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https://www.erudit.org/en/. Document generated on 07/07/2022 11 p.m.. Études françaises. Les figures de style. Bernard Dupriez. Volume 3 Number 4

Tous droits r€serv€s Les Presses de l'Universit€ de Montr€al, 1967 This document is protected by copyright law. Use of the services of 'rudit (including reproduction) is subject to its terms and conditions, which can be viewed online. This article is disseminated and preserved by 'rudit. 'rudit is a non-profit inter-university consortium of the Universit€ de Montr€al, promote and disseminate research.

Volume 3, Number 4, novembre 1967URI: https://id.erudit.org/iderudit/036285arDOI: https://doi.org/10.7202/036285arSee table of contentsPublisher(s)Les Presses de l'Universit€ de Montr€alISSN0014-2085 (print)1492-1405 (digital)Explore this journalCite this article

Dupriez, B. (1967). Les figures de style.

3 (4), 414"425. https://doi.org/10.7202/036285ar

LES FIGURES DE STYLE

L'emplo

i de s figure s

étan

t for t pass d e mode

,leur étude, depuis le XVIIIe siècle, avait été abandonnée.Seules quelques définitions se sont maintenues dans lesdictionnaires, particulièrement celui de Littré, et quiaurait voulu

s e renseigne r davantag e aurai t d recou

-rir aux anciens traités, celui de Barry (1659), de Du-marsais (1730), de Gaillard1 (1745), de Crevier(1770)2. Valéry, s'étant rendu compte de l'utilité et del'opportunité d'une meilleure connaissance des figures,regrettait

qu e personn e n e sembl e avoi r mêm e entre

-pris de reprendre [leur] analyse »3.En France, le premier pas vers un renouveau dansl'étude des figures de style remonte à 1959. M. GéraldAntoine, qui était alors professeur à la Sorbonne, pro-posa

d'étudie r le s grand s

écrivain

s a u poin t d e vu e d

eleurs procédés 4. Il prêcha d'exemple en examinant lesrépétitions chez Claudel 5 et la coordination chez Gide 6.Les procédés ne sont pas pour lui une affaire detechnique sans plus, un

ornemen t d u discours comm

e1. H.-G. Gaillard, de PAcadémie française, Rhétorique fran-çaise à l'usage des jeunes demoiselles [sic], Paris, Delalain,1823 (Ire éd., 1745), in-8°, 394 p. C'est le manuel qui était utiliséjadis dans les collèges de Montréal.

2

Signalon

s cependan t quelque s travau x

érudit

s mai s par

-tiels: E. Langlois, Recueil d'arts de seconde rhétorique (1902) ;E. Faral, les Arts poétiques du XW et du XIII6 siècle (1924) ;Ch. Urbain, Cours élémentaires (1927) ; et J. Marouzeau, Lexi-que de la terminologie linguistique (1943).

3 P

Valéry

Questions

de poésie, cit pa r G

Antoin

e dan

s" La stylistique française. Sa définition, ses buts, ses méthodes »,dans la Revue de renseignement supérieur, n° 1, 1959, p. 61.

4 G

Antoine

L a stylistiqu e française S a définition se sbuts, ses méthodes », dans la Revue de l'enseignement supérieur,n° 1 1959
p 61

.5. G. Antoine, tes Cinq Grandes Odes de Claudel ou laPoésie de la répétition, Paris, Minard, 1959, 94 p.

6 G

Antoine

L e rôl e impressi f de s liaison s d e phrase

schez André Gide », dans Studia romanica, Gedenkschrift EugenLerch, Stuttgart, Post, 1955, pp. 22-81.

LES FIGURES DE STYLE 415

che z le s

Anciens

Te l procédé fréquen t che z tel auteur

,devient, suivant ce que Spitzer avait montré, un traitfondamental de 1'" esprit » d'un écrivain. Ainsi la ré-pétition dans la poésie de Claudel n'est pas seulementaffaire d'expressivité ou de rythme : elle a une valeurmétaphysique et même religieuse, le rôle du poète étantde répondre à la Parole, entendue comme Verbe divin.C'est en ce sens qu'il faudrait interpréter ce pas-sage de la première Ode :

Ainsi quand tu parles, poëte, dans une

enume-ration délectable,Proférant de chaque chose le nom,Comme un père tu Vappelles mystérieusementdans son principe, et selon que jadisTu participas à sa création tu coopères à sonexistence!Toute parole une répétition.7

Claude

l s e souvien t ic i d u huitièm e chapitr e de

sProverbes, où l'on voit la Sagesse, personnifiée, prési-der à la création du monde. Son art poétique est doncintimement lié à une cosmogonie théocentrique. Le pro-cédé de la répétition y joue un rôle prépondérant parceque la Sagesse a tout réglé d'avance et se fait sentirintérieurement au poète (la Muse est la grâce). Il n'ya plus qu'à participer, à coopérer, à répéter...

Dan s so n peti t livre M

Antoin

e montr e le s diffé

-rents types de répétition8 et leur valeur. Voilà doncune excellente introduction à l'étude des figures.

L'anné

e suivant e paraissai t Munic h l e

Manuelde rhétorique de M. Henri Lausberg 9, dont nous parle-rons plus loin car il faut d'abord dire un mot du Dic-tionnaire de poétique et de rhétorique de M. Henri

!.Cinq

Grandes

Odes, Paris

Gallimard

1961
p 28
cit

épar G. Antoine, les Cinq Grandes Odes de Claudel on la Poésiede la répétition, p. 15.8. En réalité, il y en a plus que ne l'indique l'auteur et saterminologie est à revoir. Le mot concaténation en particulier,qu'il reprend à Claudel (Présence et prophétie, p. 22; cité parG. Antoine, les Cinq Grandes Odes de Claudel ou la Poésie dela répétition, note 23) pour désigner des chapelets de et, avaitété proposé par Beauzée pour désigner Panadiplose en chaîne.9. H. Lausberg, Handbuch des Literarischen Rhetorik. EineGrundlegung der Literaturwissenschaft, 2 vol., Munich, Hueber,1960, 957 p.

416 ÉTUDES FRANÇAISES III, 4

Morier

10 Publi e n 1961
i l n e tien t pa s compt e d

utravail de M. Lausberg et constitue donc la deuxièmeétape dans l'étude contemporaine des figures. De plus,c'est la synthèse la plus complète, à l'heure actuelle,en français.Ce dictionnaire est loin, pourtant, d'être définitif.Sans doute évite-t-il l'interprétation a priori des fi-gures, mais il introduit dans ses définitions des donnéesd'ordre psychologique, au lieu de ne retenir que leséléments formels. Qui connaît les autres ouvrages decet auteur n ne s'étonnera guère que certains procédéslittéraires soient ramenés à des données extra-litté-raires. Par exemple, au mot correspondance on trouveun résumé du système de Swedenborg et cinq types decorrespondances (au sens large). Il aurait suffi designaler les correspondances baudelairiennes et d'enindiquer les origines.

Remarquon

s ave c M Morie r qu e cett e figur e ap

-paraît avant Baudelaire et ajoutons que celui-ci nesemble pas avoir voulu l'ériger en système. " Les par-fums, les couleurs et les sons se répondent », simpleconstatation utile pour l'invention des images.

M Morie r donn e comm e synonyme s d e

correspon-dance: analogie et synesthésie. Mais l'analogie, quin'est pas une figure, entre dans la composition d'ungrand nombre de figures et principalement la méta-phore ; tandis que synesthésie est un terme de psycho-logie qui apparaît à la fin du XIXe siècle pour désignerla relation subjective qui s'établit entre une perceptionet une image appartenant au domaine d'un autre sens(Robert). Le mot désigne donc un phénomène psycho-physique, il ne concerne qu'indirectement la rhétorique.Il ne nous semble pas qu'il ait sa place dans le Diction-naire.S'ensuivent de curieux développements sur la cou-leur des voyelles et leur valeur sentimentale, avec l'aided'enquêtes statistiques et de schémas éloquents. Nousallons bien au-delà du sonnet des voyelles de Rimbaud

10 Paris

P.U.F.

1961
48
4 p

.11. H. Morier, la Psychologie des styles, Genève, Georg,1959, 374 p. ; et le Rythme du vers libre symboliste, 3 vol., Genève,Droz, 1943-1944.

LBS FIGURES DE STYLE 417

puisqu e l e i n'es t plu s roug e mai s givre teint e

argen-tine, éblouissante » et, qui plus est, inconsciemmentpréféré par " l'intellectuel pur » qui a " un goût duprécis dont les voyelles serrées rendent compte (é, i) »12.Appuyées sur des recensions précises, ces remarquesne sont peut-être pas aussi totalement subjectives etfantaisistes qu'on serait tenté de le croire. Elles ou-vrent, en tout cas, aux études de procédés, des possi-bilités qui n'étaient pas envisagées autrefois.

Mai s commen t reproche r M Morie r d'avoi

rétendu ses définitions du côté de la psychologie et dela phonétique, alors qu'il a le mérite de défricher unterrain tombé en jachère? Certes, il manque bien desfigures à son dictionnaire 13 et plusieurs définitionsnous paraissent insuffisantes. L'antiphrase, par exem-ple, est donnée comme synonyme d'ironie. Or il y a denombreuses formes d'ironie moins nettes que l'anti-phrase, dans lesquelles il y a autre chose à deviner quel'inverse des termes employés. Déjà Bède le Vénérablefaisait une distinction entre l'antiphrase, ironie expli-citée par le contexte verbal, et l'ironie proprement dite,marquée par la situation ou simplement par le ton 14.À notre avis, l'ensemble de l'article ironie serait à re-prendre, à la fois du point de vue des formes et desdéfinitions. Le chleuasme, notamment, était pour lesAnciens une forme d'ironie, ce qui lui donne plus d'ex-tension que dans la définition de M. Morier.

Autr e exemple

Vantanaclase

serai t un e figur

e" dans laquelle le mot répété change de sens ». Mais ellese confond alors avec la diaphore. Or l'auteur en estconscient puisqu'il tâche de les différencier par l'in-tensité plus ou moins grande du changement de sens." Dans l'antanaclase, le mot repris offre deux accep-

12 H

Morier

Dictionnaire

de poétique et de

rhétorique,p. 130.13. Epithétisme, étymologie, hypotypose, métaplasme, para-logisme, périssologie, personnification, polyptote, polysyndète,réduplication, synchyse, synonymie, truisme, pour ne marquerque les plus importantes. Il y en aurait une cinquantained'autres à ajouter si Ton voulait comparer le Dictionnaire aulexique que donne M. Lausberg à la fin de son tome II, mais onpeut se demander si toutes ces figures sont encore usitées denos jours.14. H. Lausberg, op. cit., § 582 à 585.

418 ÉTUDES FBANÇAISES III, 4

tions nettemen t différentes Dan s l a diaphore i l n

es'agit que d'une nuance assez délicate. » On voit cequ'une telle définition garde d'approximatif quand onveut l'appliquer à des cas concrets. Celui du refrain,qui est répété " sous un éclairage qui change constam-ment avec le sens [du couplet] »15, ne clarifie rien carM. Morier le range dans les antanaclases alors que lechangement de sens nous paraît plutôt ténu ... La dé-finition de M. Lausberg serait plus nette. Elle placel'antanaclase dans un dialogue : on reprend un mot deson interlocuteur, mais dans un sens autre que celuidans lequel il avait été utilisé. " Prenez un bon conseil. - Le conseil en est pris. »16 Don Arias emploie conseilau sens d'avis et le comte au sens de décision. En re-vanche, dans un discours suivi, répéter un mot déjàemployé mais en lui donnant une nouvelle nuance designification, ce sera une diaphore : " Le coeur a sesraisons que la raison ne connaît point ».Il est vrai que la définition de l'antanaclase parMorier était celle de Littré. Mais Littré ignore la dia-phore 17, ce qui l'excuse d'avoir donné une telle exten-sion au sens d'antanaclase. M. Morier, en rapprochantces termes, n'est donc pas si loin du but.On peut faire une constatation semblable à proposde l'hyperbate. M. Morier signale qu'hyperbate s'em-ployait autrefois dans le sens d'inversion (dans leLittré par exemple). Cependant la nouvelle définitionqu'il nous offre, pour être meilleure, n'en reste pasmoins un peu floue.Ces quelques remarques donnent une idée de l'ef-fort de mise à jour réalisé par M. Morier en ce quiconcerne la rhétorique. Il a tenté de compléter Littréet de confronter les définitions anciennes avec les fi-gures en usage aujourd'hui. Ne forge-t-il pas, à l'occa-sion, des néologismes quand il isole quelque phénomèneinédit? Ainsi l'espacement entre les mots ou les groupesde mots à l'intérieur d'une phrase en guise de ponctua-

15 H

Morier

Dictionnaire

de poétique et de

rhétorique,p. 28.16. Le Cidy v. 384, cité par H. Lausberg, op. cit., § 663.17.11 y a d'autres termes, du reste: distinctio, copulatio,txi/TMrrao-tç et, si la répétition est négative : contentio : " Votreraison n'est pas raison pour moi ».

LES FIGURES DE STYLE 419

tio n ser a dénomm blanchissement.

Claude

l e n offr e d

enombreux exemples dans les Odes. Brault, Chamber-land, Paul-Marie Lapointe l'utilisent largement. Tousles autres néologismes concernent les sonorités et lesrythmes, ce qui montre où se situe l'apport principalde cet excellent dictionnaire 18. La poétique, dont nousn'avons pas à parler ici, est beaucoup mieux traitée quela rhétorique. Toutes les formes anciennes ou récentesdes poèmes, toutes les impressions mélodiques ou ryth-miques (tempo, débit, hiatus, etc.) sont traitées par unphonéticien qui se laisse emporter facilement et nevoudrait jamais suivre les sages et savantes observa-tions de M. Paul Delbouille w.

Ca r celui-c i

établi

t qu e l a plupar t de s effet s attri

-bués aux sonorités sont en réalité produits par la si-gnification des textes. Mais revenons à la rhétorique.

L e

Manuel

de rhétorique marquer a un e

étap

e dé

-cisive dans la connaissance des procédés. Il ne s'occupeque de la rhétorique (et tant soit peu de la poétique) an-cienne, mais il traite le sujet d'une façon si complète,si nuancée, que l'on pourra désormais, en le prenantcomme point de départ, aborder l'étude approfondiedes arts poétiques contemporains.L'étude exhaustive de la rhétorique ancienne étaitune tâche terriblement ardue. Si l'on met de côté lestravaux des derniers siècles sur le sujet et que l'onenvisage seulement les sources, il a fallu analyser toutd'abord les oeuvres de plus de vingt orateurs grecs(sans compter les anonymes), notamment Anaximène,Aristote, Démosthène, Héliodore, Hermogène, Isocrate,

18 Voic i l a list e de s néologisme s d e mo t o u d e sen s qu

eM. Morier s'attribue (au moyen d'un astérisque) : vers amphis-bène, contre-accent, défaillance, hendécasyllabe défaillant, den-sité, dissonance, mesure dynamique, syllabe évasive, harmoni-ques, image abstraite, image hypothétique, image impressive,image plastique, ligature, mesure majestative, groupe majeur,masse, numerus impendens, rythme plein, rythme polaire, versquinaire, rebondissement, sanglier, soupir, sourdine, nombresuspensif, syncope, sonorités thématiques.19. P. Delbouille, Poésie et sonorités. La critique contem-poraine devant le pouvoir suggestif des sons, Liège, Les BellesLettres, 1961, 267 p.

420 ÉTUDES FRANÇAISES III, 4

Longi n e t

Polybe

C e son t eu x qu i on t défin i le squotesdbs_dbs46.pdfusesText_46
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