Guy de Maupassant - Bel-Ami
Quand la caissière lui eut rendu la monnaie de sa pièce de cent sous Georges Duroy sortit du restaurant. Comme il portait beau
Commentaire n°5 : [Emmanuèle Grandadam] Maupassant à l
N° 16 : Ici était l'un des restaurants les plus fréquentés par nos amis Flaubert et Maupassant et par les frères Goncourt : Le Café Riche (à l'angle de la rue
Bel-Ami
Quand la caissière lui eut rendu la monnaie de sa pièce de cent sous. Georges Duroy sortit du restaurant. Comme il portait beau
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Analyse d'une oeuvre intégrale: Bel Ami de Maupassant. 1. Page 3. Textes ayant fait l'objet de lectures analytiques: Textes complémentaires: Etude
Le naturalisme. Thèmes formes
histoire
étudier une nouvelle réaliste du xixe siècle afin de préparer la
Quels nouveaux personnages font leur apparition à partir de la ligne 44 ? 4. lecture analytique. I. LE CADRE ET LES PERSONNAGES. 1. (ll. 1-5) Où l
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Analyse d'une oeuvre intégrale Bel Ami de Maupassant. 1. Page 3. Textes ayant fait l'objet de lectures analytiques: Extrait n°1: Première partie
Fiche de lecture février 2016 - Plaisir de la table en littérature
Extrait 1 : Maupassant Bel Ami
Comment accompagner les élèves dans leur compréhension et leur
] Le passage de la lecture méthodique à la lecture analytique signale le glissement première partie du roman Bel-Ami afin de donner envie aux élèves de lire ...
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lecture convenable. CHAPITRE 1 t Se raconter se représenter. 41. Page 42. > Chaque élève de la classe doit apporter un objet qui le représente. Rassemblez ces ...
LEÇONS + EXERCICES
On peut aussi procéder à une analyse par groupe de mots. Guy de Maupassant Bel-Ami (1885). ... Je prendrai un café faiblement dosé en caféine.
Guy de Maupassant - Bel-Ami
Bel-Ami roman. La Bibliothèque électronique du Québec. Collection À tous les vents l'analyse. ... d'être des nôtres samedi au Café Riche
GRAMMAIRE VOCABULAIRE ORTHOGRAPHE CONJUGAISON
du texte calligraphié (de calli: «belle» et Cher ami auriez-vous l'amabilité de me prê- ... d'autres une démarche (relevé
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7 févr. 2019 L'exposition en huit volets et autant d'approches présente les éléments constitutifs du café-type la vision des peintres
MANUEL DE VOCABULAIRE
quemment l'analyse chiffrée Au vocabulaire et à la grammaire Ta mère prépare le dîner. ... Un ami t'a invité chez lui; remercie-le pour la belle.
Grammaire Vocabulaire Orthographe Conjugaison
31 mars 2005 Oui Marthe ; mais le dîner a le droit de ne point être cuit
Mise en page 1
Lecture. – LE NARRATEUR ET LA CONDUITE DU RÉCIT (extrait 1) . en Méditerranée le « Bel-Ami ». ... de Bel-Ami (1885)
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de faire le lien entre la lecture l'écriture et l'étude d'apprentissage
Typologies MROS 1998–2015
Analyse structurelle. 48. 2. Utilisation frauduleuse d'un ordinateur. 50. 2.1. Cas rapportés. 50. 2.2. Analyse structurelle.
Le Paris de Guy de Maupassant
La Belle Epoque (1870-1914) nommé à posteriori « belle époque » car c'était un ... image.org/site/oeuvre/analyse.php?i=7&d=1&c=Semaine%20sanglante.
Typologies MROS
1998-2015
Février 2017
Table des matières
1.1.Cas rapportés 7
1.2.Analyse structurelle 48
2.1.Cas rapportés 50
2.2.Analyse structurelle 55
3.1.Cas rapportés 57
3.2.Analyse structurelle 72
4.1.Cas rapportés 74
4.2.Analyse structurelle 79
5.1.Cas rapportés 80
5.2.Analyse structurelle 95
6.1.Cas rapportés 97
6.2.Analyse structurelle 107
7.1.Cas rapportés 109
7.2.Analyse structurelle 116
8.1.Cas rapportés 118
8.2.Analyse structurelle 130
9.1.Cas rapportés 132
9.2.Caractéristiques
13510.1.
Cas rapportés 136
10.2.Caractéristiques
13913.1.
Cas rapportés 154
13.2.Analyse structurelle 161
fedpol 5 BUREAU DE COMMUNICATION EN MATIERE DE BLANCHIMENT D"ARGENT MROSTypologies MROS
Février 2017
fedpol 6PréfacePréface
Le rapport annuel du MROS contient plusieurs
cas anonymisés choisis parmi ceux que le Bureau de communication traite tout au long de l"année.Ils présentent des exemples concrets, démon
trant les méthodes utilisées par les criminels pour blanchir les revenus du crime et/ou pour nancer le terrorisme. Ces typologies sont utili sées non seulement par les intermédiaires nan ciers, mais aussi lors de formations, ou encore pour des travaux universitaires ou d"autres publications. Le MROS les utilise aussi dans le cadre d"études sur les risques et les tendances aux niveaux national et international. Dans le but de faciliter la consultation et l"utili sation des typologies publiées dans les rapports annuels du MROS, le présent recueil les réunit en un seul document. Une séparation a en outre été eectuée selon les infractions préalables les plus fréquemment rencontrées. Une brève analyse des tendances suit à la n de chaque chapitre.Elle prend en compte les communications de
soupçons des dix dernières années (2006-2015) et résume les caractéristiques principales liées aux diérentes catégories d"actes préalablesprésumés. Dans la majorité des cas communiqués au MROS, l"escroquerie est l"infraction préalable ren-contrée le plus souvent. Depuis sa création en
1998, le Bureau de communication a traité plus
de quatre mille communications dont l"infraction préalable présumée était l"escroquerie sous ses multiples facees. Cee infraction est suivie par la corruption qui, depuis les événements politiques dans certains pays en 2011, connaît une augmentation signicative jusqu"à dépas ser les cas d"escroquerie en 2015. Un chapitre est notamment consacré au nancement du terrorisme qui a aussi connu une augmentation en 2015. Ce recueil sera régulièrement mis à jour par leMROS an d"y inclure les nouvelles typologies
publiées dans ses prochains rapports annuels.Stiliano Ordolli
Chef du MROS
fedpol 71. Escroquerie
1.Escroquerie
Une personne ouvre un compte auprès dun éta- blissement bancaire de dimensions moyennes. Elle prétend que ce compte doit servir à la comp tabilisation de paiement de provisions générées par la vente de propriétés foncières dans les Caraïbes. Le nouveau client se présente lui- même comme un intermédiaire pour une société spécialisée dans ce type de propriétés foncières. La banque établit une relation commerciale et de gros montants viennent alimenter le compte pen dant une longue période. Un jour, le client télé- phone et demande la fermeture immédiate de ses comptes. Quand la banque lui demande le pour quoi dune telle décision, le client rétorque quil sest brouillé avec son mandant et quil a appris, par une tierce personne, que la société immo bilière était manifestement une société-écran.La banque devient méante et veut en avoir le
cur net sur les versements eectués. Elle exige de son client quil produise les contrats corres pondant aux transactions. On saperçoit alors que ceux-ci sont rédigés de manière non profes sionnelle. Les explications complémentaires du client ne sont pas plausibles et se contredisent.Par ailleurs, le client devient de moins en moins
disposé à parler avec la banque. Lexistence de la société étrangère mentionnée par le client ne peut pas être contrôlée car celle-ci ne gure manifestement pas dans le registre du commercedu pays européen concerné. La banque établit alors une communication de soupçon à linten
tion du MROS. Le MROS constate que plusieurs des personnes incriminées ont déjà été mêléesà des aaires descroqueries dans le domaine
immobilier. Il transmet la communication de soupçon à lautorité de poursuite pénale canto nale compétente pour une étude plus approfon- die. Lautorité concernée ouvre une procédure pénale et de recouvrement pour blanchiment dargent au sens de lart. 305bis CP. En outre, une demande dentraide judiciaire internationale est déposée en relation avec cee aaire. Un étranger désire placer auprès dune société dassurances suisse un montant total de CHF25 millions, sous la forme de 5 polices dassu
rance-vie de 5 millions chacune. Largent doit être transféré dans la société dassurances à partir dune banque suisse à létranger. La personne prétend que les polices dassurance-vie vont ser- vir de garantie à un emprunt bancaire commer- cial qui doit être souscrit auprès dune banque suisse. La société dassurance devient méante en se faisant les réexions suivantes: pourquoi le détour par une assurance ? A partir du 1.4.1998 un droit de timbre est prélevé sur les assurances. Laaire a-t-elle, du point de vue commercial, un sens pour ce client ? Lassurance décide dadres ser au MROS une communication de soupçon. Le MROS constate que le client gure déjà dans ses dossiers. La communication est alors transmise à lautorité de poursuite pénale compétente, laquelle ouvre une procédure pénale pour une infraction au sens de lart. 146 CP. fedpol 81. Escroquerie
Un nancier dEurope de lOuest est depuis
plusieurs années le client dune banque suisse. Jusquici, la relation avec ce client na pas particulièrement airé laention. Le montant total des valeurs déposées dans les diérents comptes en francs suisses et en devises étran gères aeint CHF 600000.-. Cee somme sest constituée à partir de chèques dune valeur de CHF 10000.- à CHF 30000.-. Le client avait expliqué au moment de louverture du compte quil était conseiller en placements et quil gérait la fortune de tierces personnes. Les chèques enregistrés à la banque étaient, selon lui, des provisions lui appartenant en propre. Le client est aussi un chef dentreprise suisse. La banque apprend alors que sa duciaire vient de résilier son mandat. Elle soupçonnait ce client davoir des activités criminelles. Peu après, il donne à sa banque lordre de verser aux Etats-Unis environ un tiers de son avoir, car il projee dy acquérir un immeuble. Largent est déposé sur un compte courant dépourvu dintérêts et le client ne semble pas être intéressé par un placement qui lui rapporterait des intérêts. Comme il se refuse à donner des explications documentées concer- nant la transaction à eectuer, la banque se décide à transmere au MROS une communica- tion de soupçon. La collaboration avec la banque permet de découvrir que les provisions avaient été payées directement à l "intermédiaire par ceux qui plaçaient largent et quil ny avait aucun contrat de provisions conclu avec la société correspondante. De plus, on apprend que cee personne était déjà inscrite au casier judiciaire de son pays dorigine pour escroquerie et quelle faisait lobjet dune enquête pénale, toujours en cours. Lautorité de poursuite pénale cantonale ouvre une enquête pénale et de recouvrement au sens de lart. 146 CP. Une demande dentraide judiciaire présentée par le pays dorigine du nan cier a été acceptée. Entre 1966 et 1999, 3 personnes ont fondé trois sociétés dont lactivité consistait à récolter des fonds auprès de particuliers. Ces sociétés promeaient des revenus de lordre de 30 à 50% basés sur des investissements sur le marché des options et des futures. Les comptes ouverts par les 3 sociétés auprès dune grande banque ont enregistré près de CHF 6400000.- dentrées en provenance de particuliers. CHF 3700000.- ont été redistribués et la diérence de CHF2700000.- a été utilisée partiellement par les
ayants droit des trois sociétés pour leurs besoins personnels. Ces débits ont fait lobjet dordres de transfert mais également de nombreux prélè vements comptants. Ces opérations se sont déroulées sur environ 14 mois. Intriguée par les mouvements importants sur les divers comptes, notamment les prélèvements cash, la banque a tenté dobtenir de la part des ayants droit des explications sur la nature des transactions. Nayant pu obtenir des explications plausibles, elle a procédé au blocage du solde des avoirs en compte de CHF 2000000.- et simultanément nous a fait parvenir une communication fondée sur le soupçon de lorigine délictuelle des fonds. Nos banques de données ont révélé lexistence de nombreuses signalisations policières et judiciaires à lencontre des ayants droit écono miques, lesquels avaient déjà été impliqués dans le passé dans des opérations analogues. Nous avons transmis cee aaire aux autorités judi ciaires compétentes qui ont ordonné le blocage des biens et ouvert une instruction pour escro querie. Le service chargé de ladministration des biens dune paroisse allemande sest adressé par fax à une banque suisse pour connaître les conditions des placements à terme. Il a annexé à son fax la copie dune lere que létablissement bancaire lui avait envoyée et deux extraits de compte achant un solde respectivement de 2,5 millions fedpol 91. Escroquerie
de marks et de 350000.- marks en sa faveur. La banque na retrouvé aucune trace de relation daaire avec la paroisse en question, mais a par contre découvert que celle-ci avait eectivement versé une somme totale de 1,7 millions euro. Toutefois, les virements navaient pas été eec tués en faveur de la paroisse, mais en faveur dun particulier. Celui-ci avait déclaré à son conseiller clientèle que cee somme provenait du bénéce de la vente de la résidence quil possédait dans le sud de lEurope. La paroisse a été naturellement très étonnée dapprendre que la banque navait trouvé aucune relation daaires, car elle pos sédait des extraits de compte de placements à terme et de la correspondance de la banque. Elle navait toutefois pas reçu ces pièces directement de létablissement bancaire, mais du particulier susmentionné. Il sest avéré que les extraits de compte avaient été falsiés par le particulier et que la personne ayant signé le courrier envoyé par la banque navait jamais fait partie de son per- sonnel. La paroisse a porté plainte. Les autorités de poursuite pénale compétentes suisses sont déjà entrées en matière sur la demande den traide judiciaire étrangère. Le compte salaire dun client dune banque a été crédité en quelques jours de plusieurs montants versés par des personnes des quatre coins de la Suisse qui navaient aucune relation directe avec le titulaire du compte. Peu après, les banques ayant exécuté les virements ont informé léta- blissement du client en question que les trans ferts des comptes de leurs clients avaient été eectués à linsu de ceux-ci. Après vérication, la banque a appris que son client avait appelé ces personnes en se faisant passer pour un collabo rateur dun magazine. Il leur avait annoncé quils étaient les heureux gagnants dun concours et leur avait demandé le numéro de compte ban caire sur lequel leur gain devait être versé. Muni de ces informations, laigren a falsié plusieurs ordres de virement. La banque a immédiatement bloqué les montants arrivés sur le compte de son client malhonnête et a communiqué le cas au MROS. Les autorités de poursuite pénale compé tentes ont été saisies de laaire.Un intermédiaire indépendant a conclu quelque240 contrats de leasing en collaboration avec un
garagiste. Les contrats étaient toutefois ctifs. Les preneurs de leasing, bien réels, ont signé les contrats contre rémunération et ont fourni tous les documents nécessaires, mais sans recevoir de voiture. Les aestations dassurance casco complète ont été achetées par un collaborateur indélicat dune assurance. La société de leasing a payé, sur la base des contrats, les véhicules au garagiste, lequel a ensuite transmis largent à lintermédiaire, déduction faite de la somme pré vue pour sa collaboration. Par ces quelque 240 contrats ctifs, lintermédiaire sest assuré dune somme de près de CHF 13,5 millions. Celui-ci avait transmis lui-même les premières mensuali tés de leasing pour ne pas éveiller les soupçons de la société de leasing sur les contrats ctifs.Les mensualités non versées se montaient
nalement à quelque neuf millions de francs. La société de leasing a découvert laaire par le biais des aestations de salaire falsiées des preneurs de leasing. Elle a constaté, après avoir pris contact avec ces derniers, quils nétaient pas en mesure de lui donner une description précise du véhicule sous contrat de leasing. La société de leasing a porté plainte auprès de la police cantonale. Lintermédiaire ainsi démasqué sest présenté spontanément à la police. Les investi gations engagées par les autorités de poursuite pénale compétentes se poursuivent. Cee aaire est denvergure puisquelle a fait lobjet de plusieurs communications de la part de divers intermédiaires nanciers (grandes banques et banques privées). Elle met en scène des sociétés apparemment légales ainsi que plusieurs criminels récidivistes, actifs dans lescroquerie à grande échelle et le blanchiment dargent, certains des inculpés étant même soupçonnés par la presse davoir des ramica- tions avec la criminalité organisée et le terroquotesdbs_dbs46.pdfusesText_46[PDF] Lecture Analytique sur Incendies de Mouwouad
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