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  • Quels sont les deux principaux compositeur italien de l'âge baroque ?

    C'est en Italie que nait la musique baroque avec la création de l'opéra avec Monteverdi, et le développement de la basse continue. Le violon trouve ses maîtres avec Corelli et Vivaldi. D.
  • Qui est le père du baroque ?

    Les idées germinales du baroque se retrouvent dans le travail de Michel-Ange. Le style baroque débute aux alentours de 1580.
  • Quels sont les grands compositeurs baroques ?

    Maglré le nombre impressionnant de compositeurs baroques, trois d'entre eux ont illuminé de leur génie ce mouvement : Antonio Vivaldi (1678 - 1740), Johann Sebastian Bach (1685 - 1750) et George Friderich Handel (1685 - 1759).
  • Caractérisé par le goût du mouvement, de la dramatisation, de l'exubérance décorative, le baroque est un paradigme esthétique complexe qui a pour but de surprendre et d'émouvoir les spectateurs. Mouvement de grande ampleur, il s'est rapidement répandu de l'Italie vers les grands pays d'Europe.

7 / 19 avril 2015 la strada

classik La Strada - Comment avez vous commencé la musique ?

Laura Corolla -

J'ai commencé vers 6-7 ans, un peu par

hasard, mes parents n'étaient pas musiciens. Initialement, je voulais jouer du piano mais il n'y avait plus de place dans la classe de piano alors j'ai rejoint celle de violon. Mais j'ai toujours aimé le clavier, c'est pour cela que j'ai essayé à plusieurs reprises de changer d'instrument pour retourner au piano, ce que les profs m'ont toujours déconseillé ! Ils disaient qu'il n'y avait pas de travail pour les pianistes, ce qui est vrai d'ailleurs. Donc je ne regrette pas du tout d'avoir garder le violon car c'est devenu une passion qui me permet de gagné ma vie.

La Strada - Quel a était votre parcours ?

Laura Corolla -

Je suis italienne d'origine, je suis née à

Aoste où j'ai suivi mes premiers cours avant de faire le conservatoire de Milan. J'ai commencé très tôt la musi- que baroque car mon père est de Urbino, où il y a le doyen des stages de musiques anciennes et baroques d'Italie (il a 45 ans !). Mes parents m'y ont inscrite quand j'avais 14 ans, un peu pour se libérer de moi (rire). Je connaissais le répertoire baroque (Vivaldi, Bach...), j'adorais ça, mais je connaissais pas du tout la pratique sur instrument d'époque. On me faisait utiliser des cordes en boyau et j'ai adoré le concept, de même que le fait de se rapprocher des partitions anciennes, qui sont graphiquement très jolies. C'est une autre approche de la partition, par rap port au classique, où il faut faire exactement tout ce qui est marqué. Dans le baroque, il n'y a que les notes avec très peu d'indications, concernant la technique, le doigté, les archées... Pas d'indications musicales non plus, parce que les musiciens avaient une plus grande expérience et savaient ce qu'il fallait faire. La Strada - La musique baroque donne donc beaucoup de liberté...

Laura Corolla -

Effectivement, elle laisse beaucoup plus

de place à l'interprétation, à son approche personnelle. J'ai été tout de suite conquise. Alors, j'ai continué mon parcours baroque tout en finissant mes études de vio lon classique moderne. J'ai ensuite passé l'audition, avec succès, pour l'Orchestre Baroque de l'Union Européenne. Pour moi c'était incroyable, j'avais 18 ans, je faisais des tournées en Afrique du Sud, en Israël, à Chypre, dans tous les pays d'Europe du nord. À ce moment là, il était clair pour moi que j'allais jouer de la musique baroque toute ma vie. J'ai donc continué à pratiquer, tout en faisant mes études à la Schola Cantorum de Bâle, le temple de la mu- sique ancienne ! C'est une école très complète, avec une formation similaire à celle des musiciens du 18e siècle, qui se consacraient totalement à ça... Ils ne faisaient que de la musique, étaient tous compositeurs et jouaient de plu- sieurs instruments. La Strada - La spécialité du baroque n'est elle pas cette modernité farfelue, mais très particulière, avec des rè gles qui laissent beaucoup de liberté aux interprètes pour être à mi-chemin entre compositeur et interprète ?

Laura Corolla -

Oui, il y a énormément de règles. Mais à la Schola Cantorum, on nous apprend aussi à composer des

sonates dans le style ancien, ce qui nous donne la liberté de pouvoir improviser pendant les concerts. Le musicien devient donc, en quelque sorte, un compositeur. En ce sens, la musique baroque se rapproche un peu du jazz, il y a des standards, des manières de faire. On les connaît mais

on est libre d'improviser. C'est difficile pour les musiciens qui ont une formation classique parce qu'on n'apprend pas l'improvisation. Au conservatoire, tout est écrit sur la partition, et il faut la respecter au millimètre. La Strada - On retrouve également cela avec la musique orientale, avec des règles et des choses qu'on ne doit pas faire. N'est ce pas un regret pour les musiciens classiques de ne plus avoir cette liberté vis à vis des partitions, des règles ? N'y a t-il pas un message à faire passer, sur le fait que la musique baroque est beaucoup plus festive ?

Laura Corolla -

Oui, c'est une musique populaire ! Elle se

rapproche du jazz ou du rock avec des grilles sur lesquel- les on peut improviser. Notre problème, à nous musiciens, est que nous ne sommes pas formés à composer. On est formé dans des écoles qui ont été créées au 19e siècle et qui sont totalement guindées. Et le baroque ne corres- pond pas du tout à cela. Il faut donc apprendre ensuite à se libérer mais c'est le travail de toute une vie. La Strada - Il y a donc une similitude avec le rock, avec cette " recherche du son » ?

Laura Corolla -

Oui, parfois les salles sont grandes, avec

beaucoup de monde. Il y a forcément cette recherche du " gros » son, peut-être parfois avec une perte de qualité, alors que les musiciens baroques jouaient autrefois dans de petites salles, des salons, des théâtres. On recherchait la qualité avec un son plus personnel. Les violons de l'époque étaient tous différents. Aujourd'hui, il y a des normes pour les construire, ils sont tous pareils. Certes, ils ont parfois des sons différents mais les mesures sont standards, contrairement à l'époque baroque. La taille, par exemple, variait en fonction de la corpulence du musicien. Et on cherchait vraiment la personnalité de l'instrument. La Strada - Avez-vous la volonté d'interpréter un jour vos propres compositions ?

Laura Corolla -

Pas du tout, je suis très bien dans mon

rôle d'interprète, ça ne m'est jamais venu à l'esprit de composer. Il y a déjà tellement de choses à jouer... Et puis

c'est une question de personnalité. La Strada - Vous jouez assez peu avant d'entrer en scène, afin de garder l'émotion. Expliquez-nous ce processus.Avant de rentrer en scène, je me concentre mieux si je ne joue pas, c'est vrai. À l'école, on ne nous apprend pas

assez à penser la musique. On nous apprend surtout à jouer mais la musique n'est pas que musculaire, donc si on prend le temps de travailler dans sa tête ou de voir autre chose, voir des musées, des églises, se ressourcer... tout ça rempli de sens notre interprétation. Ainsi, j'aime beaucoup voyager ou aller à des expositions. Ce qui est d'ailleurs peu fréquent chez les musiciens, qui sont très souvent centrés sur leur travail. La Strada - Vous jouez avec de nombreux ensembles aujourd'hui. En quoi votre histoire avec l'Ensemble Ba- roque est-elle particulière ?

Laura Corolla -

Je joue effectivement avec plusieurs

ensembles en Italie (avec Rinaldo Alessandrini dans le Concerto Italliano, Alan Curtis dans Il Complesso Baroco et dans Il Pomo d'Oro avec Riccardo Minasi) et en France (avec Nathalie Stuzman et son ensemble Orfeo 55). Je suis intermittente donc, forcément, je fais beaucoup de choses. Mais le seul ensemble pour lequel je joue depuis toujours, c'est l'Ensemble Baroque de Nice. Un ensemble très humain, dans lequel Gilbert Bezzina a très vite su me trouver une place, et pour lequel je joue depuis que j'ai 20 ans... Humainement, c'est une expérience exceptionnelle parce que Gilbert est très gentil avec ses musiciens, très fidèle aussi, ce qui est assez rare. Tout cela crée un excel- lent milieu de travail. Et artistiquement, on progresse tous ensemble. C'est très précieux et très rare également... La Strada - C'est aussi ça l'esprit baroque, non ? Être une bande de potes...

Laura Corolla -

Oui, exactement. Il y a une base commune

avec laquelle on travaille depuis des années. Avec Gilbert, on se connaît bien. Je suis deuxième violon, lui premier violon, et sur scène, je n'ai même pas besoin de le regarder, je sais ce qu'il va faire. Vous savez, avant tout, je veux jouer ! Je joue pour être avec les autres, pas forcément pour être premier violon. Mais quand j'en ai l'occasion, c'est bien (rire). J'adore faire de la musique dansante, de chambre, ou encore les messes, les grosses productions... Les Passions de Bach par exemple. s oliste baroque

Par Michel Sajn et Pascal Linte

Une fin de saison mythique

La thématique choisie cette saison par Gilbert Bezzina, " Mythologies », a donné aux femmes une place de choix dans

la programmation de l'Ensemble Baroque de Nice ! Icônes de la mythologie, avec les muses d'Appollon ou Ariane abandonnée par l'infidèle Thésée, et solistes prestigieuses, avec la mezzo-soprano Julie Robard-Gendre ou la soprano Claire Lefilliâtre. À l'occasion de l'avant-dernière date de la saison, une autre figure incontournable de la mythologie sera à l'honneur : Didon, reine de Carthage, dont l'histoire a été merveilleusement mise en musique par Purcell, et dont la sonate Didone abbandonata composée en son honneur par le grand maître Giuseppe Tartini, sera interprétée par le violon sensible et généreux d'une autre personnalité féminine, Laura Corolla, 2e violon de l'EBN. En regard, nous retrouverons des sonates

pour deux violons des grands maîtres de la musique allemande, Telemann et sa galerie de portraits de femmes célèbres, Biber et son

Harmonia Artificiosa, et

enfin le mythique Jean-Sébastien Bach. Une conférence aura lieu, autour de ce programme, le 15 avril à la bibliothèque Louis Nucéra, sur

Les femmes abandonnées

dans la mythologie . L'ultime date de l'ensemble aura pour thème une figure incontournable de la naissance de l'opéra baroque, Orphée, qui nouera dans la cantate éponyme de Pergolèse un dialogue avec l'orchestre, pour pleurer la mort d'Eurydice. Car oui, Pergolèse ne se résume pas qu'au

Stabat Mater ! Son répertoire profane,

plus rare à la scène aujourd'hui, joua pourtant un rôle de premier plan et

La Serva Padrona, que Gilbert Bezzina

recréra aux côtés de la soprano Isabelle Poulenard, fut à l'origine de la Querelle des Bouffons (controverse opposant les théoriciens romantiques aux théoriciens classiques, au 18

e siècle, sur l'harmonie et la mélodie). Pour compléter le portrait d'Orphée, héros musicien, l'ensemble proposera quelques incartades plus au nord et dans d'autres récits, avec l'ouverture pour orchestre La lyra de Telemann, des extraits de Semele de Haendel et

Enea in Caonia de Hasse. Pascal Linte

Didon abandonnée, ven 17 avr 20h30 et dim 19 avr 16h30,

Eglise Saint-Martin Saint-Augustin, Nice /

Orphée, ven 29 mai

20h30 & dim 31 mai 16h30, Eglise Saint-François-de-Paul, Nice

Laura Corolla © Lionel Bouffier

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