[PDF] Chapitre 2 Continuité des fonctions réelles





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Déterminer les limites de f aux bornes de son ensemble de

On commence par déterminer le domaine de définition de la fonction f. L'une des limites requiert d'utiliser un résultat relatif aux croissances comparées.



FONCTION LOGARITHME NEPERIEN

Yvan Monka – Académie de Strasbourg – www.maths-et-tiques.fr. FONCTION LOGARITHME a) Calculer les limites de f aux bornes de son ensemble de définition.



FONCTION INVERSE

Yvan Monka – Académie de Strasbourg – www.maths-et-tiques.fr. FONCTION INVERSE. I. Définition et allure de la courbe. Vidéo https://youtu.be/Vl2rlbFF22Y.



Chapitre 2 Continuité des fonctions réelles

Définition 2.1.1. La partie D est appelée ensemble (ou domaine) de définition de la fonction ... bornes de J sont les limites de f aux bornes de I. (2).



Limites et continuité

Maths en Ligne. Limites et continuité. UJF Grenoble. Définition 2. Soit f une fonction de R dans R et x ? Df . Soit P une des propriétés.



de la 1`ere S `a la TS. Chapitre 4 : Études de fonctions Exercice n?1

Déterminer les limites de f aux bornes de son domaine de définition. 3. Calculer la fonction dérivée de f et étudier son signe.



Apprentissage de la notion de limite : Modèles spontanés et

interfering with the mathematical definition. In this paper we study the spontaneous models and the elaborating of the individual models for the notion of.



Limites et asymptotes

Limites et asymptotes. I. Limites en l'infini. 1) Limite infinie à l'infini. Définition 1 : Soit f une fonction définie au moins sur un intervalle du type 



1 Relation affine cachée

Les savoirs à revoir pour ce TD : la définition d'un ensemble convexe dans déterminer les limites aux bornes de l'ensemble de définition puis



I Fonctions et domaines de définition II Limites

Définition d'une fonction domaines de définition

Chapitre 2Continuit´e des fonctions r´eelles2.1 G´en´eralit´esD´efinition 2.1.1.Une fonction r´eelleest une application d"une partiedeRdansR.

La partieest appel´ee ensemble (ou domaine) de d´efinition de la fonction. Une fonction peut ˆetre d´efinie de plusieurs fa¸cons : - Par une formule explicite :() = 23
cos - Abstraitement :() est le nombre de nombres premiers compris entre 0 et.

2.2 Limite d"une fonction en un point

Soitune partie deR, et soit0R. On dit que0estadh´erent`as"il existe une suite d"´el´ements dequi converge vers0. On note l"ensemble des points adh´erents `a. Tout point deest adh´erent `a, c"est-`a-dire que . En g´en´eral,est plus grand que.

Exemples.a) Si= [01[, alors

= [01]. b) Si=]01[]1+[, alors = [0+]. c) Si=sin()N, alors = [11].

D´efinition 2.2.1.Soit:Rune fonction, et soit0

. On dit queadmet

Rpour limite en0si :

pour tout 0, il existe 0 tel que, pour tout,

0 = ()

ou, avec des quantificateurs,

0 00 = ()

17 Ceci se traduit de la fa¸con suivante : pour tout 0 (arbitrairement petit), il existe

0 tel que, siest `a une distance inf´erieure `ade0, alors() est `a une distance

inf´erieure `ade. Insistons sur le fait qued´epend de! Pour exprimer le fait queadmetpour limite en0, nous noterons lim

0() =ou()0

On peut aussi dire que() tend versquandtend vers0. Pour que ceci ait un sens, il faut montrer l"unicit´e de la limite - quand elle existe. Proposition 2.2.2.Si une fonction admetetpour limites en un mˆeme point0, alors=. D´emonstration.Mˆeme principe que pour l"unicit´e de la limite d"une suite.

Nous avons clairement les ´equivalences :

lim

0() =lim0(()) = 0lim0()= 0

Proposition 2.2.3.Soit:Rune fonction, et soit0. Siadmet une limite en0, alors celle-ci est forc´ement ´egale `a(0). D´emonstration.Soitla limite deen0. Soit 0, alors

00 = ()

En particulier, en prenant=0, la condition0 est satisfaite, donc (0) Ainsi(0)est un r´eel positif inf´erieur `a toute quantit´e strictementpositive, donc est nul, c"est-`a-dire que=(0). D´efinition 2.2.4.Soit:Rune fonction, et soit0. On dit queest continue en0siadmet une limite en0, c"est-`a-dire (d"apr`es la proposition) si lim

0() =(0)

D´efinition 2.2.5.Soit:Rune fonction, et soit0

. On dit queest prolongeable par continuit´e en0s"il existe une fonction: 0 Rcontinue en

0telle que=.

Proposition 2.2.6.Soit:Rune fonction, et soit0

. Alorsest prolongeable par continuit´e en0si et seulement siadmet une limite (finie) en0. 18

2.2.1 Limites `a droite et `a gaucheD´efinition 2.2.7.Soit:Rune fonction, et soit0

(1) On dit queadmetpour limite `a droite en0si la restriction de`a]0+[ admetpour limite en0. On note lim

00() =ou lim

+0() = (2) On dit queadmetpour limite `a gauche en0si la restriction de`a]0[ admetpour limite en0. On note lim

00() =ou lim

0() = Pour que la limite `a droite existe, il faut que0soit un point adh´erent `a]0+[. Notons ´egalement que, mˆeme dans le cas o`uest d´efinie en0, la valeur(0) n"intervient plus dans le calcul de la limite `a droite, puisqu"on a enlev´e0de l"ensemble de d´efinition. On peut faire la mˆeme remarque pour la limite `a gauche.

Remarque.Soit:Rune fonction, et soit0.

a) La fonctionadmet une limite en0(c"est-`a-dire,est continue en0) si et seulement si elle admet(0) comme limite `a droite et `a gauche en0. b) Siadmet des limites distinctes `a droite et `a gauche en0, alorsn"admet pas de limite en0. c) Soit:RRla fonction ´egale `a 1 surR, et nulle en 0. Alors lim

00() = 1 = lim00()

et pourtantn"admet pas de limite en 0 (elle est discontinue en 0).

2.2.2 Caract´erisation s´equentielle de la limite

L"id´ee est tr`es simple : pour faire tendrevers0, on peut prendre une suite qui converge vers0.

Proposition 2.2.8.Soit:Rune fonction, et soit0

. Alorsadmetpour limite en0si et seulement si, pour toute suite()d"´el´ements dequi converge vers

0, la suite()converge vers.

19 D´emonstration.. Supposons que lim0() =, et soit () une suite qui converge vers0. Soit 0. Alors il existe 0 tel que

0 = ()

D"autre part, on sait que

N0 on en d´eduit que . Nous allons montrer la contrapos´ee, `a savoir : si lim0()=, alors il existe une suite () d"´el´ements dequi converge vers0, telle que() ne converge pas vers. Supposons quen"admette paspour limite en0. Alors :

0 00 et()

En particulier, en prenant=1

pourN, on obtient : 0N0 1 et() Mais alors, la suite () converge vers0et la suite() ne converge pas vers. Ce qu"on voulait.

2.2.3 Op´erations sur les limites

Th´eor`eme 2.2.9.Soient:Ret:Rdeux fonctions, et soit0 . On suppose que lim0() =etlim0() = Alors (1)La fonction+admet+pour limite en0. (2)La fonctionadmetpour limite en0. (3)Supposons= 0. Alors la fonction1 est bien d´efinie dans un voisinage de0, et admet 1 pour limite en0. On appellevoisinagede0un intervalle ouvert de la forme ]00+[ avec 0.

D´emonstration.Grˆace `a la caract´erisation s´equentielle de la limite, onse ram`ene `a la

proposition analogue pour les limites de suites. Le seul point `amontrer est que, si= 0, alors la fonction 1 est bien d´efinie dans un voisinage de0. Supposons 0, alors nous avons :

0]00+[()

2 20

En effet, la n´egation s"´ecrit

0]00+[()

2 ce qui contredit le fait queadmettepour limite en0.

On peut r´ecup´erer les th´eor`emes sur les limites de suites (par exemple, le th´eor`eme

des gendarmes) et les adapter pour les limites de fonctions.

On peut aussi composer les limites de fonctions.

Th´eor`eme 2.2.10.Soient:1Ret:2Rdeux fonctions, telles que(1)

2, et soit0

1. On suppose queadmetpour limite en0. Alorsappartient `a

2. De plus, siadmet une limite en, alorsadmet la mˆeme limite en0.

En d"autres termes, si lim

() existe, alors : lim

0()() = lim()

La r´eciproque est fausse : il se peut que le membre de gauche existe, mais pas celui de droite. Par exemple, siest la fonction nulle, alorsest la fonction constante ´egale `a(0), donc admet une limite en tout point, alors que la limite deen 0 peut tr`es bien ne pas exister. D´emonstration.Comme0est adh´erent `a1, il existe une suite () d"´el´ements de1 qui converge vers0. Commeadmetpour limite en0, on en d´eduit que la suite (()) (`a valeurs dans2) converge vers, d"o`u 2.

Supposons `a pr´esent que lim

() existe, notons-la. Soit 0, alors il existe

0 tel que

2 = ()

d"autre part, commeadmetpour limite en0, il existe 0 tel que

10 = ()

En regroupant le tout, on trouve :

10 = (())

ce qu"on voulait.

2.2.4 Limites infinies

On peut r´ecup´erer ce qui a ´et´e fait pour les suites : les op´erations alg´ebriques sur les

limites infinies sont les mˆemes. On peut aussi composer les limitesinfinies. 21

2.3 Propri´et´es des fonctions continuesD´efinition 2.3.1.Soit:Rune fonction. On dit queest continue si elle est

continue en tout point de. Sietsont continues sur, alors+etsont continues sur, et1 est continue partout o`u elle est d´efinie. La fonctionest ´egalement continue sur.

2.3.1 Th´eor`eme des valeurs interm´ediaires

On l"appelle plus famili`erement le TVI. Il est d´emontr´e parCauchy dans son cours de 1821.
Th´eor`eme 2.3.2(Valeurs interm´ediaires).Soientetdeux r´eels avec , et soit : []Rune fonction continue. Alors, pour tout r´eelcompris entre()et(), il existe[]tel que() =. D´emonstration.Sans perte de g´en´eralit´e, on peut supposer que() (). Nous construisons par r´ecurrence une suite d"intervalles [], de la fa¸con suivante. - [00] = [] - Supposons [] construit. Soit=k+k

2le milieu de cet intervalle. Si() =,

on s"arrˆete. Sinon, on pose [+1+1] =? [] si() [] si() Si la suite d"intervalles ainsi construite est finie, alors on a trouv´e untel que() =. Sinon, nous avons, par contruction, les propri´et´es suivantes pour tout:

1)() ()

2) [+1+1][]

3)=00 2 En particulier les suites () et () sont adjacentes, donc convergent vers une limite commune. Donc() et() convergent vers(). Ainsi, par passage `a la limite dans l"in´egalit´e 1), on trouve que() =, ce qu"on voulait. Corollaire 2.3.3.L"image d"un intervalle par une fonction continue est un intervalle. Cela d´ecoule du fait suivant : une partiedeRest un intervalle si et seulement si, pour tousavec , l"intervalle [] est inclus dans. Si: []Rest une fonction continue, alors([]) est un intervalle, et 22
mais en g´en´eral l"ensemble de gauche est beaucoup plus petitque celui de droite. Penser `a une fonction telle que() =(). L"´egalit´e est cependant vraie siest une fonction strictement monotone (c"est le th´eor`eme de la bijection, que l"on verra plus loin). Voici un cas particulier du TVI, d´emontr´e en 1817 par Bolzano. Corollaire 2.3.4(Th´eor`eme de Bolzano).Soit: []Rune fonction continue. Si ()()0, alors il existe][tel que() = 0. D´emonstration.En effet,()()0 signifie que() et() sont de signes contraires, donc que 0 est compris entre les deux. Exemple.Tout polynˆome `a coefficients r´eels de degr´e impair admet aumoins une racine r´eelle. La propri´et´e des valeurs interm´ediaires correspond `a une notion intuitive : il est pos- sible de dessiner le graphe de la fonction"d"un seul trait»(c"est-`a-dire sans soulever le crayon). Cette remarque am`ene `a se poser la question : n"y a-t-il pas ´equivalence entre la

propri´et´e des valeurs interm´ediaires et la continuit´e? La r´eponse est malheureusement

n´egative. Un contre-exemple nous est donn´e par la fonction:RRd´efinie par () = sin?1 si= 0, et(0) = 0 Cette fonction n"est pas continue en 0 mais elle satisfait bien la propri´et´e des valeurs interm´ediaires pour chaque couple de points dansR. Plus g´en´eralement, le th´eor`eme de Darboux affirme que toute fonction []Rqui admet une primitive satisfait la propri´et´e des valeurs interm´ediaires.

2.3.2 Th´eor`eme des bornes

Th´eor`eme 2.3.5(Th´eor`eme des bornes).Soientetdeux r´eels avec , et soit : []Rune fonction continue. Alorsest born´ee sur[], et atteint ses bornes. D´emonstration.Commen¸cons par montrer queest major´ee. Raisonnons par l"absurde : sin"est pas major´ee, alors pour tout entierNon peut trouver un r´eel[] tel que() . Comme [] est born´e, d"apr`es Bolzano-Weierstrass, il existe une suite extraite (k) de () qui converge vers un certain. Comme [] est ferm´e,appartient `a []. Par continuit´e de, la suite(k) converge vers(). Mais ceci est impossible puisque(k) n"est pas born´ee. Doncest major´ee. Soitla borne sup´erieure de l"ensemble([]), nous allons montrer queest atteint par la fonction. SoitN, alors1 n"est pas un majorant de([]), donc il existe[] tel que() 1 . Comme()pour tout, on en d´eduit (par le th. des gendarmes) que la suite() converge vers. D"apr`es le th´eor`eme 23
de Bolzano-Weierstrass, il existe une suite extraite (k) de () qui converge vers un certain[]. Mais alors,() est ´egal `a la limite de la suite(k), donc() =, ce qu"on voulait. On montre par la mˆeme m´ethode queest minor´ee, et que la borne inf´erieure est atteinte. D"apr`es le th´eor`eme des valeurs interm´ediaires, on sait que([]) est un intervalle. D"apr`es le th´eor`eme des bornes, il existe des r´eelsettels que Le fait que [] soit un intervalleferm´e born´eest tr`es important. Voici quelques exemples : a)() =d´efinie sur [0+[ n"est pas major´ee. b)() = (1+)d´efinie sur [0+[ est major´ee mais n"atteint pas sa borne sup´erieure 1. c)() =1 d´efinie sur ]01] n"est pas major´ee. d)() = 1d´efinie sur ]01] est major´ee mais n"atteint pas sa borne sup´erieure 1.

2.3.3 Th´eor`eme de la bijection

Th´eor`eme 2.3.6(De la bijection).Soitun intervalle deR, et soit:Rune fonction continue strictement monotone. Alors : (1)L"ensemble:=()est un intervalle, dont les bornes sont les limites deaux bornes de. La fonctionr´ealise une bijection entreet. (2)La bijection r´eciproque1:est continue strictement monotone, de mˆeme sens de variations que. D´emonstration.(1). D"apr`es le th´eor`eme des valeurs interm´ediaires,´etant continue, l"image deparest un intervalle. Commeest strictement monotone, elle est injective, donc r´ealise une bijection avec son image. Sachant cela, il estfacile de v´erifier que les bornes desont les limites deaux bornes de. (2). On peut supposer queest strictement croissante. Montrons d"abord que1est strictement croissante sur. Soient etdanstels que , et soient=1() et=1(). Alors l"in´egalit´eest impossible car elle impliquerait()(), c"est-`a-dire. Nous avons donc , ce qui prouve que1est strictement croissante. Reste `a voir que1est continue. Soit

0, et soit 0. Supposons que0soit int´erieur `a, alors1(0) est int´erieur `a.

Il existe doncetdanstels que l"on ait

0 1(0) 0+

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Commeest strictement croissante, il vient :

() 0 () Posons= min(0()()0), c"est un r´eel strictement positif qui satisfait par construction :

0 =()()

D"autre part :

()() =1()par croissance de1 = 1()1(0) par construction deet Ceci montre que1est continue en0. Si0est une extr´emit´e de, on proc`ede de fa¸con analogue. Notons que la d´emonstration de la continuit´e de1n"utilise pas la continuit´e de. En fait, on peut montrer le r´esultat suivant : une bijection monotone entre deux intervalles est toujours continue. Par contre, le fait qu"une bijection continue ait une r´eciproque continue n"est pas toujours vrai. L"hypoth`ese de monotonie est tr`es importante ici. Cette propri´et´e est une propri´et´e globale : une bijection deRdansR, continue en0, peut avoir une r´eciproque non continue en(0).

2.4 Continuit´e uniforme

D´efinition 2.4.1.Soit:Rune fonction. On dit queest uniform´ement continue sursi : pour tout 0, il existe 0 tel que, pour tout ()2, ou, avec des quantificateurs,

0 0()2 = ()()

Cette nouvelle notion n"est pas une notion locale, contrairement `a la notion de conti- nuit´e. Elle d´epend du choix de l"ensemble. L"adjectif uniforme signifie que le choix duest ind´ependant du choix deet de. Par comparaison, la continuit´e desurs"´ecrit

0 0 = ()()

Il est clair que :

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est uniform´ement continue sur =est continue en tout point de mais la r´eciproque est fausse. Exemple.La fonction() =2d´efinie sur [0+[ n"est pas uniform´ement continue.

En effet, soientetdans [0+[, alors nous avons

()()=22= (+) Ainsi, mˆeme siest tr`es petit, il suffira de choisiretsuffisamment grands pour que()()soit plus grand que 1. Par contre, la mˆeme fonction2est uniform´ement continue sur l"intervalle [01].

En effet, pouretdans [01], nous avons+2 d"o`u

()()= (+) 2 Ainsi, ´etant donn´e 0, on peut prendre=2 qui satisfait la propri´et´e voulue. Th´eor`eme 2.4.2(Th´eor`eme de Heine).Soientetdeux r´eels avec , et soit : []Rune fonction continue. Alorsest uniform´ement continue sur[]. D´emonstration.Par l"absurde. Supposons quene soit pas uniform´ement continue sur []. Alors

00 0()[]2 et()() 0

Prenons=1

avecN. On obtient ainsi deux suites () et () dans [] telles que 1 et()() 0 D"apr`es Bolzano-Weierstrass, on peut extraire de () une sous-suite convergente, not´ee (k)N. Comme [] est ferm´e, la limitede (k) appartient `a []. De plus, comme kk 1 on en d´eduit que (k) converge ´egalement vers. Mais alors, les suites(k) et(k) convergent vers(), ce qui contredit le fait que (k)(k) 0

Le r´esultat en d´ecoule.

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