[PDF] 33 Focus vitamine D_A4 Le rôle le mieux





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Comment mieux comprendre le métabolisme de la vitamine D ?

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Vitamine D et foie

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Fiche de renseignements sur la vitamine D

1 juin 2015 Qu'est-ce que la vitamine D et quel est son rôle dans l'organisme? La vitamine D est un nutriment liposoluble (qui se dissout dans les ...



Vitamine D : sources métabolisme et mécanismes daction

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La vitamine D : de la physiologie à la pratique

mine D on considère indifféremment la vitamine D3 “vital” que l'organisme ne peut pas produire



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La vitamine D joue un rôle majeur dans la croissance et la minéralisation osseuses La 125(OH)2D (calcitriol) forme active de la vitamine D 



Vitamine D : de nombreux rôles à jouer pour notre santé

Ses rôles sont multiples : maintien des taux de calcium et de phosphore dans l'organisme minéralisation osseuse système immunitaire santé musculaire et 



Vitamine D : sources métabolisme et mécanismes daction

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[PDF] VITAMINE D (25-HYDROXY-)

La vitamine D est un terme générique désignant tous les sécostérols présentant une activité anti-rachitique Les deux vitamines D2 (ergocalciférol) et D3



Le rôle de la vitamine D dans limmunité PiLeJe Micronutrition

La vitamine D a une action sur le système immunitaire inné : elle stimule les macrophages et les cellules dendritiques qui sont les « soldats de première ligne 

Une fois synthétisée, la vitamine D3 active diffuse dans l'organisme et agit sur ses organes cibles tels que l'in- testin, l'os, les reins et les parathyroïdes.Questions d'autres utilisateurs
  • Quel est le rôle du vitamine D dans l'organisme ?

    La vitamine D joue un rôle essentiel dans la qualité du tissu osseux et musculaire ainsi que dans le renforcement de notre système immunitaire.
  • Quelle maladie est provoquée par une carence en vitamine D ?

    Les signes cliniques de carence en vitamine D sont : l'ostéomalacie et le rachitisme au niveau osseux, la baisse de tonus musculaire, les crises de tétanie et les convulsions (en relation avec une hypocalcémie) et parfois l'anémie. La capacité de l'organisme à absorber ou à synthétiser la vitamine D diminue avec l'âge.
  • Quel organe produit la vitamine D ?

    Une fois synthétisée, la vitamine D3 active diffuse dans l'organisme et agit sur ses organes cibles tels que l'intestin, l'os, les reins et les parathyro?s.
  • Les bienfaits de la vitamine D. La vitamine D contribue au maintien d'une ossature normale, à la croissance et au développement osseux normaux des enfants, à l'absorption et à l'utilisation normale du calcium et du phosphore, ainsi qu'au fonctionnement normal du système immunitaire.
Le rôle le mieux connu de la vitamine D concerne le méta- bolisme phospho-calcique et osseux. Toutefois, depuis quelques années, de nombreux effets potentiellement bé- néfiques de la vitamine D ont été mis en évidence d"où un engouement extraordinaire pour cette vitamine, attesté par le nombre croissant de publications qui y sont consa- crées, passé de 5000 à plus de 15 000 par an entre 1993 et 2005.

La vitamine D : généralités

L"exposition aux UVB est la source principale de vitamine D3, d"avril à septembre en Europe. La vitamine D3 circulante est hydroxylée au niveau du foie en 25 (OH) vitamine D3. Elle est ensuite convertie en forme active 1,25(OH) 2 vitamine D ou cal- citriol par la 1 α-hydroxylase au niveau des tubules rénaux proximaux. La concentration sérique de 25(OH) vitamine D2+D3 est le re- flet des réserves de l"organisme en vitamine D. Le dosage de la 1,25(OH) 2 vitamine D n"est demandé qu"en 2 e ou 3 e inten- tion, dans des indications restreintes : hypercalcémie et/ou hy- percalciurie avec PTH basse, diagnostic différentiel des rachitismes vitaminorésistants, diabète phosphaté primitif, in- suffisance rénale.

Le déficit mondial en vitamine D

Selon les études, 40 à 100 % des patients dans le monde ont un déficit en vitamine D 25(OH) (Holick M.F. N Engl J Med2007) car les apports alimentaires en vitamines D2 et D3 sont insuf- fisants et l"exposition solaire restreinte chez les citadins. Les facteurs de variabilité sont nombreux : âge, pigmentation de la peau (les sujets à peau noire ont une concentration sérique plus basse en vitamine D que les sujets blancs), crèmes so- laires, pollution atmosphérique, nuages, vie en milieu urbain, vêtements, obésité, alcool, tabac, pathologies (malabsorptions, insuffisance rénale, insuffisance hépatique), traitements. D"où la difficulté pour établir des valeurs de référence. C"est pour- quoi, en pratique, les experts ont défini des " valeurs souhai- tables (ou recommandées) » en 25(OH) vitamine D = 30 à 70 ng/ml.

Les mécanismes d"action de lavitamine D

Elle exerce des actions endocrines (effets squelettiques), concourant au maintien de l"homéostasie phosphocalcique par augmentation de l"absorption intestinale du calcium et du phosphore et rétrocontrôle négatif de la sécrétion de PTH. Elle a également des effets intracrines (non squelettiques). En effet, les cellules de certains tissus (muscles, colon, prostate, sein, pancréas...) expriment le récepteur à la vita- mine D (VDR) et la 1-alpha hydroxylase, ce qui entraîne une production locale de 1,25(OH) 2

D, qui lui permettrait d"inter-

agir avec 300 à 1000 gènes non impliqués dans le métabo- lisme phosphocalcique.

Les effets extra squelettiques de lavitamine D

Cancer :plusieurs études observationnelles ont retrouvé une diminution du risque relatif de cancer du colon, du sein, de la prostate ou du pancréas chez les sujets ayant une concentration en 25(OH) vitamine D dans les valeurs sou- haitables comparés aux sujets témoins. Une seule étude d"intervention a montré une réduction du risque de cancer du sein chez des femmes qui avaient reçu 1100 UI/j de vita- mine D pendant 4 ans, par rapport à un groupe placebo. Mortalité cardiovasculaire :un déficit en vitamine D est associé à un risque relatif augmenté de maladie et de morta- lité cardiovasculaires. Plusieurs études d"intervention ont montré un effet bénéfique de la vitamine D versusplacebo sur la survenue d"événements cardiovasculaires majeurs ou la mortalité cardiovasculaire ; d"autres études sont en cours à la recherche d"une réduction significative de ces événements.Actualités sur la vitamine D

33F cusng/ml

< 10<25

10 à <3010 à<75Carence en vitamine D

Insuffisance en vitamine D

30 à 7075 à 175Valeurs recommandées

> 150> 375Possible intoxicationnmol/ml

Concentration sérique en

25(OH) vitamine D

33F
o cus

Actualités sur la vitamine D

Système immunitaire :la vitamine D jouerait un rôle d"im- munomodulateur dans les maladies auto-immunes (sclérose en plaques, diabète type 1) et au cours des infections. Autres :un déficit en 25(OH) vitamine D est associé à une augmentation des chutes par faiblesse musculaire chez le sujet âgé, mais aussi des maladies mentales (démences, dépression), des allergies et de l"asthme. Toutefois, nous ne disposons que de très peu d"études d"intervention, hormis sur la faiblesse musculaire des sujets âgés qui fait partie des indications de la supplémentation en vitamine D. Vitamine D pour le traitement et laprévention des maladies infectieuses

Vitamine D et tuberculose

A ce jour, quatre études cliniques ont concerné le traitement par vitamine D des patients infectés par Mycobacterium tuber- culosis, mais leurs résultats sont contradictoires. Nous savons qu"une concentration sérique basse en vitamine D augmente le risque de tuberculose active chez un sujet ex- posé, mais des études prospectives sont nécessaires pour le confirmer dans des populations à risque. Reste posée la ques- tion de savoir quelle concentration sérique en vitamine D est optimale pour prévenir une infection à M. tuberculosis. Vitamine D et tuberculose : absence de recommanda- tions Traitement adjuvant :l"adjonction de fortes doses de vita- mine D accélère la stérilisation des patients bacillifères en fonction du polymorphisme de leur récepteur à la vitamine D, mais il n"existe pas de différence significative entre les groupes tous patients confondus. Traitement préventif (entourage et sujets à risque) :au Ca- nada et aux USA, les recommandations de l"Institute of Me- dicineprécisent qu"un apport en vitamine D ne peut être recommandé en l"absence de données doses-réponses pro- venant d"essais contrôlés, randomisés, dans l"asthme, les maladies auto-immunes et les maladies infectieuses.

Vitamine D et VIH

Le déficit en vitamine D existe chez les patients VIH+ au même titre que dans la population générale. Ces patients traités au long cours, sont exposés aux comorbidités liées à l"âge et à la carence en vitamine D, en particulier à l"ostéopénie et l"ostéo- porose, dont l"étiologie est multifactorielle : action propre au virus, majoration de certains facteurs de risque d"ostéoporose (hypogonadisme, précarité, malnutrition, ...), hyperparathyroï- die secondaire par altération de la fonction rénale et diminu- tion de l"hydroxylation rénale de la 25(OH) vitamine D, traitements. L"impact des traitements anti rétroviraux sur le méta- bolisme de la vitamine D Il existe une baisse significative de la concentration sérique de

25(OH) vitamine D chez les patients traités par certains anti-

rétroviraux comme l"éfavirenz ou le ténofovir. Selon les guidelines2009 de la European AIDS Clinical Society, il est recommandé de doser la vitamine D au cours du suivi des patients HIV et de les supplémenter en cas de déficit.

Vitamine D et hépatite C

Chez les patients atteints d"hépatite C chronique, une concen- tration sérique basse en vitamine D est associée à un score de fibrose plus élevé et à un plus faible pourcentage de réponse virologique prolongée sous traitement antiviral. Chez ceux infectés par un VHC de génotype 1, la vitamine D pourrait être utilisée comme marqueur non invasif de la sé- vérité de la fibrose hépatique (Petta S. et al. Hepatology2010).

La supplémentation en vitamine D

(d"après Benhamou CL et al, Presse Med 2011)

Qui traiter ? Les sujets ayant :

une exposition solaire nulle ou quasi-nulle des chutes à répétition une ostéoporose avérée (toujours administrer de la vitamine D, généralement associée au calcium, avant de traiter l"os- téoporose) une maladie favorisant l"ostéoporose ou un (des) médica- ment(s) inducteur(s) une pathologie chronique sévère (ex : une malabsorption) favorisant l"insuffisance ou la carence en vitamine D.

Quand doser la 25 OHD ?

Avant l"instauration du traitement par vitamine D puis, selon le traitement donné : En cas de traitement journalier (en gouttes, plutôt réservé à des personnes âgées) : attendre 4 à 6 mois à une posolo- gie donnée ; doser la 25 OHD. Objectif : ≥30 ng/ml. Si <30 ng/ml, augmenter la dose (doubler) ; En cas de traitement intermittent (ampoules à 100 000 uni- tés) : commencer par une ampoule à 100 000 UI tous les 3 mois chez un sujet dont l"IMC est <25 kg/m 2 ou tous les 2 mois si l"IMC est >25 kg/m 2 . Doser la 25 OHD juste avant la 2 e prise de ce traitement : si <30 ng/ml, rapprocher les prises (tous les 1 ou 2 mois). Chez qui envisager une prévention de la carence en vi- tamine D ? Chez tous les sujets de 65 ans et plus : supplémentation sys- tématique, sans dosage de 25OHD.

Conclusion

Actuellement, la plupart des bénéfices supposés de la vita- mine D reposent sur des études d"observation ou épidémiolo- giques qui ne permettent pas d"établir un lien de causalité. Ces études doivent être complétées par des études d"inter- vention, visant à prouver que les doses de vitamine D admi- nistrées sont cliniquement efficaces. Carole Emile, d"après une communication de JY Nizou, CNBH, Angers oc- tobre 2011 et FMC Biomnis, Lyon novembre 2011.quotesdbs_dbs35.pdfusesText_40
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