[PDF] Les sources de croissance de léconomie marocaine





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Déterminants et impacts des IDE sur la croissance économique en

7 juil. 2014 I. Relation entre croissance économique et IDE ………………………………………………………….61 ... l'Algérie le Maroc



Les sources de la croissance économique au Maroc

L'étude sur Les Sources de Croissance de l'Economie Marocaine s'inscrit dite de l'effet des déterminants sur la croissance économique au Maroc. Nous.



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Research Paper

L'OCP Policy Center est un think tank marocain qui a pour mission la Mots Clés : Croissance économique UEMOA

Critique économique n° 2 • Eté 2000 43 Ce papier présente un modèle de la productivité globale des facteurs.Il se base sur le principe de la comptabilité de la croissance selon la méthode élaborée par Denison. Les résultats empiriques obtenus déterminent la contribution de chaque facteur (capital,travail,productivité globale des facteurs) à la croissance globale.Ces contributions sont de 39,8 % pour le travail,48,1 % pour le capital et 12,1 % pour la productivité globale des facteurs. Celle-ci révèle quatre cycles de croissance économique assez significatifs.Néanmoins,ce papier n'explique pas l'origine de ces cycles.Il se contente de les mettre en évidence.Nous tenterons d'apporter des explications à ces cycles de croissance dans un prochain papier. Mots-clés :croissance,capital,emploi,travail,productivité globale des facteurs.

1.Introduction

La théorie de la croissance traditionnelle a été développée par Denison (1967) dans son livre Why growth rates differ. Sur cette base, le Prix Nobel Robert Solow a construit un modèle de croissance dans lequel il soutient que la croissance économique est déterminée par l'évolution technologique, qui dépend de facteurs non économiques telle la découverte scientifique, et non de la politique économique. Pour infléchir la courbe de la croissance potentielle, il faudrait accélérer le progrès technique qui élèverait la productivité. Cette théorie offrait donc deux possibilités pour une politique économique de croissance : d'une part, accélérer temporairement le rythme de la croissance, c'est-à-dire en augmentant les investissements en capital humain et matériel ; d'autre part, une hausse du taux de croissance à long terme en favorisant une accélération du progrès technique, par exemple, en encourageant la recherche et le développement (R&D) et l'esprit d'entreprise. A l'aide de méthodes empiriques basées sur cette théorie, des chercheurs ont montré que la fin des années soixante et le début des années soixante- dix étaient marqués par un ralentissement de la croissance de la productivité dans les pays industrialisés. C'est le changement le plus significatif dans l'évolution économique de ces pays depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.

Les sources de croissance

de l'économie marocaine

Abdesselam

Bouhia

Chargé d'études auprès

du Premier ministre

Abdesselam Bouhia

44

Critique économique n° 2 • Eté 2000

Ces résultats empiriques ont montré que le progrès technique compte pour environ la moitié de la croissance du produit par tête, ce qui revient à dire que le ralentissement de la croissance est induit principalement par le ralentissement de la croissance de la productivité globale des facteurs, qui est dû au comportement du progrès technique. Plusieurs phénomènes structurels et conjoncturels sont suspectés d'être derrière ce phénomène. Le premier phénomène suspecté est le choc pétrolier de 1973. W.Jorgenson (1988) a fait des calculs détaillés sur la croissance de la productivité. A travers des fonctions de production désagrégées, il affirme que le ralentissement de la croissance de la productivité durant la période

1973-1979 peut être attribué largement à l'augmentation du prix de l'énergie.

Il estime que l'augmentation de l'utilisation de l'énergie dans la plupart des industries améliore le progrès technique. Donc, pour la plupart des industries, la diminution de l'utilisation de l'énergie s'accompagne d'une réduction de la croissance de la productivité globale des facteurs. Griliches (1988), quant à lui, soupçonne la variation du " taux de création de nouvelles connaissances ». Le nombre de brevets d'invention a effectivement diminué depuis 1960. Cependant, il est sceptique quant à l'importance de ce facteur. Il n'écarte pas, non plus, l'effet des erreurs de mesure sur les résultas obtenus. Devant ce problème de mesure, il attribue le ralentissent de la croissance de la productivité à la réduction du niveau de la demande, qui opère en partie par la réduction de la capacité productive.

2.Le modèle

Bien que des différences méthodologiques subsistent encore, un large consensus est formé autour du cadre conceptuel de Denison-Kendrick- Jorgenson-Grilches-Solow pour mesurer la croissance de la productivité globale des facteurs. Dans ce modèle, le taux de croissance du produit réel est déterminé par deux composantes : la première est basée sur les taux de croissance des facteurs, et la deuxième est une composante résiduelle identifiée comme la variation due à l'efficacité de la production (productivité globale des facteurs).

2.1.Modèle standard de la comptabilité de la croissance

Le cadre conceptuel pour l'estimation de la variation de la productivité est dérivé des théories des fonctions de production. La forme générale de la fonction de production agrégée est : où Y(t) est un vecteur des quantités des extrants au temps t, X(t) est un vecteur des quantités des intrants, et t est un paramètre introduit pour rendre compte de la variation de l'efficience de la production. En adoptant une représentation en un seul produit et deux intrant,s cette équation devient :

FY(t),X(t),t = 0

Les sources de croissance de l'économie marocaine Critique économique n° 2 • Eté 2000 45 (1) Q(t), K(t) et L(t) sont respectivement - au temps t - le produit, les flux des services du capital et du travail. A(t) est un paramètre d'efficience au sens de Hicks qui rend compte du déplacement de la fonction de production. Malgré cette restriction, ce modèle est suffisant pour la quantité et la qualité de l'information statistique disponible au niveau national. Le problème de base de l'analyse de la productivité globale est l'utilisation des données sur les prix et les volumes pour répartir la croissance de Q(t) selon ses sources, c'est-à-dire K(t), L(t), A(t). L'une des possibilités pour accomplir cette tâche est de spécifier une forme paramétrique. On peut procéder selon une méthode non paramétrique en calculant les différentiels logarithmiques de (1) et obtenir : (2) Les points sur les variables indiquent les dérivées par rapport au temps, alors que le terme à gauche de (2) indique le taux de croissance de Q. E k et El sont, respectivement, les élasticités du produit Q par rapport au capital et au travail : (3) Les indices de temps sont omis pour rendre l'exposition des formules mathématiques plus claires. L'équation (2) détermine la contribution de A(t), K(t), et L(t) à la croissance de Q, mais puisque les élasticités E K et E L dans (3) ne sont pas observées, une hypothèse est nécessaire pour rendre possible l'application empirique de ce cadre conceptuel. On suppose donc que les produits marginaux sont égaux aux prix relatifs des flux des services des différents intrants par rapport au prix de l'extrant : (4) C'est-à-dire que les intrants sont rémunérés aux produits marginaux.

P(t), P

k (t) et P l (t) sont respectivement les prix de l'extrant et des services du capital et du travail. En combinant (3) et (4) on obtient : Q(t) K(t) =P L (t) P(t) Q(t) K(t) =P K (t) P(t) E K Q K KQ E L Q K LQ Q Q AA +E K KK +E L LL

Q(t) = A(t)F K(t),L(t)

Abdesselam Bouhia

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Critique économique n° 2 • Eté 2000

(5) S k et S l sont les parts, respectivement, des rémunérations du capital et du travail dans la rémunération totale des facteurs de production. Elles sont

égales aux élasticités E

k et E L d'après (2). Sous l'hypothèse de la constante du rendement d'échelle, on a Sk+ Sl= 1, mais cette égalité n'est pas nécessaire si une estimation indépendante de P K est disponible. L'étape finale dans le modèle des sources de croissance consiste à combiner (2) et (5). On obtient alors une équation dans laquelle toutes les variables sont mesurables, à part qui peut être considérée comme une partie résiduelle et mesurée par différence : (6) L'équation (6) est fondamentale en comptabilité de croissance sous sa forme continue dans (6). Sont remplacés par les différences annuelles des variables en logarithme, par exemple : (7) et les parts sont remplacées par leurs moyennes arithmétiques annuelles, soient : (8) En utilisant (7) et (8), l'indice de obtenu est l'indice "tornqvist" ou productivité globale des facteurs. L'indice "tornqvist" est exact si la technologie a la forme d'une fonction de production Translog. On démontre que la forme continue (6) est exacte pour toute fonction satisfaisant les Conditions générales de régularité sur (1).

2.2.Mesure du stock de capital humain

L'homme constitue l'acteur principal dans le processus de production. C'est à travers lui que le progrès technique passe à la production en augmentant la productivité de la main-d'oeuvre. Le capital humain est un stock déterminé par la quantité mais aussi la qualité tels que le degré de qualification, le niveau d'instruction, etc. AA 1/2S L (t) + S L (t - 1) 1/2S K (t) + S K (t - 1) , Q(t)

Q(t) = LnQ(t) - LnQ(t - 1)

AA Q Q -S K KK -S L LL AA S L =P L LPQ S K =P K KPQ Les sources de croissance de l'économie marocaine Critique économique n° 2 • Eté 2000 47 Deux populations de même taille ne constituent pas deux "stocks" de capital humain équivalents. Alors, ce qui est souhaitable, c'est d'avoir la population active occupée par catégorie (degré de qualification, niveau d'instruction) et les taux de salaire qui rémunèrent le travail de chacune de ces catégories, ou la masse salariale par catégorie pour permettre l'agrégation. Mais étant donné le manque de séries de telles données, on a eu recours à des hypothèses simplificatrices, à savoir qu'entre les différents recensements, où on a une estimation de la population active occupée, cette dernière a évolué, toute proportion gardée, et que le capital se réduit à la taille de la population. L'information la plus importante qui manque est celle relative à la rémunération de chaque catégorie de la population active. Tant que cette estimation fera défaut, le stock de capital restera mal approché. Les autres éléments nécessaires peuvent êtres estimés à travers les enquêtes et recensements, sauf peut-être le milieu rural où les enquêtes qui peuvent renseigner sur le stock de capital sont rares.

2.3.Mesure du stock de capital matériel

La théorie du capital est l'une des plus difficiles de la théorie économique. On peut dire même qu'elle constitue la pierre angulaire de la théorie de la croissance. Plusieurs économistes ont essayé de définir la notion de capital. Il l'ont considérée comme du travail figé, une consommation différée, un stock de biens durables, ou comme un flux de services de facteurs. Son agrégation aussi pose autant, sinon plus de problèmes. Cependant, les économistes ont besoin dans leurs études et analyses d'une mesure du capital. Comment peut-on apprécier le processus de croissance si on ne sait pas comment mesurer un facteur aussi important que le stock de capital ? Comment peut-on expliquer le ralentissement de la productivité observé dans les économies industrialisées depuis 1970 sans avoir recours aux mesures des facteurs de la croissance, dont le capital est de loin le moins négligeable ? Deux aspects font la différence entre le capital (y compris humain) et le facteur primaire : le capital en tant que moyen de production, qui lui- même est produit et le capital en tant que bien durable. Le premier aspect constitue la première controverse de Cambridge, mais le second aspect est à la base des énormes difficultés qu'on rencontre en mesurant le capital. La durabilité signifie que les biens en capital serviront plusieurs fois dans l'opération de production. Donc, une distinction doit être faite entre la valeur de son utilisation ou sa location une année donnée et la valeur qu'a ce capital en le possédant. Cette distinction n'aurait pas conduit à des problèmes de mesure si les services rendus par le capital une année donnée avaient été rémunérés cette même année. Tout le capital aurait été loué, dans ce cas, les prix et les quantités de capital seraient déterminés par le marché de location du capital de la même manière que le marché du travail fixe le taux de salaire et la quantité de la main-d'oeuvre par les mécanismes de l'offre et de la demande.

Abdesselam Bouhia

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Critique économique n° 2 • Eté 2000

Cependant, dans la plupart des cas le capital est utilisé par son propriétaire, mais s'il y a un transfert de services de capital entre le propriétaire et l'utilisateur, il en génère un loyer implicite qui n'est pas observé par le statisticien. Les données du marché sont donc inadéquates pour estimer directement les prix et les quantités des services de capital, ce qui a mené à un développement de procédures d'estimation indirecte du stock de capital, telle que la méthode de l'inventaire permanent ou en acceptant des mesures imparfaites du capital, telle que la valeur comptable des immobilisations.

2.3.1.Cas d'un seul bien homogène

Supposons que le statisticien observe la quantité du nouveau capital I, ajoutée au stock de chaque année, mais non pas le stock de capital lui-même, K t . Le problème dans ce cas consiste à générer le second à partir du premier en tenant compte du fait qu'une partie des anciens stocks serait retirée, ce qui réduirait les services rendus. Il faut donc développer une procédure raisonnable pour additionner les I t aux K t estimés. La méthode de l'inventaire permanent est une approche raisonnable pour résoudre ce problème délicat. Les investissements de toutes les générations encore en service, dans cette méthode, sont pondérés par des poids t - μ qui prennent des valeurs entre 0 et 1 pour traduire le fait que les anciens investissements sont moins productifs que les nouveaux, et le deviennent de plus en plus qu'ils deviennent plus anciens. K t 0 I t 1 I t - 1 T I t - T

Où φ

0 = 1 et où T est la durée de vie du capital et μ= t - T est la date de mise en service de la plus vieille génération encore en service. Puisque le capital de génération est considéré comme équivalent à seulement t - μ unités du nouveau capital, le stock K a une interprétation tout-à-fait naturelle : le nombre d'unités de nouveaux investissements nécessaires pour réaliser l'équivalence avec la capacité productive des anciens investissements I t , I t - 1 , ..., I t - 1] ; ou en d'autres termes, K t est définie en unités d'efficience. Il est nécessaire d'avoir des estimations des poids d'efficience φ t - μ pour compléter la procédure de mesure du stock de capital à partir des données disponibles sur les investissements historiques. Cependant, il n'est pas évident de savoir comment ils sont déterminés ou comment on peut les estimer. Le problème devient encore plus complexe si on considère - comme il se doit - qu'un bien de capital, telle une machine par exemple, devient moins efficient parce que beaucoup de temps s'est écoulé depuis sa mise en service, des dépenses de maintenance nécessaires sont de plus en plus grandes, sa vitesse ou sa précision s'est réduite, ou la technologie qui lui est incorporée devient de plus en plus dépassée. Le fait de considérer les anciennes générations de capital comme moins productives suggère de supposer que la suite de φ suit un certain cheminement qui dépend de la vie utile ou la Les sources de croissance de l'économie marocaine Critique économique n° 2 • Eté 2000 49 vie économique T, du bien de capital en question, c'est-à-dire estimer son efficience d'une manière indirecte. Plusieurs cheminements sont possibles pour estimer [ 0 1 T Le plus simple est certes de considérer que tous les φ sont égaux à 1: 0 1 2 T - 1 = 1, φ

T + τ

= 0

τ= 0,1,2...

Ce qui revient à dire que les anciens biens en capital ne perdent pas de leur efficience jusqu'à ce qu'ils soient mis au rebut. Dans cette forme, la suite des efficiences φ est complètement caractérisée par la vie économique T, et le problème de mesure se ramène à l'estimation de T. La deuxième possibilité est de considérer la ligne d'efficience comme une droite, la fonction d'efficience prend alors la forme : 2 = 1- (2 / T), ..., φ T - 1 = 1 - (T - 1) / T, φ

T + τ

= 0

τ= 0,1,2...

Selon cette forme, la diminution de l'efficience est :

T - τ

= 1 / T

τ= 1, ..., T - 1

T dans ce cas aussi détermine complètement les φ. La troisième méthode suppose que la diminution de l'efficience se fait selon une forme géométrique. Cette méthode est la plus utilisée dans les expositions des théories de capital et dans des études empiriques, mais considérée par certains économistes comme non plausible à cause de la rapidité de la perte de l'efficience durant les premières années. En plus, le bien de capital en question, selon cette méthode, n'est jamais retiré du processus de production.

τ- 1

τ- 1

= d, ou 0 - 1, φ 1 =(1 - d), φ 2 (1 - d) 2 = (1 - d) Cependant, d est fréquemment déterminé à partir des estimations de t publiées dans certains pays à partir des données de la comptabilité des entreprises, soit : d ≡2 / T

2.3.2.Cas de capital hétérogène

En suivant le même raisonnement que dans le cas d'un capital homogène, on suppose que la technologie est séparable dans une fonction de N types distincts de services de capitaux, utilisés dans la production :

Abdesselam Bouhia

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Critique économique n° 2 • Eté 2000

où chaque K i est lui-même une agrégation de plusieurs générations d'investissements. Une condition nécessaire est que le taux marginal de substitution entre deux types de capital soit indépendant de la quantité de travail utilisée : i,j = 1, ..., N Si cette restriction est respectée, la fonction d'agrégation K(.) détermine le stock de capital agrégé, et le problème de mesure de ce dernier se réduirait à découvrir la forme de cette fonction. Cette méthode peut être appliquée directement en estimant les fonctions F(.) et K(.) ou en utilisant l'indice

Divisia.

L'indice Divisia est construit en pondérant les taux de croissance de chaque type de capital par sa part dans la valeur totale du capital.

3.Cadre conceptuel de l'analyse des sources de croissance de

l'économie marocaine Le modèle qui sert au calcul des sources de croissance de l'économie marocaine se présente sous forme de plusieurs modules. Nous présenterons dans ce qui suit les modules des investissements, de l'indice divisia, du produit intérieur brut et des sources de croissance.

3.1.Module des investissements

Ce module regroupe les données sur les différents types d'investissements (FBCF en prix courants) : i. Matériel et outillage, ii. Bâtiment, iii. Travaux publics, iv. Aménagement et plantation, v. Bétail. Cette classification, telle que la comptabilité nationale présente la FBCF, permettra de tenir compte des différents taux d'amortissement qui seront calculés à partir de la durée de vie présumée pour chaque type de capital. Afin d'obtenir des investissements en prix constants (ou inversement), des déflateurs sont calculés pour chaque type d'investissement. Q L 1 Q K tiquotesdbs_dbs46.pdfusesText_46
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