PILOTAGE DE LA QUALITE AFFECTIVE EDUCATIVE ET SOCIALE
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12/09/2020 novembre 2019 et la crèche ouvrira ses portes à la rentrée 2020. La mairie-annexe accueille le public depuis mars 2020. Le chantier de la.
Étude de la transplantation de mineurs de La Réunion en France
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PILOTAGE DE LA QUALITE AFFECTIVE EDUCATIVE ET SOCIALE
21/02/2019 professionnels de la petite enfance en lien avec les parents (article 1 à 3) ... l'intégration de première règles sociales » (Miriam Rasse ...
LA ROCHE VINEUSE
19/03/2021 mardi à la garderie maternelle dans le cadre du dispositif « lire et faire lire » de la Ligue de l'Enseignement. De petits groupes d'enfants ...
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CRECHE LOUS MENUTS. Le Château. 04.68.46.23.28 ALAE (garderie cantine). 04.68.46.31.70 ... rasse
Limay informations
27/03/2010 Garderie F. Buisson maternelle ... gient l'agriculture bio depuis des années des ... la nouvelle crèche qui abrite le pôle Petite En-.
NANTES : MACABRE DÉCOUVERTE
22/04/2011 Le couple et ses quatre enfants n'avaient jamais fait parler ... la petite-fille Caroline Le Branchu
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7e adjoint délégué à la petite enfance. Conseillère communautaire rasse de l'église de Saint-quentin-les-Sources (es- ... Relaxation - Bio kinergie.
Portrait dune nouvelle France
13/08/2021 Ses enfants et petits-enfants. Ses frères et sœurs
LeMondeJob: WMQ1508--0001-0 WAS LMQ1508-1 Op.: XX Rev.: 14-08-99 T.: 11:08 S.: 111,06-Cmp.:14,11, Base : LMQPAG 13Fap: 100 N
o : 0316 Lcp: 700 CMYKMOSCOU a lanc•, vendredi
13 aot, " une op•ration massive »
contre les militants islamistes qui occupent depuis une semaine quelques villages au l'ouest duDaghestan. Les rebelles sont
conduits par Chamil Bassa'ev, le h•ros tch•tch˜ne qui est parvenu tenir l'arm•e russe en •chec lors de la guerre de Tch•tch•nie en1994 et 1995.
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LE MONDE T...L...VISION
aAthlétismeà Séville
aJubilé au Vatican 55e
ANNÉE ± N
o16968 ± 7,50 F - 1,14 EURO FRANCE MÉTROPOLITAINEFONDATEUR : HUBERT BEUVE-MÉRY ± DIRECTEUR : JEAN-MARIE COLOMBANIDIMANCHE 15 - LUNDI 16 AOÛT 1999
Allemagne, 3 DM ; Antilles-Guyane, 9 F ; Autriche,25 ATS ; Belgique, 45 FB ; Canada, 2,25 $ CAN ;Côte-d'Ivoire, 850 F CFA ; Danemark, 15 KRD ;Espagne, 225 PTA ; Grande-Bretagne, 1 £ ; Grèce,500 DR ; Irlande, 1,40 £ ; Italie, 2900 L ; Luxembourg,46 FL ; Maroc, 10 DH ; Norvège, 14 KRN ; Pays-Bas,3 FL ; Portugal CON., 250 PTE ; Réunion, 9 F ;Sénégal, 850 F CFA ; Suède, 16 KRS ; Suisse, 2,10 FS ;Tunisie, 1,2 Din ; USA (NY), 2 $ ; USA (others), 2,50 $.
ACTIVE:LMQPAG:W
busyInternational............. 2
France.......................... 5
Soci•t•......................... 6
Carnet .......................... 7
Horizons...................... 8
Entreprises..................11
M•t•orologie .............14
Jeux................................14
Abonnements............14
Culture .........................15
Guide culturel............16
Radio-T•l•vision.......17
Les grandes manúuvres
dans l'Europe des télécomsLES France T•l•com, Deutsche
Telekom et autres ex-monopoles
publics du t•l•phone europ•en ont-ils besoin de se marier entre eux pour assurer leur croissance et compenser le terrain perdu sur un march• d•sormais totalement ouvert la concurrence ? Apr˜s l'•chec de son projet de fusion avecTelecom Italia, l'op•rateur histo-
rique allemand Deutsche Telekom s'est " consol• » en rachetant le num•ro 4 britannique de t•l•pho- nie mobile, One-2-One. Mais RonSommer, le pr•sident du g•ant alle-
mand, ne renonce pas pour autant ses ambitions. " Il n'y a pas de rai-
son pour nous de ne pas participer de plus larges fusions », explique- t-il, car " nous ne deviendrons pas un acteur mondial si nous ne dispo- sons pas d'une position •gale auxEtats-Unis et en Europe ».
Cette vision n'est pas partag•e
par Michel Bon, le pr•sident deFrance T•l•com, son ancien alli•,
dont la strat•gie internationale r•pond une autre logique : op•ra- teur historique dans son pays, leFranØais se voit en challenger de ses
homologues dans le reste de l'Europe±aux Pays-Bas, en Italie, en Espagne ou en Grande-Bre- tagne. Outre-Manche, il vient de d•penser 4,7 milliards d'euros pourdevenir l'actionnaire de r•f•rence de NTL,qui dispose, gr"ce au c"ble, d'un r•seau t•l•phonique concur- rent de celui de British Telecom. La manie des fusions n'est pas non plus du got de Jonathan Shantry, sp•cialiste des t•l•communica- tions au Cr•dit lyonnais Securities, Londres. Pour cet analyste, plutþt
que de fusionner, les op•rateurs historiques europ•ens ont int•r-t se d•velopper sur les secteurs en d•veloppement rapide, comme la t•l•phonie mobile et Internet.Ce raisonnement s'appuie sur
trois arguments. D'abord, le mar- ch• traditionnel de la t•l•phonie contre des taux de croissance de30 % 40 % pour celui de la t•l•-
phonie mobile, et plus encore pourInternet. Ensuite, les anciens
monopoles publics, dont les cots de structure sont lourds, ont int•r-t investir dans des m•tiers o la
productivit• est plus importante : on compte, en moyenne, un employ• pour 250 lignes ®xes alors qu'il suf®t d'un salari• pour 1000 abonn•s au t•l•phone mobile.Enguérand Renault
Lire la suite page 10
MORRIS RAYMOND/SIPA
LES SÉRIES DE L'ÉTÉ
Aux paysdes mythes
6. L'Atlantidede Platon
Le continent englouti " en un jour et
une nuit terribles » fait rêver les poètes et divise les scienti®ques : où situer géographiquement ce mythe politique créé par Platon ? p.8et9LONDRES
de notre correspondant " Robin des bois et ses compagnons ont vécu dans un milieu entièrement mâle, dont les femmes étaient exclues. Les ballades de l'époque ne pouvaient pas crier tout haut qu'il était homosexuel. Mais si on regarde de près, en ®li- grane, ses aventures projettent des images homo-érotiques, comme le bois vert de la forêt de Sherwood, les arcs, les épées... » Pour les uns, Stephen Knight est un guérillero " rose » qui, en révélant les múurs cachées de Robin des bois, s'attaque au symbole même de la virilité anglaise. Pour les autres, ce professeur de lit- térature anglaise à l'université de Cardiff est un croisé de l'outing, pratique consistant à for- cer des célébrités, présentes ou passées, à reconnaître et à assumer leur homosexualité.Selon cet iconoclaste, Petit-Jean, le copain
de Robin, est en fait son amant attitré : " Leurs disputes sont de vraies scènes de ménage d'un petit couple. »Quant à Lady Marian, la compagne que Robin aime trop sagement, elle est absente des premières chansons popu- laires diffusées au XIV e siècle. Elle aurait été enfait rajoutée dans la légende, longtemps aprèsles faits véritables, a®n de rendre plus accep-
table pour l'ordre moral celui qui prend aux riches pour donner aux pauvres.A l'appui de sa théorie, Stephen Knight
décrit Robin comme un petit baronnet, dont les terres avaient été con®squées autour de1190 par le félon prince Jean qui tentait alors
de détrôner Richard Cúur de Lion, parti aux croisades. Or, à son retour de captivité, le sou- verain, homosexuel notoire, non seulement lui rend ses terres et sa fortune, mais, selon certains, le fait Lord, comte de Huntingdon. Le prince des voleurs, dont la ¯èche ne rate jamais son but, était-il aussi la reine de la forêt, comme l'assure Knight ? Mary Cham- berlain, secrétaire générale de la très véné- rable Robin Hood Society, a du mal à y croire : " Robin des bois est une ®gure historique on ne peut plus respectable. Dans le monde entier, les enfants jouent à Robin des bois. Cette nouvelle interprétation historique est ridicule », réplique cette admiratrice inconditionnelle du bandit au grand cúur.La polémique fait également trembler l'in-
dustrie touristique de Nottingham, citémédiévale voisine de la forêt de Sherwood, quiattire quelque 1,5 million de visiteurs par an,
en particulier américains, venus communier dans le mythe du hors-la-loi. En®n, cette nou- velle analyse fait frémir l'Angleterre puri- taine : Robin le gay viendrait s'ajouter à la longue liste des héros plus ou moins secrè- tement homosexuels : le général HoratioKitchener, ministre de la guerre en 1914, le
colonel Thomas Edward Lawrence, plus connu comme Lawrence d'Arabie, ou encore le fondateur du mouvement scout, BadenPowell. Sans oublier le bisexuel Shakespeare
qui, dans ses Sonnets, confesse ses penchants : " Mon bon ange est un homme de grande beauté. »Interrogé sur la polémique lancée par le
professeur Knight autour de son ancêtre, l'actuel comte de Huntingdon a préféré prendre ses distances avec le justicier : " Vous savez, il n'y a aucune preuve qu'il soit lié à notre famille.»Par précaution, Sa Seigneurie a même demandé à sa famille de ne plus l'appe- ler par son deuxième nom, Robin Hood...Robin des bois.
Marc Roche
Prince des voleurs, Robin des bois était-il la reine de la forêt ?MUSIQUES
Aux sourcesdu big beat
A Brighton, cité balnéaire posée sur les
rivages britanniques de la Manche, il est facile d'être paresseux, et d'aller de club en club avec peu d'argent en poche. C'est là qu'est né le big beat, une musique drôle et ludique, techno mâtinée de hip-hop et de rock dont le label phare, Skint, vient d'être racheté par Sony. p.15 aLA RECRUDESCENCE esti-
vale des accidents li•s la fr•- quentation massive de la montagne entretient la pol•mique sur la mise en place d'une r•glementation dans ces zones. Durant l'•t• 1998, 126 per- sonnes sont ainsi mortes par accident et 1430 ont •t• bless•es dans les mas- sifs franØais. Ce chiffre incite plu- sieurs procureurs de la R•publique r•clamer une r•glementation de l'acc˜s certaines r•gions alpines.Guides et secouristes, contraints de
prendre en compte le besoin de s•cu- rit• du " consommateur » de mon- tagne, n'en continuent pas moins de d•fendre les principes de libert• de l'alpinisme. Selon ces professionnels, de nouvelles r˜gles pourraient d•res- ponsabiliser les pratiquants des sports alpins.Lire page 6
Réglementer
la montagne ...TIENNE DELESSERTSERVICES
Automobilesà louer
Quatre millions et demi de Français
sont séduits par les services des loueurs de voitures. Cet été, tous les moyens sont bons pour attirer les particuliers : de la voiture sportive au cabriolet en passant par les tarifs dégressifs ou les programmes de ®délisation... Une enseigne propose même de gagner la voiture louée !p.11SPORTS
La retraited'une gloire
Stef® Graf a annoncé, vendredi
13 août à Heidelberg (Allemagne), sa
retraite sportive après une carrière pro- fessionnelle de 17 années marquée par107 titres dont 22 victoires dans les
tournois du Grand Chelem. Après son triomphe à Roland-Garros, le 5 juin, la joueuse allemande a préféré quitter les courts en pleine gloire. " Je n'ai plus rien à prouver, je ne prends plus de plaisir », a déclaré celle qui fut la numéro un mondiale pendant377 semaines. p.13
Un chef de guerre
DES FRANÒAIS de gauche de
plus en plus acquis au march•, desFranØais de droite de plus en plus
respectueux des diff•rences : les derni˜res ann•es du si˜cle sont marqu•es par une att•nuation des antagonismes id•ologiques tradi- tionnels de la soci•t• franØaise.C'est ce que tend montrer l'•volu-
tion des enqu-tes d'opinion sur les valeurs des FranØais, selon l'•tude r•alis•e pour Le Mondepar leCentre d'•tudes et de connaissances
sur l'opinion publique (Cecop).La mondialisation est perØue
comme " une bonne chose pour laFrance »par la majorit• des Fran-
Øais (53 %). On observe, dans le
m-me temps, un recul de la x•no- phobie, qui s'•tait r•pandue entre1985 et 1995. Le renouvellement des
g•n•rations s'accompagne en effet, dans ce domaine, d'une tr˜s nette •volution, au moins dans les cat•- gories les plus instruites de la popu- lation. Les universalismes d'inspira- tion chr•tienne ( droite) et la'que ( gauche) se rejoignent ainsi face la vision in•galitaire port•e parl'extr-me droite. Pour la premi˜re fois depuis trente ans, le souhait de r•tablissement de la peine de mort est minoritaire.Cependant, s'ils sont majoritaire-
ment satisfaits de la mondialisation, les FranØais, comme ils l'ont montr• lors des •lections de juin, sont moins convaincus par la construc- tion europ•enne qu'ils ne l'ont •t• dans le pass•. C'est ce qui permet au " souverainiste » William Abit- bol, d•put• europ•en proche deCharles Pasqua, d'expliquer au
Monde que " les FranØais retrouvent
l'id•e de nation »et qu'ils r•clament, selon lui, " une alternative l'int•- gration pure et simple de la France et de l'Europe dans l'ordre marchand supranational ». Le rapprochement id•ologique concerne aussi des sujets tels que l'•cole : de gauche ou de droite, les FranØais jugent priori- taire, aujourd'hui, le sens de la disci- pline et de l'effort, l'•veil de l'esprit et du sens critique ne venant qu'au second rang.Lire page 5
Portrait d'une nouvelle France
bLes enquêtes d'opinion montrent une évolution des antagonismes idéologiques traditionnelsbA gauche, on accepte le marché, à droite, on admet la différence bLa xénophobie recule, la peine
de mort n'est plus majoritaire bLa mondialisation est jugée béné®que par 53 % des FrançaisGuerre
des banques : les résultats annoncés ce week-endLES R...SULTATS des offres de la
BNP sur la Soci•t• g•n•rale (SG) etParibas et de l'offre de SG sur Pari-
bas, dont l'annonce •tait initiale- ment ®x•e au mardi 17 aot, devaient, selon nos informations, -tre publi•s samedi 14 aot dans la soir•e ou dimanche 15 aot matin au plus tard, par le Conseil des mar- ch•s ®nanciers. La BNP d•fendait un mariage trois BNP-SG-Paribas (SBP) et la Soci•t• g•n•rale une union deux, SG-Paribas. Ainsi queLe Monde l'annonØait d˜s vendredi
13 aot, il est acquis que la BNP
obtient une confortable majorit• du capital de Paribas, d•passant 60 %.Comme pr•vu, les r•sultats
s'annoncent serr•s sur la Soci•t• g•n•rale. Les derni˜res indiscr•tions donnaient un contrþle par la BNP d'environ 37 %-38 % du capital de laSoci•t• g•n•rale.
Lire page 18
LeMondeJob: WMQ1508--0002-0 WAS LMQ1508-2 Op.: XX Rev.: 14-08-99 T.: 11:01 S.: 111,06-Cmp.:14,11, Base : LMQPAG 13Fap: 100 N
o : 0317 Lcp: 700 CMYK 2INTERNATIONAL
LE MONDE / DIMANCHE 15 - LUNDI 16 AOÛT 1999
Le combat s'annonce dif®cile
contre des rebelles aguerrisA MOSCOU, les communiqu•s
triomphants se succ˜dent. Dans le sud-ouest du Daghestan, les rebelles " sont compl˜tement en- cercl•s »,leur chef militaire " est bless• », les islamistes ont subi de tr˜s lourdes pertes : " Des di- zaines de morts et des centaines de bless•s.»Mais, pendant que s'entassent les d•clarations de victoires russes, le chef des isla- mistes, le Tch•tch˜ne ChamilBassa'ev, fait venir ± dans un vil-
lage d•crit pourtant comme " to- talement encercl• »± des journa- listes depuis Grozny, la capitale tch•tch˜ne, pour donner des in- terviews. Son chef d'•tat-major " bless• », le commandant Kat- gnure sur les •crans d'une t•l• russe pour af®rmer que " tout se passe bien »et qu'il " poursuit l'offensive ».Le quotidien moscovite Vremia
dresse le bilan d'une journ•e de combat ordinaire : " En une jour- n•e, les forces f•d•rales ont r•ussi d•truire un de leurs postes de
contrþle, larguer une bombe sur un village g•orgien et failli perdre leur chef d'•tat-major dans une attaque des rebelles.»Les autorit•s russes qui, au
XIX e si˜cle, ont mis trente ans (1828-1859) pour conqu•rir leHaut-Daghestan, annnoncent
cependant qu'elles en " ®niront avec les bandits dans les pro- chains jours ». En " une semaine et demie deux semaines » au plus, selon le premier ministre russe.PARFAITEMENT ENTRAÎNÉS
Sur le terrain, les hommes en-
gag•s, cit•s par un journaliste de l'AFP, ne partagent pas l'opti- misme des chefs. Un colonel daghestanais con®e que "lesRusses bombardent les r•gions de
con¯it, mais avec un r•sultat mi- nimal ».Un of®cier des unit•s sp•ciales de la police daghesta- naise raconte que " le terrain est extr-mement dif®cile », que " dix combattants astucieusement pos- t•s dans les montagnes peuvent retenir un bataillon pendant une semaine ». Il estime qu'" attraper les bandits dans la montagne fera sans doute beaucoup de morts ».Un major de l'arm•e russe dit
qu'il est " impossible de savoir d'o viennent, o vont et d'o tirent »les combattants isla- mistes, qui " connaissent bien la r•gion ».A la t-te de ses hommes par-
et qui ignorent la peur, le tr˜s re- dout• et redoutable chef de guerre tch•tch˜ne Chamil Bas- sa'ev se frotte srement les mains. En 1994-1995, sous un d•- luge de feu d'artillerie, il a mis en pi˜ces, pendant pr˜s de trois mois, les forces russes qui de-vaient conqu•rir Grozny, la capi- tale tch•tch˜ne, en " quelques heures ». En juin 1995, s'enfon-Øant en profondeur en territoire
russe, il a mis feu et sang la ville de Boudennovsk avant de se retrancher dans l'hþpital, de re- pousser tous les assauts des forces sp•ciales russes, qui furent oblig•es de le laisser re- partir. En aot1996, avec quel- ques centaines d'hommes, il a repris Grozny aux Russes, assi•- geant des milliers de soldats deMoscou, qui fut contraint de si-
gner la paix et de retirer ses40 000 militaires de Tch•tch•nie.
A Moscou, l'analyste militaire
russe Pavel Felgengauer estime qu'apr˜s le ®asco tch•tch˜ne les forces russes peuvent se pr•pa- rer un " nouveau d•sastre ma- jeur »dans les montagnes duDaghestan. Le premier ministre
russe a admis que si la situation est " en voie de normalisation », elle " reste compliqu•e ».J.-B. N.
LES FORCES RUSSES ont lanc•,
vendredi 13 aot, une " op•ration massive »contre le millier de re- belles islamistes qui occupent quel- ques zones au sud-ouest du Dag- hestan depuis une semaine.L'offensive s'est poursuivie dans la
nuit de vendredi samedi l'aide d'h•licopt˜res et d'avions dequotesdbs_dbs26.pdfusesText_32[PDF] Biographie nationale, 11 (1890-1891) | www.academieroyale.be
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