Les outre-mer face au défi du changement climatique
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N° 578
SÉNAT
SESSION ORDINAIRE DE
2021-2022 Rapport remis à M. le Président du Sénat le
16 mars 2022
Enregistré à la Présidence du Sénat le 16 mars 2022RAPPORT
FAIT au nom de la c ommission d enquête (1) sur l'influence croissante des cabinets de conseil privés sur les politiques publiques sur " U n phénomène tentaculaire : l influence croissante des cabinets de conseil sur les politiques publiques »,Président
M. Arnaud BAZIN,
Rapporteure
Mme Éliane ASSASSI,
Sénateur et
Sénatrice
Tome I :
Rapport
(1)Cette commission est composée de : M. Arnaud Bazin, président ; Mme Éliane Assassi, rapporteure ; M. Jérôme
Bascher, Mme Valérie Boyer, M. Jean-Pierre Corbisez, Mmes Nicole Duranton, Nathalie Goulet, MM. Jean-Marie Janssens, Patrice
Joly, Franck Montaugé, Mme Sophie Taillé-Polian, M. Dany Wattebled, vice-présidents ; MM. Laurent Burgoa, Gilbert Favreau,
Mme Christine Lavarde, MM. Sébastien Meurant, Jean-Marie Mizzon, Stéphane Sautarel, Mickaël Vallet.
- 3 -SOMMAIRE
Pages L"ESSENTIEL ........................................................................ .................................................. 7 PROPOS LIMINAIRE ........................................................................ ...................................19 LES 19 PROPOSITIONS DE LA COMMISSION D"ENQUÊTE.......................................23 MÉTHODE DE TRAVAIL DE LA COMMISSION D"ENQUÊTE ....................................27 PREMIÈRE PARTIE : L"INQUIÉTANTE BANALISATION DU RECOURS AUXCABINETS DE CONSEIL
I. UN RECOURS CROISSANT AUX CABINETS DE CONSEIL DANS LE SECTEUR PUBLIC ........................................................................ ...................................29 A. UN MANQUE DE TRANSPARENCE QUI ENTRETIENT UN CLIMAT DE DÉFIANCE ........................................................................1. Des données lacunaires et non centralisées ........................................................................
292. Un constat d'opacité, qui alimente un climat de défiance ...................................................34
B. LES DÉPENSES DE CONSEIL DE L"ÉTAT DÉPASSENT LE MILLIARD D"EUROS EN 2021 ET ONT PLUS QUE DOUBLÉ PENDANT LE QUINQUENNAT ...................391. Le conseil au secteur public est historiquement un marché limité en France .......................40
2. Les dépenses de conseil de l'État ont plus que doublé depuis 2018 .....................................42
3. Aux dépenses de conse
il des ministères doivent s 'ajouter celles des opérateurs, qui sontégalement importantes et croissantes ........................................................................
........504. Des dépenses de conseil également significatives dans le secteur parapublic .......................52
C. UN MARCHÉ CONCENT
RÉ AUTOUR DE QUELQUES GRANDS CABINETS ..........531. Une vingtaine de cabinets concentrent plus de la moitié des prestations de conseil aux
ministères ........................................................................2. Le recours à la sous
-traitance : les cabinets de conseil comme " hubs de compétences » ......553. Le secteur public, un marché qui reste minoritaire dans l'activité des cabinets de conseil ...59
D. DES FACILITÉS CONTRACTUELLES POUR FAIRE APPEL AUXCONSULTANTS : L"EFFET " PRESSE-BOUTON » ........................................................61
1. Une multiplication des accords-cadres, facilitant les commandes .......................................61
2. Le marché de la DITP et son " tourniquet » parfois grippé ................................................64
3. Les accords
-cadres de l'UGAP et ses prestataires " pré-désignés » .....................................68
E. UNE PRISE DE CONSCIENCE (TROP) TARDIVE DE LA PART DU GOUVERNEMENT ........................................................................ ...................................701. L'exception : l'élaboration dès 2015 d'une doctrine de recours aux cabinets de conseil par
le ministère des Armées ............................722. Des pratiques très variables dans les autres ministères
3. La circulaire du 19 janvier 2022 : des orientations à la fois tardives et incomplètes ............75
- 4 - II. UN PHÉNOMÈNE TENTACULAIRE : L"INTERVENTION DES CABINETS DECONSEIL SUR DES PANS
ENTIERS DES POLITIQUES PUBLIQUES ...................79 A. LA DOCTRINE AFFICHÉE PAR L"ÉTAT ET LES CABINETS DE CONSEIL : UNAPPUI PONCTUEL À L"ADMINISTRATION ................................................................79
1. La recherche d'une compétence spécifique ..........................................................................80
2. La recherche d'un regard extérieur et d'une méthodologie ..................................................82
3. La recherche de ressources humaines qualifiées pour faire face à un pic d'activité ...............86
B. LE CONSTAT DOCUMENTÉ PAR LA COMMISSION D"ENQUÊTE : UN RISQUE DE DÉPENDANCE DE L"ADMINISTRATION VIS-À-VIS DES CABINETS DECONSEIL ...........................................................................................................................87
1. Le secteur informatique, un important pourvoyeur de prestations de conseil ......................89
2. L'appui à la " transformation » de l'administration ......................................................... 100
3. La nouvelle spécialité des cabinets de conseil : organiser des consultations citoyennes ..... 119
4. Le recours aux consultants comme arbitres de l'administration ....................................... 126
C. LA RÉINTERNALISATION DES COMPÉTENCES : UNE ARDENTE NÉCESSITÉ...QUI PRENDRA DU TEMPS ........................................................................................... 131
1. La capitalisation des livrables et le transfert de compétences
: des exigences difficiles àmettre en oeuvre .............................................................................................................. 131
2. La réinternalisation des compétences
: un chantier de longue haleine ............................... 133 DEUXIÈME PARTIE : LE RÔLE DES CABINETS DE CONSEIL DANS LA DÉFINITION ET LA CONDUITE DES POLITIQUES PUBLIQUES I. DES RÉSULTATS HÉTÉROGÈNES, POUR DES COÛTS SIGNIFICATIFS ............ 137 A. DES DIFFICULTÉS POUR L"ADMINISTRATION À PILOTER ET À ÉVALUER SESCONSULTANTS ............................................................................................................. 137
1. Le difficile pilotage des cabinets de conseil ....................................................................... 137
2. Un effort insuffisant pour évaluer les prestations de conseil ............................................ 140
B. DES LIVRABLES DE
QUALITÉ INÉGALE, QUI NE CONNAISSENT PAS
TOUJOURS DE SUITE .................................................................................................... 143
1. Des prestations inégales .................................................................................................. 145
2. Des prestations de conseil qui n'ont parfois pas de suite tangible : l'exemple de la CNAV
et du projet de réforme des retraites ................................................................................ 149 C. UNE JOURNÉE DE CONSULTANT COÛTE ENVIRON 1 500 EUROS À L"ÉTAT .... 150 II. L"INFLUENCE DES CABINETS DE CONSEIL SUR LA DÉCISION PUBLIQUE .. 155 A. LA DOCTRINE AFFICHÉE PAR LES ACTEURS : AUCUNE INFLUENCE DESCABINETS DE CONSEIL SUR LA DÉCISION ............................................................. 156
B. LE CONSTAT DOCUMENTÉ PAR LA COMMISSION D"ENQUÊTE : UNE INFLUENCE AVÉRÉE DES CABINETS DE CONSEIL SUR LA PRISE DEDÉCISION ....................................................................................................................... 159
1. La stratégie d'influence des cabinets de conseil, véhiculant une certaine vision de l'action
publique ......................................................................................................................... 159
2. L'intervention des consultants sur des réformes majeures ............................................... 164
3. Proposer des scénarios " arbitrables »... mais le plus souvent orientés par les
consultants ..................................................................................................................... 170
- 5 - TROISIÈME PARTIE : UN ENCADREMENT DÉONTOLOGIQUE À RENFORCER : CONFLITS D"INTÉRÊTS, PRO BONO ET " PANTOUFLAGE » I. DES RÈGLES DÉONTOLOGIQUES NOMBREUSES, DU CÔTÉ DE L"ADMINISTRATION COMME DES CABINETS DE CONSEIL ............................ 178 A. LES RÈGLES PRÉVUES PAR L"ADMINISTRATION ET LES MARCHÉS PUBLICS .. 178 B. LES ENGAGEMENTS DÉONTOLOGIQUES DES CABINETS DE CONSEIL ............. 181 II. DES RISQUES DÉONTOLOGIQUES AVÉRÉS, QUI IMPLIQUENT DE RENFORCER LES RÈGLES ET DE MIEUX LES CONTRÔLER ............................... 182 A. LE RISQUE DE CONFLITS D"INTÉRÊTS : AUCUNE VISIBILITÉ SUR L"ACTIVITÉ DES CABINETS DE CONSEIL POUR LE COMPTE DE LEURS AUTRES CLIENTS . 183 B. LE RISQUE DU " PIED DANS LA PORTE » : LE DÉMARCHAGE ET LE PRO BONO.............................................................................................................................. 188
1. Le démarchage commercial des cabinets de conseil ........................................................... 188
2. Les dérives du pro bono : " quand c'est gratuit, c'est vous le produit » ............................ 192
C. LE RISQUE DE POROSITÉ : LE " PANTOUFLAGE » DES RESPONSABLES PUBLICS DANS LES CABINETS DE CONSEIL ........................................................... 2081. Moins de 1 % des effectifs des cabinets de conseil ............................................................ 208
2. Des enjeux déontologiques qui demeurent et appellent de nouvelles précautions .............. 213
D. MCKINSEY N"A PAS PAYÉ D"IMPÔT SUR LES SOCIÉTÉS EN FRANCEDEPUIS AU MOINS 10 ANS .......................................................................................... 219
III. LE PARADOXE DE
LA DONNÉE : L"ACCÈS ET L"EXPLOITATION PAR LESCABINETS DE CONSEIL
DE DONNÉES SENSIBLES OU STRATÉGIQUES ....... 222PUBLICATION DE LISTE
S DE PRESTATIONS DE
CONSEIL .................................... 227
GLOSSAIRE DES CABINETS DE CONSEIL .................................................................. 228
ÉTUDES DE CAS ................................................................................................................ 231
COVID-19 : DES CABINETS DE CONSEIL AU CUR DE LA GESTION DE LACRISE SANITAIRE ............................................................................................................. 231
LA MISSION DE MCKINS
EY SUR L"ÉVOLUTION DU MÉTIER
D"ENSEIGNANT : UNE DÉPENSE ÉVITABLE POUR UN TRAVAIL DONT LAVALEUR AJOUTÉE RESTE À DÉMONTRER ................................................................. 299
LE GUIDE DU TÉLÉTRAVAIL DANS LA FONCTION PUBLIQUE ............................ 315 LES CABINETS DE CONSEIL ET LA DITP AU CHEVET DE L"OFPRA ..................... 323RÉORGANISATION DES D
IRECTIONS D"ADMINISTRATION CENTRALE
(DAC) : MCKINSEY ET ACCENTURE AU CENTRE DE LA MACHINEADMINISTRATIVE ........................................................................................................... 331
- 6 -LES CABINETS DE CONS
EIL EN APPUI DE L"ÉTAT SUR DES DOSSIERS
INDUSTRIELS SENSIBLES ............................................................................................... 339
EXAMEN EN COMMISSION ............................................................................................ 347
LISTE DES PERSONNES
ENTENDUES PAR LA COMMISSION ............................... 367LISTE DES PERSONNES
ENTENDUES PAR LA RAPPORTEURE ............................. 371 CONTRIBUTION DU GROUPE COMMUNISTE RÉPUBLICAIN CITOYEN ETÉCOLOGISTE (CRCE) ........................................................................................................ 375
CONTRIBUTIONS ÉCRITES ............................................................................................ 381
- 7 -L"ESSENTIEL
La crise sanitaire a mis en lumière l"intervention des consultants dans la conduite des politiques publiques. Ce n"était en réalité que la face émergée de l"iceberg : au quotidien, des cabinets privés conseillent l"État sur sa stratégie, son organisation et ses infrastructures informatiques. Peu connus du grand public, ils s"appellent Accenture, Bain, Boston Consulting Group (BCG), Capgemini, Eurogroup, EY, McKinsey, PwC, Roland Berger ou encore Wavestone et emploient environ 40 000 consultants en France. À l"initiative du groupe Communiste, républicain, citoyen et écologiste (CRCE), le Sénat a investigué pendant 4 mois sur l"influence des cabinets de conseil sur les politiques publiques, en utilisant les moyens de contrôle renforcés des commissions d"enquête parlementaires.Auditions Personnes
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