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NOTES DE FIN499

NOTES DE FIN

Notes de l"Introduction

1. Fernand VAN LANGENHOVE, Comment naît un cycle de légendes. Francs-tireurs et

atrocités en Belgique, Lausanne et Paris, 1916.

2. Marc BLOCH, "þRéflexions d"un historien sur les fausses nouvelles de la guerreþ», in

id., Écrits de guerre, 1914-1918, éd. par Étienne BLOCH, Paris, 1997, pp. 169-184, publié à

l"origine dans la Revue de synthèse, 1921.

3. Par exemple, James M. READ, Atrocity Propaganda 1914-1948, New Haven, 1941, et

Harold D. LASSWELL, Propagande Technique in World War I, 1927, nouv. éd., Cambridge,

Massachusetts, 1971, en particulier le chap. IV, à propos du "þsatanismeþ» appliqué à la fabri-

cation des "þatrocitésþ».

4. Pour la meilleure discussion de ce dernier point de vue, voir Trevor WILSON, "þLord

Bryce"s Investigation into Alleged German Atrocities in Belgium, 1914-1915þ», Journal of Contemporary History, 14/3, 1979, pp. 369-383, et Trevor WILSON, The Myriad Faces of Warþ: Britain and the Great War, 1914-1918, Cambridge, 1986, pp. 182-191.

5. Peter SCHÖLLER, Le Cas de Louvain et le Livre blanc, Louvain-Paris, 1958.

6. Lothar WIELAND, Belgien 1914. Die Frage des belgischen "þFranktieurkriegesþ» und

7. Michael JEISMANN, Das Vaterland der Feinde. Studien zum nationalen Feindbegriff

8. Ruth HARRIS, "þThe "Child of the Barbarian"þ: Rape, Race et Nationalism in France

during the First World Warþ», Past and Present, 141, 1993, pp. 170-206þ; Stéphane AUDOIN-

ROUZEAU, L"Enfant de l"ennemi, 1914-1918. Viol, avortement, infanticide pendant la Grande

Guerre, Paris, 1995.

9. John HORNE et Alan KRAMER, "þGerman "Atrocities" and Franco-German Opinion

1914þ: The Evidence of German Soldiers" Diariesþ», Journal of Modern History, 66/1, 1994,

pp. 1-33þ; John HORNE, "þLes mains coupéesþ: "atrocités allemandes" et opinion française en

1914þ», in Jean-Jacques BECKER, Jay WINTER, Gerd KRUMEICH, Annette BECKER et Stéphane

AUDOIN-ROUZEAU, dir., Guerre et cultures, 1914-1918, Paris, 1994, pp. 133-146þ; Alan KRA- MER, "þLes "atrocités allemandes"þ: mythologie populaire, propagande et manipulations dans

l"armée allemandeþ», ibid., pp. 147-164þ; Alan KRAMER, "þ"Greueltaten"þ: Zum Problem der

deutschen Kriegverbrechen in Belgien und Frankreich 1914þ», in Gerhard HIRSCHFELD, Gerd KRUMEICH, Irina RENZ, dir., Keiner fühlt sich hier mehr als Mensch... Erlebnis und Wirkung des Ersten Weltkriegs, Essen, 1993, pp. 85-114þ; John HORNE et Alan KRAMER, "þWar between Soldiers and Enemy Civilians, 1914-1915þ», in Roger CHICKERING et Stig FÖRSTER, dir., Great War, Total Warþ: Combat and Mobilization on the Western Front, 1914-1918, Cambridge, 2000, pp. 153-168þ; John HORNE, "þCorps, lieux et nation. La France et l"invasion de 1914þ», Annales histoire, sciences sociales, 1, 2000, pp. 73-109þ; Alan KRAMER, "þDer Umgang mit der Schuld, die "Schuld im Kriege" und die Republik von Weimarþ», in Dietrich PAPENFUSS et Wolfgang SCHIEDER, dir., Deutsche Umbrüche im 20. Jahrhundert, Cologne et Weimar, 2000, pp. 75-94þ; John HORNE, "þGuerre, droit et levée en masse en Europe (1870-

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500LES ATROCITÉS ALLEMANDES

1945)þ», in Pietro CAUSARANO et al (dir.), Le XX

e þsiècle des guerres, Paris, 2004, pp.þ27-40þ; in Daniel MORAN et Arthur WADRON, dir., The People in Armsþ: Military Myth and Political Legitimacy since the French Revolution, Cambridge, 2002, pp. 100-123.

10. Les documents des 2 commissions belges (l"une pendant la guerre, l"autre après) se

trouvent aux Archives générales du royaume (AGR), Bruxelles, Commission d"enquête (CE), III 374 B1þ; les documents de la Commission française se trouvent aux Archives nationales (AN), Paris, AJ4. Les principales archives allemandes contenant des témoignages de soldats

Kriegsarchiv (KA), Munich.

11. Jean SCHMITZ et Norbert NIEUWLAND, Documents pour servir à l"histoire de l"inva-

sion allemande dans les provinces de Namur et de Luxembourg, Bruxelles et Paris, 1919-

1924, 7 vol.

Notes du chapitre premier

1914-1918, Berlin, 1934-1938, 3 vol., annexe, p.þ5, pour la taille de la force d"invasion alle-

mandeþ; Gerhard RITTER, The Schlieffen Planþ: Critique of a Myth, New York, 1958þ; John KEEGAN, Opening Movesþ: Augustþ1914, New York, 1971, pp. 8-55þ; Holger HERWIG, The First World Warþ: Germany and Austria-Hungary 1914-1918, Londres, 1997, pp. 43-74. Les estimations de la taille des forces allemandes sur le front ouest, comprenant les lignes défen- sives sur le Rhin, oscillent entre 1,3 et 1,6 millions d"hommes. Reichsarchiv, Der Weltkrieg

Grenzschlachten im Westen, 1925, pp. 69, 646.

2. Pour l"histoire militaire des événements discutés dans ce chapitre et le suivant, voir

l"histoire officielle allemande, Reichsarchiv, Der Weltkrieg, op. cit., t. Iþ; ibid., t. IIIþ: Der

Marne-Feldzug. Von der Sambre zur Marne, 1926þ; l"histoire officielle française, ministère de

la Guerre, Les Armées françaises dans la Grande Guerre, Paris, 1922-1937, 103 vol., t. Iþ: La

Bataille des frontières jusqu"au 23 août 1914, 1936þ; La Belgique et la guerre, Bruxelles,

1921-1928, 4 vol., t. IIþ: L"Invasion allemande, par Jacques CUVELIER, 1921, et t. IIIþ: Les

Opérations militaires, par Maurice TASNIER et R. VAN OVERSTRAETEN (1926)þ; The Times

History of the War, Londres, 1914-1920, 21 vol., t. I, 1914 et t. II, 1915þ; La Guerre de 1914þ:

l"action de l"armée belge pour la défense du pays et le respect de sa neutralité. Rapport du

commandement de l"armée. Période du 31 juillet au 31 décembre 1914, Paris, 1915þ; J. M. KENNEDY, The Campaign round Liège, Londres, 1914þ; Léon VAN DER ESSEN, The Invasion and the War in Belgium from Liège to the Yser, Londres, 1917þ; Louis KOELTZ, La Guerre de

1914-1918þ: les opérations militaires, Paris, 1966, pp. 64-155þ; J. KEEGAN, Opening Moves,

op. cit.þ; H. HERWIG, The First World War, op. cit., pp. 75-125.

3. Le total est habituellement évalué à 25 000 hommesþ: Reichsarchiv, Der Weltkrieg, op.

cit., t. I, pp. 108-109þ; Generalstab des Heeres, éd., Der Handstreich gegen Lüttich vom 3. bis

7. août 1914, Berlin, 1939, p.þ71. Ce chiffre semble sous-estimé. La force consiste en 6 bri-

gades d"infanterie, chacune formée de 2 régiments d"infanterie, plus un régiment supplémen-

infanterie légère). Cependant, il apparaît que les régiments avaient l"ordre de ne pas mobiliser

leur effectif total. Le 165 e RI, par exemple, avait l"ordre de limiter ses compagnies à 175 hommes au lieu de l"effectif normal de 250 (Otto FLIESS et Kurt DITTMAR, 5. Hannoversches Infanterie Regiment Nr. 165 im Weltkriege, Oldenbourg-Berlin, 1927, pp. 5, 14). Ce sont donc environ 30 000 fantassins, auxquels il faut ajouter 3 divisions de cavalerie (8þ000 cava-

liers), du génie et de l"artillerie que le Handstreich ignore. La force d"assaut initiale doit avoir

comporté environ 39 000 hommes.

4. Generalstab des Heeres, éd., Der Handstreich gegen Lüttich..., op. cit., p.þ56þ; La

Belgique et la guerre, op. cit., t. III, p.þ36.

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NOTES DE FIN501

5. Jean STENGERS, "þL"entrée en guerre de la Belgiqueþ», Guerres mondiales et conflits

contemporains, 179, 1995, pp. 13-33, ici pp. 21-22. Laurence VAN YPERSELE, Le Roi Albert. Histoire d"un mythe, Ottignies, 1995, pp. 138-142.

6. Luc DE VOS, Het effectif van de Belgische Krijgsmacht en de Militiewetgeving, 1830-

1940, Bruxelles, 1985, pp. 315, 326-335.

7. Georges HAUTECLER, éd., Le Rapport du général Leman sur la défense de Liège en

août 1914, Bruxelles, 1960, pp. 103-104. Reichsarchiv, Der Weltkrieg, op. cit., t. I, pp. 113,

114-116. Carl ERNST, Der Grosse Krieg in Belgien. Beobachtungen, seinen ehemaligen han-

noverschen Landsleuten gewidmet, Gembloux, 1930, pp. 16-19, sur les pertes et la retraite allemandes.

8. 9 brigades d"infanterie et 2 régiments supplémentaires, en plus de la cavalerie et de

l"artillerie lourde (calculé à partir de Reichsarchiv, Der Weltkrieg, op. cit., t. I, pp. 117-120)þ;

La Belgique et la guerre, op. cit., t. III, p.þ55.

9. Reichsarchiv, Der Weltkrieg, op. cit., t. I, pp. 119-120, 62þ; La Belgique et la guerre,

op. cit., t. III, p.þ54-63.

10. J. KEEGAN, Opening Moves, op. cit., pp. 82-92þ; G. RITTER, The Schlieffen Plan, op.

cit., p.þ175. Pour les pertes allemandes, voir Generalstab des Heeres, éd., Der Handstreich

gegen Lüttich..., op. cit., pp. 78-79, qui donne 3 458 fantassins tués, blessés ou disparus uni-

quement dans les 3 jours du 4 au 6 août. L"estimation de 5 300 morts vient de Heutter, un

ingénieur de Zürich, qui mena une enquête à travers la Belgique au début de l"annéeþ1915þ; son

chiffre est presque certainement trop élevéþ: AGR, Bruxelles, Commission d"enquête sur la

violation du droit des gens (par la suite CE), III 374 BI, 12, rapport Heutter (il s"agit du rap- port de Heutter, transmis par la légation belge de Berne à la Commission d"enquête gouver- nementale belge), p.þ9.

11. Henri DAVIGNON, German Posters in Belgiumþ: Their Value as Evidence, Londres,

1918, pp. 2-3.

12. Commision d"enquête sur la violation des règles du droit des gens, des lois et des cou-

tumes de la guerre, Rapports sur la violation du droit des gens en Belgique, Paris, et Nancy,

1915-1916, 2 vol. (cité ensuite Première Commission belge), 17

e rapport, vol. 2, pp.þ56-57þ; Gustave SOMVILLE, Vers Liège, le chemin du crime, août 1914, Paris, 1915, fondé sur une

enquête entreprise dans le district de Liège fin 1914 et début 1915, pp.þ155-157þ; Le Soir, 6 août

1914, pour les soldats belges utilisant les maisons pour combattre.

13. Première Commission belge, 17

e rapport, vol. 2, pp. 55-56, qui donne 9 mortsþ; Com-

mission d"enquête sur la violation des règles du droit des gens, des lois et des coutumes de la

guerre, 4 vol., Bruxelles, 1921-1923 (cité ensuite Seconde Commission belge), vol. 1, 2 e

þpar-

tie, Rapports sur les attentats commis par les troupes allemandes pendant l"invasion et l"occupation de la Belgique, Bruxelles, 1922, vol. 1, 1 re partie, p.þ15, donne 10 mortsþ;

G.þSOMVILLE, Vers Liège, op. cit., pp. 165-169þ; le journal hollandais, De Tijd, 8 août 1914,

cité par Le xx e siècle, 10 août 1914. Sur la panique nocturne, voir les deux rapports militaires dans Bundesarchiv (BA) Koblenz, NL 15/97þ: M/S Foersterþ: Stellungnahme zu der Ausar- beitung des Oberstls [...] Fonck, fol. 9-20þ: 2 e bataillon, 60 e régiment d"artillerie de cam- pagne, et 90 e régiment de fusiliers.

14. Première Commission belge, 17

e rapport, vol. 2, p.þ52þ; G. SOMVILLE, Vers Liège, op.

cit., pour la citationþ; AGR, Bruxelles, CE, III 374 B1, 81b, témoin Julien Christiane, 23 sep-

tembre 1914. À Battice, 3 villageois ont été exécutés sur la base d"un comportement suspect

le 4 août, Seconde Commission belge, vol. 1, 1 re partie, p.þ50þ; G. SOMVILLE, Vers Liège, op. cit., p.þ56.

15. Voir l"annexe I infra. Nous avons calculé le nombre des habitants tués dans des

incidents avec plus de 10 morts civils, "þincidents majeursþ», à 679. En comptant les 168 tués

dans 51 incidents de moins de 10 morts, cela fait un total de 847. Il n"y a pas d"estimation disponible du nombre de civils blessés par les soldats allemands. Le nombre de bâtiments

délibérément détruits ne fait référence qu"à ceux qui l"ont été dans des "þincidents majeursþ».

Là aussi, le total exact est plus élevé.

16. Le but de la commission est d"établir la violation des "þdroits des gens et des devoirs

d"humanitéþ» commise par les Allemands (Première Commission belge, vol. 1, p.þ41). La

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502LES ATROCITÉS ALLEMANDES

Seconde Commission a été constituée en 1919 pour étudier tous les aspects de l"invasion et

de l"occupation. Pour l"histoire de la Première Commission, voir notre chap. VI, et celle de la Seconde, notre chap. IX. Pour les sources belges sur Liège, voir aussi L. VAN DER ESSEN, The Invasion and the War in Belgium..., op. cit., pp. 49-99þ; G. SOMVILLE, Vers Liège, op. cit., passim, et ANON., La Belgique martyre. Les atrocités allemandes dans les environs de Ver- viers, Verviers, s. d., mais après guerre.

17. Centre pour la préservation des collections de documents historiques (RGASPI), Mos-

cou, 1256-5-47, fol. 10, journal de marche de la 34 e brigade d"infanterie, rapport du général et la guerre, op. cit., t. III, p.þ53.

18. G. SOMVILLE, Vers Liège, op. cit., pp. 225-233. La Première Commission belge,

17 e þrapport, vol. 1, p.þ68, situe le commencement des représailles à 4 heures du matin le

6þaoût, plutôt que 4 heures de l"après-midi. Cf. Seconde Commission belge, vol. 1, 1

re partie, pp. 36-37.

19. Les exécutions ont eu lieu le 6 et le 7 août, Première Commission belge, 16

e rapport,

vol. 2, pp. 31-48. Ce rapport est basé sur le témoignage de Ferdinand Fléchet, bourgmestre de

Warsage, qui fuit à travers la frontière hollandaise vers Maastricht, où il fait une longue dépo-

sition reproduite dans le Nieuwe Rotterdamsche Courant et, à partir de là, dans la presse internationale, par exemple, Le Temps, 14 août 1914.

20. Il n"y a pas de récit fiable du combat à Herstal le 7 août. Ce récit a été reconstruit par

déduction à partir de Generalstab des Heeres, éd., Der Handstreich gegen Lüttich..., op. cit.,

pp. 27-30, et G. SOMVILLE, Vers Liège, op. cit., pp. 215-217.

21. Seconde Commission belge, vol. 1, 1

re partie, p.þ302.

22. Generalstab des Heeres, éd., Der Handstreich gegen Lüttich..., op. cit., p.þ35þ; La

Belgique et la guerre, op. cit., t. III, p.þ41, qui sous-estiment la taille de la force allemande en

parlant d"un bataillon)þ; Seconde Commission belge, vol. 1, 1 re partie, p.þ302þ; G. SOMVILLE,

Vers Liège, op. cit., pp. 192-193.

23. Première Commission belge, 17

e rapport, vol. 2, pp. 54-55. La Seconde Commission belge date de façon erronée ces exécutions du 6 août, vol. 1, 1 re partie, p.þ26. Les déclarations des témoins recueillies en 1919 et reproduites par la Seconde Commission, vol. 1, 1 re partie, pp. 343-344, confirment à la fois la colère des Allemands et l"absence de toute accusation de révolte de la part des civils, ainsi que l"absence de toute forme d"interrogation. Deux des

témoins prétendent même avoir vu un officier tirer en l"air au pistolet pour déclencher chez

ses hommes l"idée d"une résistance. Ce récit est confirmé dans son ensemble par

G.þSOMVILLE, Vers Liège, op. cit., pp. 131-146, et La Belgique martyre, p.þ44. Des déclara-

tions de témoins, citées par le consul belge de Maastricht, à la session de la CE, le 7 mai

1915, se trouvent dans ARG, Bruxelles, CE, III 374 B1, 81a.

24. Première Commision belge, 17

e rapport, vol. 2, pp. 54-55þ; G. SOMVILLE, Vers Liège, op. cit., pp. 133-136.

25. G. SOMVILLE, Vers Liège, op. cit., p.þ129. La Première et la Seconde Commission

donnent de façon erronée la date de la nuit du 4 au 5 août. La date correcte est donnée dans

Generalstab des Heeres, éd., Der Handstreich gegen Lüttich..., op. cit., pp. 16-17, et La Bel- gique et la guerre, op. cit., t. II, p.þ95.

26. G. SOMVILLE, Vers Liège, op. cit., pp. 122-125þ; Seconde Commission belge, vol. 1,

1 re partie, pp. 27-28.

27. G. SOMVILLE, Vers Liège, op. cit., pp. 86-87, corroboré par la Première Commission

belge, 17 e rapport, vol. 2, p.þ53, quoique cette dernière donne également une date incorrecte, le 5 août.

28. G. SOMVILLE, Vers Liège, op. cit., p.þ57þ; Première Commission belge, 17

e rapport, vol. 2, p.þ52, qui donne 35 victimes.

29. Témoignage dans la Seconde Commission belge, vol. 1, 1

re partie, pp. 24-26, 342. Les Allemands mènent une enquête sur le massacre de Melen-La Bouxhe, le 16 février 1915,

à la Kommandantur de Liège, où 17 civils sont convoqués, G. SOMVILLE, Vers Liège, op. cit.,

Führung des belgischen Volkskriegs, Berlin, 1915.

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NOTES DE FIN503

30. La Seconde Commission belge donne un compte-rendu général, vol. 1, 1

re partie pp.

52-53)þ; Première Commission belge, 17

e rapport, vol. 2, pp. 52-53, et G. SOMVILLE, Vers

Liège, op. cit., pp. 64-84, sont plus précis et se confirment les uns les autres substantielle-

ment. Tous attribuent la responsabilité au 39 e

RI. Generalstab des Heeres, éd., Der Hands-

treich gegen Lüttich..., op. cit., p.þ62, confirme que le 39 equotesdbs_dbs9.pdfusesText_15

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