[PDF] LECTURE DUNE ŒUVRE INTÉGRALE Jean GENET Les Bonnes





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Lanalyse des changements de la position du pouvoir dans Les

Cette étude essaie de donner une analyse sur la pièce Les Bonnes de rôle de Madame boit le tilleul empoisonné devant Solange. Le «.



Descriptif séquence 1 Les Bonnes

Texte 1 Les Bonnes – Jean Genet Les deux bonnes sont là - les dévouées servantes! Devenez plus belle pour les ... SOLANGE : Le tilleul est prêt Madame.



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28 févr. 2022 Pistes de lecture ... Genet y analyse sa conception du théâtre comme métaphore ... Claire joue le rôle de monsieur et boit le tilleul.



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19 avr. 2021 Les pièces Les Bonnes et Le Balcon de Jean Genet sont inscrites ... l'analyse que vous ferez de ce corpus



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Votre lecture du Balcon et des Bonnes de Jean Genet vous semble-t-elle limites à la lumière d'une part



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Analyse du texte dramatique et gender studies : vers une étude des

troisième et quatrième chapitre proposent l'analyse de Les Bonnes et Le Balcon. dernière fois de tuer Madame en l'empoisonnant grâce à du tilleul ...



Formes et fonctions du jeu dans Les Bonnes de Jean Genet

dimension ludique du jeu à travers l'analyse de l'espace du langage et des s'entretuer et finalement Claire boit le tilleul empoisonné qu'elles avaient ...



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théâtral des deux actrices figurant les deux bonnes doit Elle prépare le tilleul·de Madame. ... qu'on analyse l'écriture et qu'on sache qui a pu.



LECTURE DUNE ŒUVRE INTÉGRALE Jean GENET Les Bonnes

Toute la scène de la mort de Claire renoue avec le jeu des Bonnes à partir de la page Lecture analytique 2= Le jeu des miroirs. ... Le tilleul= poison.

Jean GENET

Les Bonnes

Édition de référence des pages signalées : Folio théâtre,

Gallimard, 2001

Le rituel du théâtre

1. Cette question peut être traitée à partir du début de

en même temps que le théâtre dans le théâtre, le jeu des soeurs. Comme des enfants, le temps du jeu

fini, elles se dépêchent de revenir au réel : " dépêchons-nous. Madame va rentrer » (p. 32). Claire se

rhabille promptement. Jeu également décelable dans cette scène lorsque Claire sort du rôle de madame

pour apostropher sa compagne de jeu : " mais dépêche- Si la robe est

trop longue, fais un ourlet avec des épingles à nourrice » (p. 25). Un peu plus loin elle dira à sa soeur :

" » (p. 26). Plus tard encore, Solange quittera le personnage de Claire : " car Solange vous emmerde » et Claire la rappellera Claire,

Solange, Claire ! » (p. 29), et peu avant la sonnerie, Solange affirme : " je connais la tirade » (p. 31).

Le mot tirade peut être pris à double sens. Au sens figuré, il souligne le caractère répétitif et prévisible

des reproches que Claire adresse à Solange. Pris au sens propre, il désigne la théâtralité de la situation,

le fait que les bonnes sont en représentation. Ainsi le lecteur attentif peut deviner avant même la

sonnerie du réveil que cette scène est un jeu entre les soeurs. Néanmoins, ce théâtre dans le théâtre

apparaît tout personnages. de trop de fleurs, la langue poétique et le réveil même qui limitée dans un temps précis.

2. Toute la scène de la mort de Claire renoue avec le jeu des Bonnes à partir de la page 96, lorsque

Solange le rôle de Madame. Claire entre

immédiatement dans son jeu, mais cette fois le réveil ne sonnera pas et le meurtre de Claire jouant

déréglé, la cérémonie sacrificatoire a pris le dessus.

3. (la vie " réelle » des bonnes) glisse dans un

deuxième degré de la fiction (les bonnes jouant à Madame et à la

é 89 de la bonne à celle

de Madame et significatifs aussi du

Madame interchangeables. La 3e personne sert à la fois à évoquer la personne physiquement absente

mais omniprésente de Madame mais est aussi employée comme formule de politesse. Cet emploi contribue encore à brouiller les pistes. On remarque aussi que le langage poétique vient, en

ce qui est joué et nous alerter sur la prétendue " réalité » de la scène. Ainsi, au moment du nettoyage

des chaussures dans la première scène, le lecteur spectateur est guidé vers un ailleurs, il sent que ce qui

ordre : " Pensez- agréable de me savoir le pied enveloppé par

les voiles de votre salive ? Par la brume de vos marécages ? ». Il faut alors déboucher sur le jeu de

texte de Genet, Comment jouer Les Bonnes ? iconographiques de mises en scène proposés.

Le jeu des doubles

4. Le jeu de doubles se complexifie déjà dans Les Bonnes

contrairement à la comédie classique ou à des pièces plus modernes qui renouvellent le couple

maître/valet, comme Mademoiselle Julie de Strindberg ou Maître Puntila et son valet Matti de

Brecht.

Les deux bonnes sont interchangeables au regard de Madame qui voit en elles des fonctions plus que des êtres. son identité de Solange mais devient Claire. Quant à la rela elle est proprement souvent entendus selon lesquels Sganarelle ou Matti seraient traités en doubles de leur maître.

L schizophrénique ne peuvent que conduire

à la mort.

par le vêtement. Lorsque Claire enfile par- dessus sa robe noire de bonne la robe de Madame, il de revenir en arrière et de cesser le jeu.

5. Durant toute la tirade, Solange affirme son crime

dignité.

Solange Lemercier, et à la fin de la

tirade, mieux que Solange Lemercier, le nom socialement digne, elle sera : " la femme Lemercier, La Lemercier La fameuse criminelle devient valeur suprême.

La robe rouge du crime lui donne le même habit que Madame, la hausse socialement, ellepeut

annoncer : " la tête haute. »

À partir du moment où elle est sur le balcon, elle nous livre une somptueuse description de son

châtiment, la condamnation à mort, inextricablement mêlée à une vision nterrement de Claire

couleurs évoquées, le rythme ascendant de la phrase de Solange que descente vers le crime et la mort est empreinte religieuse qui contribue à la sacraliser.

Comment jouer Les Bonnes ?

6. Dès la première phrase, Genet revendique la théâtralité

les deux bonnes deux bonnes, mais de les figurer. Le terme choisi propose une attitude

résolument non réaliste : marcher sur la pointe des pieds, avec un ou deux souliers à la main.

Elles ne doivent pas " imiter les dames de cinéma ». À la page 13, il invite clairement les actrices à se

défaire du mode réaliste, car sa pièce est " un conte », et pas une imitation de la réalité. Il dira combien

son intention est loin de tout désir de montrer une réalité sociale : " Une dans le langage des Bonnes, il affirme à la fois que les bonnes -être à un plan naturaliste une histoire donnée pour vraie. Ce que cherche à communiquer

8. Les textes de Genet cités dans cette question rejettent le théâtre qui imite la vie et le jeu du

comédien qui cherche " abolir le

personnage -à-dire la convention du théâtre occidental, surtout du théâtre dit bourgeois, du

xviiie au xxe individus ordinaires et se comportent

comme dans la vie. Il veut que la scène soit en " décalage » avec notre réel de référence.

Quand Artaud (p. 43 du manuel, l. 22-23) évoque " la qualité », on peut penser aux " gestes suspendus et cassés » recommandés par a affaire à une gestuelle plus proche de la danse que des gestes de la banalité quotidienne.

Artaud voit dans le théâtre balinais une ritualisation des gestes et des mimiques, un excès

à un code totalement différent du code du théâtre mimétique. du théâtre balinais est commandé le spectateur à un autre

monde que le monde dans lequel il vit, qui le renvoient dans le monde de la spiritualité. Genet déplore

que " chargé de signes. » On constate que le

même terme " signe » est employé par les deux auteurs et que leur vision du théâtre est proche alors

même que Genet a affirmé ne très vraisemblable.

Des mises en scène

9. re

de boudoir. Meubles, tentures, flacons, décorations sur les murs, placard ouvert avec robes et cartons à

chapeaux, le décor bonne tient le plateau chargé

à la hauteur du fauteuil de la maîtresse. Le décor et le style de jeu appartiennent au même registre

réaliste.

10. Mise en scène de Philippe Adrien. La position des actrices sur la photo est étrange. Assises par

terre, comme autre, elles rapprochent leurs corps mais ne se regardent

pas, elles regardent le public. Cette étrangeté sert le propos de Genet qui ne veut pas que sa pièce soit

est arrivée ou qui aurait pu arriver. Le regard très tendu, un peu il se sent vraisemblablement entraîné dans un monde qui ne le ramène pas à son quotidien, à sa réalité.

11. pour désigner une démarche réductrice ou

simplificatrice esprit, entre On peut voir sur le document que

la chambre est signifiée par un lit mais que, contrairement à la scénographie précédente, la pièce est

plutôt vide et le décor épuré. on fusionnelle des de défier, le monde dans une forme de délire à deux. Là saisies dans leur quotidien) est gommé au profit de quelque chose de plus essentiel.

12. La recherche sur la vie de Genet mettra en évidence

prison, son homosexualité, ses prises de position en faveur des

Genet un auteur atypique, à la marge de la société. Le déterminisme social a pesé sur sa vie, Genet a

puisé son oeuvre dans sa vie et a société rejette comme abjection.

Lecture analytique 1=

Celui-ci montre cette scène comme une scène de jeu théâtral avec les indications de jeu, les

rapports de domination, le mélange des registres de langue... Enfin, ce commentaire met en

évidence les relations entre les personnages en s'appuyant sur les faits, les lieux, le tutoiement,

le vouvoiement, les antithèses...

Axes de lecture

Une scène d'exposition qui ouvre traditionnellement une pièce de théâtre, mais qui est ici

détournée : l'auteur n'a pas préparé le spectateur à cette mise en abyme initiale ; Les relations entre les soeurs sont représentatives d'une relation maître / domestique.

I. Une scène d'exposition

A. Les éléments d'exposition

1. Un cadre spatial. (Voir le décor)

un univers social, bourgeois ; un univers féminin : une scène d'intimité qui suggère sensualité voire érotisme.

2. Les indications temporelles

3. Une situation

un clivage entre l'univers de la chambre et celui de la cuisine ; le statut des personnages apparaît dans le discours, la manière de s'adresser à son interlocuteur ; les attitudes respectives de Claire / Madame (gestes, ton) et celles de Solange / Claire (parle peu, attitudes, gestes de soumission) soulignent les rapports de dominant à dominé.

B. Une exposition détournée

Certains éléments plongent le spectateur dans la perplexité. Le jeu souligné de Claire /Madame : le geste tragique, la violence de son discours ;

Quelle est l'intrigue ? le rôle d'une scène d'exposition "classique" est de faire le point sur une

situation . Ici, la scène semble se perdre dans les détails : les gants, les préparatifs de la

toilette, l'anecdote des amours de Solange / Claire avec le laitier ; Un rythme décalé. Des variations de rythme déconcertantes, de brusques changements de tempo : la 1ère partie de la tirade de Claire, faite de phrases courtes, exclamatives, interrogatives, obéit à un tempo très rapide. Pendant ce temps, Solange joue avec ses gants selon un tempo beaucoup plus lent. Autre exemple : Claire devant sa coiffeuse (tempo lent) puis accélération brutale lorsqu'elle s'adresse à Solange.

II. Les relations entre Claire et Solange

A. La relation entre Madame et sa domestique : une opposition tranchée

2 espaces qui ne doivent pas se recouper : la cuisine et la chambre. "Cette chambre ne doit pas

être souillée" suggère un espace sacré qui ne doit pas être profané ;

le jeu de Solange avec les gants (elle joue à la dame) entraîne la réplique ironique de Claire ;

la volonté de rabaisser la domestique et son univers (récurrence du mot "crachat") ; le langage de Madame ;

2 existences dépendantes du regard de l'autre : la beauté de Madame, pour exister a besoin du

désir de l'autre : "Je désire que Madame soit belle" ; la haine se dissimule sous le code de la politesse : Solange désire que Madame soit belle, ce que Claire traduit : "Vous me détestez..." ; la perfection du service dissimule une volonté d'assassiner le maître.

B. Des oppositions symboliques

Les robes noires (marques de la domesticité) / "la robe blanche pailletée" (symbole de pureté)

les mains gantées de caoutchouc en forme de bouquet ou d'éventail (trivialité) / les fleurs qui

décorent la chambre de Madame, son éventail ; la vulgarité du mariage, de la grossesse /la beauté, la pureté (sens du prénom Claire) /

Conclusion

Une scène qui désoriente le spectateur ;

La relation maître /valet.

Lecture analytique 2= Le jeu des miroirs.

1. Situation du texte

effectivement dans Les Bonnes, pièce rédigée en 1946 et créée par Louis Jouvet au théâtre de

procédé du théâtre dans le théâtre, les jeux de rôle et les simulacres, Genet tourne délibérément le dos au réalisme, forme de récit allégorique qui avait peut- moi- puisse croire, il faut que les actrices ne jouent pas selon un mode réaliste. » son mépris et de ses insulte que celle- moment où sonne un réveil.

2. Un jeu de rôles rituel (question 1)

Au fil de la scène, plusieurs indices révèlent au lecteur comme au spectateur que les bonnes répètent

un jeu codé et convenu entre elles, avant même que la sonnerie du réveil et les deux dernières

répliques démontent ce simulacre.

Pour mieux jouer le rôle de Madame, Claire a revêtu une robe de sa maîtresse, dont la couleur

rouge signe la théâtralité, voire le sacré, que Solange profane par son crachat (didascalie de la ligne

3).

Les pronoms personnels distincts le " tu » adressé à la bonne contrastant avec le " vous »

employé par celle-ci sont aussi un signe du jeu de rôles entre les deux soeurs. Ce jeu connaît un raté quand Sotrop à son " personnage », prononce son propre censée interpréter : " Car Solange vous

emmerde » (l. 10). Confusion immédiatement rectifiée par Claire, " affolée » (l. 11 et 13), qui suspend

un instant son jeu ou de souffleur. Cette parenthèse comique montre aussi le jeu de brouillage les notions de " rôle » et de " personnage », que nous propose Genet. La réplique de Solange : " trouve un écho déçu dans la bouche de Claire pas pu aller

Le titre de la pièce, Les Bonnes, est répété plusieurs fois au cours du dialogue, comme si ce terme

désignait compter sans la révolte des bonnes » (l.

19), " Les deux bonnes sont là les dévouées servantes ! » (l. 29), " Je suis la bonne » (l. 36).

Solange souligne elle-même la théâtralité de son discours, " grandiloquence » à la ligne 32.

Les deux dernières répliques marquent le retour des bonnes à la " réalité » de leur condition,

la fin du jeu rituel dont la fréquente répétition est signalée par vite. Je ne peux pas de jeux enfantins, que de ses modèles cf. " Situation du texte »).

3. Des objets et des prénoms symboliques

(questions 2 et 4) Le miroir et le réveille-charge symbolique qui les fait participer

pleinement au procédé du théâtre dans le théâtre. Riche de sens au théâtre, comme dans les romans

ou les contes merveilleux et fantastiques, le miroir tendu à Claire par Solange suggère le jeu de

doubles et le double jeu dans lesquels se complaisent les deux bonnes. Solange propose à sa

soeur, qui est aussi son double et sa partenaire de jeu, de se regarder interpréter le rôle de Madame,

fient à la fois. Claire, " se mirant avec complaisance », se

trouve alors " plus belle » et renie son propre être en déclarant à celle qui joue la servante : " Le

danger -27).

Le jeu de scène autour du miroir condense ainsi les questions et les procédés qui se trouvent non

seulement de Genet : le dédoublement, le retournement de la maître et esclave, le jeu

sur les stéréotypes littéraires Quant au réveille-matin, il marque bien sûr le retour

à la " réalité » des bonnes, -à-dire au premier niveau de la représentation théâtrale. Sa sonnerie

retentit au moment où Solange " semble sur le point tard dans la pièce, la sonnerie du téléphone aura une fonction similaire. le matin figurent le chassé-croisé entre la réalité

et dont les repères sont brouillés sur la scène du rêve, du fantasme ou du théâtre.

et le jeu sur les valeurs symboliques sont également manifestes dans le choix des prénoms

" Claire » et " Solange », qui désignent comme par antiphrase ces soeurs aussi ténébreuses que

diaboliques. " Claire est là, plus claire que jamais. Lumineuse ! »

Claire, -

du prénom " Solange » contraste de surcroît avec les crachats et lance contre la prétendue qui fait boire le tilleul

empoisonné à sa soeur et qui se destinera à affronter, seule, la peine de prison. Au-delà

acerbe des antiphrases et de la construction

aussi entendre le fantasme de sainteté dans le mal que Genet poursuit à travers ses personnages

théâtraux ou romanesques. (question 3)

Le dialogue joue constamment sur le mélange des registres et des styles, de la trivialité et de la

solennité, ou sur la dissonance entre les paroles et les gestes. On relèvera à cet égard :

blason poétique, contrastant avec les crachats de Solange sur la robe rouge et sa déclaration de haine (l. 2-4) ; la : " Vous croyez pouvoir dépriver ? : " Et me prendre le laitier ? avouez ! emmerde ! » (l. 7-10) ; : " Madame se croyait protégée par ses barricades de fleurs, sauvée par un exceptionnel destin, par le sacrifice » est démystifiée par les termes : " Elle va crever et dégonfler votre aventure. Ce (l. 18-21) ; Solange passe de qualifie elle-même de " grandiloquence » (l. 32) à cuisine (l. 34- z pas en paradis », " Vous êtes au bout du rouleau ma chère », " Bas les pattes », etc. Là encore, de dissonance renforcent le caractère artificiel, irréaliste, et

Dans son texte liminaire " Comment jouer Les Bonnes », Genet écrit à ce propos : " Quant aux

passages soi-disant " poétiques », ils seront dits comme une évidence, eur de taxi parisien invente sur-le-champ une métaphore argotique : elle va de froidement que le reste. »

5. Fascination et répulsion (questions 5 et 6)

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