LE MONT ARARAT (5 165 m)
à environ 2 kilomètres sous le sommet ; certains littéralistes bibliques disent qu'il pourrait s'agir des restes de l'arche de Noé échouée sur ce Mont… Un beau
Cercle vicieux
Il n'y a que trois mille ans les peuples de la mer attaquent le Proche-Orient
Le lieu déchouage de larche de Noé dans la tradition arménienne
que l'Arche " s'etait arretde sur les montagnes d'Ararat entre Armenie et Gordydne sur le mont Loubar oi'u des reliques se voyaient encore de son temps ".
LE CRÉATIONNISME EST-IL SCIENTIFIQUEMENT RECEVABLE
sacré l'Arche de Noé se serait posée sur le sommet du mont Ararat
La chronologie biblique dAdam à la mort de Moïse : Essai d
La première période exemplaire
larche de noe
Le déluge terminé l'Arche s'échoua sur le Mont Ararat Ses habitants. sains et saufs
Cercle vicieux
Il n'y a que trois mille ans les peuples de la mer attaquent le Proche-Orient
Le retour intempestif du religieux
longtemps prétendu que l'arche de Noé s'était échouée sur le mont Ararat… Quentin peut comprendre et s'intéresser à la peur des éléments des inondations
LARCHE de NOÉ
terre entière fut submergée. Seuls la famille de Noé et les animaux qui étaient dans l'arche étaient à l'abri. L'arche se posa sur le mont Ararat.
TÉRACH
Térach n'avait pas émigré tout entière d'Ur à Caran et si Nacor était resté parce que l'arche de Noé d'après son récit
https://www.erudit.org/en/Document generated on 10/23/2023 3:40 p.m.Ciel variableCercle vicieuxDiane Morin
Number 3-4, 1987" ciel ouvertURI: https://id.erudit.org/iderudit/21931acSee table of contentsPublisher(s)Les Productions Ciel Variable inc.ISSN0831-3091 (print)1923-2322 (digital)Explore this journalCite this articleMorin, D. (1987). Cercle vicieux. Ciel variable, (3-4), 10...11.
CERCLE
"J e vai s erre r désormais à travers les terres de l'Ouest et les montagnes de l'Est, | et le désert du Sud, sac au dos, à la recherche de la pureté.» |
Jac kKerouac
LE SCLOCHARD
SCÉLESTES
. VICIEUXInnombrables
mêm e e n oublian t le s orphelinat s e t l a quantit d e cellule s embryonnaire s e n attent e d'un eéprouvette
Plu s prè s d e nous ceu x qui faut e d e temp s o u d'argent s'accommoden t d'u n espac e désue t jusqu' la signatur e d u prochai n bail O u bien ce s mieu x nantis n e sachan t qu e fair e d e leur s multiple s cabanes erran t |pa r saiso n froide su r le s plage s exotiques l a recherch e d'un e hutt e sauvage San s compte r tou s le s autres ceux qu i on t abandonné la s d e s e heurte r au x contrainte s sociales O n préfèr e le s ignorer le s laisse r divague r l a rue , prétextant l'existence d'un instinct migrateur plus ou moins développé chez l'individu. O n déplac e no s pénate s d'u n poin t cardina l l'autre depui s a u moin s di x million s d'années dans le seul but d'assurer notre survie. Poussé par le froid dans sa quête de nourriture, le premier homme se voit contraint de modifier son mode de vie, inadéquat aux changements climatiques. Il s'invente d'abord des vêtements de fourrure, puis des abris de peaux de bêtes et de branchages qu'il enfonce dans le sol pour échapper aux vents de la savane, pendant que plus au sud, il s'abrite sous les auvents des falaises ou à l'entrée des cavernes. UÊÊLWLWÊÊÊKÊLW.\^.\^KL\WL\mÊÊL\WLm.1L\^mÊL\mmÊLUL\mL\^mL\^L\^LmKKLm
C'es t pa r l a découvert e d u fe u qu e l'homm e s e sédentarise Ayan t d'abor d serv i l e réchauffer pui sà cuisiner, le foyer incite petit à petit au rassemblement et devient le premier élément social.
I l y a neu f mill e ans alor s qu e l e clima t s'adouci t e t favoris e l'agriculture o n assist e la cohabitation du chasseur nomade et du paysan sédentaire. La première ville date de la même époque Catal-Hùyûk, à l'est de la Turquie. On y compte dix mille habitants. Une ville sans rues, où l'on circule par les toits. Le trou de la cheminée (!!!) donne accès à de petites maisons carrées, d'un ou deux étages, faites de briques et d'argile montées sur une charpente de bois,
L a stabilit e t l e confor t comporten t certain s dangersCurieu
x d e voi r derrièr e l'horizon l'homm e blasé s'est lancé vers son évolution. Quel paradoxe! Puisque, sans en être conscient, il a amorcé la
destructio n d e l a planète I l n' y a qu e troi s mill e ans le s peuple s d e l a me r attaquen t l eProche-Orient
d'o l a naissanc e des guerres, des dispersions, voire même, la disparition de civilisations entières. De la même manière, | on a chassé les Mayas du Yucatan, ce peuple dont la culture si riche influence encore toute l'Amérique indigène. Tout comme eux, les Pawnis et les Sioux sont poussés vers le nord, tandis que les Algonkins fuient vers le sud. Et depuis l'an 600, ce mouvement de va-et-vient est incessant. L'Iroquois est, des groupes amérindiens, le grand voyageur qui entoure ses déplacements d'une vénération religieuse. Pressés de tous côtés par les Espagnols, Français et Anglo-Saxons, les Indigènes sont maintenant groupés, au nombre de trente-cinq à quarante millions, sur une bande de| territoire ininterrompue, allant du centre mexicain jusqu'au Chili.
Comm e leur s frère s amérindiens le sTzigane
s son t issu s de s Inde s lointaine s e t eu x aussi tentant d'échapper aux multiples invasions, se voient refoulés vers des régions déshéritées. Ils finissent par| se disperser à travers tout l'Orient avant de se diriger vers l'ouest, traversant d'immenses déserts, où ils habitent des maisons semi-souterraines, des huttes de torchis ou des tentes de tissu à peine retenues par des pierres. En 1350, les autorités en ont assez de voir ces fils de la nature se promener à | tous vents et proclament le vagabondage, c'est-à-dire l'errance sans domicile fixe, ni profession reconnue, comme un délit officiel.
Puis , en 1438, on prouve! l'existenc e d'une | organisation des "gueux» quil coïncid e ave c l'arrivé e d e s iBohémiens
Ce s derniersétablissen
t leur s quartiers dan s le s grange s e t logis! inhabités, campant hors des! villes où ils dressent leurs! tentes. On les voit enl compagnie des "gueux», ces!
"gen s sans-aveu qui ! exercent le métier del colporteur itinérant,! e t de s "caymants» ! (QUÉMANDER), ceux qui fon t professio n d e recevoi r la i charit quan d c e n'es t pa s d e l'exiger Plu s tard soi t ver s 1783,1 oubliant leur phobie de l'eau, I | certains Gitans s'embarquent! pour l'Amérique du Sud. Puis) en 1855, un autre groupe sel dirige vers la Roumanie,! s'offrant comme main-d'oeuvre saisonnière.! Ensuite, en Russie, ils! campent aux abords de I Moscou, dans des taudis I misérables, des ghettos de baraques en bois, des tentes I rapiécées et des roulottes I boiteuses. À nos jours, on les rencontre partout, ils sont de cinq à six millions errant de j par le monde.
B •
7-\y v..
BKK •P . ..._f-* Les révolutions, les cataclysmes, les épidémies et la famine provoquent aussi l'exode de millions d'êtres, laissant déferler un flot humain de nouveaux errants. Autrefois, on appelait ces grands déplacements "migrations», depuis la
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