NOUVEAUTÉS DE SOLIDWORKS® 2021— CAO 3D
la longueur de courbes et non la longueur cordale. Simplification et amélioration des assemblages. • Modèles simplifiés enregistrés en tant.
Nombre chromatique et sous-graphes induits (Partie 1)
8 juin 2020 Aucun cycle ? Forêt. Aucun cycle (induit) de longueur 4+ ? Graphe cordal. Marthe Bonamy. Nombre chromatique et sous-graphes induits.
Sur la coloration de certains graphes sans trou pair
16 nov. 2020 Un trou est un cycle de longueur ? 4. C4. C5. C6. C7. Définition. Un graphe est dit cordal s'il est sans trou. graphe non-cordal.
Longueur Arborescente des Graphes S´erie-Parall`eles†
La longueur d'une décomposition arborescente d'un graphe G est la plus grande 1 si et seulement si G est un graphe cordal (sans cycles induits de.
Géométrie hyperbolique
10 mars 2010 la longueur d'une courbe dans tout plan hyperbolique. En effet si A est un plan hyperbolique il existe une isométrie ? de A vers H2 unique ...
Théorie des graphes
17 mars 2012 Un graphe est cordal (ou triangulé) si tout cycle de longueur ? 4 possède une corde. G1 est cordal mais pas G2. Les graphes complets (Kn) ...
Graphes triangulés
6 avr. 2016 ... par les sommets d'un cycle de longueur 4 ou 5 contient un sommet adjacent `a tous les autres sommets du cycle. On dit aussi cordal.
Nombre chromatique et sous-graphes induits (Partie 2)
15 juin 2020 Un graphe est dit cordal si il ne contient pas de trou.a. aUn trou dans un graphe G est un cycle induit de G de longueur ? 4.
3 semaine du DE
occuper environ la moitié de la longueur de l'embryon. La ligne primitive résulte de la prolifération et (canal cordal – plaque cordale-corde dorsale) ...
STRUCTURE CORDALE de la micro-structure à la micro-fonction
structure cordale. • Epithélium (E). • Membrane basale structure cordale (2). Gray et al 2000 ... les plus étirables (jusqu'à 2 fois leur longueur).
Francois Labourie
10 mars 2010
Table des matieres
1 Droites projectives reelle et complexe
41.1 La droite projective reelle
41.1.1 Classication des homographies reelles
41.2 Droite projective complexe et cercles projectifs
51.2.1 Cercles orthogonaux
61.2.2 Angle
62 Le plan hyperbolique
82.1 Presentation axiomatique
82.1.1 Involutions preservant le birapport
82.1.2 Isometries
102.1.3 Geodesiques orthogonales
112.1.4 Symetries axiales
112.1.5 Distance hyperbolique et parametrisation
122.1.6 Angle entre deux geodesiques
132.2 Construction du plan hyperbolique : dierent modeles
132.2.1 Le modele des involutions
132.2.2 Le modele projectif complexe du plan hyperbolique
142.2.3 Le modele du demi-plan de Poincare
162.2.4 Le modele du disque de Poincare
182.2.5 Le modele projectif de Klein
193 Le plan hyperbolique comme espace metrique
213.1 Reconstruction de la geometrie a partir de la metrique
213.1.1 Geodesiques
213.1.2 Le bord a l'inni
213.1.3 Birapport
223.1.4 Triangles
233.2 Extension des isometries
233.3 Au voisinage d'un point
243.3.1 Les boules ouvertes
243.3.2 Angle
253.4 Comment caracteriser l'espace hyperbolique
254 Les gures du plan hyperbolique
264.1 Demi-plan, quadrant, polygone convexes, triangles
264.1.1 Ensemble convexe
264.1.2 Polygones convexes
264.1.3 Triangles
274.2 Hexagones droits
284.3 Aire
294.4 La formule de Gau-Bonnet
301
TABLE DES MATI
ERES24.4.1 La formule de Gau-Bonnet pour les triangles ideaux
304.4.2 La formule de Gau-Bonnet pour les triangles avec deux points a l'inni
314.4.3 La formule de Gau-Bonnet pour les triangles
325 Surfaces hyperboliques
335.1 Premieres denitions
335.1.1 Cartes et coordonnees
345.1.2 Bord et coins
345.2 Longueur des courbes et distance riemannienne
345.2.1 Courbes et longueurs
345.2.2 La distance riemannienne
365.3 Geodesiques
375.3.1 Extension des geodesiques
385.3.2 Geodesiques globalement minimisantes
396 Construction par recollement
416.1 Recollement et espace quotient
416.2 Une distance sur le quotient
426.2.1 Courbes et longueurs
426.2.2 Distance riemannienne
446.2.3 Recollement de surface
446.3 Hexagones droits et pantalons
457 Constructions par quotient
467.1 Groupes agissant proprement discontinuement sans point xe
467.1.1 La surface hyperbolique quotient
467.2 Sous-groupes discrets de PSL(2;R). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 48
7.2.1 Sous-groupe discrets et sans torsion
487.3 Quotient et pavages
517.3.1 Domaine fondamental
517.4 Des exemples de groupes discrets
527.4.1 Groupes elementaires
527.4.2 Groupes engendres par des re
exions 527.4.3 Groupes de triangles
538 Les applications a valeurs dans dans le cercle
548.1 Motivation
548.2 Le theoreme de relevement
548.3 Degre
559 Groupe fondamental
569.1 Chemins et lacets
569.1.1 Denitions
569.1.2 Composition et inverse
569.2 Homotopie
579.2.1 Exemples d'homotopie
579.3 Simple connexite
579.3.1 Premiers exemples
579.4 Proprietes de l'homotopie et groupe fondamental
589.4.1 Proprietes fondamentales
589.4.2 Le groupe fondamental
589.4.3 Exemples
589.5 Changement de points base et applications
599.5.1 Chemins et changements de points base
599.5.2 Applications entre espaces
59TABLE DES MATI
ERES39.6 Surfaces hyperboliques simplement connexes
599.6.1 Isometries et chemins de boules
599.6.2 Chemin de boules homotopes
609.6.3 Surfaces hyperboliques simplement connexes
6210 Rev^etements63
10.1 Introduction
6310.1.1 Denition
6310.1.2 Exemples
6310.2 Relevement des homotopies
6510.2.1 Relevements
6510.2.2 Sections
6510.2.3 Relevement des chemins
6510.2.4 Relevement des homotopies
6610.3 Critere de relevabilite
6710.3.1 Automorphismes d'un rev^etement
6810.4 Construction d'un rev^etement simplement connexe
6910.4.1 Construction d'un rev^etement simplement connexe
6910.4.2 Propriete universelle
7010.4.3 Unicite du rev^etement simplement connexe
7111 Rev^etement des surfaces hyperboliques
7211.1 Le theoreme d'uniformisation
7211.2 Rev^etements
7211.2.1 Completude
7311.3 Toute isometrie locale est un rev^etement
7411.3.1 Preliminaires : isometries locales et rev^etement
7411.3.2 Preuve du theoreme
7411.4 Uniformisation des surfaces hyperboliques
7412 Decomposition en pantalons
7612.1 Geodesique fermees
7612.2 Courbes plongees
7612.3 Une caracterisation des surfaces hyperboliques simplement connexes
7612.3.1 Surfaces a coins carres
7612.4 Une caracterisation geometrique des pantalons
7612.5 Classication des surfaces
7713 Geometrie dierentielle des surfaces
7813.1 Cartes et atlas
7813.1.1 Exemples
7813.2 Fonctions et applications dierentiables
7913.2.1 Fonctions
7913.2.2 La dierentielle d'une fonction
7913.2.3 Applications dierentiables
8013.3 Formes dierentielles
8013.3.1 Formes dierentielles sur les varietes
8013.3.2 Integration des formes dierentielles sur les courbes
8213.3.3 Premier groupe d'homologie
8313.3.4 Lemme d'homotopie
8313.3.5 Formes fermees et groupe fondamental
8313.3.6 Le theoreme d'Hurewicz
83Chapitre 1
Droites projectives reelle et
complexe1.1 La droite projective reelle
La structure d'ordre surRdonne naissance a une structure particuliere sur la droite projective reelle. Rappelons que deux reperes d'un plan vectoriel denissent lam^eme orientationsi la matrice de changement de repere a un determinant positif, denir la m^eme orientation est une relation d'equivalence. Uneorientationsur un plan vectoriel reel est la donnee d'une classe d'equivalence pour la relation precedente. Dans un plan oriente, un reperepositivement orienteest un repere qui appartient a la classe d'equivalence denit par l'orientation. Un plan vectoriel possede deux orientations. L'orientation d'un plan vectoriel donne naissance a unordre cycliquesur la droite projective associee. Nous dirons que trois points (a;b;c) sontpositivement ordonnessi la base correspondante est positivement orientee. Une homographiepreserve l'orientationsi elle envoie trois points positivement ordonnes sur trois points positivement ordonnes. De maniere equivalente, le determinant de l'application lineaire sous-jacente est positif.1.1.1 Classication des homographies reelles
Une homographie dierente de l'identite xe au plus deux points. Denition 1.1.1SoitAune homographie de la droite projective reelle 1.Si Ane xe aucun point, alorsAest diteelliptique.
2. Si Axe exactement un point de la droite projective reelle, alorsAest diteparabolique. 3. Si Axe exactement deux points et preserve l'orientation alorsAest ditehyperbolique. Nous pouvons aner la description de ces diverses isometries. Cette classication s'exprime en fonction du determinant et de la trace. Si une homographieAest representee par une matriceB de determinant positif, nous poserons tr(A) =jtr(B=pdet(B))j. Theoreme 1.1.2[Classification des homographies reelles]Nous avons la classication suivante des homographies preservant l'orientation. 1.Si det(A)>0ettr(A)<2alorsAest elliptique.
2.Si det(A)>0ettr(A) = 2, alorsAest parabolique.
3.Si det(A)>0ettr(A)>2, alorsAest hyperbolique.
4CHAPITRE 1. DROITES PROJECTIVES R
EELLE ET COMPLEXE5
Remarquons que suivant les cas l'homographieAest conjuguee successivement a une homogra- phie de representation matricielle cos() sin() sin() cos() ;a0 0 1=a ;1a 0 11.2 Droite projective complexe et cercles projectifs
SoitVun plan complexe. C'est aussi un espace vectoriel reel de dimension 4, muni d'une application lineaireJde carre1. SoitPun plan vectoriel dansV. Nous avons alors deux casP=JPet dans ce casPest unedroite complexe
P+JP=Vet on dit quePest unplan totalement reel.
Un plan vectoriel totalement reelPdenit un sous-ensembleCPde la droite projective complexeP(V) que nous appelleronscercle projectif:
CP=fD2P(V)jdimR(P\D) = 1g:
On remarque que ce cercleCPest en bijection avec la droite reelleP(P). La bijection etant donnee parD7!D\P.Remarques:
Nous allons identier ces cercles projectifs avec des cercles usuels dans une carte ane. Nous commencons par une premiere caracterisation. Proposition 1.2.1Soitaune droite complexe etOala carte ane correspondante. SiPest un plan totalement reel rencontranta, alorsCP\Oaest une droite reelle ane. Reciproquement toute reelle droite ane deOaest de cette forme. D emonstration: En eet tout plan totalement reelPdeVpassant paraest de la forme P=Re1Re2avece1appartenant aa. On considere ensuite les coordonnees homogenes associee et on remarque qu'une droite complexe de coordonnees homogenes [a:b] rencontrePsi et seulement sia=best reel ou inni. Proposition 1.2.2Par trois points distincts(a;b;c)passe exactement un cercle projectif. Ce cercle projectifCest l'ensembleC=fzj =[a;b;c;z] = 0g:
Un cercle projectif dans une carte ane quelconque est un cercle ou une droite. D emonstration: On envoieaa l'inni. La premiere partie du resultat se deduit du fait qu'un cercle projectif passant paradevient une droite ane et qu'il existe une seule droit ane passant par trois points. Si on envoie (a;b;c) sur (1;0;1), la droite ane correspondante est l'axe reel ce qui entra^ne la deuxieme partie du resultat. Un calcul classique nous dit que dansCl'equation0 ==(ac)(bz)(az)(bc)
==[a;b;c;z]; denit un cercle ou une droite reelle.CHAPITRE 1. DROITES PROJECTIVES R
EELLE ET COMPLEXE6
1.2.1 Cercles orthogonaux
On dira que deux cerclesC1etC2se coupant en deux points distinctsaetbsontorthogonaux si pour toutxdeC1etydeC2,<([a;b;x;y]) = 0. Proposition 1.2.3Nous avons les proprietes suivantes 1. Deux c erclessont ortho gonauxs'il exi steune c arteane dans lesquels ils don nentnaissanc e a des droites orthogonales. 2. Deux c erclesC1etC2s'intersectant enaetbsont orthogonaux s'il existe des pointsxdeC1 etydeC2distincts deaetbtels que<([a;b;x;y]) = 0. En particulier C2=fy2P(V)j <([a;b;x;y]) = 0g:
3. Si C1etC2sont deux cercles. SiC1est une droite dans une carte ane tel que1 62C2, alors C2est orthogonal aC1si et seulement si dans cette carte sont centre est surC1.
4. Deux c erclesC1etC2d'intersection non vide et coupant orthogonalement un troisieme cercle Cena1;b1eta2;b2respectivement sont orthogonaux si[a1;b1;a2;b2] =1. D emonstration: Pour la premiere propriete siC1\ C2=fa;bg, on choisit une carte ane envoyant lesba l'inni etasur 0. Les deux cercles deviennent des droites reelles deCpassant par l'origine et le resultat suit. Pour la deuxieme propriete on utilise des coordonnees anes pour lesquellesC1est l'axe reel. On noteaetbles intersections deC2avec l'axe reel. On suppose quea=bet soiticeti:dles intersections deC2avec l'axe imaginaire. CommeC2est orthogonal a l'axe reel, on a en posant0 =<[a;a;i:c;1] =<(ai:c)(ai:c)
=c2a2a 2+c2: Nous obtenons donc quec=aet donc que le centre deC2est 0. Pour la derniere propriete on suppose queC1etC2se coupent en 0 dans une carte ane. AlorsC est centre en 0 d'apres la propriete precedente. On suppose de plus queC1est l'axe reel qui coupe CenRetR. De m^eme,C2coupeCenRuavecjuj= 1. Ces cercles se coupent orthogonalement siu=i. [u:R;uR;R;R] =(u1)2(u+ 1)2: Or (u1)2(u+ 1)2=1 si et seulement siu2= 1, c'est-a-direu=i.1.2.2 Angle
On rappelle egalement que deux vecteurs d'une droite ane complexe ont un angle, de m^eme que deux droites reelles. Une orientation du planPdonne naissance a une orientation du cercle C Ppuisque ce dernier est identie a la droite projective deP. On parle alors decercle oriente. Proposition 1.2.4SoitC1etC2deux cercles orientes se coupant en deux points distinctsaetb. Soitxetydes points deC1etC2distincts deaetb, tels que(a;x;b)est positivement ordonne, de m^eme que(a;y;b). L'argument du birapport[a;b;y;x]est independant du choix dexety. Cet argument s'appellel'angledes deux cercles. Cet angle est egalement l'angle d'intersection des deux cercles dans une carte ane quelconque. L'angle est preserve par les transformations projectives.CHAPITRE 1. DROITES PROJECTIVES R
EELLE ET COMPLEXE7
On remarque que deux cercles sont orthogonaux si leur angle est=2. D emonstration: On envoie les deux points d'intersection sur 0 et1. La premiere partie dela proposition est donc veriee. Par construction, l'angle est alors l'angle entre les droites reelles
anes correspondantes. En ce qui concerne la deuxieme partie nous devons utiliser la propriete suivante des homogra- phies : soitHune homographie, soituetvdeux vecteurs deC, alors l'angle entreuetvest egal a l'angle entreDxH(u) etDxH(v), ouDxHest la dierentielle deHen un pointxquelconque. Ceci provient de ce queDHest une application lineaire complexe. Deux cercles s'envoient par une homographie sur deux droites anes. D'apres la remarque que nous venons de faire l'angle entre ces deux cercles est egal a l'angle entre ces deux droites. Voici d'autres moyens de calculer de l'angle de deux cercles. Tout d'abord nous avons la pro- position Proposition 1.2.5SoitC1etC2deux cercles se coupant en deux points. On se donne un troisieme cercleDqui coupe intersecteC1etC2orthogonalement en(a1;b1)et(a2;b2). L'angleentreC1 etC2se calcule en fonction du birapport des quatre points[a1;b1;a2;b2]par la formule [a1;a2;b2;b1] =cos() + 12 (1.1) D emonstration: En eet, nous choisissons une carte ane ou le cercleC1est l'axe reelle etC2est une droite reelle se coupant a l'origine. Le cercleDes alors un cercle centre sur l'origine que l'on
peut choisir de rayon 1. Alors (a1;b1) = (1;1) et (a2;b2) = (cos()+i:sin();cos()i:sin().La proposition suit alors d'un calcul explicite.
Voici enn deux autres methodes pour calculer l'angle entre deux cercles projectifs.Exercices:
1. Soit aun point deP(V). Reliez l'angle de deux cerclesCP1etCP2passant paraa l'angle que font les droites reellesP1\aetP2\adansa. 2. Mon trezqu' atout cercle pro jectifCPest associe une involutiondeP(V) telle que8D1;D2;D3;2CP;[D1;D2;D3;D] =[D1;D2;D3;(D)]:
Montrez que la composee de deux telles involutions est une homographie et calculer l'angle en fonction de la trace de cette homographie.Chapitre 2
Le plan hyperbolique
2.1 Presentation axiomatique
La geometrie complete du plan hyperbolique peut-^etre decrite par quelques proprietes relatives a sesgeodesiques{ qui jouent le r^ole des droites des geometries anes et projectives { ainsi qu'a son bord a l'inni. Nous allons donc denir le plan hyperbolique a l'aide des ses proprietes. Ceci nous permettra d'une part de comprendre quelles sont les proprietes vraiment importantes du plan hyperbolique, d'autre part de comprendre qu'il est construit de maniere unique. Par la suite nous donnerons deux descriptions du plan hyperbolique, nettement plus concretes et pratiques. SiBest une droite projective reelle, nous pouvons denir une notion d'entrelacement entre deux paires (a;b) et (c;d) de points deB. On dira que (a;b) et (c;d) sontentrelaceessi et seulement si [a;b;c;d]<0. On remarque qu'^etre entrelacees est une relation symetrique et que de plus cette notion ne depend que des ensemblesfa;bgetfc;dget non des paires. En fait cette notion repose sur une structure plus faible que celle donnee par le birapport : que si un ensembleBest muni d'un ordre cyclique on dit que les paires (a;b) et (c;d) sontentrelacees si soit (a;c;b;d) soit (a;d;b;c) sont positivement ordonnes. Si on remplace un ordre cyclique par son oppose, la notion d'entrelacement est identique. Denition 2.1.1[Plan hyperbolique]SoitBune droite projective reelle. Un ensembleAest unplan hyperboliquedebord a l'inniB, si l'ensembleA=AtBest muni d'une famille de sous-ensembles appelesgeodesiques, telles que 1. il p asseune unique g eodesiquep arp airede p ointsdistincts de A, 2. T outeg eodesiqueinterse ctele b ord al'inni en exactement deux p oints,app elespoints a l'inni. 3. Deux g eodesiquess'interse ctentsi et seulement si les p oints al'inni sont entr elaces.Dans ce cas, elles ont un unique point d'intersection. 4. Soit xun point deA, notonsxl'involution deBechangeant les points a l'inni des geodesiquesquotesdbs_dbs47.pdfusesText_47[PDF] longueur corde pour arc 68 pouces
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