LA 3 Brodeck
Lecture analytique 3 : Chapitre IX de « Au bout du chemin et au bout de ma Présentation du roman : dans Le Rapport de Brodeck tout comme Les Âmes ...
FICHE PÉDAGOGIQUE - LE RAPPORT DE BRODECK – Philippe
petite Fille de Monsieur Linh (2005) et Le Rapport de Brodeck du camp : le pendu et la Zeilenesseniss : chapitre IX – de « Au bout du chemin et au.
Apprendre à écrire des textes qui suscitent des émotions: vers un
2 oct. 2012 Partie 4 : Analyse des données (le rapport à l'écriture des élèves). 199. Chapitre 9 : Écrire des textes qui suscitent des émotions ...
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avons étudié l'image de la guerre dans les romans Les Âmes grises1 et Le Rapport de. Brodeck de Philippe Claudel. Pendant analyse du premier roman mentionné
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que Le rapport de Brodeck a lieu à la période de la Deuxième Guerre mondiale. Dans la partie analytique nous présenterons tout d'abord les deux œuvres.
de mémoire
analytiques sur le roman Le Rapport de Brodeck de Philippe désigne dès lors le deuxième texte qu'il ... le chapitre 9 la présence d'une « très jeune.
Les Rêveries du? promeneur solitaire (Fiche de lecture)
57) Rousseau s'interroge sur son rapport à la connaissance et à l'expérience. Après avoir toute sa vie désiré apprendre (p. 59)
PFML_Guide de lenseignant
Le rapport de la femme du quai fi Ät Åt
Agnès Desarthe - Dans la nuit brune
9. Réaction des élèves au roman. 2'31. 10. Le roman contemporain occasion de partage en classe. 1'40. Lecture d'extraits par l'auteur.
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rancouzsk jazyka a literatury pro stĜ les romans grises de Philippe Claudel, 14 de Jean Echenoz et dans de Jean RouaudMagister
doc. PhDr. Petr Dytrt, Ph.D.Brno 2018
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INTRODUCTION .......................................................................................................... 6
I. COMMENT RACONTER LA GUERRE DE 14 ? ............................................... 91.1. LES RECITS CANONIQUES ................................................................................................................. 9
1.2. COMPOSANTES ACCENTUEES DANS LES FICTIONS DE LA GRANDE GUERRE .................................... 12
1.2.1. ........................................................................... 12
1.2.2. Violen .......................................................................................... 14
1.2.3. ................................................................................................. 15
1.2.4. ................................................................................................................ 16
II. LES ENJEUX DES RECITS CONTEMPORAINS VIS-A-VIS DE LAGRANDE GUERRE ..................................................................................................... 18
2. 1. ISTOIRE DANS LE MIROIR DU POSTMODERNISME ........................................................................... 18
2.2. LA GRANDE GUERRE SOUS LOPTIQUE DES ROMANCIERS DAUJOURDHUI .......................................... 20
III. DIDACTIQUE DU FLE : QUELLE VALEUR REPRESENTENT-ILS LESTEXTES AUTHENTIQUES LITTERAIRNT ? ...... 23
3.1. LE ROLE DE LEDUCATION LITTERAIRE ? ........................................................................................ 23
3.2. LECTEUR SUJET ........................................................................................................................... 26
3.3. LA MISE EN PRATIQUE DES DOCUMENTS AUTHENTIQUES................................................................ 28
3.3.1. La correspondance dans Les mes grises ................................................................................ 28
3.3.2. 14 ..................................................................................... 30
3.3.3. ................................................................................................ 32
IV. LES PORTRAITS DES TROIS ROMANCIERS ........................................... 334.1. PHILIPPE CLAUDEL (*1962) ........................................................................................................... 33
4.2. JEAN ECHENOZ (*1947) ................................................................................................................. 34
4.3. JEAN ROUAUD (*1952) .................................................................................................................. 36
V. ANALYSE DES MES GRISES ....................................................................... 375.1. PRESENTATION DE L .......................................................................................................... 37
5.2. GREFFIER DU TEMPS (NARRATEUR) .......................................................................................... 38
5.3. PREMIER LUNDI DE DECEMBRE 1917 (CADRE TEMPOREL) ........................................................ 40
5.4. NOTRE VILLE (CADRE SPATIAL) ............................................................................................... 42
5.5. TOUTES LES AMES GRISES (PERSONNAGES) .................................................................................... 44
5.6. EFFET DUN DECES INDIVIDUEL (MOTIF DE LA MORT) .................................................................... 46
VI. ANALYSE DE 14 ............................................................................................... 48
6.1. PRESENTATION DU ROMAN............................................................................................................. 48
6.2. NARRATEUR EN CONNIVENCE AVEC SON LECTEUR ........................................................................ 50
6.3. RECIT CHRONOLOGIQUE ARTICULE PAR LISTOIRE (CADRE TEMPOREL) ...................................... 53
6.4. DE NANTES VERS LES ARDENNES (CADRE SPATIAL) ...................................................................... 55
6.5. CINQ RECRUTES ET UNE FEMME ABANDONNEE (PERSONNAGES) .................................................... 58
6.6. MORT COMME UNE PARTIE QUOTIDIENNE DE LA GUERRE ............................................................... 61
VII. ANALYSE DES ................................................... 647.1. PRESENTATION DU ROMAN............................................................................................................. 64
7.2. NARRATION EN NOUS INCLUSIF ...................................................................................................... 67
7.3. RECIT COMME REFLET DUNE MEMOIRE INDIVIDUELLE (CADRE TEMPOREL) .................................. 69
7.4. LOIRE-INFERIEURE ET SES PLUIES INNOMBRABLES (CADRE SPATIAL) ............................................ 71
7.5. TANTE ENTIERE ET GRAND-PERE REVEUR (PERSONNAGES) ............................................................ 75
7.6. LA MORT : FIL ROUGE DU RECIT ..................................................................................................... 78
CONCLUSION ............................................................................................................. 82
BIBLIOGRAPHIE ........................................................................................................ 90
ANNEXES ..................................................................................................................... 94
6Introduction
Le pouvoir dont dispose la romanesque consiste, entre autres,Effectivement, c
Grande Guerre ure contemporaine. Vu que
il devient une interrog Leur vision du premier conflit mondial a e .Les mes grises1 et Le Rapport de
Brodeck de Philippe Claudel. Pendant analyse du il nous semblait que cette riche production sous une optique de la Grande Guerre dans ce roman. En approfondissant notre sujet de recherche, nous avons enrichi majeures142 de Jean Echenoz qui est et des Champs neur3, prixGoncourt de Jean Rouaud.
nous poserons des questions suivantes textes ? Existe-t-il des points communs illustrant dans le corpus ? Sinon, ? Et serait-il-pertinent de parler du style grand nombre touchant le conflit ? Une contemporaine. Nous sup existe des traits de style du roman 14-18 comme tel. notre attention ciblera1 Les mes grises. Paris, ditions Stock, 2003.
2 ECHENOZ, Jean, 14
3 ROUAUD, Jean,
7 e sont certaines notions de l postexpliciter, le point le plus important de est cerner les trois analyses qui suivront dans l ature contemporaine abordant des sujets historiques, en l'occurrence la celui de la Grande guerre. Dans cIci, la question sur la raison pour laquelle il
Ceci nous a
approche du is aussi dans les analyses des textes. Comme nous lavons de notre travail reposera sur trois fiches de lecture qui tenteront s et quelques Notre essayer d leur . Pour faire cela, nous relierons les textes des romans avec les documents iconographiques et authentiques.Annexes.
. Afin de bien traiter notre oriale. La question du temps dans les romans nous occupera En effet, on peut se demander s'il y a une ? Et si cela ait le cas, quels entre la conception de la Grande Guerre ? Quant au cadre spatial, nous nous poserons la question concernant de savoir si non. Ensuite, en analysant des personnages est a -partie de 8Esdans
les trois -bas. 9I. Comment raconter la guerre de 14 ?
1.1. ce qui ne se raconte pas 4 estime Jean Kaempfer dans son essai5 Par ce propos, il confirme
normaux e grognards 6 protagoniste du roman LaChartreuse de Parme
7 En ef4 KAEMPFER, Jean,
qui souligne.5 Idem, p. 256.
6 SCHOENTJES, Pierre, Fictions de la Grande Guerre / -18), Paris, ditions
Classiques Garnier, 2009, p. 27.
7 KAEMPFER, Jean, op. cit., p. 251.
10 8Le feu.
--18 : le roman se pose comme une description assez explicite de la condition quotidienne des soldats. Quant ici, mais des tranches de vie 9 LeLe feu ainsi autre
essayant de survivre, et un avenir illisible. 10 ne craint pasVoyage au
bout de la nuit dont nous reparlerons plus tard. Pierre SchonentLe feu 11.
on [du lecteur] yeux, et pourtant tout baigne dan tranches de vie : attente du 12U-18 est Les Croix de bois de
8 SCHOENTJES, Pierre, op. cit., p. 32.
9 KAEMPFER, Jean ފ-ފ
par Catherine Milkovitch-Rioux et Robert Pickering, Clermond-Ferrand, Presses universitaires Blaise
Pascal, 2000, p. 453.
10 LA GRANDE GUERRE Revue Annales. Histoire, Sciences Sociales 5/2005, p. 910. [disponible sur11 SCHOENTJES, Pierre, op. cit., p. 37.
12 KAEMPFER, Jean, op. cit., p. 259.
11 cel Proust lors de la finale du prix Goncourt13 que pourVoyage au bout de la nuit qui se manifeste par
Feu et des Croix des bois
la guerre sans rien comprendre leur avais rien fait, aux Allemands 14, se prononce-t-il de sa condition de guerrier.Les chevaux ont bien de la
! 15 t-- supra- e plus riche en sentiments et en modes de lecture. Jean Kaempfer se prononceVoyage ainsi :
13 SCHOENTJES, Pierre, op. cit., p. 24-25.
14 CLINE, Louis-Ferdinand, Voyage au bout de la nuit, Paris, Galimard, 1952, p. 21.
15 Ibid, p. 37.
12 : il y a lui Bardamu - alentour. 16 -18 surtout parce La liste des romans de 14-as exhaustive, citons encore Blaise Cendras (1919), Pierre Drieu La Rochelle avec (1934) ou Gabriel Chevallier et La peur (1930) attention sur ceux qui sont le plus remarquabl -18 se composent dans 17 - ucteur. 18 1.2. : autrement dit, question dans ce sous-chapitre.1.2.1.
anciers penchent pour une attitude lisible et claire que "la der des ders"19, explique cette tendance Pierre Schoent16 KAEMPFER, Jean, op. cit., p. 262.
17 KAEMPFER, Jean ފan de 14-ފ
par Catherine Milkovitch-Rioux et Robert Pickering, Clermond-Ferrand, Presses universitaires Blaise
Pascal, 2000, p. 454.
18 Idem.
19 SCHOENTJES, Pierre, op. cit., p. 51. Expression pour souligner que c
13 un porte- n -18 :Pour eux
20 la Grande Guerre. Ici, cette ve21, affirme Jules
vre patriotisme ex e va pas 22s le cas de cette perte-
On comprend pourquoi chez beaucoup
20 SCHOENTJES, Pierre, op. cit., p. 46.
21 ROMAINS, Jules, , Paris, , 1938, p. 6.
22 KAEMPFER, Jean, op. cit., p. 213.
1423 Ici, nous observons de nouveau que les romans de 14-
2425
1.2.2. Violence et sensationnalisme
mais e : Celui qui donne la mort reste invisible, mais les effets sont on ne peut plus concrets : normal que dans ce con 26Dans ces conditions-
27.une dimension symbolique que
28 A part
: les29, estime Schoentjes. Ce
; on a voulu sans doute23 SCHOENTJES, Pierre, op. cit., p. 40.
24 Idem, p. 61.
25 Idem, p. 63.
26 Idem, p. 111.
27 CRU, Jean Norton,
28 SCHOENTJES, Pierre, op. cit., p. 114.
29 Idem, p. 197.
15 faire un exemple. [] - un peu 30que la violence individuelle frappe le Feu Maria Remarque . Dans ce cas, le lecteur entre au vif du sujet, combats. Pourtant, la plupar : sous la forme des images apocalyptiques on illustre cette arce que Le feu naturalisme 31 sensationnalism de scandaliser le lecteur que la vision antimilitariste est transmise.
Certes, la guerre des
-- on risque sa vie 321.2.3.
3330 BARBUSSE, Henri, Le feu, Paris, Flammarion, 1965, p. 151 -153.
31SCHOENTJES, Pierre, op. cit., p. 92.
32Idem, p. 138.
33 : Raconter
, Paris, 1634 Ainsi, les anciens combattants dirigent leurs
soldats, c35 Il n
ire et lui oppose atteinte. 36 aire mais aussi entre les hommes37 En revanche, les
381.2.4.
La guerre moderne
34 DELAPERRIERE, Maria, op. cit., p. 64.
35 KAEMPFER, Jean, op. cit., p. 217.
36 DELAPERRIERE, Maria, op. cit., p. 75.
37 SCHOENTJES, Pierre, op. cit., p. 192.
38 Idem, p. 195 -196.
17 - leurs souvenirs 39, estime Jean Kaempfer en nous -chapitre sur la question de la violence. Ainsi, la mort cause de ce changement de la nature des combats. Pourtant, a suite du XXe 40Les croix de bois41 et 42 formes et les mouveme 43
plus 44 De toute ce, la posture propre aux romans de 14-18 met en question le pacifisme ect pour la paix.
39 KAEMPFER, Jean, op. cit., p. 221-222.
40 SCHOENTJES, Pierre, op. cit., p. 233-234.
41 DORGELS, Roland, Les croix de bois, Paris, Albin Michel, 2000, p. 208.
42 REMARQUE, Erich Maria, , Paris, Stock, 1973, p. 75-77.
43 SCHOENTJES, Pierre, op. cit., p. 236.
44 Idem, p. 236.
18II. --vis de la
Grande Guerre
les enjeux principaux du roman de guerre de 14, stique. En somme, ant dans la veine du sur la d contemporaine revoit ce sujet historique.2. 1. Histoire dans le miroir du postmodernisme
Le postmodernisme se manifeste Celle-ci est typique surtout pour sa vitesse, son son vision c liquide , : de choix. 45 e impossible de acceptable par tous.46De cette
a reconstruction45 BAUMAN, Zygmunt, g
2003. [disponible sur
df]46The search for the universal standards has suddenly become gratuitous; there is no credible 'historical
agent' to which the findings could be adressed and entrusted. [] The task of establishing universal standards of truth, morality, taste does not seem that much important. Postmodernism/Theory, Culture & Society, Volume -3 June 1988, Londres, Sage Publications, 1992, p. 220-221. Traduit par nos soins. 1947 que toute
avec soi a qui essentiellement . 48 penchent vers 49 Cette si nous prenons en vivons est pour demain. lui- 50, cette De La question historique ne fut certes jamais compltement absente du roman au cours du XXe . 51 -gardiste qui rompt avec les valeurs e mais la "nouveau" son aspect innovant. 52 ne essaie le grand public en admettant plusieurs niveaux de lecture.47 In :
au tournant du XXIe Sous la direction de Bruno Blanckeman, Aline Mura-Brunel et Marc Dambre,Paris, Presses Sorbonne Nouvelle, 2004, p. 360.
48 VIART, Dominique, e , Paris, Armand Colin, 2011, p. 165.
49 VIART, Dominique; VERCIER, Bruno. . Paris, Bordas, 2005, p. 130.
50 VIART, Dominique (2011), op. cit., p. 165.
51 Idem, p. 165.
52 Idem, p. 149.
20 le Le Nom de la rose53 attentif aux allusions structure complexe du roman. les deux trouvent chacun son plaisir du texte. Le constat qui se propose ici est la reprise driture mais en ajoutant les empreintes de notre temps : Elle e in renouveau romanesque.54 forme et seuls dans nos doutes.2.2. La
sions. 55 apr les grands noms de constituer de nouveau s trente Glorieuses s56 abous tiennent bien leur place dans la discussionIl est vrai que ceux-
53 ECO, Umberto, Le Nom de la rose, Paris, Grasset, 1983.
54 In : Le roman fran
au tournant du XXIe Sous la direction de Bruno Blanckeman, Aline Mura-Brunel et Marc Dambre,Paris, Presses Sorbonne Nouvelle, 2004, p. 370.
55 VIART, Dominique; VERCIER, Bruno, op. cit., p. 131.
56 Idem, p. 133-134.
21documents historiques mais comprendre questions et les incertitudes qui sont les leurs. 57 Le s suscitent tandis que la Seconde Guerre mondiale
1950-1980. 58
en raison ui profitent de cette occasion. En effet, un . Par exemple, Didier Daenickx choisit le roman policier pour son roman Le Der des dersUn Long Di
-dessus, citons celle de Tardi . ce stade notre travail, possible . Les 59c mais de suit : 60 Roger Godard ajoute : [] la Grande Guerre pose b : ne 61
57 VIART, Dominique (2011), op. cit., p. 165.
58 VIART, Dominique; VERCIER, Bruno, op. cit., p. 134.
59 Idem, p.138-139.
60 Idem, p. 141.
61 GODARD, Roger, , Paris, Armand Colin, 2006, p. 262.
22est la Grande Guerre : les --dire que
62 de leurs origines.
des cas concrets. dans un mouvement continu, elle prend rarement en compte les individus ordinaires qui cette mais elle s et le auxquels il a pris part.63 . ue est fille du64, conclut Dominique Viart. I
de qui nous profondes ne suffit plus, le point de vue rationaliste n pas essentiel la logique et de laissaux au62 VIART, Dominique; VERCIER, Bruno, op. cit., p. 142.
63 Idem, p. 142-143.
64 VIART, Dominique ފ syntaxe de votre doleurފ
contemporiane -Rioux et Robert Pickering, Clermond-Ferrand, Presses universitaires Blaise Pascal, 2000, p. 469. 23omnipotente dans ses explications mais ce savoir constitue une partie importante de notre un point de vue pluraliste est -dessus de tout. Ici e estimons que ce sont surtout avec les et style.
III. Didactique du FLE : -ils les
Le titre nous indique ique
: ette , souvent sous-quotesdbs_dbs46.pdfusesText_46[PDF] lecture analytique le rouge et le noir chapitre 4
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