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  • Quel est l'impact de la musique sur le plan cognitif ?

    La pratique musicale améliore ses capacités cognitives telles qu'une meilleure mémoire verbale, une meilleure exactitude de la prononciation dans une seconde langue et une meilleure capacité de lecture et autres fonctions exécutives.
  • Qu'est-ce que la cognition musicale ?

    Tout comme la couleur, la musique n'existe pas dans la nature. Elle résulte d'une construction de l'esprit. Cette construction repose sur des opérations psychologiques perceptives, intellectuelles, affectives et motrices. Le terme « cognition musicale » désigne l'ensemble de ces opérations.
  • Comment la musique peut changer la vie des gens ?

    La musique peut chasser la mauvaise humeur ou pallier une déprime passagère. Le plaisir intense ressenti en écoutant un morceau agit sur notre cerveau par la sécrétion de la dopamine, hormone du bonheur qui régule les émotions négatives et nous rend joyeux.
  • Elle aide à calmer et à gérer les émotions.
    Chanter ainsi que faire de la musique et en écouter favorisent la production d'hormones associées au plaisir, au bien-être et à la confiance. La musique a un effet calmant qui aiderait les tout-petits à gérer leurs émotions.

Année Universitaire 2012-2013

Faculté de Lettres, Langues et Sciences Humaines

Département de Psychologie

Mémoire de recherche

En vue de la validation du Master 1 de Psychologie musique sur les performances exécutives, chez des

Présenté par Victoire SALKIN

Sous la direction de Monsieur Philippe ALLAIN

Remerciements :

Je tiens à remercier mon directeur de mémoire, Monsieur Allain, pour son encadrement, ses

remarques constructives et sa disponibilité. Merci par ailleurs de Caen, pour ses conseils, notamment concernant le choix de la musique.

Je tiens à remercier vivement toutes les personnes qui ont accepté de participer à cette étude, et sans

aurait pu être possible : les patients du Centre Hospitalier de Cholet et leurs

conjoints, ainsi que les résidents de la maison de repos de la Séguinière. Merci pour leur accueil et

leur gentillesse. Un merci tout particulier à mon ami Vincent Raud, directeur de cette structure, pour son accueil chaleureux. Merci à Monsieur Tesson, psychologue et Madame Verrier, infirmière coordinatrice, pour leur contribution au recrutement des résidents.

Enfin, je tiens à remercier mon tuteur de stage, Eric Bretault, pour son soutien et son aide précieuse

également à Emeline Coutant, neuropsychologue. Merci pour votre accueil et votre écout

Sommaire

Introduction 1

Apports théoriques 2

I Musique et cognition 2

A Musique et intelligence générale 2

B Musique et fonctions langagières 3

C Musique et autres domaines non-langagi 5

II Musique et mémoire 6

A Mémoire à court-terme et mémoire de travail 6

B Mémoire à long-terme 7

1) mémoire explicite 7

2) mémoire implicite 8

C Cas particulier de la mémoire autobiographique 9

III Musique et fonctions exécutives 10

A Études auprès de sujets musiciens 10 B Participants soumis à un programme de thérapie musicale 11

C Écoute musicale l 11

IV Musique et langage 12

A 13

B Sur le plan cognitif 14

V Démence de Type Alzheimer 16

A Généralités 16

B Syndrome dysexécutif 17

Problématique 19

Hypothèses 20

Méthodologie 21

I Population 21

II Bilan neuropsychologique de base 22

III Protocole expérimental 23

A Évaluation des capacités de flexibilité mentale 24

B 25

Résultats 26

I - Analyse des résultats au niveau inter-groupe 26 II - Analyse des résultats au niveau intra-groupe 27 A - Comparaison des tâches en conditions musicale et silencieuse 27 B - Comparaison des tâches verbales et non-verbales 28 III Analyse des résultats au niveau individuel 30

Discussion 31

Conclusion 35

Bibliographie 36

Annexes 42

Résumé 48

1

Introduction :

Dans ce travail, notre thème de recherche portera sur la musique. Pour faire le pont entre la

neuropsychologie et la musique, il aurait été très intéressant de travailler sur une pathologie peu

connue, patients amusiques rend cette investigation difficile.

La musique est omniprésente. Notre goût pour la musique semble universel, que nous soyons

musiciens ou non. palette de s difficile. Son utilisation dans le champ médical montre de nombreux effets positifs. Elle produit

généralement une sensation de bien-être chez les malades. Il a été montré que les patients présentant

aient spécialement sensibles à la musique. En dépit de déficits cognitifs

sévères, le traitement de la musique serait préservé chez eux. Des extraits musicaux auraient le

pouvoir surprenant de faire " resurgir » des souvenirs, alors que ceux- la conscience des malades. oute de musique, sur les performances exécutives de patients présentant une en ce sens musicale, cela pourrait apporter de

nouvelles stratégies de remédiation cognitive. En effet, des difficultés attentionnelles sont souvent

observées dans le cas de la . Lécoute de musique lors de la réalisation des

tâches de la vie quotidienne pourrait être un bon outil pour pallier ces troubles attentionnels.

de la musique sur la cognition en nous intéressant à -issage. Par la suite,

nous nous intéresserons aux différents systèmes de mémoire, dans des situations musicales, chez

des patients Alzheimer. Puis,

musique sur les fonctions exécutives. Ensuite, nous comparerons les facultés musicales et

langagières, en examinant la relation que ces deux habiletés entretiennent. Enfin, 2

Apports théoriques :

I Musique et cognition :

A Musique et intelligence générale :

Dans la littérature, on relève plusieurs études montrant une influence de expérience musicale sur

les capacités cognitives. Schellenberg (2004, 2006)

obtenu après un enseignement musical, et a mené plusieurs recherches expérimentales auprès

Dans son travail, Schellenberg (2004) a recruté des enfants de six ans et les a réparti en quatre

irent un enseignement particulier pendant un an : clavier, chant ou théâtre, tandis que le quatrième groupe ne recevait ignement particulier. Cette

étude a montré que le QI (calculé avec le WISC III, Wechsler, 1991) augmentait sensiblement chez

les enfants ayant suivi une formation musicale, et non chez les enfants des trois autres groupes. Les

résultats étaient améliorés de manière homogène, à travers les différents subtests du WISC. Une

corrélation positive entre un enseignement musical et une mesure standardisée de réussite scolaire a

par ailleurs été mise en évidence (K-TEA : Kaufman Test of Educational Achievement, Kaufman et

Kaufman, 1985).

Dans une nouvelle publication (Schellenberg, 2006), deux travaux sont exposés. La première

expérimentation a été effectuée avec des enfants âgés de six à onze ans, et a donné les mêmes

résultats que précédemment. Des leçons de musique étaient positivement associées avec les scores

de QI et la réussite scolaire, tandis que des activités périscolaires non-musicales ne produisaient pas

cet effet. La seconde étude a été réalisée auprès de jeunes adultes, ayant suivi un enseignement

musical pendscores de QI et les performances scolaires étaient une nouvelle fois musicale. Toutefois, on note ssociation entre expérience musicale et les capacités cognitives était nfance que dans la vie adulte. En revanche, une étude longitudinale (Costa-Giomi, 1999) sur trois résultats. Les deux groupes avaient des QI équivalents à et un même niveau en performance scolaire (Costa-Giomi, 2004).

Une étude réalisée dans un lycée Hongrois (Kodaly, 1970) a mis en évidence une amélioration de

scolaires à la basée sur 3 l musicales. Les habiletés cognitives suivantes étaient particulièrement

améliorées : la mémoire immédiate des chiffres, la lecture de mots complexes, la sensibilité aux

changements de hauteur dans la parole, les habiletés temporo-spatiales, les mathématiques, la

lecture, la prosodie de la parole et la mémoire verbale.

particulières, en nous intéressant dans un premier temps aux fonctions langagières susceptibles

B Musique et fonctions langagières :

Un entraînement musical de huit semaines semble améliorer la détection de changements sonores

dans le discours. Il a été montré que des enfants de huit ans détectaient mieux de fortes

incongruences à la fin de phrases, en comparaison avec des enfants suivant des leçons de peinture

(Moreno et Besson, 2006). La discrimination de légères incongruences dans le discours était

également améliorée chez des enfants de huit ans, après six nement musical (Moreno

et al., 2009), et après quatre ans de formation musicale (Magne et al., 2006). Une étude réalisée

et avaient de meilleurs résultats en situation de légère et de forte incongruence. Dans cette étude,

des phrases et des mélodies étaient présentées aux participants. La dernière note ou le dernier mot

de chaque séquence était soit congruent, légèrement incongruent, ou très incongruent. Les

participants devaient juger si la dernière note (ou le dernier mot) était correct ou non, ou appuyant

sur une des deux touches de clavier à disposition, le plus rapidement possible. Nous observons ici

une sensibilité accrue aux changements de hauteur dans la parole, à musicale. Ces résultats mettent donc en évidence de la musique et la perception du langage. Moreno et Besson (2006) et Moreno et al. (2009) ont observé les ef qui influence le développement de processus neuronaux spécifiques. entraînement musical aurait de fortes conséquences sur a été résultats ont été interprétés comme sant un phénomène 4 à une langue étrangère, ont montré que des adultes français musiciens étaient plus aptes à détecter de ne comprennent pas (le portugais), en comparaison avec des sujets non-musiciens (Marques et al.,

2007). Plus généralement, e musicale semble être corrélée avec de meilleures capacités

phonologiques (réceptives et productives) . Les habiletés (Slevc et

Miyake, 2006).

es capacités de lecture et le niveau de vocabulaire semblent également bénéficier expérience musicale (Limb, 2006 ; Moreno et al., 2009). De plus,

musique semble être un bon prédicteur des capacités en lecture (Anvari et al., 2002). Chez des

personnes adultes non-musiciennes, une forte corrélation a été établie entre la capacité à discriminer

le contour global de séquences sonores, et les capacités phonologiques et de lecture (Foxton et al.,

2003).

Par ailleurs, chez de jeunes enfants de quatre et cinq ans, un entraînement musical améliorerait les

capacités de pré-écriture (Standley et Hughes, 1990). Des leçons de musique permettraient aussi de

développer la sensibilité aux émotions, véhiculées dans la prosodie du langage (Thompson et al.,

2004).

Des personnes présentant une maladie pourraient également bénéficier de la musique sur le plan langagier. Une thérapie musicale de trois mois leur perme leur discours et la fluence du langage conversationnel (Brotons et Koger, 2000). significative de la performance en intelligence verbale (subtest " Vocabulaire » de la WPPSI-III, Wechsler, 2002), tandis q" Cubes », WPPSI-III) restait inchangée (Moreno et al., 2011). Ces résultats mettent en évidence une dissociation entre l verbale e spatiale, après un entraînement musical. En conclusion, nous pouvons dire que la musique semble avoir une forte influence sur la perception semble améliorer la communication . Nous reviendrons plus tard sur la 5

C Musique et autres domaines non- :

Dans la littérature, on relève quelques étud à une amélioration étonnante des

habiletés temporo-spaonate pour deux pianos K448 de Mozart pendant ffet Mozart » (Rauscher, Shaw et Ky, 1993). Cette étude préliminaire a

démontré que les scores de QI spatial, en utilisant un subtest de pliage et de découpage de papier

-Binet), augmentaient de huit à neuf points en situation répétitives » et de courts récits ne produisait pas cet effet, chez des étudiants collégiens (Rauscher, Shaw et Ky, 1995). ait de musique de Schubert (Fantaisie pour piano en fa mineur) semble produire

les mêmes résultats que la sonate de Mozart, menant à une meilleure performance spatio-

temporelle, en comparaison avec une condition silencieuse. En revanche, les performances spatio- tem

le conte narré), avec une meilleure performance pour la condition préférée (Nantais et Schellenberg,

1999raine

améliorerait davantage la performance spatiale (pliage onate de

Mozart (Schellenberg et Hallam, 2005). De plus, un extrait de musique " dance » populaire

améliorerait autant le QI spatial que la Sonate de Mozart (Mc Kelvie et Low, 2002). Ainsi, le s semble plus évident lorsque la musique est appréciée par l statistiquement la Sonate de Mozart (Thompson et al., 2001). Ces résultats indiquent que le niveau de performance spatio-temporelle -même.

spatiales, on note que les scores se sont améliorés de 30% après six mois de leçons individuelles de

piano, auprès de jeunes enfants (Rauscher et al., 1997). Les scores aux tâches spatiales étaient

de deux ans de piano. En revanche, au bout de trois ans disparaissait (Costa-Giomi, 1999).

Ces derniers résultats suggèrent que le bénéfice de la musique sur les capacités spatiales est

temporaire. Mais us général, une instruction active en musique semble améliorer la performance spatio-temporelle, chez de 6

2000).

Les mathématiques faisant appel au raisonnement spatio-temporel (Rauscher et al., 1997), elles sont

susceptibles de bénéficier de la musique. De plus, la musique et les mathématiques seraient liées,

car les règles musicales reposent sur des principes mathématiques (chiffrage des mesures, schémas

répétitifs, géométrie et proportions). Une compréhension de la musique exigerait une certaine

compréhension de ces notion

niveau de compréhension des élèves en mathématiques (Vaughn, 2000). Nous avons vu plus haut

que chez des élèves lycéens, les résultats scolaires en mathématiques être

II Musique et mémoire :

A Mémoire à court-terme et mémoire de travail : usicales pendant un an, il était observer une amélioration de lWISC III). En effet, le score des enf de 3,7 points, tandis que que sur les capacités de

mémoire de travail. Ici, une tâche " musicale » a été proposée aux sujets : des séquences de cinq

notes (qui obéissaient soit aux règles tonales classiques, ou qui étaient atonales) étaient présentées

aux sujets. On a ensuite testé la reconnaissance des participants en leur présentant de nouvelles

séquences musicales. Les musiciens obtenaient de meilleures performances pour les conditions

tonales et atonales (Schulze, Mueller et Koelsch, 2011). -terme et à la mémoire de travail " musicales Une tâche de

discrimination " pareil/différent » a été proposée aux patients, à partir de courtes séries de notes. Il

est apparu que les patients Alzheimer étaient déficitaires à cette tâche (Ménard et Belleville, 2009).

Par ailleurs, le déclin de la mémoire de travail pour les informations auditives non-verbales était

progressif et Murphy, 1998). Ce déficit en mémoire de

travail " musicale » était corrélé avec un déclin de la même magnitude à des tâches d

(White et Murphy, 1998). En modalité verbale, des séries de syllabes de plus en plus longues (de

deux à huit syllabes) ont été présentées aux patients. A la suite de chaque série, une nouvelle

séquence de syllabes leur était présentée. Ils devaient effectuer un jugement de comparaison

" pareil/différent » à partir de ces deux séquences. Il est apparu que ces patients présentant

une Alzheimer étaient déficitaires à cette tâche (Ménard et Belleville, 2009). 7

B Mémoire à long-terme :

1) Mémoire explicite :

Puisque la mémoire à long-

cas ont mis en évidence une mémoire musicale explicite préservée chez ces patients, en utilisant des

mélodies familières (Cuddy et Duffin, 2005 ; Vanstone et al., 2009). Une étude de groupe a

également montré un bénéfice de la musique sur la mémoire explicite. Une meilleure

reconnaissance de paroles de chansons non-familières a été observée, lorsque ces paroles étaient

présentées sous forme ch(Simons-Stern et al., 2010). ont mis en évidence un déficit de mémoire explicite, lors de la notamment plusieurs études de cas (Crystal et al.,

1989 ; Beatty et al., 1994 ; Cowles et al., 2003 ; Fornazzari et al., 2006) et des études de groupes

(Bartlett et al., 1995 ; Ménard et Belleville, 2009 ; Baird et Samson,

2009) mettant en évidence une mémoire explicite " musicale » déficitaire. Cette atteinte affectait

notamment la reconnaissance de musiques familières, les patients incapacité le nom du compositeur ou le titre du morceau présenté (Crystal et al., 1989).quotesdbs_dbs41.pdfusesText_41
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