étude socio-anthropologique du couple et du mariage dans la
26 sept. 2012 Qu'en est-il du mariage traditionnel et du poids de la ... appelons ici dot c'est l'ensemble des rituels qui symbolisent le mariage traditionnel.
Regards dAfropéennes sur la dot
dot en tant qu'union de deux familles est la même chez toutes y compris celles qui ont répondu ne pas souhaiter avoir (ou avoir eu) de mariage traditionnel :.
Le Mariage Traditionnel Chez Les Moose De Koudougou Au
Ainsi après la cérémonie de la dot
la dot dans le code des personnes et de la famille - des pays d
Elle est le plus souvent désignée sous le vocable de mariage traditionnel ou de mariage coutumier. Avec l'évolution qu'ont connu les sociétés africaines ce
Le mariage en Afrique noire
alors qu'une dote de 10 vaches est suffisante. pOUf une femme. La condition sociale de la famille de la fille entre souvent en considération. Une famille.
Lqimt (la dot) système de transmission des biens dans les relations
16 sept. 2015 Une pratique coutumière chleuhe la dotation de la fille au moment du mariage (lqimt)1 est ici étudiée dans son occurrence traditionnelle
FAMILLE CLAN ET MARIAGE EN MILIEU COUTUMIER « SEMI
clus les « pères » et les oncles maternels du fia pour préparer le versement ou le payement de passer à la troisième étape qu'est le versement dot
Mariage et images du mariage chez les Peul
Parce que la langue est un instrument à la disposition des membres d'une société pour classer les différentes expériences qu'ils accumulent tout au long de
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Or ce qui caractérise la société guéré traditionnelle c'est qu'elle est avant tout du moins dans La consommation rituelle du poulet ratifie l'union et la dot ...
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Le somme à verser pour le mariage coutumier est normalement La représentation de la dot en tant qu'union de deux familles est la même chez.
la dot dans le code des personnes et de la famille - des pays d
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La compensation matrimoniale dans le mariage traditionnel chleuh
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9 juil. 2021 Dans cette thèse le mariage coutumier chez les Tetela est défini comme ... La dot correspond aux biens que le fiancé est tenu de payer aux ...
FAMILLE CLAN ET MARIAGE EN MILIEU COUTUMIER « SEMI
riage coutumier semi-luba. C'est elle qui fonde la légitimité du mariag de telle sorte qu'on ne peut pas parler du mariage coutumier sans dot.
149 Le Mariage Et La Dot Dans Les Œuvres De Buchi Emecheta Et
que la dot n'est pas payée mais du fait qu'elle se sent coupable. La célébration du mariage traditionnel et reçoivent la dot alors que.
LÉvolution du Mariage Coutumier Chez les Musulmans du Sénégal
CE n'est pas sans angoisse qu'un jeune citadin du Senegal envisage la dot: la premiere part destinee a sceller le mariage et a lui conferer sa validite.
LA DOT DANS LE CODE DES PERSONNES ET DE LA FAMILLE DES PAYS D
Certes la dot existait dans la culture occidentale mais elle n’a pas les mêmes caractéristiques que celles des sociétés africaines La dot occidentale est un ensemble de biens apportés par la femme ou par sa famille pour subvenir aux besoins du nouveau ménage qui se fonde En droit romain par exemple la dot est l’« ensemble de biens
Qu'est-ce que la dot de mariage ?
Elle constitue une condition de forme pour la validité du mariage, qui est devenu monogamique dès l'avènement de ce code. Dans le code des personnes et de la famille du Togo25, la dot revêt un caractère symbolique, mais est versée au père et à la mère de la future épouse, et ne doit pas excéder une somme de 10000F CFA26.
Pourquoi la dot est une preuve de l’accord entre les deux familles sur le mariage ?
A défaut d’écrit, « la dot est une preuve de l’accord entre les deux familles sur le mariage et la régularité de ce dernier en la forme et au fond.
Est-ce que la dot est le préalable d’un mariage réussi ?
Au delà de leurs appartenances religieuses diverses, tous estiment que la dot est le préalable d’un mariage réussi, indique Mawuli Kouakouvi, philosophe et formateur civique, interrogé par Anadolu. "C’est le premier pas dans le mariage au Togo comme dans nombre de pays en Afrique d’ailleurs.
Est-ce que la dot par prestation de service est reconnue pour la validité du mariage ?
En effet, dans certaines coutumes, la dot par prestation de service est la seule reconnue pour la validité du mariage en dépit des autres modalités comme dans le cas précité des Mandjak du Sénégal.
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DANS LE MARIAGE TRADITIONNEL CHLEUH *
Souad Azizi
pratiquait couramment en pays chleuh (Sous) avant la déperdition des droits coutumiers des tribus au
profit d'une plus grande pénétration du droit musulman.Les tribus du Sous, notamment celles vivant à l'abri des montagnes, ont réussi à perpétuer leur
droit coutumier jusqu'à l'aube du Protectorat. En matière de droit familial, ces tribus prêchent une
obédience de principe au droit musulman (Montagne, Ben Daoud, 1927 : 440). Mais, dans la réalité,
leur pratique des prescriptions coraniques, notamment en matière de mariage et de succession, est souvent teintée de dispositions coutumières. Droit musulman et droit coutumier coexistent. La mise en vigueur de l'un ou l'autre modèlejuridique dépend et sert, en premier lieu, des intérêts masculins. Car, qu'il soit musulman ou coutumier,
le droit est le domaine exclusif des hommes et l'instrument de leur autorité sur les femmes. Cesdernières n'ont qu'une vague idée des règles musulmanes et coutumières qui régissent l'institution du
mariage. À l'exception des femmes d'extraction maraboutique (Boumlik, 1996 : 163-166), la plupart des femmes du commun ne savent pas lire le Coran. Elles ne connaissent que le minimum de souratesrequises pour prier. Certaines n'en comprennent même pas le sens. Orale ou écrite, la coutume n'est
pas enseignée aux femmes. C'est là un savoir qui se transmet de bouche d'homme à oreille d'homme,
dans l'enceinte de l'assemblée villageoise. Dans les tribus du Moyen Atlas, la coutume donne à la femme le droit de fuir le foyer conjugal(Bertrand, 1977 : 96-110). Combinée au droit de répudiation de l'homme, cette disposition fragilise
l'union conjugale. Aussi les divorces, sur l'initiative de l'homme ou de la femme, sont-ils très fréquents
dans le Moyen Atlas. Chez les Aït Hadiddou (Haut-Atlas), le premier mariage de la femme " estpresque immédiatement suivi d'un divorce » (Kasriel, 1989 : 132). Par contre, les tribus chleuhes de la
plaine du Sous et de l'Anti-Atlas sont réputées pour leur faible taux de divorce. La répudiation est ici,
plus qu'ailleurs, regardée comme un " mal licite » qu'il faut à tout prix éviter. Car une femme répudiée
est une femme qui a subi l'épreuve du sang, une femme dont on ne peut plus contrôler le comportement
sexuel, à moins de la cloîtrer. Par conséquent, elle constitue une perturbation potentielle de l'ordre
social. Le statut hautement positif des femmes monogames épouses d'hommes monogames, leur choix comme officiantes (timprimaire des deux conjoints (Azizi, 1998 : 82-83 et sq.). Dans les rites de mariage, les divorcés et les
veufs sont écartés de toute fonction rituelle à l'égal de malades contagieux. La polygamie est ici
exceptionnelle. Elle reste le privilège de quelques notables, et l'ultime recours en cas de stérilité ou de
maladie de l'épouse. Le jour de la conclusion du mariage, les officiantes (tim . Les termes berbères sont transcrits en italique et les termes arabes en gras italique.Souad AZIZI, Awal, (23), pp. 101-114, 2001.1
leur savoir magique pour protéger les mariés de tout contact avec la souillure des djinns, les sortilèges
des jaloux ou la contagion des malchanceux (Azizi, 1998 : 123-132). De leur côté, les hommes mettent
en oeuvre des stratégies d'ordre plus pratique que magique, pour consolider l'union célébrée. Pendant la
cérémonie de rédaction du contrat (Azizi, 1998 : 132-136), les deux témoins (adouls) demandent à
chacun des deux pères d'exprimer à haute voix et de manière explicite son désir de contracter mariage
au nom de son enfant, le montant de la compensation matrimoniale, ainsi que tout autre condition ou chacune des deux parties reçoit une copie.De même que le " mariage arabe », le " mariage berbère » a souvent été assimilé à une
transaction commerciale où le père " vend » sa fille à la famille de l'époux. La compensation versée par
ce dernier est, en effet, considérée comme le " prix [d'achat] de la mariée ». Or nous sommes ici, dans
le domaine chleuh, en présence d'un modèle d'alliance où le " prix de la mariée » n'est jamais versé au
moment de la contraction du mariage, mais seulement en cas de répudiation.Que signifie donc le retardement de l'am
différencie-t-il du " prix de la mariée », voire du sadaq (la compensation matrimoniale musulmane) ?
Mon hypothèse est que le retardement de l'am
stabilité du mariage chleuh, à l'instar de la dotation de la fille (lqimt) (Azizi, 1998 : 134-135, 154-164).
FINALITÉ DU RETARDEMENT DE L'AM
Dans la plupart des régions du Maroc, le terme le plus couramment utilisé pour désigner lacompensation matrimoniale est un dérivé dialectal (arabe ou berbère) du terme juridique sadaq (voir
tableau). Dans le Sous, le terme sadaq est cantonné à l'écrit. Il est connu surtout des lettrés qui
établissent les contrats de mariage. Dans le dialecte chleuh, le terme autochtone, amcouramment usité pour désigner la compensation qui est consignée sur le contrat. Au-delà d'une simple
différence lexicale, la compensation matrimoniale chleuhe semble se distinguer par des modalités de
constitution et de paiement différentes de celles fixées par le droit musulman. Pour bien saisir ce qui
différencie l'aminstitution islamique. En faisant le point sur la nature et la fonction du sadaq, nous serons plus à même
d'une part de saisir la spécificité de l'am compensation constitue un facteur de stabilité de la relation conjugale. LA COMPENSATION MATRIMONIALE DANS QUELQUES LOCALITÉS DU MAROCLocalités/Région
(Sources)TerminologieVariabilitéDate du versementMode de paiementAksimen & Imesguin/Sous
(Azizi, 1998 : 152)amAït Massa & Aït Milk/Sous
(Azizi, 1998 : 152)am1. Ce terme est également utilisé par quelques groupes berbérophones du nord du Sous (, p. 2).
Souad AZIZI, Awal, (23), pp. 101-114, 2001.2
Tazerwalt/Anti-Atlas
(Modisk-Touiti, 1987 : 98)šrodouiavant les nocesespècesAglu/Sous
Amzmiz & Aït Tameldu/Haut-
Atlas (Westermarck, 1921 : 61-62)am féminins/produits de boucheIgliwa/Haut-Atlas
(Westermarck, 1921 : 62)amTanger
(Salmon, 1904 : 275-276)sadaqouiavant les nocesespèces/accessoires fémininsAndjra/Jbala
(Westermarck, 1921 : 30-31, 64)sadaqouiavant les nocesaccessoires fémininsAït Waryaghal/Rif
(Hart, 1976 : 128-129)sadaqouiavant les nocesespèces/accessoires féminins/produits de boucheAït Sadden/Beraber
(a - Westermarck, 1921 : 37-40,65 ; b - Trenga, 1917 : 229)a) sadaq
b) atigouiavant les nocesespècesAït Nder/Beraber
(Marty, 1928 : 301, 487, 511)frahouiavant ou après la consommationespècesAït Ubahti/Environs d'Oujda
(Westermarck, 1921 : 63)sadaqnonavant les nocesaccessoires fémininsHiaïna/Environs de Fez
(Westermarck, 1921 : 64-65)sadaqnonavant les nocesespèces Fez (Westermarck, 1921 : 63-64)sadaqouiavant les nocesespèces accessoires féminins/produits de boucheAït Waraïn/Environs de Taza
(Westermarck, 1921 : 65-66)sadaqouiavant les nocesespècesAït Intift & Zaïan/Moyen Atlas
(Laoust, 1915 : 55-56)sadaqouiavant les nocesespèces/accessoires féminins/produits de boucheUlad Bu Aziz/Doukkala
(Westermarck, 1921 : 61)sadaqnonavant les nocesespècesAzemmour
(Le Coeur, 1933 : 139)sadaqouinon mentionnéeespèces/accessoires féminins/produits de boucheLA COMPENSATION MATRIMONIALE EN DROIT MUSULMAN
Avant l'avènement de l'Islam, le prétendant (ou sa famille) versait au père de la jeune fille une
compensation (en nature ou en espèces) appelée mahr ; et il remettait à cette dernière un
" cadeau » (facultatif) nommé sadaq. Nombreux sont les auteurs qui ont considéré le mahr comme le
" prix d'achat » de la personne de la mariée et assimilé le mariage arabe à une " vente » pure et simple
(Fahmy, 1990 : 141 ; Jacques-Meunié, 1944 : 78-79 ; Salmon, 1904 : 276). Il est vrai que dans lasociété préislamique la femme jouissait d'une condition très précaire, aussi bien sous le toit paternel
que sous le toit conjugal. Jeune fille, son père avait droit de vie et de mort sur elle. Ainsi, il pouvait
spéculer sur son mariage en la livrant au plus offrant. Veuve, l'institution du lévirat2 permettait à
l'héritier de son défunt de la garder comme épouse, de la céder à un consanguin, ou de la marier à un
prétendant de son choix moyennant une compensation (Mernissi, 1987 : 152). Néanmoins, si laconclusion du mariage prenait effectivement la tournure d'une transaction commerciale, ce n'est pas la
2. Le lévirat a également existé chez les tribus berbères, où le droit de la femme à l'héritage n'est pas respecté. La
coutume veut que la veuve n'hérite pas. Elle retourne dans sa famille ; et ses enfants restent dans la lignée du père.
La veuve mère de garçons ne peut rester auprès de ses enfants que si elle accepte de ne pas épouser un homme
étranger à la lignée de son époux. Lorsqu'un des frères de son défunt est célibataire, le lévirat se présente alors
comme " la solution miracle » (Lacoste-Dujardin, 1996 : 16 ; Alahyane, 1988 : 35-36) qui permet à la mère de
rester auprès de ses enfants, tout en recouvrant un statut de femme mariée.Souad AZIZI, Awal, (23), pp. 101-114, 2001.3
femme qui était échangée contre des biens matériels. Les travaux anthropologiques sur cette prestation,
communément appelée le " prix de la mariée » (bride price), ont montré qu'elle constitue pour l'époux
le paiement de certains droits qu'il acquiert sur la femme et sa progéniture, tandis que pour le père elle
représente un dédommagement pour les frais d'entretien de la fille, pour la perte de son potentiel de
procréation, voire sa force de travail (Mair, 1974 ; 53-55). Les principaux changements apportés par l'Islam à cette forme de mariage sont l'exigence duconsentement de la mariée (El Bokhari, 1977 : 569), et sa consécration comme bénéficiaire de la
compensation matrimoniale (Le Coran, 1980 : 63, 65-66, 104, 107, 109). Suite à cette modification du
système contractuel du mariage, les termes mahr et sadaq vont, dans un premier temps, tendre à se
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