4e latin 2012-2013 sqc4Audrey
diois/Latin/ Sous le consulat de Duilius et de Cornelius [le ... Le corbeau est un système d'abordage constitué d'une passerelle basculante pourvue ...
De la nature des choses.pdf
semblent devoir confirmer l'induction de Lucrèce. Indivisibles solides
Lhomond Charles François (1727-1794). Sur les Hommes illustres
LATIN avec des sommaires et des notes. PAR UNE SOCIÉTÉ. DE PROFESSEURS Caius Duilius(an493 de Rome;260 av. J.C). ... telqu'ilavaitpromislui devoir être.
Texte : POLYBE Histoire Romaine
Cornelius et Hannibal. - Corbeau de C. Duillius. - Bataille de Myle. - Petit exploit et mort d'Hamilcar. -. Sièges de quelques villes de Sicile
Histoire de la divination dans lantiquité
de la question nous paraît devoir conduire à des conclusions sensiblement différentes. Ce qu'il peut y avoir d'étrusque ou de latin dans cette.
Dictionnaire tymologique latin
C'est qu'en effet de tous les écrivains latins
Dictionnaire des antiquités romaines et grecques
Nous prenons le latin comme base de préférence au grec
LATOMUS
The Use and Meaning of stratum and scordiscus in Latin Veterinary Texts: R 51 Une machine de guerre maritime: le corbeau de Duilius: R 5
LATOMUS TABLES DES TRAVAUX PUBLIÉS DANS LA
254 Cl. BACKVIS Un poète latin de la Pologne humaniste: André Krzycki - Andreas 1282 -
THESE DE DOCTORAT DHISTOIRE
L'UNIVERSITE DE NANTES
COMUE UNIVERSITE BRETAGNE LOIRE
ECOLE DOCTORALE N° 595
Arts, Lettres, Langues
Spécialité : histoire ancienne
" Rome et la mer » " Rôle et importance de la mer Méditerranée dans le développement du monde romain : du milieu du IV° siècle av. JC à la deuxième guerre de Macédoine incluse. » Thèse présentée et soutenue à Nantes, le 10 octobre 2018 Unité de recherche : Sociétés, Temps, Territoires ParJean CREMADES
Rapporteurs avant soutenance :
Frédéric HURLET, professeur d'Histoire ancienne, Université de Paris X Nanterre. Christiane VEYRARD-COSME, professeur de littérature latine, Université de Paris III-Sorbonne.Composition du Jury :
Président : Frédéric HURLET Professeur d'Histoire ancienne, Université de Paris X Nanterre.
Examinateurs : Bernard MINEO Professeur de littérature latine, Université de Nantes, CRHIA. Christiane VEYRARD-COSME Professeur de littérature latine, Université de Paris III-Sorbonne. Thierry PIEL, Maître de conférences en histoire ancienne, Université de Nantes, CRHIA.Dir. de thèse : Bernard Mineo Professeur de littérature latine, Université de Nantes, CRHIA.
Co-dir. de thèse : Thierry PIEL, Maître de conférences en histoire ancienne, Université de Nantes, CRHIA.
2 " Un historien ne doit pas essayer de frapper ses lecteurs en racontant des choses son rôle, à lui, est de faire une relation fidèle de tout ce qui s'est dit ou fait, quelque ordinaire que cela paraisse1». -elle exprimée que par la force de ses légions et sesconquêtes terrestres ? Faudra-t-il attendre la première guerre punique pour voir Rome contrainte
et forcée de . Or, il apparaît, à la lecture des auteurs anciens et au vu des découvertes archéologiques, que Rome a entretenu avecla mer des relations anciennes qui remontent au-delà même de sa naissance. Il y apparaît que
Vrbsnentale, a très tôt intégré dans sa politique ce queprofondément différents secteurs de la société romaine. Cette histoire des relations de Rome avec
la mer et son fleuve, le Tibre, cordon ombilical, sera étudiée ici.professeur de littérature latine, directeur de thèse et de Monsieur Thierry Piel, Maître de
Conférences en histoire ancienne, co-directeur de thèse. Tous deux ont bien voulu prendre de leurs temps ont pas ménagé leurs conseils. Les pages qui suivent leurs doivent beaucoup ; ués.1 Pol, II, 10. Trad.Pierre Waltz.
3Il est coutume de dépeindre le Romain comme un paysan attaché viscéralement à la terre de ses
toujours plus de conquêtes pour la plus grande gloire de sa Cité1 péninsule italienne, franchir le pas et affronter lent. d étrangère et mêmeennemie2. Il ne faudra pas pour autant attendre la première guerre punique pour voir Rome
. Non seulement son histoire ma pas débuté que lorsque lesRomains ont construit une flotte de 100 quinquérèmes et de 20 trières en prenant modèle sur un
vaisseau punique échoué et tombé entre leurs mains3 mais il apparaît, à la lecture des auteurs
anciens et au vu des découvertes archéologiques, que Rome a entretenu avec la mer des relations
anciennes qui remontent au-delà même de sa naissance.Dans un précédent travail de recherche, mené sur une période allant de la fondation de la Cité à
la 1ère Guerre Punique, il avait été vu que Rome avait très tôt compris c et que la dimensionmaritime avait occupé une place allant grandissante dans différents domaines de la société
romaine soient religieux, politique, militaire ou économique. Pour cela, il avait été
développé les atouts mais aussi les freins au développement de la puissance maritime romaine. Il
était apparu que la position géographique de Rome au sein du Latium et plus généralement au
a péninsule italienne avait favorisé sa domination sur terre et sur mer alors que lamentalité romaine, tournée avant tout vers le sol et la propriété foncière avait été sinon un frein
au moins un modérateur au développement de sa puissance navale. La conclusion de cette étude
pensée maritime structurée et formalisée, du moins aucommencement, les Romains avaient été à même de saisir l'importance de cet élément chez des
1 Rome antique » in les armes et les mots, 29.
2 Malissard, Les Romains et la mer, 11.
3 Pol., I, 20.
4 peuples qui leur étaient géographiquement proche comme les Etrusques ou encore les Grecs de Syracuse, Naples ou Tarente et que, faisant preuve de pragmatisme et réalisme, ils avaient su grande guerre de Sicile, la première puissance maritime de Méditerranée occidentale.Le présent travail
puissance romaine. Sur le plan chronologique, il reprend en partie la précédente étude et la
prolonge. En effet, il débute vers le milieu du IV° siècle, au moment de la création du port
au tout début du II° siècle4, alors que Rome sort victorieuse de la deuxième guerre de Macédoine romain5 Vrbs va acquérir sa dimension depuissance régionale puis internationale. Si elle réussit à atteindre son objectif principal, à savoir
eux et le monde hostile qui les entoure6 localisation la prédestinaient. encore cette maîtrise qui a permis à Rome de vaincreCarthage dans les deux grandes guerres qui ensanglantèrent le III° siècle et contribua à écarter
pour un temps les menaces illyriennes et macédoniennes. quiexplique comment Enée avait été sauvé à plusieurs reprises par des dieux, marins ou fluviaux.
Poséidonqui était venu à son secours au cours d'un combat qui opposait le prince troyen à Achille7 et lui prédisait une descendance glorieuse8 . Censuite le dieu Tibre qui allait le rassurer et le convaincre de une demeure sûre, des pénates sûrs9. dissuada doucement porter 10.4 Pour des raisons de commodités et sauf indicatio
avant notre ère.5 Le Glay, Rome I. Grandeur et déclin de la République, p 101.
6 Jerphagnon, Les armes et les mots, p 29.
7 Hom, Il, XX, v. 319-328.
8 DH, I, 53, 5 : " Alors le grand Énée règnera, et les fils de ses fils qui viendront après lui ». Trad. P. Remacle.
9 Virg, VIII, 39. Trad. A.-M. Boxus.
10 Plut, Rom, 3, 1. Trad D. Ricard.
5La géographie ensuite car Située
à un carrefour euve qui va la mettre à la jonction des commerces : produits de dont le sel, venant de la côte11,Rome va pouvoir croitre et prospérer.
Cette prospérité apportée par la proximité de la mer et de ses produits va entrainer sur le plan
religieux des évolutions quant à Neptune acquit de nouvelles attributions et une place de plus en plus importante.guerrière et conquérante qui était fondée sur la propriété foncière12, comment ce peuple de
paysans peu réputé pour son amour de la mer13 ; a su surmonter ses frayeurs pour vaincre des peuples à la longue tradition maritime.La période considérée ici correspond à une réelle montée en puissance de Rome dans le domaine
la Cité allait entreprendre le contrôle des côtes tyrrhénienne et adriatique par la mise en place de colonies comme à Pyrgi, Antium ou Sena Gallica, soumettre14, signer des traités avec Carthage15 et Rhodes16, et soutenir les cités
17 dans leur lutte contre leurs adversaires sabelliens. Ces cités, en
échange, allaient
leurs vaisseaux à la marine romaine naissante qui allait se signaler lors du siège de Nucérie18 et
fournir à la même époque une escadre de vingt-cinq navires pour aller fonder une colonie enCorse. Cette marine sera dorénavant encadrée à partir de 311 par deux duoviri navales et en 267
par deux quaestores classici19, désignés pour surveiller et animer la mobilisation des escadres des
11 Liv, V, 54, 4. Ce n'est pas sans raison que les dieux et les hommes ont choisi ce lieu pour l'emplacement de Rome
: l'extrême salubrité de ses coteaux, les grands avantages d'une rivière par où descendent d'un côté les récoltes du
continent, et par où arrivent de l'autre les approvisionnements de la mer; cette mer, suffisamment proche pour
les facilités du commerce, et trop éloignée pour nous exposer aux insultes des flottes étrangères; une position au
centre de l'Italie, et qui semble se prêter d'elle-même aux accroissements de notre puissance. Trad. A. Flobert.
12 Mommsen, op. cit. I, 13.
13 Liv. VII, 26.
14 338
15 348.
16 306 (Pol., XXX, 5, 6).
17 Neapolis (Naples), Rhegium, Locres, Thurium, Héraclée.
18 308.
19 Liv, Per, XV ; Tac, Ann, XI, 22, 4-5.
6cités navales alliées. M. Pallottino dans son Histoire de la première Italie, met en exergue deux
ement significatifs de la puissance grandissante de Rome : le renouvellement en 306 du traité avec Carthage qui révisait entre les deux cités et entérinait signé entre Rome et Tarente en 303 qui donnait à la marine ro Tyrrhénienne et dans le sud de la mer Ionienne lui interdisant simplement le golfe de Tarente20. Rome va fonder une colonie et un port à l'embouchure du Tibre, Ostium Tiberis ; la date la plus communément admise étant 335revenir plus avant. Avec la conquête de l'Italie du Sud et la victoire sur Pyrrhos, Rome atteignait
les limites terrestres de son expansion qui firent véritablement de Vrbs une puissance dont les intérêts et les ambitions ne pouvaient plus se limiter aux rivages de la Péninsule. L'histoire autant que la géographie expliquent donc la formation, lente et tardive, d'une marinedont les Romains n'avaient pas eu jusqu'alors grand besoin, mais qui allait devenir, sous la
pression des événements, un instrument essentiel de leur puissance. Au début du III° siècle,
Rome disposait des outils qui allaient lui permettre de jouer son destin autant sur mer que sur terre21. Destin qui fut effectivement plusieurs fois sur le point de basculer lors des nombreuses eu à traverser la République tout au long de ce siècle.Si la période est riche en évènements concernant le domaine maritime, son étude reste
difficile car aucune sou. Les sources secondaires sont s auteurs peut être questionnée. En effet, ces sources sontessentiellement littéraires et leurs auteurs grecs ou latins ; ainsi les récits des guerres puniques
ou pro carthaginois parfois mal compris ou i Parmi les auteurs anciens ayant écrit sur cette période22, deux historiens distingués, Polybe et Tite-Live. Polybe23 Arcadie qui fut nommé en 17020 Pallottino, Histoire de la première Italie, 137.
21 Heurgon, Rome et la Méditerranée occidentale jusqu'aux guerres puniques, p 337.
22 Le corpus en annexe donne la liste exhaustive des auteurs anciens citée dans cette étude.
23 Vers 202 126.
7hipparque24 de la ligue Achéenne au moment de la troisième guerre de Macédoine25. Après la
victoire romaine de Pydna en 168mille otages que durent livrer les Grecs. Polybepassa dix-sept années à Rome attaché à la famille des Scipion ; là, il fréquenta la haute société
romaine, observa le fonctionnement de la vie politique et des institutions. Il eut accès à
d'importants documents, et obtint la permission de voyager dans le sud de l'Italie, le sud de laGaule et en Espagne. Il assista aux côtés de Scipion Émilien à la chute et destruction de Carthage
en 146. Après que Rome eut écrasé la révolte des Achéens et rasé Corinthe, Polybe fut chargé de
l'application du nouveau statut imposé à la Grèce et il s'attira la reconnaissance de ses
compatriotes qui lui dédièrent des inscriptions louangeuses dont certaines ont été retrouvées.
P nous, Polybe est le plus proche des
relatés. Il grecs26 et le premier , -à-évènements qui ont produit un résultat remarquable car l'étude de faits historiques isolés ne sert
t solide. Il fautles observer tous avec soin, les rapprocher les uns des autres, établir des liens entre eux, noter
leurs rapports et leurs différences : c'est le seul moyen de trouver dans l'histoire et du profit et de
l'agrément27. Son grand ouvrage, Histoire, comptait quarante livres, et couvrait la période allant de lapremière guerre punique à l'annexion de la Grèce par Rome. Seuls les cinq premiers livres sont
parvenus en entier ; il ne subsiste que des fragments plus ou moinsimportant pour les autres. Le but de l'ouvrage est exposé dans l'introduction : Qui serait en effet
assez borné ou assez indifférent pour ne pas s'intéresser à la solution de ce problème : par quels
moyens et quel mode de gouvernement les Romains ont-ils pu événement sans précédent se rendre maîtres en moins de cinquante-trois ans de presque tout le monde habité ?28 avait lu les écrits de contemporains aux évènements comme Fabius Pictor ou Philinos, historiens de la première guerre punique2924 Chef de la cavalerie.
25 171-168
2627 Pol, I, 4, 9-11. Trad. P. Waltz.
28 Pol, I, 1, 5. Trad. P. Waltz.
29 Pol, I, 14-15.
8 pour certaines de leurs analyses30. I sa source principale aitété Zénon de Rhodes dont Polybe loue la compétence dans ce domaine31. Par ailleurs, il avait
interrogé des acteurs, des témoins qu'il avait pu rencontrer facilement à Rome ; il avait recherché
et exploité des documents originaux32 ; parcouru les lieux sur lesquels s déroulés lesévènements décrit33 et avait assisté lui-même à de nombreux faits importants, la chute de
du fait de sa formation politique et militaire, il était à même de mieux comprendre et expliquer les ait. Pour lui, le fond primait sur la forme et le style ne devraient pas être une priorité pour l'historien34.Dans son Histoire, Polybe
entre eux, a démontré leur interaction et dégagé les causes qui ont conduit à leur déroulement. Le
meilleur exemple en nalyse des origines de la seconde guerre punique35 différencie bien du déclencheur du conflit36. ; malheureusement cette recherche de la vérité37 a parfois été ternie38 et au contraire louer Rome et plus particulièrement la famille des Scipion39
et dont il était redevable de sa protection. Tite-Live 40 qui lui fit suivre des études de philosophieet de rhétorique. Il avait probablement séjourné longtemps à Rome où il n'avait cependant exercé
aucune charge publique et avait sinon peu voyagé. Sa vie a, semble-t-il, été entièrement
consacrée à la composition de l'histoire de Rome. Cette histoire, intitulée Ab urbe condita Libri41,
comptait cent quarante-deux livres et couvre la longue période allant de l'arrivée d'Énée en Italie
à e les livres I-
30 Critiques de Fabius Pictor (II, 22, 1 ; III, 8 sqq) et de Philinos (III, 26 sqq).
31 Pol, XVI, 14, 4.
32 nt la composition des forces
carthaginoises au début des hostilités (III, 5 sqq) ou le traité entre Hannibal et Philippe V de Macédoine (III, 9 sqq) ;
33 Pol, II, 16 sqq.
34 Pol, XVI, 17, 9-11.
35 Pol, III, 8-10.
36 Le déclencheu
37 Pol, XII, 12, 3-5.
38 Par exemple les Aitoliens (II, 3, sqq), les Athéniens (V, 106, 6-8) ou les Crétois (X, 46, 4-5).
39 Pol, III, 16, 7 ; 61, sqq ; XXXVIII, 8, sqq.
40 59 av JC 17.
41 Les livres depuis la fondation de la Cité.
9X et XXI-XLV, c'est-à-dire un récit allant des origines à la fin des guerres Samnites42, puis de la
seconde guerre Punique à la troisième guerre de Macédoine et à la défaite de Persée ; il faut y
ajouter les periochae43 des cent quarante-deux livres, plus quelques fragments. -Live appartient au genre historique, elle relève tout autant de la littératurecar, selon lui, l'historien ne doit pas se contenter de rapporter les événements, ce que faisaient les
annalistes, il doit aussi maîtriser l'art de la composition et user d'un style de qualité. Tite-Live va
rivain au service de la grandeur de Rome au long de ses écrits-Live est moralisatrice et patriotique. Ayant traversé les dernièresannées tourmentées de la République et assisté au renouveau augustéen, il était allé chercher dans
le passé les exemples qui lui permettaient de démontrer à ses contemporains que Rome
accomplissait un dessein divin qui la conduirait à dominer le monde mais que pour arriver à cela
il fallait retrouver les valeurs de la religion traditionnelle et de la morale. Contrairement à Polybe, Tite-Live écrivit son histoire sans sortir de chez lui et en allantpuiser les informations uniquement auprès de sources littéraires. Pour la période ancienne, ce fut
chez les annalistes ; pour celle allant de la seconde guerre punique à celles de Macédoine, ce furent principalement les écrits du Grec Polybe mais aussi des Romains Lucius Cincius Alimentus44 ou Fabius Pictor45, le scriptorum antiquissimus46. Pour trancher face à des sourcesqui peuvent être divergentes, Tite-Live allait, soit suivre l'avis de la majorité47, ou des témoins les
plus anciens48 ou des auteurs qui sont proches de l'événement49. Dans le livre XXI50, Tite-Live a puisé ses informations chez Polybe, seul historien grec àvoir son nom mentionné à plusieurs reprises, et avec considération, dans son e51. Tite-live
n52en sert comme caution à42 293.
43 Les sommaires.
44 Liv, XXI, 38, 1-5.
45 Liv, XXII, 7, 1-4.
46 Liv., I, 44.
47 Liv, I, 24, 1.
48 Liv, III, 23, 7.
49 Liv, XXII, 7, 1-4.
50 Le livre s du Tessin et de la Trébie.
51 Liv, XXX, 45, 4 ; XXXIII, 10, 10 ; XXXVI, 19, 11 ; XLV, 44, 19.
52 Liv, XXXIX, 52, 1.
10 ses affirmations-Live dans la chose militaire l conduit à xtes de Polybe53 comme son récit de la bataille de Cynoscéphales 54 à celui de les jeter55. Si parfois -Live est plus romanesque que factuelle et si le souffle épique peut primer sur la rigueur historique, il faut conserverquotesdbs_dbs46.pdfusesText_46[PDF] les corporations au moyen age
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