Les determinants de la structure financiere des entreprises belges
LES DÉTERMINANTS DE LA STRUCTURE FINANCIÈRE DES. ENTREPRISES BELGES. Étude exploratoire basée sur la confrontation entre la théorie des préférences de.
Les Déterminants de la Structure financière des Entreprises
31?/03?/2022 Mots clés : Endettement Données de panel
Les déterminants de la structure financière des PME familiales
Mot clés : religion structure financière
LES DETERMINANTS DE LA STRUCTURE FINANCIERE DES
15?/07?/2019 La recherche en finance d?entreprise a abouti à plusieurs théories qui expliquent comment les entreprises choisissent leurs structures ...
Déterminants de la structure financière et réactions du marché
27?/09?/2013 les déterminants de la structure financière des entreprises marocaines et d'autre part évaluer l'effet des décisions de financement de ces ...
Les déterminants de la structure du capital : application pour les
capital de la finance de l'entreprise. C'est ainsi que des théories ont été développées sur les déterminants de la structure du capital.
Les déterminants de la structure financière : comment expliquer le
Le paradoxe des entreprises insolvables qui contractent régulièrement de nouvelles dettes constitue la motivation principale de cette recherche. Les tests.
Les déterminants de la structure financière des PME marocaines
Par ailleurs le problème de financement varie selon les caractéristiques de l'entreprise
Les déterminants de la structure financière : le rôle du capital social
entreprises les facteurs socioculturels sont présentés comme des potentiels déterminants du comportement financier de ces entreprises.
LES DETERMINANTS DE LA STRUCTURE FINANCIERE DES
RESUME : L'objectif de cet article est de vérifier la capacité de la théorie de Market timing à expliquer la structure financière des entreprises marocaines
Revue africaine de management - African management review
ISSN : 2509-0097
VOL.5 (1) 2020 (PP.35-50)
http://revues.imist.ma/?journal=RAM Les déterminants de la structure financière : le rôle du capital social es Pme des BTP au CamerounNelson Aubin Diffo LONTSI a
a Université de Dschang, CamerounRésume
Dans un contexte ma
entreprises, les facteurs socioculturels sont présentés comme des potentiels déterminants du comportement
dirigeantbâtiments et travaux publics (BTP). En adoptant une approche quantitative et après une régression multiple
précédée du test de Khi 2 sur un échantillon de 60 entreprises, les résultats présentent une influence positive du
capital ou réseau social dles responsables ration es relations entre le dirigeant De ce fait, le capital social du dirigeant devient un moyen permettant decontracter des crédits le plus rapidement possible, à moindre coût sans devoir passer par toutes les procédures
Mots clés : structure financière, endettement, capital social, bâtiments et travaux publicsAbstract
In a context marked by an asymmetric information between banks and small and medium size
enterprises (SMSs), the sociocultural factors are presented as potentials determinants of financial behavior of
these enterprises. The main objective of this study is to present the effect of the social capital of the manager on
sector(BPW). Using a quantitative approach and after multiple regression preceded by a Khi 2 test on a non-
probabilistic sample of 60 enterprises, we pointed out the positive influence of social capital through 6 indicators
( the existence of relation between the leader and political leaders, the existence of relation between the leader
and senior administration officials ,the existence of relation between the leader and heards of banks, the
associations and ethno cultural associations) on the indebtedness of SMSs. Thus, the social capital of the
manager become a mean which allows him to contract loans as quickly as possible at low cost, avoiding all the
procedure required by the bank indebtedness process of SMSs in Cameroon. Keys words: financial structure, indebtedness, social capital, building and public works N.A.LONTSI -REVUE AFRICAINE DE MANAGEMENT- VOL.5 (1) 2020 (PP.35-50) 361. Introduction
La question de la structure financière reste une question sans réponse en finance(Myers, 1984). Ceci est sans doute dû à la diversité des contextes dans lesquels les théories
explicatives de cette dernière ont été élaborées et expérimentées. A ce sujet, notons que les
(1958) jusqu'à la théorie de la hiérarchie de financement (Myers et Majluf, 1984) en passant
(Deangelo et Masulis, 1984) ont été élaborées et expérimentées non seulement dans un
contexte de marché financier développé, mais aussi dans les entreprises à propriété diffuse
entre plusieurs actionnaires. Cependant, le tissu des entreprises au Cameroun est essentiellement constitué des petites et moyennes entreprises (PME)2009), sont dirigées à 98% de cas par le propriétaire ou le copropriétaire. La propriété étant
dysfonctionnement du marché financier, mais surtout, elles sont victime du rationnement du crédit (Wanda, 2007) par les banques et autres établissements financiers. Par ailleurs, ces entreprises sont paradoxalement les plus endettéesi malgré toutes les difficultés prétendent rencontrer. Dès lors, nous nous interrogeons sur les moyens mis en jeux par ces entreprise. Empiriquement la littérature explique la diversité des structures financières en localisation géographique (Chareaux,1985 ; Colot et al,2010 ; Colot et Croquet,2007 ;Psillaki,
dirigeantson âge, son sexe, sa formation, sa religion (Berger et Udell, 1998), ses objectifs et sa
caractéristiques économico-financières de le (Rajan et Zingales, 1995 ; Carpentier et Suret, 2000). (1998) établissent un lien entre la longévité -PME. Ainsi, la théorie des réseaux sociaux (Granovetter, 1973favorable de la structure financière des PME camerounaises et plus précisément de leur
1991).
Les études portant sur le financement des entreprises englobent généralement tous les N.A.LONTSI -REVUE AFRICAINE DE MANAGEMENT- VOL.5 (1) 2020 (PP.35-50) 37particulières étant généralement orientées vers les PME manufacturières, et pourtant au
Cameroun, le secteur des bâtiments et travaux publics capitale dans la croissance économiqueii sous le sigle BTP les trois grandes professions complémentaires suivantes qui se distinguentpar la nature du métier : le Bâtiment (qui assure la construction, la rénovation des locaux,
bureaux et habitations, et assure le dépannage des équipements), les Travaux Publics (quiinfrastructures, les routes, les ponts et autres infrastructures destinées au grand public), et le
génie civil ( qui excelle dans la construction des grands ouvrages tels que les stades et tous les
activités intermédiaires entre le bâtiment et les travaux publics). Dans ce empirique est effectuée auprès de ces entreprises vu l camerounaise. Après de cette étude (première partie), la deuxième partie qui se consacre à une révision de la théorie sur la structure méthodologie est présentée dans la troisièmerésultats obtenus (quatrième partie), les discussions et la conclusion dans la cinquième partie.
2. Revue de la littérature
2.1. Les théories en présence
Le débat ouvert par Durant (1952) sur la structure financière a connue à la suite de
(1958) plusieurs autres interventions par le biais desthéories. Ces théories explicatives et prédictives de la structure financière et plus
(Jensen et Mecklin, 1976) qui stipule que dans les entreprises dans lesquelles il existe une délégation du pouvoir des actionnaires aux dirigeants, ces derniers chercheront à maximiser e structure financière sera un choix motivé uniquement par les aspirations opportunistes des dirigeants. La théorie de la hiérarchie de financement (Majluf et Myers, 1984) suppose quepuis le financement par dette non risquée, ensuite les dettes risquées et enfin une
augmentation de capital. La théorie de la signalisation (Ross, 1977 ; Leland et Pyle, 1977) stipule quere financière est un signal émismesure de rembourser le principal de la dette ainsi que les intérêts. La théorie du compromis
(DeAngelo et Masulis, 1980) qui précise les conditions dans lesquelles un endettementmoindre est préférable. Cela variera en fonction des conditions de fiscalité, des coûts de
faillite et selon que la dette soit de long ou de court terme. Toutes ces théories tentent
préoccupévoluent ces entreprises. De ce fait, en Afrique en générale et au Cameroun en particulier, il
N.A.LONTSI -REVUE AFRICAINE DE MANAGEMENT- VOL.5 (1) 2020 (PP.35-50) 38social. Ainsi, la théorie des réseaux et des liens sociaux (Lin, 1999 ; Granovetter, 1973)
pourrait expliquer le ensemble des interactions entre les dirigeants des PME et leur environnement. Ces relations qui sont à la fois verticales (avec les partenaires de capital social du dirigeant de la PME camerounaise.2.2. Le capital social du dirigeant : un producteur de ressource financière pour
moyens pour assurer le financement de son entreprise. Dans cette catégorie de moyens, lecapital social du dirigeant figure en bonne place. Les études sur le capital social trouvent leurs
origines dans les années 80 avec les travaux de plusieurs auteurs (Bourdieu, 1980,1985 ; Coleman, 1990 ; Putman, 2000, 1995 ; Burt, 1992,1995). Celles-ci se caractérisent par deux : celle qui présente le capital social comme étantou plusieurs sous-groupes attachés à un réseau collectif (Coleman,1988,Putman,1995) et celle
qui présente le capital social comme un ensemble de relations personnelles mobilisées par un acteur pour atteindre ses objectifs personnels (Burt,1992 ; Nahapiet et Goshal,1998). Ainsi, Adler et Kwon (2002) qualifient ces deux visions respectivement de vision interne et de onds auteurs, Bourdieu (1985) définit le capital social tion des ressources effectives ou ponctuelles qui sont es de connaissances mutuelles ou de reconnaissance. Il est important de faire une distinction entre capital ou des relations entretenues dans plusieurs contextes parmi lesquels le contexte familial, amical, e un objectif précis qui constitue le capital social (Ranie- objectif qui constitue le capital social. Au vue de tout ceci, le capital social du dirigeant Geraudel et Mothe (2005) ainsi que Chollet (2005) mettent en évidence la relation " entreprises ». Uneimportance particulière est accordée au rôle joué par le réseau social du dirigeant dans la
ccès au crédit (Fafchamps et Minten, 1998 ; des financements formels ou informels. Plusieurs études se sont penchées sur les relations entre les dirigeants de PME et les hautes personnalités (politiques, étatiques) et leur impact ; Feudjo et Tchankam, 2012). Leurs résultats montrent que les relations entre les dirigeants et les hauts (2016) et tout récemment Tsambou et al (2017) au Cameroun mettent en exergue la relation entre le c N.A.LONTSI -REVUE AFRICAINE DE MANAGEMENT- VOL.5 (1) 2020 (PP.35-50) 39dirigeants et banquiers contribuent à l religieuses) que les hauts responsables dans la société renforce la confiance entre ces deux au Cameroun (Feudjo et Tchankam, 2012). Cette revue de la littérature sur le capital social de ndividu nous conduit à postuler que, H dans les PME des BTP au Cameroun.
3. Méthodologie
ivie par la mesure des variab.3.1. Echantillonnage et collecte des données
avons sélectionné par la méthode du choix raisonné 70 entreprises appartenant au secteur des
appartiennent effectivement à la tranche des PME telle que définie par la loi camerounaiseiii. Au terme de cette première phase, 67 entreprises étaient effectivement des PME employant au plus 100 personnes chacune et ayant réalisé individuellement rieur à1milliard d
final est constitué de 60 entreprises car nous avons enregistré le retour de 63 questionnairesparmi lesquels 3 ont été jugés inexploitables. Les détails de cette démarche sont consignés
dans les tableaux qui suivent [voir tableaux 1 et 2]. Tableau 1 : Statistiques Du Retour Des QuestionnairesEléments Pourcentages
Questionnaires retournés 63 94,03%
Questionnaires non retournés 4 5,97%
Total 67 100
Source : Auteur
N.A.LONTSI -REVUE AFRICAINE DE MANAGEMENT- VOL.5 (1) 2020 (PP.35-50) 40Tableau 2 : Statistiques Des Questionnaires Exploitables
Elements Pourcentages
Questionnaires validés 60 95,24%
Questionnaires non validés 3 4,76%
Total 63 100%
Source : Auteur
Pour avoir les données, nous avons utilisé un questionnaire pour recueillir les informatio. Un premier questionnaire (questionnaire test) a dans un premier temps été soumis à une dizaine de dirigeants des PME de BTP dans la ville de Douala. Ceci, dans le but de nous rassurer de la bonne compréhension par ces dirigeants des dite.Nos données sont donc de nature primaire, collectées dans la période allant du 02/02/2019 au
30/04/2019. Pour localiser les entreprises, nous nous sommes servis du fichier des entreprises
conomie, de la planification et de3.2. Mesures des variables
sente la variable à expliquer. Pour la mesurer, Passif Total. Les informations financières obtenues des dirigeants des entreprises de notre échantillon pour la période ) nous ont permis de calculer cesratios pour chacune des entreprises. Il est généralement compris entre 0 et 1. Dans cet article,
les considérées comme des entreprises surendettées.3.2.2. Mesure du capital social
En dépit des trois dimensions du capital social (structurel, relationnel et cognitif) évoquées par Nahapiet et Ghoshal (1998) dans leurs travaux, Wamba et Niyosanba (2014), de même que Ngoa et Niyosaba (2012) prennent en compte 5 indicateurs du capital social de stratif, taille du réseau personnel et son importance (dans le processus de financement) comme mesures du capital social du dirigeant de PME. Ces mesures nous semblent appropriées dans le cadre de ce travail. Cependant, pour adapter ledit travail aux réalités du contexte, nousallons appréhender le capital social uniquement par la taille du réseau du dirigeant, en ajoutant
aux 5 indicateurs retenus par Feudjo et Tchankam (2012) quelques indicateurs comme financier au Cameroun étant majoritairement constitué par celles-ci) et son appartenance aux associations ethniques (tontines). Les items ont été captés . Pour chaque affirmation ouquestion, le répondant devait indiquer la réponse (oui ou non) correspondante à sa situation.
Le tableau ci-contre [voir tableau 3] illustre les différents indicateurs et N.A.LONTSI -REVUE AFRICAINE DE MANAGEMENT- VOL.5 (1) 2020 (PP.35-50) 41utilisée pour capter la taille du réseau du dirigeant. Tableau 3 : Mesure de La taille Du réseau du dirigeant Indicateurs Echelle de mesure et codage Signes attendus iv entre le dirigeant de suivants :
Responsables politiques du pays ou de la localité Responsables des banques lique Nominale Positifs Dirigeants ou promoteurs de micro finances Appartenance du dirigeant aux différentes associations
Parti politique Associations ethniquesv (tontines) Associations religieusesSource : Auteur
Le modèle économétrique ci-
variable indépendante. Il met en exergue le rôle crucial du dirigeant à travers son réseau social
prise.Les variables de contrôle
iAvec NE ഌi
Tableau 4: Sigles et significations
Sigle Définition
Rresp Relations avec les responsables politiques du pays ou de la localitéRresb Relations avec les responsables de banques
Rresa Relations ave
Rresd Aap Appartenance du dirigeant aux associations politiques (partis politiques) Aae Appartenance du dirigeant aux associations ethnoculturelles(Tontines) Aar Appartenance du dirigeant aux associations religieuses Stae Te Agee StadSource : Auteur
test de dépendance de Khi 2 premier temps la relation de dépendance entre notre variable explicative et la variableexpliquée. Ensuite, la régression linéaire par les moindres carrées ordinaires nous permet de
de cette variable à travers ses ement. N.A.LONTSI -REVUE AFRICAINE DE MANAGEMENT- VOL.5 (1) 2020 (PP.35-50) 424. Résultats
4.1. Caractéristiques des entreprises d
Notre échantillon est constitué des entreprises nées entre 2010 et 2015 (soit 30% des et 2010. 13 entreprises, soit 21% sont nées entre 1995 et 2000. 8 entreprises, soit 13,33% sont nées entre 1985 et 1995. On constate donc que ce sont pour la majorité des jeunes entreprises. En ce qui concerne la forme juridique, 9 entreprises soit 15% sont des SARL contre 80%échantillon, 38 entreprises, soit
63,32% sont des petites entreprises (PE) et 22, soit 36,67% sont des moyennes entreprises
entreprises (35%) opèrent dans le bâtiment, 10 entreprises (16,66%) opèrent dans les travaux
publics et le reste (48,34%) excelle dans les activités intermédiaires aux bâtiments et aux travaux publics.Les entreprises de notre échantillon sont dirigées par le propriétaire ou par le
copropriétaire à plus de 80% des cas ou encore par un cadre ayant des affinités particulières
engénéral et camerounaises en particulier car elles sont pour la grande majorité des entreprises
familiales. Et par conséquent, Plusieurs dirigeants des entreprises de notre échantillon sont en poste depuis au moins 7 ans. e particularité des dirigeants africains enfamiliales. Le dirigeant étant lui-même propriétaire ou copropriétaire dans le pire des cas,
entreprises sont principalement celles des villes de Douala (35 entreprises) et de Yaoundé (25 entreprises). Ces deux villes étant les principales métropoles économiques du Cameroun. Au plan financier, 14 entreprises, soit 23,33% sont moins endettées (elles ont un ratioentreprises est 0,6615. Par contre, le ratio le plus élevé est 0,88 contre 0,42 représentant le
minimum [voir tableau 5].Tableau 5 dettement exprimé par le ratio d
Eléments Observations Moyenne Ecart-type Minimu mMaximum
Ratio 60 0,6615 0,117 0,42 0,88
Source : Auteur
N.A.LONTSI -REVUE AFRICAINE DE MANAGEMENT- VOL.5 (1) 2020 (PP.35-50) 434.2. Analyse descriptive de la variable indépendante
Tableau 6 : Description De La Variable indépendante Indicateurs Nombre de réponses favorables/60 inal /100Rresp 57 95
Rresb 42 70
Rresa 49 81,67
Rresd 54 90
Aap 12 20
Aae 55 91,67
Aar 17 28,34
Source : Auteur
A la lecture de ce tableau, il en ressort que 57 dirigeants, soit 95% des entrepreneurs de notre échantillon affirment avoir des affinités avec les responsables politiques du pays ou de dirigeants de PME et les responsables de la haute administration, 49 dirigeants, soit 81,67% favorablement sur la question. Seulement 12 (soit 20%) antillon confirmentleur appartenance effective aux associations à caractères politiques. Par ailleurs, 55 dirigeants
(soit 91,67%) affirment être membres des associations ethniques et culturelles (tontine) alors que, seulement 17 dirigeants (soit 28,34%) fréquentent les associations religieuses. Afin de vérifier la dépendance entre nos deux variables, nous avons procédé au test de Khi 2 entre le réseau social à travers ses indicateursau Cameroun. Les résultats de ce test sont consignés dans le tableau qui suit [voir tableau 7].
Tableau 7 : Résultats Du Test De Chi 2
Source : Auteur
Dans ce tableau, on constate une relation de dépendance (significative à 10%) entre se aux différents responsables politiques également cette dépendance (significative à 10%) entr s relations entre Cependant, cette dépendance est non significative pour ce qui est des relations avec lesModèle
Items Chi 2 Probabilité Seuil
Rresp 14,72 0,088 10% Rresb 13,73 0,093 10%
Rresa 2,26 0,133 NS
Rresd 3,13 0,076 10%
Aap 4,11 0,011 5%
Aae 5,27 0,022 5%
Aar 1,88 0,389 NS
N.A.LONTSI -REVUE AFRICAINE DE MANAGEMENT- VOL.5 (1) 2020 (PP.35-50) 44associations politiques et des associations culturelles (tontines). En outre, cette dépendance entre la définition du capital social selon laquelle, le capital social résulte de par sur plusieurs plans (familial, ethnique, politique et autres) pour atteindre un objectif précis (Ranie-dédice, 2008) Le tableau ci-dessous [voir tableau 9] nous présente les résultats des estimations des nalyse par la méthode des moindres carrées ordinaires. Il a été
réalisé après avoir effectué les tests de robustessesvi [voir tableau 8] sur ce modèle.
Tableau 8: Résultats des Tests de robustesses sur le modèleTESTS Chi2 Prob Seuil Decision
Heteroscedasticité 1,43 0,1198 NS Absence
Multicolinearité 1,36 NS Absence
Omission de
variable1,72 0,1225 NS Absence
Source : Auteur
A la lecture de ce tableau, on peut remarquer une absence dmulticolinéarité dans le modelé à tester. De même, on constate également une absence
a validation du modèle. Tableau 9 : Résultats de la régression multipleModèle
Coefficients Probabilité
Const 0,570***
(5,20) 0,000 Stae -0,0156 (-1,01) 0,316Te -0,023
(-0,80) 0,427Stad -0,039
(-1,51) 0,113Agee 0,419***
(3,33) 0,002Rresp 0,146***
(3,31) 0,002Rresb 0,046*** 0,001
N.A.LONTSI -REVUE AFRICAINE DE MANAGEMENT- VOL.5 (1) 2020 (PP.35-50) 45(3,58)
Rresa 0,100**
(2,14) 0,037Rresd 0,095**
(2,59) 0,013Aap 0,017
(0,21) 0,838Aae 0,044
(1,15) 0,257Aar 0,018
(0,61) 0,546R2-ajusté 0,6797
F calculé 4,08
Prob (F) 0,0006
N 60 *, **, ***= significativités respectives à 10%,5% et 1%quotesdbs_dbs46.pdfusesText_46[PDF] Les déterminants économiques de la consommation
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