Adaptations morphologiques et physiologique à la sécheresse
La localisation et la protection des stomates constitue aussi une adaptation morphologique permettant de limiter l'évapotranspiration. Certaines plantes ont
Balades au jardin
conditions de chaleur et sécheresse estivales les plantes ont développé un éventail d'adaptations morphologiques ou physiologiques particulières.
Caractères morphologiques et physiologiques de résistance du mil
doivent aussi jouer un rôle dans l'adaptation du mil a la sécheresse. Célasticité des parois cellulaires en particulier
Adaptation des plantes aux stress environnementaux
stress constitue la première étape physiologique puis à des modifications morphologiques anato- ... La sécheresse ou déficit hydrique inhibe la.
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13 Approche physiologique de l'adaptation la sécheresse des
la région nous allons discuter des mécanismes physiologiques d'adaptation à la sécheresse existant chez les plantes cultivées en nous référant à la classification des formes d'adaptation généralement acceptée depuis les travaux de Levitt et al [6] Hsiao [7]
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changements morphologiques biochimiques et physiologiques àcourt et àplus long terme Réponse des plantes àlasécheresse La sécheresse altère fréquemment la balance hormonale de la plante et modifie l'activité de nombreuses enzymes ainsi que l'expression du génome (Lamaze et al 1995) A terme on assiste à un ajustement osmotique
CHAPITRE14
Adaptationdesplantes
aux stressenvironnementaux Paul-AndréCalatayud,Jean-Pierre Garrec et Michel NicoleContrairementauxanimauxquipeuventse
déplacer lorsque lesconditionsdevie ne leur sont plus favorables, les plantes sont pourlaplupart fixées.Ellesont de cefaitdéveloppé des stratégies environnementauxenmodulantet enajustanten permanenceleurs systèmesmétaboliques.Les plantes doivent affronter différents types
d'agressions ou de stress abiotiques et s'y adapter: lemanqueou l'excès d'eau, les fortes ou faiblesluminosités,lapollutionde l'air, la salinité des sols, lestempératuresextrêmes et le vent. Elles subissentégalementd'autres types d'agressions par desorganismesvivants, on parle alors de stress biotiques. Nous netraiteronspour ce type de stress que del'adaptationdes plantes aux agressions par lesmicro-organismes.Celles impliquantles insectesserontexaminées dans la partie5 de l'ouvrage.MÉCANISMESGÉNÉRAUX
DERÉPONSEDESPlANTES
AUXCONTRAINTESDEL'ENVIRONNEMENT
Lesmécanismespar lesquels les plantes
perçoiventles signauxenvironnementauxet lestransmettentà lamachineriecellulaire pour activer desmécanismesderéponsesadaptées déterminentchaquejourleur survie.Latransmissionoutransductionde signaux de
stressconstituelapremièreétapephysiologiquepar laquelle la plante met en place sa machi neried'adaptationou deréponseaux différents stressenvironnementaux(fig. 14-1). Ainsi, une voie detransductiond'unsignalcommence par laperceptionde ce signal au niveau de la membrane(par unsenseurou non), suivie par laproductionde seconds messagers et, éventuel lement, de facteurs detranscription.Ces facteurs detranscriptioncontrôlentl'expression de gènes impliquésdans la réponse au stress,incluantdes changementsmorphologiques,biochimiqueset physiologiquesàcourtetàplus long terme.Réponsedesplantesàlasécheresse
La sécheresse altèrefréquemmentlabalance
hormonalede la plante et modifie l'activité de nombreusesenzymes, ainsi que l'expression dugénome(Lamazeet al.,1995).Aterme, on. assisteàunajustementosmotiquedes cellules,
puisàdesmodificationsmorphologiques,anato
la plante.Conséquencesdelasécheresse
surlaphysiologiedesplantesLesmodificationsde labalancehormonale
concernentaussi bien l'auxine, lesgibberellines et lescytokininesque lesmédiateursplus clas siques de laréponseau stress,commel'acide abscissique (ABA), l'éthylène et lejasmonate. En règle générale, chez laplupartdes espèces 229Interactionsinsectes-plantes
r- IStress
11Facteurs de transcription1
11Activationde gènes1 \
l, \+1 '-l,t--"/Protéinesd'adaptation1
Figure 14-1-Vueschématiquedesmécanismesde perceptiondustress etde transduction dusignal chez lesplantessupérieures,Cyprèssownis
àdesconditions extrêmesde stress sur
unplateau aride de Turquie:fortes chaleurs en été, froids rigoureux en hiver (©N,Sauvion/lnra). 230végétales,onassisteàune augmentation de la synthèsed :ABAetàune réductiondecelle de cytokinine.
La sécheresseou déficit hydrique inhibela
synthèsede la plupart des protéines,tandis que celled'un ensemble restreint de protéines appe lées "protéinesde stress» est induite. Simulta nément,la protéolyse estfavorisée.Alorsque l'activitédecertaines enzymes diminue (comme laRubisco1etlaPEPcase
2), celled'autresenzymes peutaugmenter.Cest lecas,par exemple, des enzymes hydrolytiquescommel'a -amylaseet les prot éinases, ou d'enzymes catalysant la synthèse enzymefixant le C0 210rsdelaphotosynthèseencomposé
à3carbones(le3-phosphoglycérate)àpartirdu ribulose1,5bisphosphate.
2.PhosphoEnolPyruvate carboxylase, enzyme fixant le
HCOJ 'lorsde laphotosynthèseC 4 encomposéà4carbones descomposésde type"osmolytecompatible»et de glucides. Le déficithydriqueprovoqueaussi l'activation oul'inhibitionde trèsnombreuses autres enzymes.Les gènesinductiblespar la sécheresse sont
supposésjouerun rôle dansl'adaptationdu végétal au déficit hydrique. Citons par exemple ungroupede gènes,connus pourprotégerles structurescellulaires lors de la dessiccation des graines, appelés gènes lea(pourlateembryo genesisabundanten anglais); ainsiqu'unautre groupe de lea,auquelappartiennentlesdéhy conformationdesprotéineslors de ladéshydrata tion.D'autresgènes sont impliqués dans l'ajuste mentosmotiquedes cellules. Ils vontdéclencher l'accumulationde solutés appelés "osmolytes» (proline, glycine,saccharose... ). En revanche, l'expression d'autres gènes estdiminuée,cest le cas de ceuxcodantla petitesous-unitéde laRubisco (gènes
rbcS)et lesprotéinesassociées auxchrorophyllesa et b (gènes cab)(Bray,1993). La croissance des tissus foliaires est un processus très sensible au déficithydrique,puisqu'ilest directementliéàl'absorptiond'eau par les
cellules. On assistegénéralementàunralentis
sement, voire uneinhibition,de la croissance souventassociéeàl'ABAetàd'autreshormones
végétales.Laconductancestomatiquefoliaire est rapide
mentaffectée par le déficit hydrique, se mani festant par unefermeturedes stomatesévitantla par uneaugmentationde lateneuren ABA au voisinage des cellules de garde. Cettehormone peutêtre libérée par les racines ayant détecté un manqued'eau dans le sol,constituantainsi un signalracinaired'alerte (Davies et Zhang, 1991).Lafermeturedes stomatesentraîne
àtermeune
baisse de l'activitéphotosynthétiquede la plante.Àmoyen terme, la plante s'adapte au déficit
hydriquepar unajustementosmotique "actif» des cellules. Cemécanisme,quiparticipeau maintiendesstructurescellulaires et évite une déperditiondeau, se manifeste par uneaccumu lation d'osmolytes (des acidesaminés[comme la proline],des polyamines, des acidesorganiques, des sucres [comme lesaccharose],des amines quaternairesetdesselsminéraux)dans lescellules (Delauneyet Verma, 1993;Premachandra et al.,1992; Tarczynskietal., 1993).
Àplus long terme, on assisteàdeschangements
physiologiquesetanatomiquescommeune synthèse d'acides grasmodifiantlaperméabi lité de lamembraneplasmiquedes cellules, une réductionde la surface foliaire(ralentissement de l'émergence etaccélérationde lasénescence des feuilles), uneaugmentationde l'épaisseur des feuillesaccompagnéed'unchangement de lacompositiondes cirescuticulaireset une système racinaire. Lesmécanismesde résistance des plantesàla sécheresse sont l'échappement, larestauration, la tolérance à ladéshydratationet lévitement (Lamazeetal.,1995).Léchappementcorrespondàla capacité de la
plante d'achever son cycle de croissance lors de périodesfavorables,évitantainsi lespériodesde contraintehydrique(cas des plantes en milieux désertiques).Larestaurationconsiste en la capacité de la
planteàrétablir unmétabolismenormalaprès
unepériodede déficithydrique(casdes mousses, lichens et des algues). Cemécanismeneconcerne pas lesAngiospermesquiutilisentplutôtun mécanismedeprotection.Latolérance
àla sécheressecorrespondàla
capacité des plantesàsupporterdes niveaux
de déficithydriqueélevés. Cemécanismeest rendupossible par l'élévation de la viscosité du cytoplasmedes cellules, par laprotectiondes enzymes et desmembranesparcertainsosmo protectantsetantioxydants,et par la modifica tionde lacompositionphospholipidiquesdes membranescellulaires.Lévitementcorrespond
àla capacité de la plante
àéviter lesphénomènesdedéshydratationdes tissus,àla fois enmaintenantleprélèvement
d'eau du milieu et endiminuantlesdéperditions 231Interactionsinsectes-plantes
fondamentauxde cemécanismeest l'ajustement osmotique.Ceprocessuspermetnotamment lemaintiende laturgescencedes apex et des feuilles en croissance, qui, associé à l'extensibilité des parois,permetlemaintiende la croissance cellulaire malgré la déficience en eau.Réponsedesplantes
àlapollutionatmosphérique
Commelenombredepolluantsatmosphé
riques est très élevé, avec pourchacund'eux des réponsesspécifiquesdes plantes, nous allonsStressabiotiquesagissant
surl'expression deseffetsdespolluantsLumière,
Température,
Vent,Humidité de l'air et du sol
CO2· ··
communesqui régissent lesinteractionsplantes pollutionsatmosphériques.La réponse des plantes
àlapollutionatmosphé
rique vadépendredes deuxpartiesqui sont en jeu:d'unepart la plante, et d'autrepartlanature de lapollutionprésente(fig. 14-2). laréponsevadépendredelaplante Aprèspénétrationdupolluantdans la plante par l'intermédiairedes stomates, lepolluantva, d'une part,commelamajoritédes stress abiotiques, entraîneràpartirde soncaractèreagressif un
stress de typeoxydatif(productionderadicaux hydroxyles et d'espèces oxygénées réactives), et, d'autrepart,entraînerun stress spécifique lié àStressbiotiquesagissant
surl'expression deseffetsdespolluantsNature de l'espèce
Génotype
Âge
Stades physiologiques
État sanitaire de la plante...
Modifications morphologiques végétales et floralesChloroses et nécroses
Effets directs ou indirects sur les stomates
Action sur la photosynthèse
Action sur la respiration
Action sur le transfert des assimilats
Perturbations métaboliques, mise en place de systèmes de défense physiques et biochimiquesStress oxydatif et autres stress spécifiques
Action génotoxique : adduits
àl'ADN...
Perturbations de la reproduction
Modifications morphologiques, structurales et chimiques des pollens...Caractéristiquesdespolluants
agissantsurl'expression deleurseffetsPhytotoxicité
Propriétés physico-chimiques
DoseDynamique de dose...
TCaractéristiquesdesplantes
agissantsurl'expression deseffetsdespolluantsFonctionnement stomatique
Barrière cuticulaire
Systèmes anti-oxydants
Systèmes de détoxification
Caractère xérophile...
Figure14-2 -Interférencesde diversparamètressur l'expression des effets despolluantsatmosphériques
chez les plantes. 232métabolismedu calcium dans le casd'unepollu tionfluorhydrique(HF),perturbationde l'équi libreoxydoréducteurdes cellules dans le cas d'unepollutionaux oxydes de soufre (S02' ..). Face à ces stress, la stratégie classique de défense de la planteconsistera, pourlimiter l'absorp tion dupolluantd'un côté et pouraugmenterla toléranceà celui-ci de l'autre, àmettreenoeuvre d'unepartdesprocessusphysiques(fermeture des stomates, chutes de feuilles... ) et d'autrepart des facteurschimiquesetbiochimiques(fabri cation de précipités insolubles,détoxification par émissions de formesréduitespar les feuilles, dégradationsenzymatiquespar les P450, rôles des systèmesantioxydants... ).
Lors del'installationd'un stresspollution,si
un pool de processus de défense existe déjà dans la plante, celle-ci va plus ou moins rapi dementmettreen place un nouvelensemblede processus. C'est de laconjugaisonentrele pool de processus déjàprésentet le pool de ceux que la plante est capable demettreenroutesuite à l'agression que vadépendrelarésistancede la plante aupolluant.Cela vaexpliquerpar la suite que,pourchaquepolluant, ilexiste une échelle spécifique de sensibilité des plantes. Ilfaut signaler que lors de faiblespollutionsetlou lorsque les systèmes de défense de la plante sont d'unpolluant,cette résistance va tout de même avoir un coût physiologique, qui vasecaractériser par desdiminutionsde taille,desbaissesde rende ment...On parle alors de "dégâts invisibles».Lors de fortespollutionsetloulorsqueles
systèmes de défense de la plante ne sont pas suffi sants, desdommagesirréversibles avec desmorts cellulairesapparaissent(les nécroses foliaires entreautres). On parle alors de "dégâts visibles» liés à lapollutionatmosphérique.Mais la plante est un système biologique, et
commetous les systèmes biologiques, elle est sensibleparallèlementaux facteursabiotiques (température,humidité,lumière... ) et aux facteursbiotiques(âge, maladies, génotypes... ) de sonenvironnement,qui vont avoir des répercussionspositives (sécheresse,augmenta tion du CO 2 ...)ou négatives (maladies) sur sa réponseà lapollutionatmosphérique.Laréponsevadépendredupolluant
De par leurscompositionschimiquespropres,
lespolluantssont plus ou moinsphytotoxiques, et àconcentrationségales dans l'air on classe phériquesdans l'ordresuivantdephytotoxicité décroissante:Acidefluohydrique(HF)
>ozone(03)>dioxyde de soufre (S02)>dioxyde d'azote(N0 2) Enplus de laphytotoxicitédupolluant,laréponse des plantes à celui-ci vadépendrede la dose de polluant(concentrationxtemps)reçue. Mais il fauttoutde suitesignalerqu'à doses depolluantégales, celles-ciaurontd'autantplusd'impactsur
la plante qu'ellesserontappliquéessur un temps court.On expliquegénéralementcet effet pic par le fait que, sur decourtespériodes,laplante n'a pas le temps demettreenrouteses systèmes de défense. ,Encadré14-1",Remarque des "conCentrations présentes'dans l'atmosphère, mais on sait que c'est le calcul' .des .:flux de polluants quiont.réellement pénétrédonne" lésIMPACTDESSTRESSABIOTIQUES
SUBISPARLAPLANTESURLESINSECTES
Faceàlasécheresse
11estfréquemmentreportéuneaugmenta
tion despopulationsd'insectesensituationde sécheresse (Koricheva et al.,1998; Larsson etBjôrkman,1993). Dans laplupartdes cas,
iln'a pas été possible dedéterminerla cause de ces d'unemeilleurequaliténutritivedes plantes, 233Interactionsinsectes-plantes
d'unediminutiondel'efficacitédes ennemis natu relset/oudirectementde latempératureet de l'humidité.La qualiténutritivedes plantes a fait cependantl'objet d'uneattentionparticulièrede lapartde bonnombredechercheurs,car souvent la plante ensituationde déficithydriqueconnaît uneaugmentationde lateneuren acides aminés et/ouensubstancessecondairesdes feuilles.Koricheva
etal.(l998)ont réalisé sur plus de70 études de lalittératurescientifique une méta
analysede l'influence des stress abiotiques (déficit hydrique,pollutionet ombrage) des arbres et plantes arbustives sur lesperformancesbiolo giques(cest-à-direledéveloppement,la fécon dité, la survie et la densitépopulationnelle)des insectes. Ils concluent que, d'une manière géné rale, les stress abiotiques n'ont aucun effet signi ficatif. Pour le déficithydriquepar exemple, ils trouventunegrandevariabilité de réponse selon le moded'alimentationdes espèces d'insectes et le mode de croissance de l'espècevégétale incri minée. En général, les insectes foreurs et les piqueurs-suceurs(type pucerons) sedéveloppent mieux sur plantes stressées, alors que les insectes broyeurs etproducteursde galles s'ydéveloppent moins bien. Cette plus faibleperformancepour les insectes broyeurs sur plantes stressées est accentuée sur des espèces végétalesàcroissance
lente. Lespotentiels dereproductiondes insectes lors d'un déficithydrique. Larsson (1989) propose que la sensibilité des insectes aux plantes stressées diminuedes insectes xylémophages >insectes phloémophages >insectesmineurs>insectes broyeurs >auxformateursde galles, les plus sensibles étant les xylémophages et les phloé mophages. Certes, si cette sensibilitédépenddu moded'alimentationdes insectes, elle doit égale mentdépendrefortementde l'espècevégétale. La plupartdes travauxproviennentd'arbres ou de plantes arbustives, mais peu de plantes annuelles tellesque lesGraminéesont été étudiées.Mattsonet Haack(l987)proposentsix princi
mentationdespopulationsd'insectessur plantes stressées parun déficithydrique(fig. 14-3).234La sécheresseprocuredesconditionsdetempé
rature plus favorables audéveloppementde certainsinsectes phytophages. Puisque les insectes n'ont pas de système dethermorégu lation, unetempératurede l'air et de la plante hôte plus élevéepeuts'avérerpourcertainsplus favorableàleurdéveloppement.
Lesplantes stressées sont plusattractivesou plus facilement acceptées par les insectes. Ilspeuvent biochimiquesdes plantes. Laqualitéspectraleet thermiquedes plantes changedrastiquementlors d'un stresshydriquepouvantinfluencerdirecte mentlecomportementet ledéveloppementde certainsinsectes. Lespropriétésacoustiquesdes plantesserventcommemodedecommunication entreindividuschezcertainsinsectes phyto phages. Unediminutionde laturgescencedes tissus de la plantepeutproduired'unpointde vueacoustiquedifférents sons parrapportàune
situationhydriquenormale,modifiantainsi les communicationsentreinsectes. Enfin, leschan gementsbiochimiquesducontenucellulaire des plantes enréponseau déficithydrique(comme lesacidesaminés,lessucres, lesselsminéraux peuventjouerle rôle dephagostimulants pourquotesdbs_dbs6.pdfusesText_12[PDF] Correction du Kératocône avec des Lentilles RPG - Centre for
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