[PDF] Untitled 8 mag 2009 Charenton magazine •





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RAA JUIN-JUILLET 2009

14 lug 2009 ARRÊTÉ n° 09- 55 en date du 4 juin 2009 portant ... samedi 18 et dimanche 19 juillet 2009 – Communes de ... jours suivant la réunion.



RERS 2009

19 Évolution des taux d'inscription dans l'enseignement supérieur 21 Parcours après le baccalauréat des élèves entrés en sixième en 1995.



Untitled

8 mag 2009 Charenton magazine • juin 2009 • page 3. SOMMAIRE ... Une réunion publique ... Lors de sa visite à Charenton le 19 mars dernier.



PUIG CV

1986 : Baccalauréat série D (mention B) et 13 novembre 2009 Université de La Réunion

Untitled S O

MMAIRE

C h a rentonmagazineN°142-juin2009 4

8,ruedeParis-94220Charenton-le-Pont

D D C M i S eniors: i n s c rivez-vousaudispositif P r v e ntioncanicule" L athlétisme e tleVietvoDao

àl"honneurElectionseuropéennes:

m o d ed"emploiExclusif: M adameSimoneVeil r pondauxquestions d uCharentonMagazineUneréunionpublique p o u rdécouvrirlefuturlycée 55
1166
66

22002266

2244

DOSSIER

M a d a me, Monsieur,

Chers Charentonnais,

J"étais fier de Charenton. Je le suis plus encore a ujourd"hui. L e coeur de la ville revit et s"embellit. Quel bonheur d"avoir retrouvé avec les Anciens combattants, l e 8 mai dernier, notre soldat, symbole à la fois de sacrifice et de liberté, au centre d"une place e ntièrement rénovée. C est aujourd"hui un espace plus vaste, donnant la part belle aux arbres, aux plantes et aux fleurs. Je s ouhaite que la place de l"église soit un lieu de r e ncontre et de rassemblement. A i nsi modernisée, elle est le prélude d"un projet visant à donner un nouveau visage au c entre-ville ancien afin de le rendre plus agréable, plus convivial et davantage ouvert aux piétons qu"il ne l"est aujourd"hui. D ans quelques semaines, nous inaugurerons également le lycée polyvalent Robert Schuman. L a réunion qui s"est tenue le 11 mai dernier, en présence de l"Inspecteur d"Académie, a p ermis de lever les dernières incertitudes et de mettre un terme à beaucoup de désinformation sur le sujet. Comme nous l"avions toujours indiqué, le lycée sera bien un établissement à dominante d"enseignement général et technologique. Ces sections concer-

neront à terme les des effectifs du lycée. Cela méritait d"être précisé une fois encore!

S itué à 300m du métro, de la Mairie et du Pont de Charenton, le bâtiment est de grande q u alité. Par sa conception, il atténue les nuisances des alentours. Tout est réuni pour que nos jeunes Charentonnais poursuivent leurs études dans leur ville dans les meilleures conditions de confort. Nous attendons donc la rentrée avec impatience, mais après des vacances bien méritées.

Le Maire,Jean-Marie Brétillon

C onseiller général du Val-de-Marne

DITORIAL

1100
I nauguration d e la place d e l"Eglise e n images... U nbudget à la hauteur d e s ambitions communautaires2222 L e

T2R ferme ses portes

p o u r un an de rénovation j u i n 2

009N° 142

Commémoration

d u génocide arménien R e cueillement d evant le Khachtar

Le 23 mai dernier, le Maire, Jean-Marie

B rétillon, accompagné d"un représentant d e l"ambassade d"Arménie en France e t d e membres de l"Eglise orthodoxe a r ménienne, s"est associé au recueille- m ent de la communauté arménienne c h arentonnaise et mauritienne pour r e ndre hommage aux victimes d u génocide arménien survenu en 1915. S e d roulant au pied du Khachtar

(monument arménien) square La Cerisaie, cette cérémonie a été l"occasion de réitérer l"appel de tous les Arméniens pour une

r e

connaissance du génocide par le gouvernement turc. De son côté, le Maire a tenu à rappeler combien les leçons de l"Histoire,

t r o p souvent oubliées, devaient être le gage de la paix pour aujourd"hui et pour demain. ? R sidence p our personnes âgées

Il est revenu le temps

du muguet... L e

30 avril dernier, les locataires de la

R sidence Jeanne d"Albret et leurs amis, venus déjeuner à leurs côtés, ont eu la surprise de recevoir des mains de Marie- L o uise Freysz, Conseillère municipale en charge de la résidence pour personnes gées, quelques brins de muguet au n om de la Ville de Charenton et du Maire,

Jean-Marie Brétillon. Une initiative appré-

ciée de tous. ? Charenton magazine• juin 2009 • page 5Charenton magazine• juin 2009 • page 4 C h a r enton Magazine: Lors de votre v e n u e

à Charenton, vous n"avez pas man-

q u

é de rappeler ces liens particuliers et

si étroits qui vous unissent à l"ensemble d es anciens déportés et en même temps l e s difficultés que vous avez eues à par- l e r de l"horreur des camps nazis durant d e longues années. C omment l"expliquez-vous ? S i mone VEIL : Si j"ai évoqué les difficultés a u xquelles nous nous sommes heurtés à n otre retour de déportation, c"est d"une part parce que la plupart d"entre nous, nos parents et nos amis les plus proches, avaient disparuet que, parmi la population, beaucoup ne tenaient pas à ce que l"on parle des années d"occupation et de ce qui s"était passé. A u surplus, on peut comprendre que ce que nous racontions était si effroyable qu"il était difficile d"y croire, y compris dans ce qui restait de la communauté juive.

C.M.: Votre nom restera attaché à la loi

sur l"interruption volontaire de grossesse.

Cette lutte acharnée vous vaut, pour de

nombreuses Françaises, d"incarner la lutte pour la condition féminine en France. Estimez-vous, en ce début de XXI e s iècle, q ue les attentes légitimes des femmes ont été entendues ? S . V. : La loi sur l"interruption volontaire de grossesse votée en 1974 et mise en applica- tion en 1975 a été un grand progrès pour la p lupart des femmes, du moins celles qui t a i ent en âge de procréer et qui n"avaient pas la possibilité de se rendre dans un pays v o isin où l"avortement était autorisé (Grande-

Bretagne, Hollande, Suisse, etc.).

B e aucoup de femmes, compte tenu de leur situation, n"avaient pas le choix : ne pouvant assumer une grossesse, elles avaient recours à ces "faiseuses d"ange" comme on disait à l

époque, mais qui n"avaient aucune formation

médicale. Ainsi, y avait-il chaque année plusieurs centaines de femmes qui mouraient des suites d "un avortement clandestin. Lorsqu"elles arrivaient à l"hôpital, il était bien souvent trop t a rd pour intervenir. Elles mouraient ou p e r daient toute chance d"avoir un enfant.

C.M.: Votre vie professionnelle et poli-

t i que aura été très riche : Ministre d"Etat, P r

ésidente du Parlement européen,

Présidente du Conseil Constitutionnel.

R

écemment, l"Académie française vous

a ouvert ses portes et le Président de la R

épublique vous a nommée Grand

Commandeur de la Légion d"honneur.

Que ressentez-vous et de quoi êtes-vous

f i n alement la plus fière ?

S. V. : Je garde un excellent souvenir des

deux ans et demi passés à la présidence du Parlement européen, élu pour la première foisquotesdbs_dbs33.pdfusesText_39
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