[PDF] LES SOCIÉTÉS CIVILES DU SUD - Un état des lieux dans trois pays





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UNIVERSITE DANTANANARIVO

droits humains à la citoyenneté

DIRECTION GÉNÉRALE DE LA COOPÉRATION INTERNATIONALE ET DU DÉVELOPPEMENT

LES SOCIÉTÉS CIVILES DU SUD

Un état des lieux dans trois pays de la ZSP

Cameroun, Ghana, Maroc

ÉTUDE COORDONNÉE PAR RENÉ OTAYEK ET RÉALISÉE PAR :

Joseph AYEE

Jean-Didier BOUKONGOU

Myriam CATUSSE

Fred EBOKO

M'Hammed IDRISSI JANATI

Comi TOULABOR

Centre d'étude d'Afrique noire, Institut d'études politiques de Bordeaux

MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES

Tous droits d'adaptation, de traduction et de reproduction par tous procédés, y compris la photocopie et

le microfilm, réservés pour tous les pays.

Photo de couverture : village au Cameroun

© Ministère des Affaires étrangères, 2004

ISSN : 1160-3372

ISBN : 2-11-094144-8

3Les sociétés civiles du Sud

TABLE DES MATIÈRES

RAPPORT DE SYNTHESE.............................................................................................................7

SUMMARY REPORT.....................................................................................................................17

PRÉAMBULE

I. Rappel succinct des termes de référence ..........................................................................27

II. La société civile, une notion polysémique à usages multiples .........................................27

III. Une même notion, des réalités contrastées .......................................................................28

IV. Quelques précisions méthodologiques ..............................................................................29

CHAPITRE INTRODUCTIF : LA SOCIÉTÉ CIVILE EN QUESTION(S).......................31

I. Une généalogie intellectuelle longue et complexe .............................................................31

II. Un destin idéologique fluctuant .........................................................................................32

II. La société civile " naturalisée » .........................................................................................34

Une dÈfinition synthÈtique et opÈratoire de la sociÈtÈ civile ................................................36

PREMIÈRE PARTIE : LA PROBLÉMATIQUE DE LA SOCIÉTÉ CIVILE DANS LES TROIS PAYS RETENUS. TRAJECTOIRES HISTORIQUES ET ÉTAT DU DÉBAT ...37 CHAPITRE 1 : LA SOCIÉTÉ CIVILE AU CAMEROUN :

GENÈSE ET AFFIRMATION ..............................................................................................39

I. Du parti unique au multipartisme ....................................................................................40

II. Enjeux et sites d"une (re)naissance ...................................................................................41

III. La société civile et la (re)négociation du contrat social ...................................................45

CHAPITRE 2 : LA SOCIÉTÉ CIVILE AU GHANA :

LA TRADITION RÉ-INVENTÉE .........................................................................................47

I. Contexte politique et économique : un aperçu .................................................................48

II. Le paysage des OSC : une évolution tributaire des aléas politiques ..............................50

CHAPITRE 3 : LA SOCIÉTÉ CIVILE AU MAROC OU L'INTROUVABLE " EXCEPTIONNALITÉ » ARABO-MUSULMANE ....................................................53

I. Effets de contexte : la libéralisation dans tous ses états ..................................................54

II. La société civile en chiffres ................................................................................................56

III. Un état de la littérature ......................................................................................................57

IV. Structuration de la société civile : formation d"un groupe,

Èmergence de porte-parole .................................................................................................58

CONCLUSION ...............................................................................................................................63

DEUXIÈME PARTIE : RÉPERTOIRES D'ACTION ET MODES D'INTERVENTION .............65 CHAPITRE 1 : LA SOCIÉTÉ CIVILE, SUBSTITUT AU POLITIQUE ? .......................67

Le point de vue de la transitologie ........................................................................................67

4Les sociétés civiles du Sud

I. Cameroun : contraintes et ambiguïtés de l"action " politique » .....................................68

II. Ghana : le CDD, un " think tank » au service de la démocratie .....................................70

III. Maroc : nouvelles formes de l"action collective ? ............................................................72

CHAPITRE 2 : SOCIÉTÉ CIVILE ET DÉVELOPPEMENT

SOCIO-ÉCONOMIQUE ......................................................................................................75

SociÈtÈ civile et dÈveloppement : une articulation controversÈe ..........................................75

I. Cameroun : lutte contre la pauvreté et action anti-sida .................................................76

I.1 Dynamismes et structuration de la sociÈtÈ civile dans le processus de rÈduction

de la pauvretÈ : le double prisme ...............................................................................76

I.2 La lutte contre le sida : itinÈraires et pratiques dêÈmergence de la sociÈtÈ civile .....81

II. Ghana : libérer la " moitié du ciel » pour réduire la pauvreté .......................................87

II.1 Promouvoir lêentrepreneuriat fÈminin .......................................................................87

II.2 Les associations de femmes entre autonomie et clientÈlisme politique .....................88

III. Maroc : dynamiques de genre et logique urbaine ...........................................................90

III.1 LêexpÈrience du rÈseau de soutien au Plan dêintÈgration de la femme .....................90

III.2 Le secteur du micro-crÈdit .........................................................................................92

III.3 La ville, un champ dêintervention privilÈgiÈ .............................................................94

CONCLUSION ...............................................................................................................................99

TROISIÈME PARTIE : LOGIQUES D'INSTITUTIONNALISATION

ET DE SEGMENTATION .......................................................................................................101

CHAPITRE 1 : MODES DE PÉRENNISATION ...............................................................103

Le partenariat : avantages et contraintes .............................................................................103

I. La partenariat national ....................................................................................................105

I.1 Cameroun : entre pÈrennisation, rotation et Èviction ...............................................105

I.2 Ghana : prime au ponctuel .......................................................................................108

I.3 Maroc : les ambivalences du tropisme fÈdÈrateur ...................................................110

II. Le partenariat international ............................................................................................117

II.1 Ghana : une insertion internationale tributaire des diffÈrences dêapproche

des bailleurs de fonds ...............................................................................................117

II.2 Maroc : les logiques divergentes des bailleurs de fonds

et du mouvement associatif ......................................................................................120

CHAPITRE 2 : ESSAI DE TYPOLOGIE(S) .........................................................................125

I. Cameroun : typologie et temporalités des organisations de la société civile ...............125

I.1 Les associations ‡ socle ´ communautaire ª ...........................................................125

I.2 Les associations de pairs dans les quartiers .............................................................126

I.3 Les ´ nouvelles associations ª .................................................................................127

II. Ghana : vers une plus grande autonomie institutionnelle ............................................127

II.1 Le statut juridique du crÈateur .................................................................................128

II.2 Le domaine dêintervention .......................................................................................129

II.3 Lêorganisation en rÈseaux ou en fÈdÈrations ...........................................................130

III. Maroc : les voies de la professionnalisation ...................................................................130

III.1 Des associations rÈgionales dites ´ makhzÈniennes ª .............................................130

III.2 Des associations ‡ vocation Èconomique et sociale .................................................130

III.3 Des ONG politiques .................................................................................................130

III.4 Transformations des rÈpertoires dêactions ...............................................................131

III.5 Un rapport ambivalent au politique et ‡ la Chose publique .....................................136

5Les sociétés civiles du Sud

Conclusion ....................................................................................................................................139

Conclusion générale : (Re)penser l'articulation État-société civile ...........141

Recommandations ..................................................................................................................145

Bibliographie sélective .........................................................................................................149

Liste des sigles cités ...............................................................................................................159

Quelques sites web et adresses électroniques utiles .......................................163 1

Les sociÈtÈs civiles du Sud

Un Ètat des lieux dans trois pays de la ZSP

Cameroun, Ghana, Maroc

Rapport de synthËse

PrÈambule

Le thème de la société civile est aujourd'hui central dans les débats publics. Au Nord comme

dans les pays du Sud, il fait désormais partie du lexique des acteurs politiques et sociaux

nationaux, ainsi que de celui des bailleurs de fonds qui l'ont intégré à leurs répertoires

d'action. Quoi qu'on puisse penser de ce phénomène, la question de la société civile doit donc

être prise au sérieux, ne serait-ce que parce que des acteurs se mobilisent et prennent parfois

des risques en son nom : en ce sens, elle est devenue une catégorie de l'action, qu'une sociologie des acteurs ne saurait ignorer.

Cela étant, force est également de constater que le succès de cette notion fait problème,

compte tenu de son imprécision, de son caractère extraordinairement polysémique, de l'usage

incantatoire qui lui est parfois réservé, voire même de l'instrumentalisation idéologique à

laquelle elle se prête volontiers. C'est donc peu dire que, par delà le consensus dont son usage

fait l'objet, la notion de société civile recouvre différentes acceptions et réalités. Cette

diversité est patente en ce qui concerne les trois cas retenus ici - Cameroun, Ghana, Maroc - mais celle-ci n'interdit pas la comparaison féconde. Les conditions historiques concrètes de

formation de la société civile peuvent différer d'un pays à l'autre, de même que les manières

de se la représenter. Mais l'enjeu fondamental est le même partout, puisqu'il s'agit de l'affirmation et de l'institutionnalisation de nouveaux contre-pouvoirs. Toutefois, si, dans les trois pays étudiés s'observe une dynamique comparable d'objectivation et de légitimation de

l' " acteur collectif » société civile, celle-ci n'est pas exclusive de dynamiques divergentes de

cooptation et de clientélisation de certaines organisations et/ou figures de proue de la société

civile. C'est l'hypothèse centrale autour de laquelle est articulée cette étude. Introduction : la sociÈtÈ civile en question(s)

L'émergence de la question de la société civile dans le débat public renvoie à une pluralité de

facteurs d'ordre politique et historique : affirmation de Solidarnosc en Pologne dans les années 1970, nouveaux mouvements sociaux à l'Ouest, rôle de l'Eglise catholique en faveur

de la démocratie et de plus de justice sociale en Amérique latine à la même époque, etc. On

peut donc dire que cette question est étroitement corrélée à la critique de l'autoritarisme

politique comme mode de gouvernance, et à la remise en cause, quasi-universelle, de la prééminence absolue de l'Etat comme régulateur des rapports politiques, sociaux et

économiques.

Pur produit de la philosophie politique occidentale, la notion de société civile s'inscrit dans

une généalogie intellectuelle longue et complexe dont on retiendra Hobbes, Locke, les

philosophes anglo-écossais des Lumières, Hegel, Marx, Tocqueville, Gramsci et, après lui, le

courant du marxisme non classique. Au regard de cette longue histoire, le destin idéologique de la notion de société civile ne pouvait qu'extrêmement fluctuant, oscillant en permanence 2

entre courants libÈral et marxiste, jusquí‡ ce que líeffondrement du Bloc socialiste et le

triomphe de líÈconomie de marchÈ níen provoquent la monopolisation par la pensÈe nÈo-

libÈrale aujourdíhui dominante.

Líune des questions centrale que pose le retour de la notion de sociÈtÈ civile dans les dÈbats

non plus seulement politiques mais Ègalement scientifiques est celle de sa transposition au Sud, compte tenu justement de son ´ origine ª occidentale. En effet, bon nombre díanalystes estiment que les conditions historiques, Èconomiques et culturelles qui ont permis

líÈmergence de sociÈtÈs civiles en Europe et en AmÈrique du Nord, ne sont pas rÈunies dans

les pays du Sud, et ne sont pas prÍtes de líÍtre. Pour líessentiel, les sociÈtÈs du Sud

accuseraient un certain nombre de caractÈristiques rendant illusoire la dissociation du politique et du social : prÈÈminence absolue des allÈgeances verticales, communautarisme, faible individualisation, confusion du politique et du religieux, etc.

RÈcusant cette approche culturaliste de la sociÈtÈ civile, le rapport plaide pour une vision

dynamique et sans a priori culturels de la sociÈtÈ civile dans les pays du

Sud, dont il

apprÈhende la formation comme un processus historique, en cours, ‡ líissue incertaine. Il observe Ègalement que, nonobstant sa filiation intellectuelle occidentale, la notion a fait

líobjet díun procËs en naturalisation dans les sociÈtÈs du Sud, moyennant son investissement

par des usages et des significations inÈdits. Rejetant toute approche normative de la sociÈtÈ

civile, il ne se pose pas la question de ce quíelle devrait Ítre, mais cherche a restituer la façon

dont pensent et se pensent les acteurs qui se revendiquent de la société civile.

Trajectoires historiques et Ètat du dÈbat

Dans les trois pays retenus, il existe une corrélation étroite entre l'émergence de la

problématique de la société civile et la crise, plus ou moins avérée, du système autoritaire. Au

Cameroun, le passage du parti unique au multipartisme marque également la transition d'un

type de société à une autre. Dès le début des années 1990, on assiste à l'efflorescence du

mouvement associatif, avec un nombre d'ONG qui atteint rapidement le chiffre de 10000.

Mais ce qui est le plus remarquable dans la trajectoire de la société civile dans ce pays est le

fait qu'on n'y repère pas une mais deux sociétés civiles, selon que l'on est à Yaoundé,

capitale politico-administrative et lieu du pouvoir, et Douala, de tradition plus frondeuse.

Autrement dit, le changement de focale donne à voir différentes sociétés civiles, plus ou

moins marquées par leur proximité du pouvoir.

La problématique de la société civile au Cameroun est également indissociable de celle de la

lutte contre la pauvreté et de la re-négociation d'un nouveau contrat social. Pays bénéficiaire

de l'initiative PPTE (Pays pauvres très endettés), le Cameroun représente une sorte de banc

d'essai de l'implication de la société civile dans les stratégies de réduction de la pauvreté.

Au Ghana, la tradition d'auto-organisation de la société s'inscrit dans une longue continuité

historique et elle a été un instrument de lutte efficace contre l'autoritarisme. L'instabilité

politique que le pays a connue s'est combinée avec une dégradation sensible de la situation

économique. Dans ce contexte, le dynamisme des organisations de la société civile a constitué

un contre-pouvoir efficace. Depuis l'alternance pacifique et l'arrivée au pouvoir de John Kufuor (2000), ces OSC semblent s'orienter vers une conception horizontale de leurs relations avec le pouvoir politique, rançon peut-être de leur progressive institutionnalisation. 3

Au Maroc, cíest une problÈmatique un peu diffÈrente qui se prÈsente : en effet, la question de

la sociÈtÈ civile síy pose de maniËre spÈcifique, en raison de líhÈritage arabo-musulman du

pays. Au regard de cet hÈritage, díaucuns font valoir líimpossibilitÈ de voir Èmerger une vraie

sociÈtÈ civile en terre díislam, du fait mÍme de la confusion entre le sociÈtal et le privÈ

quíentretiendrait la Charia. Il y aurait donc une sorte díexceptionnalitÈ arabo-musulmane en

matiËre (díabsence) de sociÈtÈ civile. Mais cette approche ne rÈsiste pas ‡ líanalyse, comme

en tÈmoigne la richesse des dÈbats relatifs ‡ cette question dans le contexte marocain. En fait,

cíest ‡ une sociÈtÈ civile protÈiforme que líon a affaire, avec dans ce cas un accent particulier

mis sur la dimension Èconomique des changements qui accouchent de líÈmergence díacteurs qui se pensent et agissent comme ´ sociÈtÈ civile ª, et qui sont souvent des transfuges de líaction politique quíils ont dÈlaissÈe pour líaction associative. Les trois cas ÈtudiÈs convergent vers deux conclusions majeures :

- Si la problÈmatique de la dÈmocratisation et celle de la sociÈtÈ civile sont liÈes líune ‡

líautre díun point de vue diachronique (historique), il níen demeure pas moins que

líÈmergence de la sociÈtÈ civile, dans les trois pays, ne se rÈduit pas ‡ un simple effet

induit de la dÈ-lÈgitimation de líEtat autoritaire. Il y a Ègalement, ‡ líorigine de cette

Èmergence, des dynamiques volontaires de transformation sociale qui síaffirment certes face ‡ líEtat mais sont nÈanmoins porteuses díune conception alternative du bien commun dont la production níest plus, dÈsormais, du seul ressort de líEtat.

- Si líÈmergence de la sociÈtÈ civile síest partout faite autour des mots díordre de moins

díEtat, plus de libertÈ(s) et díinitiatives privÈes, Èlargissement et pluralisation de

líespace public, etc., il níen demeure pas moins que le phÈnomËne ne consacre pas une rupture entre la sociÈtÈ et líEtat. En effet, les pouvoirs politiques ont peu ou prou accompagnÈ ce processus, quand ils ne líont pas encouragÈ en vue de le canaliser ou de le contrÙler. Le foisonnement díONG ´ gouvernementales ª dans les trois pays analysÈs tÈmoigne de cette ambiguÔtÈ fondamentale, que les bailleurs de fonds se doivent de prendre en compte.quotesdbs_dbs23.pdfusesText_29
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