PRINCIPES
Caractéristiques d'une culture de sûreté solide. WANO PRINCIPES. PL
SUPPORT DE FORMATION SUR LES TECHNIQUES DES
Le schéma ci – après montre les principaux points par rapport auxquels le producteur maraîcher doit faire attention avant de s'engager vers une culture
Les caractéristiques de lentrepreneuriat culturel et créatif dans le
En effet au-delà de la sphère économique
La culture entrepreneuriale : étude comparative entre les étudiants
révéler également les caractéristiques les plus dominantes de la culture entrepreneuriales de nos étudiants et les moins dominantes. Cela va nous.
Leau utile et les caractéristiques hydrodynamiques des sols sous
Un certain nombre de paramètres du bilan hydrique et de la satisfaction des besoins en eau de la culture de canne à sucre relèvent des caracté ristiques
ARACHIDE Données agronomiques de base sur la culture arachidière
Mots-clés : arachide systèmes de culture
Le management africain Mythe ou réalité
tion de la culture africaine et une typologie des entreprises. On peut citer parmi les travaux les plus récents sur les caractéristiques de la culture.
1- Identité et description de la culture du manioc FICHE
Il est très riche en eau et en amidon. FICHE TECHNIQUE DE LA. PRODUCTION DE MANIOC. Feuilles du manioc. Racines tubéreuses du manioc. Tiges du manioc
ARACHIDE Données agronomiques de base sur la culture arachidière
Ceux-ci assurent plus de 85 % de la production mondiale dans des systèmes paysans dont les principales caractéristiques techniques sont : la culture manuelle.
I – LA CULTURE AFRICAINE : CARACTERISTIQUES
Afin d'aborder les origines de la culture africaine monolithique (il existe plusieurs cultures africaines) il a été nécessaire de s'étaler sur son histoire
L'eau utile et les caractéristiques
hydrodynamiques des sols sous culture de canne à sucremesures de l'eau dans le solIntroduction
L'exploitant peut agir sur les para
mètres du sol et le fait parfois invo lontairement. Ainsi une irrigation en excès peut faire remonter la nappe, créer des conditions d'asphyxie pré judiciables aux rendements ou au nombre de repousses économique ment intéressantes, poser des pro blèmes pour l'intervention des engins en cours de culture particu lièrement dans les zones basses.Un certain nombre de paramètres du
bilan hydrique et de la satisfaction des besoins en eau de la culture de canne à sucre relèvent des caracté ristiques intrinsèques et extrinsèques du sol. Ils peuvent être groupés ainsi (figure 1 ) :- l'état de la surface et la pente du terrain. Ils déterminent la part de l'eau pluviale ou apportée par l'irri gation qui s'infiltre et par différence, celle qui ruisselle (R). L'état de la surface n'étant pas figé, le seuil de déclenchement du ruissellement varie ; - la réserve utile (RU) et la réserve facilement utilisable (RFU). Dans leur définition, interviennent à la fois le sol (rétention en eau) et la plante (profondeur exploitée par les racines, humidité à partir de laquelle la croissance est réduite, point de flétrissement) ; - la relation avec la nappe. Comme toute culture, la canne peut puiser tout ou partie de l'eau dont elle a besoin dans une nappe. Cette contri bution dépend de nombreux facteurs.R. GAUDIN, M. BROUWERS
Cirad-ca, avenue Agropolis,
34398 Montpellier Cedex 5, France
gaudin@ensam.inra.fr marinus.brouwers@cirad.frJ.-L. CHOPART
Cirad-amis, avenue Agropolis,
34398 Montpellier Cedex 5, France
¡ean-louis.chopart@cirad.frPluie ou irrigation
Ruissellementl
Eau utile
Drainage
NappeIRemontée
capillaireAction de l'hommeFaçons culturales
Sous-solage, compactage
1 Drainage
Figure 1. Les termes du bilan hydrique et le champ principal d'intervention de l'exploitant. Agriculture et développement ■ n° 24 dynamique de l'eau dans le solLa profondeur de la nappe et l'enraci
nement de la canne, les caractères de texture et de structure, qui influencent la conductivité hydraulique du sol et déterminent le flux de remontée capil laire, sont les paramètres qui peuvent interagir.Après avoir abordé rapidement le
problème du ruissellement, le concept d'eau utile sera discuté en référence à la culture de la canne. Le lien entre les propriétés hydrodyna miques des sols et la circulation de l'eau sera ensuite traité.Le ruissellement
Le ruissellement est déterminé par la
vitesse d'infiltration à travers la sur face ou à un niveau inférieur, si celui-ci est moins perméable. Pour une intensité de pluie constante, supérieure à l'infiltrabilité perma nente, la conductivité hydraulique et la sorptivité capillaire au voisinage de la saturation déterm inent le moment auquel apparaît la submer sion (VAUCLIN et CHOPART,1992). Ces deux valeurs peuvent être
déterminées par infiltrométrie multi- disques ou par une autre technique associant de petits tensiomètres à des capteurs capacitifs (PEREZ et al.,1999 ; TOUMA et al., 1999).
Dans la pratique, les modes de ges
tion du sol (culture en courbes de niveau, billonnage, griffage, etc.) peuvent agir favorablement ou défa vorablement sur les caractéristiques hydrodynamiques du sol et donc sur l'efficacité de l'eau apportée. Ce sont des moyens d'action privilégiés de l'exploitant ou du chef de culture.L'eau utile
La réserve utile est définie par la
relation : RU = zr (0CC - 0FP) avec zr, profondeur exploitée par les racines,0CC, humidité volumique à la capa
cité au champ du sol,0FP, humidité volumique au point de
flétrissement permanent.Le point de flétrissement permanent est associé à la valeur de pF = 4,2 (le pF est le cologarithme du potentiel matriciel exprimé en cm d'eau, le potentiel matriciel est égal à l'oppo sé de la valeur de la succion, voir " évaluation des besoins en eau de la canne » p. 14 figure 2) ; ceci corres pond à une dépression de 16 bars ou1,6 MPa (mégapascals). Cette mesu
re de laboratoire est parfois rempla cée par l'humidité correspondant au profil d'assèchement maximum observé sous une culture en stress hydrique (MAERTENS et al., 1974 ;VAKSMANN, 1987). La canne se
prête bien à ce dernier protocole puisque le processus de maturation conduit à l'assèchement du sol.La capacité au champ,
la réserve utileLa capacité au champ (CC) se rap
porte à l'humidité atteinte pour un temps de ressuyage d'environ deux jours après une forte pluie (HILLEL,1980) ou un apport d'eau consé
quent, délai permettant l'installation du ressuyage lent. Le sol est couvert durant ce laps de temps pour empê cher l'évaporation, voire l'évapo transpiration si la mesure est effec tuée en tout début de repousse.L'humidité volumique de l'échan tillon prélevé à la cote étudiée est le produit de deux mesures : l'humidité pondérale obtenue par gravimétrie et la densité apparente du sol sec connue par d'autres méthodes telles que le gamma-densimètre, le prélè vement au cylindre ou le densito- mètre à membrane.Deux procédures différentes sont
employées.D'une part, la représentation de
MARCESSE (1967) dans laquelle la
capacité au champ, désignée capa cité de rétention, est définie comme l'ordonnée à l'origine de la phase de drainage lent. Cette méthode s'est développée avec l'usage de la sondeà neutrons (DANCETTE, 1970), mais
elle est effectuée aussi à la tarière (mesure de l'humidité pondérale sur un échantillon moyen de plusieurs prises). La représentation de MARCESSE est équivalente à celle de
FEODOROFF (1962) qui associe la
capacité de rétention à un change ment de pente dans la vitesse de res suyage (figure 2).D'autre part, l'humidité à pF = 2,5
mesurée au laboratoire sur unéchantillon broyé passé au tamis de
2 mm est quelquefois retenue pour
approcher la valeur de la capacité au champ (KRAMER et BOYER, 1995). Irrigation basse pression d'une pépinière (Analaiva, Madagascar). Agriculture et développement ■ n° 24 mesures de l'eau dans le sol Log i -0,50 - -0,75 -1,00Figure 2a
CR = 0,13 cm3/cm 3
f- - t(heure)100200
A9/At e (cm3/cm 3)Figure 2. Détermination de la capacité de rétention (CR) à l'aide des représentations de
Marcesse et de Feodoroff.
2a. Sols sableux d'Analaiva (Madagascar), représentation de Marcesse (JOURDAN, 1983).
2b. Andosol à Trois-bassins (la Réunion), représentation de Féodoroff (PARIENTE, 1987).
Il y a équivalence des deux représentations en termes mathématiques. L'équation d0 / dt = k101, ou k202, selon la valeur de 0 par rapport à la capacité de retention,correspond à la représentation de Féodoroff. Elle s'écrit aussi : d0 / 0 = k1 -dt, ou k2-dt,
d'où Log0 = kdt + constante (équation de la cinétique lente, mise en évidence parMarcesse).
Les encadrés 1 et 2 apportent des précisions sur les valeurs de capacité de retention mesurées et leur importance pour la réserve utile.Cette valeur de pF ne s'applique pas
à tous les types de sols. Ainsi, les
études menées à la Réunion par
BOURON (1990) conduisent à pré
coniser un pF égal à 1,8 pour les solsà caractère andique.
Si la capacité au champ est mesu
rée in situ, elle tient compte del'état structural du sol et de son profil.Il est préférable qu'à une humidité
correspondant à la capacité au champ, l'eau n'occupe pas trop de place au sein de la porosité du sol, sous peine d'asphyxie après les pluies ou les irrigations. Une valeurminimale de 10 % d'air par rapport au volume de sol est souvent asso ciée à une croissance racinaire nor male (JOUVE et OUSSIBLE, 1980).Ce problème concerne surtout les
sols lourds à forte capacité au champ, comme par exemple le péri mètre de Dougabougou au Mali (SIDIBE, 1987).La composante statique de la réserve
utile est représentée pour les princi paux niveaux du sol par les valeurs d'humidité correspondant à la capa cité au champ et au point de flétrisse ment. La composante dynamique de l'enracinement doit être précisée, plus particulièrement pour des cannes vierges. CHOPART et MARION (1994) l'ont étudiée pendant
une durée de 4 mois sur un sol ferral- litique gravillonnaire à Bouaké (Côte d'ivoire). Le front racinaire descend de 1 cm/j pendant cette période et la cote 2 m peut être atteinte à la récol te (figure 3). Des travaux anciens (EVANS, 1967) ont mis en évidence que la canne s'adapte à des situations hydriques contrastées. Par exemple,quotesdbs_dbs46.pdfusesText_46[PDF] les caractéristiques de la lettre
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