[PDF] Programmation Structurée en Langage C





Previous PDF Next PDF



Comment compiler ou interpréter une expression arithmétique

Dans toute la suite "expression" sera synonyme de "expression arithmétique". REMARQUE: la définition que nous venons de donner laisse un certain malaise.



DE LARITHMÉTIQUE A LALGÈBRE ET A LANALYSE

été synonyme de cons truction édification d'un tout à partir d'éléments et analyse synonyme de décomposition



Langage mathématique

L'arithmétique de tous les jours Pincourt



Arithmétique

Dans le cours entier sera synonyme d'entier relatif. Remarque. Si a et b sont des entiers tels que a<b alors a ? b ? 1 (et



Les statistiques

Lorsque l'on souhaite calculer une moyenne arithmétique plus quand il existe une forte diversité la notion de synonyme est incertaine.





Maths vocab in English

raison (d'une suite arithmétique) common difference raison (d'une suite géométrique) common ratio taux d'accroissement rate of change.



Programmation Structurée en Langage C

9.2 Arithmétique d'adresse et tableaux . 10 Structures unions



Microsoft Word Viewer - Partie_1_essaicomplet

Le taux arithmétique serait de 375 % (150 % en 40 ans). routières du 20 avril 1866 par exemple



Résumé du cours darithmétique

Dans ce qui suit entier est synonyme d'entier relatif. 1 Divisibilité dans Z a) Diviseurs et multiples. Définition. Soit a et b deux entiers.



[PDF] Arithmétique

Dans le cours entier sera synonyme d'entier relatif Remarque Si a et b sont des entiers tels que a



[PDF] Résumé du cours darithmétique

Dans ce qui suit entier est synonyme d'entier relatif 1 Divisibilité dans Z a) Diviseurs et multiples Définition Soit a et b deux entiers



Arithmétique tous les synonymes - Synonymo

Un synonyme se dit d'un mot qui a la même signification qu'un autre mot ou une signification presque semblable Les synonymes sont des mots différents qui 



[PDF] 1 Arithmétique : anneaux factoriels Divisibilité

Remarque 4 Un anneau dans lequel être associé n'est pas synonyme de di érer d'un inversible Dans l'anneau A = Z[XYZT]/(X?ZYY?TX) les images x et y 



[PDF] Langage mathématique

L'arithmétique de tous les jours Pincourt Eaux Vives RENOUVO Le millepatte sur un nénufar Édition De Champlain S F inc



[PDF] comment compiler ou interpréter - une expression arithmétique

Dans toute la suite "expression" sera synonyme de "expression arithmétique" REMARQUE: la définition que nous venons de donner laisse un certain malaise



[PDF] Arithmétique et algèbre modernes (1) Notions fondamentales

Algèbre et arithmétique linéaires DÉPOT LÉGAL Le développement de l'Algèbre et de l'Arithmétique a été et de termes nouveaux et synonymes



arithmétique - Définitions synonymes conjugaison exemples

4 jan 2023 · adjectif et nom féminin adjectif Relatif à l'arithmétique (II) fondé sur la science des nombres rationnels



[PDF] Enseignement de larithmétique en Tunisie

Le programme d'arithmétique : Nombres entiers – Congruences – Divisibilité PGCD – PPCM Nombres premiers – Décomposition en produit de facteurs premiers



[PDF] Logique

3 En arithmétique toujours une conjecture très célèbre est la suivante : pour un réel que le mot « axiome » est quelquefois synonyme de « définition »

  • Quel est le but de l'arithmétique ?

    L'arithmétique est une branche des mathématiques qui traite de l'étude des nombres, en particulier des propriétés des opérations traditionnelles sur ces derniers : addition, soustraction, multiplication et division.
  • Qu'est-ce qu'une question arithmétique ?

    Les éléments arithmétiques de base testent vos connaissances et votre capacité à interpréter et à résoudre des problèmes de nature mathématique, en utilisant des opérations telles que l'addition, la soustraction, la division et la multiplication, et dans une variété de formats et de situations de problèmes. Cependant, les problèmes réels varient d'un test à l'autre.
  • Quelle est la définition d'une opération arithmétique ?

    1. Science qui a pour objet l'étude de la formation des nombres, de leurs propriétés et des rapports qui existent entre eux (théorie des opérations; les quatre opérations de l'arithmétique : addition, soustraction, multiplication, division).
  • Les compétences de base en arithmétique comprennent l'addition, la soustraction, la multiplication et la division . Les autres opérations arithmétiques qui sont à la base des simplifications mathématiques sont les fractions, les décimales, les pourcentages, les fractions, la racine carrée, les exposants, etc.

Révision 2.5, 2006.

7

1.2 Présentation du langage C . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

8

1.3 Premier programme en C . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

9

1.4 Langage C et programmation structurée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

10 14

2.2 Constantes associées aux types de base . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

15

2.3 Variables de base : déclaration et initialisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

16

2.4 Types dérivés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

18

2.5 Conversion de types . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

19 21
22
25

4.2 Opérateurs binaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

27

4.3 Opérateur ternaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

30

4.4 Précédence des opérateurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

30
33

5.2 Instructions de répétition ou d'itération . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

37

5.3 Ruptures de séquence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

40
45

6.2 Passage des paramètres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

46

6.3 Utilisation de pointeurs en paramètres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

47
47

6.5 Retour de fonction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

48

6.6 Récursivité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

48

6.7 Paramètres de la fonction principale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

48

6.8 Étapes d'un appel de fonction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

49
51

7.2 Inclusion de chiers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

52

7.3 Variables de précompilation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

52

7.4 Dénition de macro-expressions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

53

7.5 Sélection de code . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

53
55

8.2 Visibilité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

56

8.3 Prototypes des fonctions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

59

8.4 Fonctions externes et fonctions dénies ultérieurement . . . . . . . . . . . . . . . . .

60

8.5 Déclarations et dénitions multiples . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

60
65

9.2 Arithmétique d'adresse et tableaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

66

9.3 Tableaux multi-dimensions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

67

9.4 Pointeurs et tableaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

67

9.5 Tableau de pointeurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

69
71

10.2 Unions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

74

10.3 Énumérations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

76

10.4 Types synonymes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

77
80

11.2 Ouverture d'un chier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

82

11.3 Fermeture d'un chier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

84

11.4 Accès au contenu du chier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

84

11.5 Entrées-sorties formatées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

89

11.6 Déplacement dans le chier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

94

11.7 Gestion des tampons . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

98

11.8 Gestion des erreurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

99
101

12.2 Types de caractères . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

102

12.3 Fonctions mathématiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

102

12.4 Fonctions utilitaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

103

12.5 Fonctions de dates et heures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

105

12.6 Messages d'erreur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

106

B Mots réservés du C 108

C Quelques pointeurs sur Internet 109

109
C.2 Librairies scientiques et graphiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 110
C.3 Sources et sites de programmeurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 110

Liste des tableaux111

Liste des programmes 113

Bibliographie115

7

1.2 Présentation du langage C . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

8

1.3 Premier programme en C . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

9

1.4 Langage C et programmation structurée . . . . . . . . . . . . . . . . . .

10

Ces deux langages partagent avec le C :

Les deux langages prédécesseurs du C avaient la particularité d'être sans type. Ils ne connaissent que

le mot machine, ce qui leur donne un degré de portabilité nul. Le langage C comble ces lacunes en

introduisant des types de données tels que l'entier ou le caractère. Les dates marquantes de l'histoire du C sont les suivantes : Jusqu'en 1987, il n'y avait pas de norme. Le livre The C programming language [RK78] contient

une dénition précise du langage C appelée C reference manual . C'est principalement de ce livre

(et de sa traduction française [KR94]) que s'inpire ce support de cours.

Le langage C a été conçu pour l'écriture de systèmes d'exploitation. Plus de90%?? ????? ?? ???????

Il est cependant susamment général pour permettre de développer des applications variées de type

scientique, ou encore pour l'accès aux bases de données (application de gestion) Le C est un langage impératif classique qui comporte

Il reète bien le savoir faire des années 70, et se situe dans la famille du langage Pascal. Son avantage

vis-à-vis du Pascal est son plus grand pragmatisme. Il autorise clairement deux styles de program-

mation, le style bidouille pour produire du code ecace et le style génie logiciel pour produire

des programmes plus lisibles, plus sûrs et plus facilement modiables.

Bien que pouvant être considéré de bas niveau, le langage C supporte les structures de base néces-

saires à la conception des applications structurées. Cette caractéristique le range dans la catégorie

des langages de haut niveau. Il est aussi un des premiers langages orant des possibilités de program-

mation modulaire. Un programme en C peut être constitué de plusieurs modules. Chaque module

Lorsque nous parlons du langage C, nous faisons référence à ce que sait faire le compilateur lui-même.

Plusieurs outils interviennent dans la transformation d'un ensemble de chiers sources, constituant

un programme, en un chier binaire exécutable, résultat de ce que l'on appelle communément, la

Le langage C se limite aux fonctionnalités qui peuvent être traduites ecacement en instructions

machine. Cette règle de fonctionnement doit permettre de détecter ce qui est fait directement par le

compilateur lui-même et ce qui ne peut pas être fait. Illustrons cette règle par quelques exemples :

à partir du code ASCII

Pour réaliser des fonctions plus compliquées, le programmeur doit écrire ses propres fonctions ou

faire appel aux fonctions pré-dénies de la bibliothèque du langage C (cf. chapitres 11 et 12). Ces

fonctions sont elles-aussi standardisées.

Prog. 1.1 Hello World!

Programme

Affiche

Hello World #include

Affiche

le message

Valeur

de retour de la fonction

5. Ce type de commentaire a été introduit avec le langage C++ et n'est pas purement C-ANSI. Il est cependant

supporté par tous les compilateurs actuels. Précisons que dans ce cas, le commentaire doit se limiter à une unique

ligne.

À sa base, le langage C n'est qu'un ensemble de bibliothèques à partir desquelles le compilateur trouve

les fonctions et les applications qui lui permettent de créer un programme exécutable. Exactement ce

que l'on fait lorsqu'on cherche dans une encyclopédie pour faire un exposé. Certaines bibliothèques

(les plus courantes) sont incluses dans le compilateur, ce qui permet à notre programme de com-

Les librairies standards du C seront présentées au fur et à mesure de leur utilisation dans ce cours.

Néanmoins, nous pouvons déjà en dire quelques mots. À l'instar de l'étudiant qui recherche dans des

livres, on peut dire que le chier .h représente l'index du livre et le chier .cpp correspondant

le contenu du chapitre concerné. Ainsi, lorsque le compilateur rencontre le mot??????? ?? ???????

Le langage C est apparu en 1972, c'est à dire en pleine période de réexion sur les langages structurés.

Il supporte donc un ensemble de fonctionnalités qui sont directement issues de ce courant de pensée.

Le langage C a été conçu et réalisé pour écrire un système d'exploitation et le logiciel de base de ce

système. Il doit être capable de faire les mêmes choses que l'assembleur. Il est assez permissif, ce qui

va à l'encontre de la programmation structurée telle que Wirth [Wir74] l'a décrite. En eet, en C, le

programmeur peut écrire des choses explicites qui sont liées à la structure de la machine. Le langage C est assez peu contraignant. Il ore des structures de programme mais il n'oblige pas

à les utiliser. En particulier, il autorise les entrées multiples et les sorties multiples dans les tâches.

La mise en page est libre, ce qui permet d'écrire des programmes dont la mise en page reète la structure. Les programmes sans mise en page sont rapidement illisibles du fait de la richesse de la syntaxe du C. Comme le montre la gure 1.1, un programme en C est constitué d'un ensemble de chiers sources destinés à être compilés séparément et à subir une édition de liens commune

Le fait de pouvoir compiler chaque chier source de manière autonome amène à concevoir des pro-

grammes de manière modulaires en regroupant, dans chaque chier source, des fonctions qui mani-

7. Les diérentes étapes de la compilation sont plus complexes que cela. Toutes ces opérations sont relativement

transparentes avec le logiciel Visual C++ de Microsoft, puisqu'il sut de cliquer sur un bouton pour réaliser l'ensemble

des étapes aboutissant à l'exécutable! (source, module) compilation fichier1.o (objet) fichier2.cpp (source, module) compilation fichier2.o (objet) edition de liens fichier.exe (executable) fichier3.cpp (source, module) compilation fichier3.o (objet) Figure 1.1 Les étapes de compilation d'un programme.

Maîtriser la programmation en langage C nécessite beaucoup de savoir faire et donc de pratique.

Elle s'apprend essentiellement à partir de ses erreurs, alors n'hésitez pas à mettre les mains dans le

cambouis ... 14 14 14

2.1.3 Le type vide :????? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?

15

2.1.4 Taille des types de base . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

15 15 15

2.2.2 Constantes avec partie décimale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

16

2.2.3 Constantes caractère . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

16 16 17

2.3.2 Qualicatifs des variables . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

17 18 18

2.4.2 Les chaînes de caractères . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

19 19 1. dénir le domaine de valeur de cette variable (taille en mémoire et représentation machine). 2. dénir les opérations possibles sur cette variable. 3. dénir le domaine de validité de cette variable. 4. permettre à l'environnement d'exécution du programme d'associer le nom de la variable à une adresse mémoire. 5. initialiser la variable avec une valeur compatible avec le domaine de valeur.

En langage C, une variable se caractérise à partir de son type et de sa classe mémoire. Les points

1 et 2 sont associés au type de la variable, les points 3 et 4 sont associés à la classe mémoire de la

variable. 2 [¡2147483648;2147483647]? Tableau 2.1 Longueur des types de base sur un processeur Intel i686.

Taille (octets)

Les constantes peuvent être suxées par un l ou un L pour préciser que leur type associé

Voici quelques exemples de constantes de type entier : Voici quelques constantes avec partie décimale : ?nn?? ?n?? ?n??? ?n??? Un certain nombre d'abréviations est également disponible : ?n??? ?n??? ?n??? ?n??? ?n??? ?n??? Une dénition de variable a les rôles suivants :

5. Le nombre 100 correspond au code ASCII décimale du caractère????

Une dénition de variable est l'association d'un identicateur à un type et la spécication d'une

classe mémoire.

Les deux qualicatifs peuvent être utilisés sur la même variable, spéciant que la variable n'est pas

modiée par la partie correspondante du programme mais par l'extérieur.

Nous allons examiner en détails les deux premiers types dérivées. Les tableaux et les structures seront

examinés dans les chapitres 9 et 10.quotesdbs_dbs35.pdfusesText_40
[PDF] role vitamine a

[PDF] role vitamine d bebe

[PDF] role de la vitamine k

[PDF] role vitamine e

[PDF] role vitamine b12

[PDF] role vitamine c

[PDF] vitamine d source

[PDF] recherche avancée google

[PDF] google livres

[PDF] conseil de classe terminale 3eme trimestre

[PDF] google + opérateur + recherche + pdf

[PDF] recherche pdf gratuit

[PDF] 3eme trimestre terminale inutile

[PDF] forme canonique alpha beta

[PDF] texte d'anglais