu urbain discontinu) peuvent être regroupées pour former une surface homogène selon des règles de priorisation préétablies.Les observations
d'edžtensions urbaines sont donc biaisées.L'apparition d'une
zone industrielle peutêtre traduite par une
extension de zone urbaine. Exemple ͗ Le dĠǀeloppement d'une zone d'actiǀitĠ х5ha mais ф25ha est traduite en extension urbaine car le code 112 est prioritaire sur le code 121Une entité peut disparaitre si
sa surface devient inférieure à 25ha.Les extensions
urbaines peuvent être surévaluées.Conclusion :
repĠrer toutes les formes d'urbanisation, et notamment pas les petites edžtensions urbaines ou les phĠnomğnes de
mitage. Les chapitres suivants sont donc à interpréter en ayant bien conscience de ces limites.
Les surfaces artificialisĠes dans le dĠpartement de l'Yonneă partir de l'analyse des donnĠes CLC
Ce chapitre permet de repĠrer, comprendre et mesurer (aǀec les limites dĠcrites prĠcĠdemment) les tendances d'Ġǀolution pour
les grandes zones artificialisées. Ces zones sont dĠclinĠes en 3 types d'occupation : le " Tissu urbain », les " Zones d'actiǀitĠs » et
Des surfaces artificialisées en constante
augmentation dans le départementCe premier graphique permet de voir
territoires vue par Corine Land Cover est en constante augmentation. On note cependant une sensible redistribution des types de surfaces avec une diminution de la part du tissu urbain et une augmentation de celle des zones d'actiǀitĠs sur l'ensemble du Graphique 1 : Surface artificialisée totale en ha et répartition selon le type d'artificialisation en 1990, 2000 et 2006 DI R E C T I O N DÉ P A R T E M E N T A L E D E S TE R R I T O I R E S D E L'YO N N E La part des diffĠrents types d'artificialisation On constate que malgré la redistribution des parts entre les différents types de zones artificialisées la plus forte progression annuelle en termes de surface reste celle du tissu urbain avec une très importante hausse du rythme de développement entre les deux périodes considérées. La croissance des surfaces " Autres ͩ s'est considĠrablement réduite dans ces deux intervalles. Une analyse plus été mises en place contrairement à la période précédente. Vu par Corine Land Coǀer, l'artificialisation du tissu une augmentation majeure des grandes extensions urbaines par rapport à la période précédente. Graphique 2 : Évolution annuelle des différents types de surfaces(en ha) pour les deux périodes considérées DI R E C T I O N DÉ P A R T E M E N T A L E D E S TE R R I T O I R E S D E L'YO N N E Localisation des Ġǀolutions de l'Ġtalement urbain dans l'Yonne DI R E C T I O N DÉ P A R T E M E N T A L E D E S TE R R I T O I R E S D E L'YO N N EEntre 1990 et 2006, on perçoit une évolution positive des zones artificialisées sur une moitié nord-est.
L'augmentation des surfaces de tissu urbain (en rouge sur la carte) est diffuse sur l'ensemble de cette moitiĠ, aǀec
ǀisuellement significatiǀe sur l'adže Sens-Audžerre le long de l'Yonne. DI R E C T I O N DÉ P A R T E M E N T A L E D E S TE R R I T O I R E S D E L'YO N N EPrésentation des zones étudiées
La suite de l'Ġtude s'attache ă caractĠriser les edžtensions urbaines dans 2 zones qui ont une importance particulière dans le dĠpartement de l'Yonne. La premiğre zone est celle d'Audžerre. Elle regroupe 79 communes et 97787 habitants2. 19 des communes appartiennent ă CommunautĠ de l'Audžerrois, 60 ă l'aire urbaine supposées comme étant sous forte influence auxerroise). La seconde est située autour de la ville de Sens, au Nord. Dans cette zone, on compte 61 communes pour 72989 habitants2. Parmi ces communes, 8 appartiennent à la Communauté de Communes du Sénonais, 41 ă l'aire urbaine de sens et 20 sont situées en dehors de cette dernière (mais sous influence). Le regroupement de ces zones représente 50.2%2 de la population du département pour 26.7%2 de sa superficie. On comprend alors l'intĠrġt d'Ġtudier ces deudž zones où la pression urbaine, (en relation directe avec la densité de population et l'influence d'Audžerre, de Sens et de l'2le-de-France) semble a priori forte.
Comme perĕu dans l'analyse ǀisuelle des cartes o[z}vvU oGraphique 3 montre essentiellement que les deux zones concernées plus de la moitié de celui des autres zones artificialisées du département.Ce graphique montre en revanche que les zones
déjà fortement urbanisées avant 1990 que sont Auxerre et Sens contribuent peu ou pas à l'edžtension du tissu urbain ǀu par Corine LandCover. On peut légitimement penser que
l'Ġtalement urbain se fait en milieu rural et loin quotesdbs_dbs46.pdfusesText_46[PDF] le processus de création monétaire
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