Sur la définition des gaz parfaits et les propriétés qui en résultent
HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents whether they are pub- lished or not.
Chapitre III Gaz parfaits
Par définition un gaz parfait (G.P) sera un gaz pour lequel
Thermodynamique et gaz parfaits
É. Parizot. Physique – PCEM 1ère année page 20. Définition d'un « gaz parfait ». Gaz idéalisé : - constituants assimilés à des masses ponctuelles.
Chapitre 3 LES GAZ PARFAITS : EXEMPLES DE CALCULS DE
R est la constante des gaz parfaits Cv et Cp sont les chaleur spécifiques molaires à T
Chapitre 2 :M odèle microscopique du gaz parfait pression et
m. PV = avec. M. R r = : constante massique des gaz parfaits. III Energie interne du gaz parfait. A) Gaz parfait monoatomique. Définition : gaz parfait dont
Reaction chimique - Thermodynamique - Cinétique
Energie interne et enthalpie d'un gaz parfait. 1. Définition d'un gaz parfait. Gaz constitué de particules de dimensions nulles sans interactions
Chapitre 5 : Gaz réels et définition de la fugacité
%20cours%20thermodynamique%20chimique%20SMC%20S4.pdf
Premier et Second Principes
On pose par définition que la température est la mesure de l'énergie cinétique la valeur de la ”constante des gaz parfaits spécifique” dans le cas de ...
Chapitre 8 :Le potentiel chimique
Nouvelle définition du gaz parfait (en chimie) : On a bien l'équivalence avec la définition physique : ... le gaz réel tend à être un gaz parfait.
PCSI-LYDEX 20 juin 2018 Page -2- elfilalisaid@yahoo.fr
20 jui. 2018 1.1 Modèle microscopique du gaz parfait . ... 1.2.1 Définition . ... 5.3.2 Transformation quelconque : l'entropie d'un gaz parfait .
De ces deux relations on tire
et, par suite, la force électromotrice induite dans le circuit secon- daire est en posantTout se
passe donc comme si, le circuit primaireétant
supprime, on introduisait dans le circuit secondaire une force électromotriceégale
au produit de e par le facteur Mm k, et qu'enVr2 + l2 m2
temps ma8joutât
une résistanceégale a t + k'2r)
et une self-induc- tion ( - k2 l).On trouve ainsi une
grande analogie avec le cas du téléphoneBell et du condensateur transmetteur. Ici les
quantités k, r et 1 sont susceptibles de mesures assez simple. SUR LA DÉFINITION DES GAZ PARFAITS ET LES PROPRIÉTÉSQUI EN
RÉSULTENT;
PAR M. G. MESLIN.
On a coutume de définir les
gaz parfaits par la relation dans laquelle a = 1 273.Cette définition est
vicieuse, car la quantité t se définit elle- méme à l'aide des gaz parfaits.D'un autre
côté, quand on traite divers problèmes relatifs aux gaz parfaits, on utilise un certain nombre de propriétés, parArticle published online by 133exemple que le travail intérieur est nul, que
C - c ==
const., etc. Je me propose, en donnant une définition rationnelle des gaz parfaits, d'établir les conséquences qui en résultent relativementà leurs
propriétés physiques, d'après les principes de la Thermody- namique.DÉFINITION. 2013 Un
gaz parfait est un gaz qui,à tozcte
ten'lpé- rature, suit la loi de Mariotte et pour leqzcel on a F - o, c'est- dvà-dire
pOUF lequel le travail intérieur de la dilatation est nul.Cette définition ne
suppose pas qu'on ait défini les températures.Nous admettrons d'abord
qu'on les évalue avec un thermomètre quelconque. I.Puisqu'un gaz parfait
suit la loi de Mariouue à toute tempé- rature, j'ai la suite deségalités
Je me sers alors d'un tel
gaz parfait pour définir les températures par l'égalité cl. étan t un nombre choisi de façonà attribuer à une
température particulière une valeur fixée d'avance.Cherchons alors les relations
qui existent entre ces températures et les températures absolues, définies par le principe de Carnot.La relation
généraleétablie
par M.Lippmann (1)
est la suivante en l'appliquant ici, on aJournal de
Physique,
26série, t.
III, p. 277.
Cette dernière
propriété peutêtre établie en
supposant seulement dc = o. dv J. dePhys.)
26série, t. IV. (Mars 1885.) !o 134
On a donc, en substituant et simplifiant,
Telle est la relation cherchée.
Supposons
maintenant qu'avec des températures ainsi définies on ait étudié la dilatation d'un deuxième gaz parfait et qu'on ait trouvé En répétant le raisonnement qui précède, mais en remplaçan t 7. t par? (t), on aura la relation quels que soient t, et t2, ce qui ne peut avoir lieu que si l'on a On a donc, pour tous les gaz parfaits, ou x est la même constante et ou t est défini à l'aide de la mêmeégalité appliquée
à un
gaz parfait quelconque. x est la1 100 partie
de la dilatation d'un gaz parfait entre les tem- pératures dénommées o et 100. Pour déterminer x, on a eu recours aux gaz réels qui suivent sensiblement la loi de Mariotte à toute tempéra ture et pour lesquels dc = o, et l'on a trouvé 2 - on av 273a admis le même nombre pour les gaz parfaits : ce choix n'a donc rien de définitif.
II . On démontre sans nouvelle
hypothèse qu'on a, en désignant par E l'équivalent mécanique de la chaleur,Prenons v et t comme variables
indépendantes et appliquons cette relation à un même gaz :1 ° à différentes
températures,2° sous
135des volumes différentes ; on doit avoir
Mais on a
d'où et, par suile, dC et, comme Ji dt, on doit avoirOn aura la valeur de la constante
B, en substituant dans la valeur de E,Si l'on considère différents
gaz parfaits sous la même pression, vo représentera le volume spécifique ; on voi t queB variera d'un
gaz l'autre, en raison inverse de la densité. En parlant de notre définition, nous arriverons donc aux con- clusions suivantes :1° Les
gaz parfaits ont tous même coefficient de dilatation;2° Les
quantitésC et c sont des fonctions de la
température, et ces fonctions sont de la formeB étant un nombre
particulier pour chaque gaz et ? une fonction qui peutêtre différente d'un
gazà un autre.
III. Pour continuer notre
étude, particularisons
notre définition et étudions parmi les gaz parfaits ceux qui ont les mêmes propriétés que les gaz réels limites (ce qui est un cas particulier des gaz par- faits).Pour les
distinguer, nous les appellerons gaz limites. Les expériences de Cazin nous apprennent que, si pour ces gaz nous formons c à une méme température, on obtient un nombre c constant; mais on ne sait pas encore si cette constante est une 136constante absolue, ou une fonction de la température. On a pour un premier gaz ; pour un autre gaz.
On a donc
en tenant compte de ceségalité
on aB étant différent
pour les différents gaz limites, mais y(t)étant la
même fonction pour tous. La détermination de c à différentes c températures pourrait nous apprendre si cette fonction y (t) se réduit à une constante.Les formules
qui précèdent nous permettent de voir que pour ces gaz limites la loi deDulong
et Petit est une conséquence de nos hypothèses. On a, en effet, en désignant par d le poids spécifique absolu sous la pression 1, ordonc d'oùégalité qui prouve qu'à
une même température Cd est constant pour cesquotesdbs_dbs46.pdfusesText_46[PDF] les générations de linformatique
[PDF] Les générations du Romantisme
[PDF] Les gènes
[PDF] Les Gènes, les allèles
[PDF] les génocides des juifs et des tziganes
[PDF] les genres autobiographique
[PDF] les genres de largumentation indirecte
[PDF] les genres de la nouvelle
[PDF] les genres de textes
[PDF] les genres de textes et leurs caractéristiques
[PDF] les genres en peinture cycle 3
[PDF] les genres littéraires et leurs caractéristiques
[PDF] les genres littéraires et leurs caractéristiques pdf
[PDF] les genres littéraires fiche